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Bonjour, Quelques heures potables plus une nuit correcte pour pouvoir faire cette image. En effet après ce défilé de nuages et de pluie à travers lesquels j'ai pu faufilé mon newton, 1h par ici, 2h par là, j'ai quand même réussi à cumuler une dizaine d'heures de pose. J'aurais bien tenter une autre dizaine d'heure de plus en luminance mais vu les prévisions météorologiques ...... Bref, pas de surprise, comme dans le titre, voilà la nébuleuse du poisson pourri 🤢. Newton250/1000 avec primaire de Terence Pelletier Eq8-R G3-16200 1h50' par couleur 4h30' en L Pas énorme mais je voulais finir cette photo avant Noël voire le printemps ! Pour plus de détails, c'est par ici A+ P@sc@L4 points
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Bonjour les ami(e)s. j'espère que vous allez bien. Voici une cyanobactérie complète par apport à celle que j'ai déjà posté . L'objectif est de 40X à bientôt amicalement Charles .4 points
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Salut, cela fait bien longtemps que je n'avais pas posté d'image ici... en voici une faite la nuit du 12 octobre dernier, malgré la lune encore bien présente et la menace de brouillard prévue par certains sites sur la région parisienne. La nuit a été au final complètement dégagée, à défaut d'être excellente niveau seeing (FWHM médiane de 2,35" sur la luminance). Au vu des conditions j'avais choisi une cible classique de grande taille et relativement contrastée, la célèbre galaxie spirale vue par la tranche NGC891 dans la constellation d'Andromède, à environ 15 millons d'a.l. de nous. J'ai gardé au tout 360*60sec de luminance avec filtre clair, et 35*60 sec par couche couleur, avec le matos habituel : T250 maison optiques Mirrosphère, Wynne 2,5 pouces et ASI183mm le tout sur une monture AP900. Voici premièrement un gros plan sur la galaxie : Et un plan plus large avec la quasi-totalité du champ : Bonne journée, Dan3 points
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Salut à tous ! J'avais prévu la manip de mesurer la vitesse de rotation de M33 grâce aux nébuleuses de ses bras (par leur redshift). Hier soir il faisait beau chez moi.. mais M33 était bien cachée dans le halo de la quasi pleine Lune Je me suis donc rabattu sur M82 pour faire la même manip mais sans avoir potassé le truc.. ce qui m'occasionne certaines difficultés maintenant. En attendant un hypothétique résultat, j'ai fait une compil de la manip : C9XLT, réducteur x0.63, Alpy 600 et IMX585 L'image de M82 a été faite en début d'année, c'est juste pour illustrer le truc. J'ai orienté la caméra d'acquisition pour avoir les bras de M82 alignés sur la fente du spectro (image de PHD2, on la devine sur les poses de 2"). La "tranche" de M82 qui passe dans la fente va dans le spectro, est diffractée et ça donne l'image en "code barre" avec des émissions en Ha, Hb et des [raies interdites], non reproductibles sur terre. Cette image traitée (réduction de données) des 11 x 600" donne le spectre calibré en longueurs d'onde. Puis quelques opérations plus tard, le verdict tombe : M82 se déplace à 214 km/s ! M82 vue en spectro, les filaments sont bien rouges ! Ce soir il doit faire beau et la Lune est encore plus forte3 points
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Bonjour J'ai fini de traiter toutes les images de la lunaison d'octobre. Pas mal de déchets mais quand même de belles réussites qui sont mes meilleures de ces cibles. Théophilus, Fracastorius et Posidonius depuis bien longtemps je courrais après ces deux derniers. J'ai travaillé en IR 685 pour la barlow 4 et en 642 pour la barlow 3. La 4 me permet quand même une meilleure résolution. Bonne promenade. Luc2 points
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Entre les passages nuageux j'ai eu quelques "temps" de ciel clair les 31/10 et 01/11. Cela était inespéré et comme je n'avais pas réfléchi à une cible pas encore photographiée, j'ai ciblé m33. Lunette askar phq 151sur cem 70 72 x 180 s autoguidage phd2 asi 220 mini sur vario bresser 61/250 mm caméra asi 2600 mc filtre idas ngs1 traitement siril + ps2 points
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Salut tout le monde 🖐️😀 Voici une Mosaïque de 2 images, pout un total d'environ 28h de poses (pleine ville et pollution oblige) Prise de vue : - Askar FRA400 F/D 5.6 - Monture Skywatcher GTI - Asiair plus - Filtre Optolong L-Extreme - Canon 6D défiltré 28 h de pose (sub de 2 min non guidée) traité avec SIRIL + PSP. Bordeaux (BTL 7) 3 versions à vous proposer, j'aime bien les 3 🙂1 point
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Salut les amis, Depuis mi octobre, impossible de voir les étoiles. Parfois 2-3 heures qqpart dans la nuit mais faut être dispo... Je n'avais pas pu avancer sur ma mosaïque M33 et je n'avais qu'une heure sur un panneau de Ha. Avec le temps libre associé au mauvais temps, j'ai donc travaillé sur un algo de détection de nuages basé sur ma caméra Allsky et plus sur un capteur IR de température de ciel qui finit toujours par déconner. J'ai enfin une première version fonctionnelle qui analyse chaque image, détermine la couverture nuageuse (pour le moment très moyennée) et qui envoie à NINA sur le PC fanless l'état safe/unsafe. En image moche: Identification du ciel dans un carré central Analyse et envoi du message vers NINA J'ai testé cette nuit pour voir vu que la météo annonçait des éclaircies potentielles. Le résultat avec les messages que m'envoie NINA: J'ai pu sortir un peu plus d'une heure sur mon 2eme panneau Évidemment, vu les conditions, ma couche Ha de 1h n'est pas géniale et créé du bruit et moutonne mais j'ai enfin une première image complète et un système autonome qui permettra de collecter ce qui est possible et de protéger en cas de pluie Voilà l'image avec le C8 à F/6.3, caméra Altair 26C, sans filtre pour RGB et filtre HO 4nm Altair Poses de 45s en RGB et 120s en Ha étant en centre ville Reste à refaire propre le Ha A+ Sam1 point
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Bonjour à tous, Voici ma deuxième image avec ma nouvelle lunette (une Askar 120APO), prise avec le réducteur à 672mm depuis mon balcon de région Parisienne. Il s'agit d'IC1848, la Nébuleuse de l'Âme, que j'adore pour la profondeur de son OIII entouré d'hydrogène. Voici la photo: Et la starless: Acquisition et équipement: Monture Skywatcher 150i Wave Lunette Askar 120APO @ 672mm f5.6 (réduite x0.8) ASI2600MC à -10°C. Filtre Optolong L-Ultimate HaOIII 172x300s subs (intégration totale de 14h20) Bortle 8 (SQM ~17.8, en RP) Traité avec Pixinsight et lightroom Empilement avec WBPP (drizzle x1) DBE BlurXterminator StarXterminator Statistical stretch Script Seti Astro NB to RGB sur les étoiles NoiseXterminator Curve transformation Trifouillage dans lightroom Recombinaison des étoiles Astrobin Clear skies!1 point
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Le boomerang de Zwicky. Mais que ce cache t'il sous cette appellation pour le moins surprenante ? Et bien une galaxie et celle là faut biennnnnnn la chercher lol. Cette galaxie c'est Izw 207 c'est nettement moins enchanteur. Comme d'habitude j'ai Déniché ce bidule sur les sites visueleux Dobson a l'Américaine (en dessous de 30 pouces c'est même pas la peine). Copie d'écran du site https://adventuresindeepspace.com/Fall observing with the 48-inch.htm Cette tachouille est située dans la constellation du Dragon à l'adresse suivante 18 31 10.55 +55 16 30.9 https://aladin.cds.unistra.fr/AladinLite/?target=18 31 10.551%2B55 16 30.86&fov=0.40&survey=P%2FDSS2%2Fcolor Magnifique 15,5 suis presque a ma limite. En cas de difficulté vous pouvez utiliser cette étoile comme repére TYC 3909-1664-1 (sur Skysafari par exemple. Pour l'occasion j'ai utilisé une configuration pas bien grosse Un tube Newton de 130 de diamètre et 650 mm de focale Une monture Sky-Watcher eqm-35 sans guidage . Une caméra zwo 585 monochrome refroidie. Asiair en remote interface avec Skysafari 6 PRO ça aide énormément. Le tout a la sauce visuel assisté la seule technique me permettant de faire de l'astronomie profonde en milieu urbain et fortement pollué (B9) J'vais pas vous mentir suis addict aux cibles profondes. Revenons a notre ziguigui de l'espace. Avouez déjà le nom et cette forme ca donne envie non?. Matériel installé je synchronise la monture avec Skysafari car franchement c'est pas évident a pointer et ce n'est pas présent dans la base Asiair. De mémoire j’ ai du mettre 60 secondes unitaire. Aux premières images honnêtement je n'ai absolument rien vu, mais en regardant bien il y avait bien un bidule...... ah mais oui bingo il est là. .... Un machin comme on les aime tous. Un vrai régal. Après analyse le rayonnement est plutôt bas vers l'ultraviolet rien vers l'infrarouge. A noter que nous avons créés un club spécial ASTRONOMIE PROFONDE si le sujet vous intéresse ou pour partager vos découvertes et observations profondes 😉1 point
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Bonjour à tous Comme dit hier soir j'ai imagé un objet rarement vu c'est pas faute de chercher sur le net ou on s'aperçoit que cet objet est trés étudié mais ou les images astro pro ou amateur son rare. De ce que j'ai pu lire le nuage de gaz varie en fonction de son étoile et en ce moment il est fort développé. Si le temps le permet de referait d'autres images ce soir. En tout cas elle est bien visible et cela avec peu de temps de pose C8 avec reducteur pour une focale de 1400mm ASI585MM pro. 41 poses de 90s et j'ai raté 14 autres poses car j'avais laissé le filtre L enhance et que la nebuleuse ne réagit pas du tout a ce filtre. Une image extraite d'Aladin : Une brute de 90s, on aperçoit l'étoile comme un tout petit point : Le resultat : Amicalement Ps les conditions sont pas terrible vu la phase actuelle de la lune.1 point
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L’effet Akira Fujii L’effet ‘Akira Fujii’ en astrophotographie, est nommé d’après l’astrophotographe japonais Akira Fujii (1941-2022). Il consiste à rendre les étoiles principales plus brillantes et visibles, tout en laissant les étoiles plus faibles moins prononcées. Cela permet de mieux reconnaître les constellations, car les étoiles principales apparaissent comme de gros points lumineux, et leurs couleurs sont également mises en valeur. Akira Fujii a toujours préservé le mystère autour de sa méthode. À l’époque, la photographie étant exclusivement argentique, excluait tout traitement numérique. On pense qu’il utilisait un filtre de diffusion placé devant l’objectif pendant toute ou partie de la durée de l’exposition ou peut-être au moment du tirage des photos. Vous pouvez voir ses photos diffusées par David Malin. Aujourd’hui, on a deux façons de reconstituer cet effet, soit en le simulant numériquement, soit avec un filtre de diffusion dès la prise de vue. Simulation numérique Il existe de nombreux tutoriels pour simuler cet effet avec des logiciels comme Photoshop, Gimp, Iris… Je ne vais pas entrer dans le détail, mais le principe est de sélectionner les étoiles les plus lumineuses puis de leur appliquer un flou gaussien. Ce procédé n’est pas aussi simple à utiliser qu’il n’y parait et le rendu reste très artificiel. Utiliser un filtre physique Filtre du commerce L’utilisation d’un filtre physique de diffusion (type Mist) dès la prise de vue sera la meilleure façon d’obtenir un rendu naturel. Ces filtres créent une lueur autour des zones lumineuses, rendant les hautes lumières moins dures. Cet effet est particulièrement utilisé en photographie de portrait et au cinéma pour lisser les tons de peau et réduire l’apparence des imperfections. On les trouve dans les marques habituelles (Hoya, Kenko, Tiffen, Nisi, Cokin…). Les fabricants proposent généralement deux versions de filtres diffuseurs, les diffuseurs de type clairs (white) et sombres (black). Ils contiennent tous deux de minuscules particules intégrées dans le verre. Ces particules dispersent la lumière, réduisant le contraste et adoucissant l’image. La quantité de diffusion dépend de la densité et de la taille de ces particules. Filtres White Mist : Le verre contient des particules translucides, lui conférant un aspect légèrement dépoli. Ces filtres dispersent la lumière de manière uniforme sur l’image, créant une lueur douce et brumeuse. Ils sont souvent utilisés pour obtenir un effet onirique et lumineux, comme l’effet Akira Fujii recherché. On trouve ces filtres sous les noms White (Pro) Mist, Star Soft, Mist Diffuser White… Filtres Black Mist : Ces filtres contiennent des particules noires qui absorbent une partie de la lumière, réduisant ainsi la luminosité globale tout en la diffusant. Cela produit un effet plus subtil et sombre, avec des hautes lumières moins prononcées. Mais l'image est globalement assombrie ce qui est contreproductif en astrophotographie. Par conséquent, les filtres Black Mist sont moins adaptés que les White Mist. Ces filtres sont disponibles sous les noms Black (Pro) Mist, Mist Diffuser Black, etc. Il existe plusieurs niveaux de diffusion, à savoir 1 (le plus intense), 1/2, 1/4 et 1/8. Une diffusion plus élevée diminue la netteté apparente de l’image. Ces filtres sont toutefois coûteux, entre 30 € et plus de 200 € selon la marque et la taille. Ci-dessous, photo avec un filtre Kenko Foggy B (qui n'existe plus, remplacé par le Prosofton Clear dont l'effet est moins prononcé). Verre anti-newton : Il est également possible d’utiliser un verre traité « anti-newton ». Autrefois, ces verres légèrement dépolis étaient couramment employés dans les caches de diapositives, les porte-films des agrandisseurs, et les verres des rétroprojecteurs pour éviter les anneaux de newton (un phénomène de réfraction lumineuse entre deux surfaces en contact). Cependant, ils sont maintenant assez rares et coûteux dans des dimensions compatibles avec les porte-filtres. De plus, leur effet de diffusion est particulièrement puissant, on doit donc placer le filtre devant l'objectif pendant un court instant pendant la prise de vue ou combiner des poses avec/sans filtre. Bref, c'est pas pratique ! Filtre fait maison On peut créer son filtre de diffusion facilement. Plein de tutoriels expliquent comment faire, avec de la laque à cheveux, de la peinture en spray, en rayant un filtre au papier de verre, ou encore en tendant un film alimentaire étirable. Mais peu ont été éprouvées pour la photographie de nuit. Je retiens l’astuce d'appliquer une fine couche de particules diffusantes sur un verre. Pour le verre, j'ai utilisé une plaque de verre carrée ou rectangulaire glissée dans un porte filtre. Vous pouvez aussi utiliser un simple filtre UV vissé sur l‘objectif. Pour les particules, j'ai essayé de la laque pour cheveux et un spray de vernis acrylique. Pour avoir testé la laque et le spray de vernis acrylique, je trouve l’effet plus agréable avec la laque, mais le filtre est bien plus fragile car les gouttelettes de laque résistent bien moins aux frottements que celles du verni acrylique. Les filtres UV sont disponible à moins de 10€. Il faut qu'ils soient adaptés au diamètre de l’objectif. C’est la solution la plus simple mais aussi la moins versatile car il faudra autant de filtres qu'on a de diamètres différents. C'est pourquoi j'ai opté pour une plaque de verre minéral, de 10 cm de large et 2 mm d'épaisseur, que j'ai glissée dans un porte-filtre de 10 cm que j'avais déjà. Ces verres se trouvent facilement dans les cadres photo 10x15 cm pour moins de 2 €. On trouve des porte filtres de 10 cm de large, pour moins de 30€, avec des bagues adaptatrices pour les différents diamètres de ses objectifs. L'avantage c'est qu'on peut y placer d'autres filtres, par exemple des filtres dégradés, ou colorés... Normalement, la plupart des photographes de paysages ont déjà ce type de porte filtre. J'ai utilisé de la laque à cheveux en spray. Pour un résultat plus pérene (la laque est fragile), il sera possible d'utiliser un spray de vernis acrylique incolore mais je trouve que l’effet est plus agréable avec de la laque quand même. Dans les deux cas, la bombe de spray se trouve à moins de 10€. Pour un effet Black Mist, utilisez à la place du spray de peinture noire, vous pouvez même tenter d'autres couleurs, voire même des spray à effet pailletté (glitter) et pourquoi pas de la peinture phosphorescente ! Mais je n'ai pas testé. Pour appliquer le spray, placez le filtre sur une feuille de journal afin de protéger votre sol et vaporisez en pression très courte (juste un petit pschit, pas un pschiiiiiit) à en biais à 50-60 cm du verre (pas directement au dessus du verre). Le nuage de gouttelettes se dépose doucement et sèche rapidement. Répétez plusieurs fois en comptant le nombre de pulvérisations. La couche de particules doit être presque invisible, les gouttelettes ne doivent pas se toucher, mais juste être dispersées uniformément sur le verre. Voilà votre filtre est prêt à être testé sur le ciel : Si l'effet est trop fort, nettoyez la plaque et recommencez avec moins de spray (d'où l'importance de compter les pressions). Si l'effet est trop faible, ajoutez quelques pressions de plus. Étant donné le coût minime des plaques de verre, vous pouvez en fabriquer plusieurs. Vous pouvez aussi masquer un tiers de la plaque pour pulvériser le produit uniquement sur une section orientée vers le ciel, mais pas sur le paysage (Nisi propose un filtre similaire - Star Soft, vendu à 150€ !). Le test J’ai utilisé une plaque de verre provenant d’un cadre 10x15 acheté 1€ chez Leroy Merlin. Pas la peine de poncer les bords, ceux ci étaient déjà arrondis. Mais dans certains cas, il faudra poncer les bords avec du papier de verre P600 pour éviter les blessures et protéger le porte-filtre. Je l’ai installée sur un porte-filtre de 10 cm que j’avais déjà (un Cokin NX, la plaque 100x150 rentre alors dans un cadre métal NX). Le spray est du gel fixant Vivelle Dop, celui que mon épouse utilise ! Voici comment la laque s'est déposée sur le verre (avec le spray acrylique, les gouttelettes sont bien plus fines, le dosage est plus compliqué). Photo de jour : l’effet est très convaincant, avec un aspect brumeux qui adouci agréablement la photo. Paysage urbain de nuit : l’effet est tout aussi efficace. Ciel étoilé : l'effet Akira Fujii est bien visible. Les deux clichés ont été capturés avec les mêmes paramètres (10 s, f/1.4, 800 ISO, f = 35 mm) et ont subi un traitement identique (balance des blancs, contraste et courbe). La diffusion atténue légèrement les étoiles les plus faibles, mais cela reste acceptable puisqu'un traitement approprié pourrait les rendre plus visibles. Les couleurs des étoiles, qui ne ressortaient pas sans filtre, sont clairement mises en valeur lorsqu'on utilise le filtre. Sans filtre Avec filtre1 point
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Excellent sujet qui m'a aussi passionné il y a qques dizaines d'années... Je vais ressortir mes verres anti-newton des cadres de diapos 6x6. Mais ça risque d'être trop petit pour les objectifs actuels. Merci pour l'idée du DIY1 point
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Ouki, taliban du VA Si je prend la 533MM ou la 585MM, ce sera pour faire de la tachouille également car combiner le champ de la 2600MC avec les 2 autres, ben non Oui, la 2600MM serait top car ça me permettrait de faire du RVB Ha sur de nombreuses cibles sans passer par une roue à filtres1 point
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Bonjour mon cher Charles, Super netteté 👍 On reconnaît bien la cyanobacteries Amitiés, FRanck1 point
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ok merci a vous je vais continuer de m entrainer et prendre des photos bon ciel1 point
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Oui . Concernant la 585 mono refroidie la meilleure marque c'est Qhy avec sa Minicam8 😉 Malheureusement ça ne passe pas sur l'asiair🙄 1, 2, 3 easy1 point
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Bonjour à tous, Voici ma tentative d’un classique parmi les classiques : M31 et ses proches voisines. Ces galaxies sont difficiles à traiter du fait de la forte dynamique entre leurs cœurs et les régions périphériques plus diffuses. J’ai donc essayé de faire un HDR en utilisant pour la première fois les outils dédiés de Pixinsight : HDRComposition et HDRMultiscaleTransform. En plus des poses principales de 90 secondes, j’ai pris quelques dizaines de photos de 15s, 30s et 60s en ne sachant pas exactement lesquelles me seraient utiles par la suite. Après de nombreux essais je n’ai obtenu un résultat acceptable qu’en ne conservant que les poses de 60s pour le cœur. Le matériel : - EOS 6D (non défiltré) - Canon EF 300mm f/4 - monture Vixen gp-2 photo guider (sans autoguidage) Côté traitement : - empilement avec SIRIL - GraXpert - Pix (BlurX, noiseX, starnet, HDRComposition, HDRMultiscale) - Darktable (netteté, contraste, saturation) - Gimp Et l’image issue de l'empilement de 320 poses de 90'' + 20 poses de 60’’, tout à 1600 iso : Les critiques et les conseils sont les bienvenus !1 point
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Merci ! Eh eh j'ai une touptek 2600M à mettre en service, à moi le SHO 😁1 point
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C'est sur que c'est bas, mais d'un autre côté, ça se gère. Je suis peut-être à 80 km dans ton sud, et franchement, ça le fait. Evidemment, faut trouver un horizon, ce qui signifie bouger un peu, ne pas rester coller derrière un immeuble 😉 Le truc, c'est qu'il ne faut pas attendre qu'il fasse nuit noire. Ce sera trop bas, et c'est illusoire, avec la PL dans le ciel. J'ai plus le chiffre en tête, mais hier, elle était genre 10-15 degrés au dessus de l'horizon, quand les premières étoiles sont apparues à l'oeil nu. C'est suffisant, et c'est là qu'il faut attaquer, sans attendre davantage ; poses courtes 10 à 15 sec, au début, avec un iso assez bas, et on augmente progressivement en durée. Avec la lulu, à 450 mm de focale, ça rentre dans le champ (le grand rectangle sur la carte que j'aie postée.) good luck !1 point
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Ohhhhhhh que oui il y a UNE ÉNORME DIFFÉRENCE Sur le papier tu ne verras rien c'est juste des courbes. Concrètement c'est quoi la différence entre un capteur mono et couleur. Réponse la matrice de bayer. Sur un capteur mono il y a les pixels point barre. Sur un capteur capteur on rajoute des machins la matrice de bayer et c’est là que l'on perd de la sensibilité. Un capteur monochrome sera toujours plus performant "sensible " et c'est pour ça que les astrophographes font du LRVB SO SII HA ETC.... ca permet d’avoir la sensibilité maximale en choisissant les bandes. (Bon c'est schematisé pour faire court) Tu le sais de mon côté je suis un "observateur électronique " depuis longtemps j'utilise depuis mes débuts des caméras mono ça me permet de taper plus profond. Maintenant petite Annotation. La courbe de sensibilité spectrale c'est super important : J'utilise au possible des caméras Monochrome sensibles vers l'infrarouge proche 850 nanometres et sensible également vers l'ultraviolet (vers les 400 nanometre) La capteur révolutionnaire dans ce domaine c'est l'imx 585 mono (refroidi c'est mieux) Cela permet d'avoir encore plus de sensibilité par rapport à ceux qui utilise des fi,très ou lunettes avec ir cut.(700 nm) Par contre infrarouge et couleur (585 mc) je trouve que ça ne fait pas bon ménage (couleur fade c'est normal) Voila Edit réponse croisée avec Fcouma😉1 point
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Absence de la matrice de Bayer donc tous les photosites reçoivent le spectre complet1 point
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🤣🤣🤣🤣 Franchement c'est extraordinaire non seulement nous avons la même passion, même démarche mais aussi mêmes cibles effectivement la ressemblance est presque troublante sur cette cible. 👏👏👏👏👏 excellent choix elle ne doit pas être évidente hâte de la voir. A plus Ouki1 point
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Bonjour à tous, Voici mes dernières photos de la comète Lemmon prise au 100mm à l'Observatoire de haute Provence (20/10) et sur le plateau de Valensole (23/10). Les détails: Observatoire de Haute Provence 3200 ISO Canon 600D 100mm F/3.2 30”x40 Plateau de Valensole 800 ISO Canon 600D 100mm F/3.2 60”x50 Bon ciel1 point
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Pour Vixen j'ai une tout autre histoire...??? [Vixen, en tant que société à part entière, a été fondée en août 1969 et pour comprendre sa genèse, il est nécessaire de voyager plus loin dans le temps jusqu’aux dernières années 40 du siècle dernier. À l’époque, nous trouvons un petit artisan qui produisait des dispositifs optiques pour d’autres entreprises (en particulier des jumelles et des microscopes), ce qui répond au nom de Kosuke Tsuchida. Dans les 5 années qui suivirent 1949, il réussit à se démarquer par la qualité de ses produits et de son travail, En mars 1954, la Koyusha Corporation, située dans le quartier de Wakamatsucho à Shinjuku, est passée d’une entreprise artisanale à une entreprise à part entière. Depuis 1954, l’expansion a été continue et imparable, Afin d’élargir le marché, des succursales ont été ouvertes en 1957 par l’intermédiaire de tiers pour la vente directe aux États-Unis et en Europe. Les affaires marchent bien et en seulement trois ans, le Koyusha Corporation reçoit divers prix d’instituts japonais et du ministère de l’Économie et du Commerce faisant l’éloge de son fonctionnement commercial rationnel et de son organisation de vente unique. pour un prototype « typique » de petites et moyennes entreprises, ainsi qu’une prime spécifique à l’exportation. Les succès amènent l’entreprise à se développer et à Enfin, du moins en ce qui nous concerne, astronomes amateurs, en septembre 1966, la décision a été prise de commencer la production de petits télescopes et en novembre de la même année, avec un bref Annoncé dans un magazine d’astronomie de l’époque, une lunette de 60 mm est présentée. Les ventes sont inattendues et chez les passionnés Le nouveau nom a commencé à circuler, à tel point que, dès le début de l’année 1968, les gens ont commencé à réfléchir à ce à quoi devrait ressembler la nouvelle production des années 70, qui suit le design d’ouverture. Innovations, un Un nouveau design attrayant (qui deviendra un signe distinctif de la marque), une nouvelle mécanique et une certaine quantité de publicité deviennent le cheval de bataille de l’entreprise. En 1969, le nom de l’entreprise a été changé en « Vixen Optics Company LTD », et l’usine a déménagé de Wakamatsucho, Shinjuku, à Itabashi-Ku, Tokyo, avec la fondation d’une société parallèle qui a acquis, en 1970/71, le nom d’Atalas Optics. C’est un succès commercial basé sur le seul et unique Un produit de l’époque, la lunette 60/910, qui semble pourtant très appréciée des passionnés. Parmi les accessoires de ce premier télescope figurait celui qui a rendu l’instrument plus particulier que les concurrents, et c’est un oculaire nommé « E » avec une distance focale de 20 mm qui a fourni un grossissement d’environ 46x sur le neo Vixen. La dénomination fait référence à un schéma optique appelé « Erufure », avec un diamètre de barillet de 36,4 mm à visser sur la mise au point directe du porte-oculaire, ou avec un adaptateur pour l’amener à la norme de 24,5 mm pour Utilisez-le sur les diagonales. Cet oculaire a été créé spécifiquement pour ce télescope à partir de l’expérience accumulée au cours des années précédentes par les développeurs techniques dans la production optique du Koyusha Co.. mai 1976, la véritable transformation de la Vixen, qui d’une entreprise de taille moyenne est devenue un grand fabricant et exportateur non seulement d’optiques, parmi lesquelles Newtons a également commencé à être compté, mais aussi de montures de haute qualité telles que la série Polaris s’est développée à partir de systèmes mécaniques moulés sous pression, un système utilisé pour la première fois au Japon et capable de créer un grand nombre de « pièces » en peu de temps. Pour s’adapter à sa nouvelle réalité, Vixen achète un grande parcelle de terrain dans la région de Hongo Tokorozawa où se trouvait initialement la deuxième section de l’entreprise, Atalas Optics, qui y a construit la nouvelle usine. Au cours de cette période, nous estimons que le collaboration avec l’américain Celestron depuis le premier SC Celestron avait des accessoires « made in Japan » (comme des diagonales par exemple), bien qu’officiellement cette joint-venture a commencé en 1983 avec la création du Celestron Comet Catcher qui montait des porte-oculaires à tiroir à tiroir à déplacement Vixen, et la commercialisation d’optiques Celestron sur des montures Vixen. Cependant, les premières montures Polaris sont apparues plus tôt, dans le 1976, sur les catalogues à l’appui du beau Newton 100/1000 à miroir parabolique (dont l’un fait l’objet d’une reconstruction hi-tech sur ce site - voir rubrique « projets »). Au cours de cette période, les oculaires dans les catalogues sont également Nous commençons à voir les premières machines orthoscopiques au format 24,5 produites par Vixen, reconnaissables non seulement à leur bonne construction, mais aussi à l’incomparable V encerclé. Une curiosité peut-être peu connue concerne le motif de ces oculaires pour lesquels Vixen n’a pas utilisé le motif Or. De l’abbé mais que l’ou. Plossl (pas le Plossl symétrique normal que nous connaissons aujourd’hui, mais formé de deux doublets oculaires asymétriques qui offrent des images du plus haut niveau exemptes d’aberrations) sont toujours considérés comme des oculaires de référence orthoscopiques et qui, dans les années suivantes, ont également été proposés avec un barillet 31,8 millimètres. En 1981, il y a un article du professeur Shigeru (Scigheru), professeur astronome à l’Université de Tokyo et ancien membre de l’Observatoire astronomique national de Tokyo. Pour l’occasion, le Les instruments sont installés et photographiés sur la nouvelle monture « New Polaris », équipée d’une lunette polaire, et sur son évolution pour des charges plus élevées. es modèles présentés dans le catalogue de 1981 sont nombreux, mais parmi eux Nous tenons à souligner un instrument en particulier car il représentera, pendant au moins trente ans, un « classique instantané » au charme intemporel : le Vixen 102/1000M « Early Version ». Ceci Une lunette de 4 pouces, le summum de la production de Vixen, elle est née avec la cellule de lentille collimable (qui a ensuite disparu dans les versions ultérieures) et était disponible en 1000, 1300 et 1500 focales millimètres (nommés P102/1300 et P102/1500L : le « P » signifiant « Pulsar »). Très beaux sont les anneaux newtoniens visibles qui apparaissent dans l’image de l’objectif Vixen 102M, un caractéristique du projet de l’époque. Une autre nouveauté, peu connue mais très importante dans le développement de nouvelles conceptions optiques, était représentée par la présence d’une petite lunette de 70 mm. Équipé d’une lentille triplet à espacement d’air et défini comme « semi-apochromatique ». Le Vixen était connu sous le nom de SA70/600S, mais nous savons qu’il était également commercialisé sous le nom de TASCO 14V. Un spécimen rare est passé en revue sur ce site dans la section dédiée à tests instrumentaux. La richesse de l’offre Vixen comprenait également un Newton est définitivement structuré et est destiné à une haute résolution planétaire. Avec une ouverture de 15 cm. et un rapport focal de F8.6 le RP150/1300L et sa monture SATURN robuste (donné à titre indicatif pour une charge de travail maximale proche de 30 kg) sur colonne représentait certainement le fleuron de l’entreprise en 1981. L’économie matérielle ne faisait pas partie de la concept de l’époque et le poids total de l’instrument complet dépassait 53 kilogrammes]. La suite plus complète ICI1 point
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Très belle en effet. Elle m'évoque un collier ou un bracelet 🙂. Merci pour ce partage 👌0 point
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Effectivement, je viens de le faire avec Pix sur M31.... grâce à ce tuto : Mais, de mémoire, j'avais testé le principe avec Siril pour la dernière partie de ses explications à partir de 35 min sur les galaxies. Et ça le fait car c'est surtout du PixelMath et des formules. A essayer.0 point
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Très belle image, d'une esthétique "naturelle", contrairement à beaucoup de réalisations actuelles que je trouve souvent trop saturées en couleurs. La focale assez courte contribue également à situer la galaxie dans son environnement. J'aime beaucoup. Bravo !0 point
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Bonsoir je vous propose l'image du requin stellaire prise sur deux nuits au Col de Jau Pyrénées-Orientales(66) le17 octobre et le 27 octobre. prise de vue: filtres ZWO 70 x180 sec en luminance 20x180 sec dans le rouge 20x180 sec dans le bleu 10x180 sec dans le vert 6 heures au total monture EQ-6 R pro skywatcher caméra ZWO 533 MM guidage diviseur optique ZWO PHD 2 lunette ASKAR 103mm .420 mm de focale .réducteur 0.6 flats darks bias Nina PIXINSIGHT PHOTOSHOP camera ZWO 533 MM guidage diviseur optique ZWO phd2 lunette ASKAR 103mm .420 mm de focale .reducteur 0.6 flats darks bias NIna PIXINSIGHT PHOTOSHOP merci Uwe la nébuleuse du Requin (ou LDN 1235), une nébuleuse sombre et par réflexion située dans la constellation de Céphée.environ 650 à 800 années-lumière de la Terre La forme caractéristique de requin (d’où son surnom) est due à des nuages de poussière interstellaire qui bloquent la lumière des étoiles situées à l’arrière-plan. Les zones bleuâtres sont des nébuleuses par réflexion, où la lumière des étoiles proches est diffusée par la poussière. Les régions sombres sont si denses qu’elles obscurcissent totalement la lumière stellaire visible. LDN 1235 fait partie d’un complexe de nuages moléculaires plus vaste dans Céphée, comprenant d’autres nébuleuses sombres comme LBN 437 et vdB 150. Ce sont des régions propices à la formation d’étoiles.0 point
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Jolie Lunette ! Pour le bleu ouais c'est vrai qu'il un peuuu profond mais ça va. Moi je suis effaré par les détails du centre, j'adore cette zone c'est magnifique. Y'a pas a dire le L-ultimate fait des merveilles contre la PL ! ça te dirait pas un SII-O3 ?0 point
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C'est ce qu'elle dit quand elle ne parle pas des aliens qui devrait la discréditer d'abord...0 point
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Salut les astrams, Pas vue à l'oeil nu ce soir. Ciel cristallin, mais presque PL. Aux J70, elle semble avoir diminué un brin, mais c'est sans doute à cause de la Lune. Ciel pas noir, légèrement bleuté. 2 deg de queue, bien large. Je n'avais pas vu le truc sur CdC, mais c'était sympa en imagerie : il y avait M12 dans le même champ. Et du coup, ça m'a rappellé une autre surprise du même genre. Je m'étais levé en pleine nuit, un jour, (hahaha, en pleine nuit, un jour), je sais plus trop quelle heure, genre 3h du mat, sur une éclaicie imprévue, et même topo, avec M15 et 2021 A3 Leonard. La date c'était le 03 12 2021, si ça rappelle des souvenirs à certains ... Sur le moment, j'avais cru qu'il y avait un gros paté sur mon écran, à cause d'une grosse crotte d'oiseau sur l'objectif. Oui, je sais, c'est pas tellement logique, mais quand tu sors en caleçon à 3heures du mat par -5deg en décembre, tu réfléchis pas trop. Enfin pas toujours comme il faut. A+ bon cieux c0 point
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Bonjour! Je souhaite vous présenter le résultat de ma seconde tentative du fantôme de Cassiopée (j'ai lamentablement foiré le cadrage du premier essai...) Petite mise en contexte : Prise de vue : -82x90s @800iso -40 darks -20 flats -15 biais Ciel plutôt moyen mais dégagé en après 23h (ouf!) Materiel : -SW 200/1000 -NEQ 5 motorisation de base (raquette rouge...) -Autoguidage au MGENII sur chercheur 9*50 du SW Logiciel : -Siril -GraXpert -GIMP Alors c'était mon premier retournement de méridien!! 😁Suis content moi!!! Bien sur ce n'est pas la meilleur IC63 que vous avez vue, vos analyses et conseils sont les bienvenus! Bon ciel a vous (parce qu'ici c'est pas dingue...).0 point
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Ce soir on fait facile MEssier 57 Nébuleuse planétaire dans la lyre 40x1 seconde c'est largement suffisant. 130/650 Eqm-35 585mm pro Gain unitaire -10° (cette caméra est vraiment surprenante) Évidemment a ce tarif la galaxie voisine (ic 1296) n'est pas encore visible et pour la science juste....... 1 seconde0 point
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Je devrais avoir une focale similaire à la tienne et je compte garder l'angle de 4 à 6° pour effectivement assurer le cintrage sur cette distance plus courte. D'après M78, avec des tiges de 6 mm ça passe sans mettre d'angle pour une focale "classique", donc je pense que ça ne pose pas de problème si on garde l'angle avec une focale plus courte.0 point
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Premier vrai test du Dwarf 3 avec filtre Duo Band J’ai enfin pu tester les capacités de ce petit smart télescope ! J’ai la chance d’être dans l’hémisphère Sud, à environ -22°, ce qui me permet de viser des objets impossibles à pointer depuis la Suisse. J’ai donc jeté mon dévolu sur la célèbre nébuleuse de la Tarentule (NGC 2070), une région située dans le Grand Nuage de Magellan. C’est littéralement la zone de formation d’étoiles la plus active du Groupe Local. On y trouve un paquet d’étoiles jeunes et massives — si cette nébuleuse était aussi proche que celle d’Orion, elle serait assez lumineuse pour projeter des ombres visibles à l’œil nu. Rien que ça. Partie technique J’ai simplement utilisé le Dwarf 3 avec le filtre Duo Band, en poses de 120 secondes grâce au mode équatorial. Et c’est tout ! J’ai eu un petit souci inexpliqué, donc au final je n’ai pu garder que 42 poses de 2 minutes sur les 195 prises… à creuser pour comprendre pourquoi. Traitement Tout a été fait sous PixInsight. Calibration classique, extraction Ha/OII, palettes Foraxx et HOO (j’ai gardé les deux, je ne sais pas encore laquelle je préfère), puis un bon boost de la dynamique et un petit coup de courbes pour finaliser. Traitement assez simple, mais franchement le résultat va bien au-delà de mes attentes. Pour seulement 82 minutes de poses, le signal est dingue. Les détails sont superbes — plaisir maximal avec ce smart télescope ! Et ce n’est que la V1 : je suis déjà en train d’ajouter des poses pour voir jusqu’où je peux pousser le signal. Je ferai la comparaison pour que vous voyiez l’impact de l’ajout de données ! La suite tout bientôt 1) La version HOO 2) La version Foraxx0 point
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Donc la première M31... Setup : EOS 5Dm3 et 400 DO f/4.0 (400 mm diffractif Canon) sur GEM45, pilotage ASIAIR plus Prise de 24x300s à Iso800 f/4.5, 9xDarks, 13xFlats, 26xDarkFlats Mise en station ASIAIR à la polaire (pas bon avec iPolar) avec précison < 1", pas de guidage. Seeing pas dingue, lune pas encore levée, environnement bortle 6. Gros problèmes pour la récupération des RAW dans l'ASIAIR (échec exposition signalé dans l'ASIAIR), récupération des RAW Canon (complets) => suppression du paramétrage de copie RAW dans l'APN pour la prochaine fois. Prétraitement, stacking et post-traitements de "base" Siril Enseignements : > nettoyer objectif !!!!!!!! (Fichues tâches) > flat pas faits avec même niveau de nettoyage de l'objectif = pas bien > 300s sans guidage GEM45 avec MES < 1" c'est sans doute trop. Étoiles pas rondes... > et pi 300s pas utile vs 3 sigma Grosse interrogation sur le réglage ISO à utiliser sur le 5Dm3 ... : monter ? Je ne l'ai pas fait sur la M31 suivante @Ant-1manquel de signal = temps global de pause / filtrage pollution lumineuse / + de sensibilité ISO ... ou cocktail associé ?0 point
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Bon boulot ! Je sias pas si c'est applicable partout, car basé sur la luminosité des nuages. Chez moi en banlieu parisiene, ca marcherais, sur, mais quand je vais a la campagne en bortle 4, le ciel nuageux est plus sombre que le ciel étoilé. Donc l'algorytme ne marcherai pas forcement, a voir.0 point
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