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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/17/24 dans Messages

  1. Salut à tous, Un grand classique mais que je n'avais pas re-shooté depuis longtemps. Ma dernière image de M31 avait été faite à la 80 ed et au canon 350D astrodon; c'est dire 😅. Cette image a été prise depuis les hauts de France avec mon 2ème setup: fra 400/asi 2600mm. Les acquisitions se sont faites sur 3 sites différents: domicile, Grévillers et Radinghem entre fin aout et début octobre. Il s'agit d'une version LRVB-H en un peu plus de 28H. En plus de faire face à une météo compliquée dans le nord de la France, j'ai eu 3 gros problèmes à gérer lors du traitement de l'image: 1/ dès le début, j'ai dû cropper une partie de l'image à cause d'une rotation du cadre (une bague s'était desserrée) entre les différentes cessions 😞. 2/ j'ai également des reflets que je ne m'explique pas sur mes masters de H et de R (si qqn a une idée?) 3/ la couche H n'a pas été facile à intégrer. L'image: plus de détails et version moins compressée ici: https://www.astrobin.com/ez9cfm/ Pas de shoot depuis car le temps est couvert depuis le 5 octobre😩 Bon ciel à tous
    5 points
  2. Bonjour, j'ai encore pu profiter de quelques rares heures de ciel dégagé en Anjou, le 16/11/2024. Réveil 3H30, mise en place du matériel et là : Un grand MERCI à @Alex.lepadawan et sa question sur SYNSCAN car j'avais le même problème et je ne comprenais pas pourquoi je n'arrivais pas à faire ma mise en station. Merci à @Caius pour la réponse. Du coup, suite aux remarques de @Caius et @MatEX sur mon précédent poste j'ai augmenté mon temps de pose à 8ms voir parfois 9ms. Sur FIRECAPTURE le gain max est de 100 et je crois qu'elle fonctionne en 12bits). J'ai aussi branché ma caméra sur le port USB3 de mon PC, même si la T7C, n'a qu'un câble USB2. Et j'ai nettoyé le capteur (même si il reste encore quelques poussières !!!). MATERIELS : - HEQ5 PRO GOTO, - C8 HD edge, - Filtre TS UV/IR cut, - Barlow TELEVUE x2,5 - T7C - Duration=120.012s (Un temps peut-être un peu trop long pour avoir Io bien rond) - Frames captured=4452 - ROI=512x594 - Shutter=8.000ms - Gain=84 (84%) TRAITEMENT : - AutoStakkert, - RegiStax 6, - PIPP pour le GIF Bon ciel.
    5 points
  3. j'ai profité d'une (trop brève) trouée à l'instant pour tester avec mon APO80, rc diélectrique et oculaire 4,7mm ES, donnant un grossissement de 102x (je n'ai pas plus en stock). Delta Cygni m'est apparue comme allongée, image parfaitement stable ça aurait mérité un oculaire de 3mm... En jouant avec le microfocuseur, j'ai l'impression d'avoir aperçu le compagnon. A la faveur d'un nuage fin qui a éteint pas mal la luminosité, j'ai clairement vu l'ensemble sous forme de "bonhomme de neige". Je pense avoir séparé le duo deux fois, de manière très fugace, mais je ne saurais être catégorique. L'orientation colle tout à fait à ce que montre Claude dans le message cité. Sacré challenge en tout cas 😄
    2 points
  4. Voilà, c'est fait pour delta Cygni, hier soir grand beau temps mais un peu agité. Néanmoins en fin de crépuscule avec le Cygne encore bien haut et seulement ses étoiles principales visibles à l'oeil nu, j'ai rapidement perçu comme un renforcement vers le premier anneau de diffraction à la FC-100 DF X 123. Et par intermittences fréquentes cela se concrétisait sous la forme d'un minuscule point, énormément moins brillant que delta, mais sûr. Et situé à l'OSO de delta ce qui confirme l'observation de @cpeg. En montant en Gr le compagnon devenait de plus en plus évident, visible quasi en continu et avec une séparation apparente accrue légèrement, juste au-delà du premier anneau. A 246 X par rapport à 211 X il devenait un peu plus empâté, moins piqué. Par contre, test inverse, en diminuant le Gr il est très difficile sous 100 X. A 92 X il m'est juste discernable 20 à 30 % du temps et encore connaissant son emplacement suite aux observations juste précédentes à plus fort Gr. Bizarre donc pour mes échecs précédents à la FC et surtout au T300, sûrement trop de turbu ou pas connaissance de ce à quoi s'attendre ? Mais bon ça doit rester chaud chaud à la 60 mm, car il m'a semblé hier que le truc c'était de bien pouvoir grossir
    2 points
  5. Voilà un moment que je réfléchissais à un post pour regrouper mes ballades célestes aux jumelles 10x42 et à la lunette de 60mm. Je me décide enfin à l’ouvrir, en espérant que les quelques CROA que j’y déposerai au fil de l’eau permettent de faire honneur aux petits instruments et donnent envie à chacun de sortir sans complexe les siens et d’exploiter le potentiel parfois mal connu (ou méprisé) de ces modestes optiques. Aux quatre coins du Cygne, à la lunette de 60mm Le coup d’envoi est donné par la toute nouvelle venue chez moi, la petite TS Photoline 60/360. Depuis son acquisition récente la pauvre n’a eu que trop peu l’occasion de sortir pour des séances approfondies, la priorité ayant été donnée lors des rares nuits claires d’Octobre aux jumelles et au baptême du strock-250. Après une interminable semaine de brouillard, une nuit exploitable et presque inespérée s’est présentée Dimanche. Fini donc les tests planétaires et solaires rapides entre deux nuages, il est temps de passer aux choses sérieuses et de voir ce que cette petite merveille a dans le tube, sur des cibles un peu plus délicates. Installé à 21h15 sur la terrasse fraichement rénovée pendant les vacances, je constate avec appétit que le ciel est entièrement dégagé, sans aucun vent. Les quelques 8°C sont largement soutenables ainsi, bien que l’humidité taquine les 95% : la buée sera probablement de la partie et j’assure le coup en installant une résistance chauffante alimentée par une petite batterie externe. Ca ne tiendra probablement pas la séance complète mais retardera tout de même assez longtemps le vilain voile sur la lentille. L’éclairage public n’est pas encore éteint mais dans l’ombre de la maison je profite tout de même d’une belle voie lactée parfaitement visible du Cocher jusqu’à l’Aigle, faisant le pont entre la nostalgie des douces nuits d’Été et l’attente impatiente des fraîches soirées d’Hiver. La parcourant d’un bout à l’autre je m’arrête finalement sur la constellation du Cygne, dont le corps tout étendu plonge désormais inlassablement vers l’Ouest. Il est pourtant encore temps début Novembre de profiter de ses trésors avant qu’ils ne soient engloutis jusqu’à l’année prochaine. Le temps que la lumière artificielle quitte la scène et que les yeux s’habituent à l’obscurité, je braque mes projecteurs en guise d’échauffement sur quelques étoiles doubles bien choisies. La plus célèbre (bien que seulement optique) de cette zone est bien sûr la belle Albireo/β Cygni (3,1-5,1 ; 34"). Déjà facilement séparée au 24mm, elle domine un champ bien fourni de près de 4,5° piqueté d’étoiles faibles. La différence d’éclat est évidente tandis que les couleurs restent subtiles à 15x. À 50x les teintes jaune et bleue deviennent bien prononcées, et le disque d’Airy déjà visible à ce grossissement suggère une mise au point parfaite qui permet de profiter au mieux de cette magnifique vision : tandis que les étoiles aux alentours demeurent bien blanches et faibles, le couple coloré y règne majestueusement. Un essai à 135x permet d’apprécier le spectacle d’un peu plus près, avec une séparation accrue et des couleurs qui demeurent assez saturées, bien que dans l’ensemble l’image s’assombrisse et le champ se fasse bien plus pauvre avec seulement une dizaine d’étoiles restantes. La plus belle vue restera celle à 50x, bien équilibrée entre champ, séparation et couleurs. L’entrée suivante est une paire (réellement double cette fois) plus faible mais un chouia moins serrée, 16 Cygni (6,0-6,1 ; 39"). Dans un premier temps, petit passage sur M27 toute proche, bien évidente même en VD dans son trapèze d’étoiles. Même à 15x sa forme est aisément reconnaissable. Puis je vise l’étoile et tout de suite quelque chose ne vas pas. L’étoile en question n’a qu’une seule composante visible. Celle juste en dessous de magnitude similaire est bien trop éloignée pour que ça corresponde… Petit moment de trouble, puis après réflexion je constate sur le PSA que je vise la mauvaise 16 ! Il s’agit de 16 Vulpeculae, dans la constellation voisine du Petit Renard ! C’est également une étoile double, mais sa résolution est complètement hors de portée de cette pauvre petite lunette… Passé ce moment de solitude, direction l’aile Nord du Cygne pour trouver cette fois la véritable 16 Cyg. Elle se présentera comme une jolie paire serrée et équilibrée, très légèrement jaunâtre. À 50x en revanche la subtile coloration semble avoir disparu. Le grand intérêt du choix de cette double réside surtout dans son voisinage tout proche, en la personne de NGC 6826 alias la « Nébuleuse du clignotant ». Pas facile à distinguer des étoiles du champ, je la repère uniquement à x15 par le fait qu’elle forme presque un rectangle avec la double et deux étoiles de mag 7. À x50 elle est encore quasi ponctuelle, comme une étoile de mag 8-9, mais son aspect flou la met plus en avant. À x100 la nébuleuse planétaire s’élargit enfin en VI, arborant une forme légèrement ovale et un cœur plus brillant. Dans ce cœur sans doute se cache l’étoile centrale de mag 10,5 que je n’ai pas pensé à tenter d’isoler visuellement (la faute à mon manque d’expérience sur ce genre de cibles de toute évidence) mais pourtant à portée de l’instrument. Une autre double intéressante dans le Cygne est la célèbre 61 Cyg (5,2-6,1 ; 30"), dite « Étoile volante de Piazzi ». Sa popularité ne réside pas dans ses caractéristiques visuelles mais est plutôt due à son mouvement propre élevé, qui la fait se déplacer de manière notable sur quelques années par rapport aux étoiles environnantes. À l’oculaire, c’est néanmoins une très jolie double bien détachée du riche champ qui l’entoure, avec une magnitude d’écart bien évidente. À x50 la différence d’éclat semble moins prononcée mais toujours en faveur de la composante Nord. Les deux m’apparaissent identiquement blanches. Pour terminer cette sélection, un dernier couple stellaire, δ Cygni/Fawaris (2,9-6,3 ; 2,5"). Choisi pour sa grande difficulté, sa résolution est en théorie possible, à la limite du pouvoir séparateur d’une lunette de 60mm. Pourtant ses 2,5" d’écart se traduiront visuellement par un parfait disque d’Airy bleuté, même à 135x. Sans doute la composante la plus faible était noyée dans la lumière de l’étoile la plus brillante ? Tant pis pour le challenge, mais je ne repars pas bredouille de cette endroit pour autant, car ici-même débute le deuxième acte de la soirée, celui des amas ouverts. À commencer par NGC 6811, dans le même champ au Nord-Ouest. L’amas se présente à x15 comme un groupe très serré d’étoiles non résolues mais piqueté sur l’ensemble de sa surface. À x50 il arbore une forme irrégulière et bien plus pauvre en son centre, avec une dizaine d’étoiles résolues en VD et le double en VI, réparties par « grappes » de 4 ou 5. C’est une belle découverte, qui je trouve mériterait une plus grande notoriété. Un petit vent froid s’est installé sans prévenir et me rappelle que le temps passe très vite et que demain c’est Lundi et reprise du boulot. Il va falloir accélérer un peu pour les objets restants ou le réveil va être difficile… Heureusement les amas restants sont tout aussi faciles à pointer, en particulier M29 dans le même champ que la brillante Sadr. Voilà un objet du catalogue Messier que je n’avais pas encore observé, pas même aux jumelles. À x15 c’est un simple petit groupe serré de 5-6 étoiles en VI, pas très spectaculaire. En grossissant un peu (x50), 8 étoiles sont résolues, deux groupes de 5 et 3 en vis-à-vis. Je remarque également deux étoiles un tout petit peu à l’écart, sans savoir avec certitude si elles appartiennent bien à l’amas. L’ensemble est plus dispersé à x100 mais me permet de réaliser rapidement un petit croquis d’ensemble. Bon je n’ai toujours pas saisi pourquoi on l’appelle la « tour de refroidissement », néanmoins je trouve cet objet plus plaisant que l’idée que je m’en étais fait maintenant qu’il m’est plus familier. Je ne manque pas ensuite l’occasion de passer par M39, autre amas ouvert encore non observé tout instrument confondu. Repéré aisément même à l’œil nu en remontant depuis Deneb, c’est un large ensemble d’une vingtaine d’étoiles brillantes assez espacées, avec une forme globalement triangulaire. J’y compte jusqu’à 26 étoiles à x50. Ce ne sera pas l’amas le plus incroyable observé, mais je reste satisfait de cocher un Messier de plus. Pour terminer cette balade aux quatre coins du Cygne, j’ai choisi de rendre visite à l’amas NGC 6940, dans l’aile Est. Bien que ses caractéristiques me semblaient prometteuses, je suis finalement resté sur ma faim devant ce large groupe épars d’une dizaine d’étoiles faibles. Je choisis de ne pas aller plus loin pour ce soir et à 23h30 je me tourne vers l’Est pour quelques minutes de vagabondage entre Jupiter, Mars, les 3 amas du Cocher (M38 et sa « croix », M36 le plus petit avec ses 5-6 étoiles bien résolues, et M37 le « granuleux », un peu plus large que M36), les Pléiades, Bételgeuse, M42 et Cr69, l’amas juste au-dessus d’Orion et bien visible à l’œil nu, les Hyades qui couvrent tout le champ du 24mm et enfin Saturne, le tout à x15. Finalement, une petite sortie bien fructueuse qui me confirme que cette petite lunette est un bon complément aux jumelles pour les objets qui méritent un peu plus de grossissement, aussi vite sortie, facile à emmener partout et qui s’en sort très bien en ciel profond pour le moment. Il me tarde déjà de voir ce qu’elle peut offrir sur des objets plus discrets comme les galaxies et les amas globulaires.
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  6. Hello à tous 3h de poses avec taka TSA120, 2600MC, L-Xt et AM5. Traitement Siril et gimp. J'ai essayé de pousser un peu plus l'histo mais le résultat final n'était pas assez propre. Pas assez de temps de pose. Merci
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  7. Voici la dernière mouture de la documentation du planétarium KSTARS et du module d'astrophoto EKOS. Les principales nouveautés sont: * Dans le module capture on peut gérer plusieurs trains optiques, chacun avec leur caméra d'imagerie, leur RAF, leur EAF. Typiquement, une monture avec 2 tubes et un seul guidage. A suspendre lors des MAP. * Dans le module de guidage, prise en compte des étoiles doubles. * Dans le module Planification, c'est l'algorithme Greedy qui a été implémenté seul. Je rappelle que l'on peut créer des séquences directement dans le Planificateur. Support de plusieurs cibles avec des trains optiques différents, en parallèle. Plus une refonte des écrans de Capture et Monture. Bonne lecture ! Manuel utilisateur Kstars-Ekos v3.7.3.pdf
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  8. Voici la dernière mouture de la documentation du planétarium KSTARS et du module d'astrophoto EKOS. Les principales nouveautés sont: * Dans le module capture on peut gérer plusieurs trains optiques, chacun avec leur caméra d'imagerie, leur RAF, leur EAF. Typiquement, une monture avec 2 tubes et un seul guidage. A suspendre lors des MAP. * Dans le module de guidage, prise en compte des étoiles doubles. * Dans le module Planification, c'est l'algorithme Greedy qui a été implémenté seul. Je rappelle que l'on peut créer des séquences directement dans le Planificateur. Support de plusieurs cibles avec des trains optiques différents, en parallèle. Plus une refonte de l'écran de Capture et Monture. Bonne lecture ! Manuel utilisateur Kstars-Ekos v3.7.3.pdf
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  9. Bien le bonjour que tous et toutes ! Alors voilà: tout est dans le titre ! Je possède depuis 3 ans un EOS 500D avec lequel je fais pas mal d'astrophotos, mais honnêtement j'en sens aussi les limites. La trame et le bruit, par exemple, sont vraiment dans mon chemin ( je trouve en tous cas ), mais j'aimerais bien passer au niveau au dessus. Et dans mon budget ( 2/300€ ) il y a de chouettes occasions chez MPB qui me font de l'oeil, dont le 77d. Vous en pensez quoi ? Bon ciel ! ( ps: je joins quelques exemples de ce que je fais avec le 500d, mon 150/750, barlow x2 )
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  10. Voici une jolie cible, pas facile, faite de lumiere diffuse, de contraste entre poussiere noir ,nuages éclairés et etoiles multicolores. Avec beaucoup d'etoiles, et il faut bien diminuer les étoiles pour y voir quelque chose, dans ce zoom sur la voie lactée entre le Cygne et Céphée. Rien que pour le cadrage, comme il est pas dans l'asiair, et pas de grosses etoiles a coté , pas facile a cadrer autrement qu'en iteration de poses. Voici 78 subs de 5 min retenus en RVB sous un ciel bortle 4. Sur mon 200/800, reduit a 600mm. Avec ce temps et la pleine lune, j'ai le temps de faire du traitement de photos. Elle a été prise a la nouvelle lune de la toussaint sur 2 nuits. Image presque brut, juste etirée et background extraction pour que ce soit plat, propre, donc noyé dans les étoiles: Et enfin la meme image traitée, avec les étoiles réduites:
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  11. Le facteur de barlow gonfle l’illumination du champ comme le capteur utilise un champ plus petit du télescope (mesuré sur le plan focal sans Paracorr). Si ton champ est pleinement illuminé sur 38 mm et tu tapes un capteur 24x36 dans un Paracorr le seul vignettage est dû au Paracorr (et avec un Paracorr 3" il n’y en a pas pour une diagonale de 52 mm côté capteur!) Commander un miroir plus grand serait de la folie furieuse. Il ne faut pas faire de 100% dans les coins du capteur une obsession qui importe plus que tout le reste, et dans ce cas comme le Paracorr barlowte le champ ce n’est pas nécessaire même si on a cette obsession. Le monstre secondaire c’est plutôt quand on veut un astrographe pur sang pour capteur 24x36 avec un Wynne 3" (qui demande un plan focal franchement plus sorti). Le CPL du plan focal original n’est d’ailleurs pas « en entrée du Paracorr ». Le Paracorr se trouve en amont du plan focal original, et fait un nouveau plan focal déplacé vers l’extérieur. Le plan focal original n’existe plus.
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  12. Par définition si F est la focale de l’instrument, a est l’angle du faisceau et d la distance de l’image vers le point focal sur l’axe sin(a) = d/F. Donc d = F*sin(a). Pour a=0,4° et F = 457*4,5 d =2056 mm, d = 14,… mm. Si tu veux maximaliser la taille du champ pleinement illuminé avec un secondaire donné et une distance donnée entre l’intérieur de la cage et du plan focal, tu fais vignetter le secondaire d’un côté de l’image du primaire en même temps que l’avant du tube de l’autre (et pour réduire la distance du secondaire vers le plan focal, pour réduire le vignettage par le secondaire et éviter les effets de diffraction par intrusion du Paracorr dans le faisceau dans le champ pleinement illuminé, tu mets le côté télescope du Paracorr juste en dehors de l’intérieur de la cage!) Mais le résultat n’est pas exactement le même pour optimaliser l'illumination plus loin que ça (la perte par les deux vignettages n’évoluant pas de la même manière), bien que c’est vraiment couper les cheveux en quatre. Attention, si on étend la cage avec un pare-lumière pour éviter les lumières parasites, l’avant vignette plus tôt…mais de nouveau en tenir compte c’est souvent se faire du mouron pour pas grand chose (alors que la lumière parasite, elle, elle tue!) Si tu as un capteur à diagonale de X mm son champ en amont de la Paracorr a une diagonale de X/1,15. Le désavantage par rapport à d’autres correcteur avec facteur réduit c’est moins de champ et une valeur signal/bruit réduite par le rapport f/D effectif plus long. L’avantage c’est un échelle d’image montrant un poil mieux les détails (si le seeing le permet, voir l’échantillonnage du capteur qui est également modifié).
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  13. 485 - 457 = 28. 14 mm d’un côté pour une longueur (à la louche) de 485 * 4.5 - 485/2 mm, ça te donne atan (14/1950) = 0,4° de champ non vignetté par l’avant d’un côté (et autant de l’autre). Je ne m’en ferais pas trop. Cela correspond à 27-28mm de champ sur le plan focal, mais en effet si tu veux illuminer à 100% un champ de 43mm, il te faut une cage plus grande et un secondaire plus grand. La question est « pourquoi »? Rien ne dit que tu dois avoir un champ illuminé à 100% jusque dans les coins d’un capteur ou au bord du plus long oculaire…tu fais des flats et puis c’est tout, et la différence pour ce qui est du rapport signal/bruit dans les coins ce sont souvent des cacahuètes surtout en restant au dessus de 75% ou 80% d’illumination. Surtout qu’à avec un secondaire plus grand tu perds du signal même au centre.
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  14. @samleminou Bonjour, - L'eVscope 2 offre un très léger gain en définition par rapport à l'Odyssey Pro (115 mm d'ouverture contre 80 mm), mais c'est la théorie. En pratique la différence est très peu perceptible au premier regard. - L'eVscope 2 offre une focale un peu plus grande que l'Odyssey Pro (450 mm vs 350 mm). Mais comme les capteurs sont différents, la différence est peu perceptible au premier regard - La grosse différence est surtout au niveau du poids et de l'encombrement: l'Odyssey Pro est notoirement plus compact et moins lourd que l'eVscope 2. C'est à prendre en compte si tu fais du nomade avec une voiture déjà bien chargée avec d'autres choses. L'eVscope 2 est parfait pour le nomade, l'Oddyssey Pro l'est encore davantage. Après la différence entre un eVscope 2 et un eQuinox 2 (même poids et même volume), puis entre un Odyssey Pro et un Odyssey (même poids et même volume), c'est que l'eVscope 2 et l'Odyssey Pro ont un oculaire électronique (donc avec un surcoût en conséquence). Si tu veux te contenter de la capture visible sur ta tablette ou ton smartphone, l'eQuinox 2 ou l'Odyssey Pro sont suffisants. Cependant si tu veux regarder dans un oculaire, même s'il est électronique, c'est un eVscope 2 ou Odyssey Pro qu'il te faut. De mon point de vue, le visuel dans l'oculaire électronique est légèrement plus beau que le visuel de la capture sur la tablette ou le smartphone (visuel plus flatteur, couleurs plus marquées, moins de bruit visible et pratique plus immersive: en astro on aime regarder dans un oculaire même s'il est électronique). Lors des soirées publiques, les visiteurs préfèrent nettement regarder dans un oculaire que sur l'écran d'une tablette ou d'un smartphone (c'est plus "astro" et ils sont là pour cela) A savoir: si tu prends un eQuinox 2 ou un Odyssey, tu n'auras pas la possibilité d'ajouter plus tard l'oculaire électronique. C'est dès le départ avec ou sans oculaire et c'est non modifiable.
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  15. Bonjour Alexis, Voila ce que j'appelle un CROA bien rédigé ! Et je suis complètement d'accord concernant les petits instruments, c'est d'ailleurs ceux que j'utilise le plus souvent du genre ma jumelle 16x70 apo pour faire une rapide balade dans le ciel profond avant d'aller me coucher.
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  16. Retour à l'envoyeur ! J'ai acquis des Leica sous garantie, allé voir un représentant de la marque, qui m'a dit que c'était la peinture interne qui se décomposait et que s'était pris en charge par la garantie. Banco ! Je valide l'acquisition des Jumelles. J'envoie les jumelles au Portugal et oui... il n'y a plus de SAV en France. Trois semaines après, je reçois un message, pas de prise en charge, une remise commerciale de 30% sur leur site web qui est plus cher que les revendeurs. J'ai tout perdu, je ne veux plus entendre parler de cette Marque...
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  17. Bonsoir à tous, Elle s'éloigne... Vers 18h30 TU, le 09/11/24. 60 images empilées et traitées de manière automatique en 10mn. Lunette Vaonis Vespera. Comme à chaque x, merci à Gideon van Buitenen pour les éléments : http://astro.vanbuitenen.nl/comet/2023A3
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  19. Bonjour, @Fred_76 quel travail , et quel tri ! Je viens de parcourir tes listes c’est énorme, j’ai toujours fait des listes pour avoir des cibles par saison, mais là c’est renversant. Bravo pour ton travail. Pour revenir au sujet, quand j’avais le 450 je m’amusais à chasser les quasars et le MemStar m’a bien aidé. Pour les plus fou d’entre nous il y a la liste de Francfort mais il faut du lourd ou un ciel parfait, je ne sais pas dire si ce serait intéressant de l’intégrer. http://quasar.square7.ch/fqm/fqm-home.html
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  20. bonjour j’avais fait une liste des objets les plus importants (taille et magnitude). Elle pourrait servir de base. https://sahavre.fr/wp/listes-objets-cp/
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  21. Pas de photométrie faite en VA, ce n'est pas fiable. Par contre dans les programmes de sciences participatives, les télescopes numériques Unistellar sont utilisés pour faire de la photométrie, mais c'est uniquement en mode live view, donc avec les poses élémentaires brutes de capteur. Pour harmoniser les mesures, le paramétrage du capteur (gain, expo, durée et intervalle) est défini dans le protocole de la campagne des relevés correspondants. Les données de la séance sont transmises par internet vers les serveurs d'exploitation des données, directement depuis le télescope numérique.. Exemple de photométrie avec des télescopes numériques Unistellar lors des campagnes participatives (il y en a tous les jours): => participation aux programmes de confirmation des exoplanètes où l'évolution dans le temps de la courbe de lumière de l'étoile hôte est analysée (transit de la potentielle exoplanète devant son étoile): => c'est aussi le cas avec l'analyse de l'évolution des magnitudes de certains phénomènes transitoires comme les novæ et même avec des petites comètes. Actuellement il y a une campagne de suivi de l'étoile variable T Crb. C'est une nova récurrente qui devrait bientôt passer en phase de nova. Cela fait plus de deux mois que les données sur cette étoile variable sont demandées et analysées quotidiennement. Sa courbe de magnitude est mise à jour quotidiennement afin de voir l'évolution de l'étoile juste avant de son passage à l'état de nova, puis l'évolution de la nova pendant sa phase nova.. Tout cela c'est de la photométrie faite avec les télescopes numériques Unistellar, mais pas en VA. C'est uniquement avec des données brutes de capteur selon un protocole bien précis et sans aucun traitement.
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  22. bonjour a tous . le traitement a toujours été la partie la moins cool pour moi ( parce que je galère 😅) mais je persiste . donc je vous montre une petite jpeg de ce que j'ai faite avec aussi ma courbe de suivi de ma dernière ouverture du toit . je suis ouvert a toute critique et conseil . merci a tous aussi pour l'aide . set up : 150/750 sur heq5 , asi 071mc pro a -5° , seulement 20 lights de 300 s gain a 100
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  23. Bonsoir à tous, Après de nombreuses semaines sans pouvoir sortir, j'ai pu imagé notre seconde plus proche voisine, M33, sur 2 nuits, les 1 et 4 novembre dernier. Chose extrêmement rare, c'était la nouvelle lune !! Bon par contre, j'ai rencontré des problèmes avec mon retournement au méridien, j'en parle là, donc je reviens pas dessus. Malgré ces déboires, j'ai quand même pu conserver 67 images, soit 3h20 environ. Setup : TS60/360 + K70, monté sur EQM35 Guidage FMA135 + 178mc Poses de 180 secondes, à 640 iso, sans filtres Capture NINA, PHD2 Traitement SIRIL, GraXpert, starnett et GIMP A l'APN, avec 3h, j'ai encore pas mal de bruit dans le fond de ciel. Mais je suis plutôt satisfait du résultat final. Il faudra que je revienne dessus plus tard, une fois que j'aurai réglé mes problèmes de retournement au méridien Comme toujours, citriques et conseils sont toujours bienvenus !! Merci et bon ciel !!
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  24. En effet. Par les temps qui courent, il faut se satisfaire de ce que l'on arrive à avoir
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  25. Bonsoir Le 10/11 au soir également au retour des RCE 2024. Ciel dégagé mais turbulence marquée. MAK127 sorti sans mise en température préalable. J'ai tout de même réussi à sortir quelque chose malgré beaucoup de déchets. Pas une Lune extra mais c'est toujours mieux que pas de Lune du tout
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  26. L'app a été revu depuis. Quand aux bugs, aucune raison qu'il y en ai plus qu'avec l'Asiair Ceux qui font le Stellarmate, sont les mêmes qui développent Kstars-Ekos et Indi, c'est à dire les bases de l'Asiair. Je possède un Stellarmate Pro 64 Go (transformé en 256 Go). J'avoue ne pas utiliser l'App, sauf en tests. Je préfère de loin accéder en direct à Kstars et son ergonomie, même avec une tablette, avec une connexion Nomachine.
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  27. très jolie série !!! Ce mak 127 me fait vraiment de l'oeil pour remplacer la 70/700 achro
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  28. Pour une sortie rapide ça va quand même Thierry 😋
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  29. Ah le mak a pris un peu l'air Toujours aussi efficace
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  30. La soirée du 10 novembre a été enfin propice à une p'tite sortie rapide du matériel 🙏 Toujours ce sentiment de débuter avec ces sorties plus qu'espacées... 🙄 Mak 127 + ASI 224 mc + filtre ir cut. Turbulence bien présente. 1 2 3 4 5 6 7
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  31. Wow ! Rien à voir avec ton post précédent. Beau progrès. Tu peux encore augmenter sans que l’image ne bronche dans la très grande majorité des cas ( sauf quand le seeing est pourri mais de toute façon, quand le seeing est pourri, on ne shoote pas ). CF le commentaire de Caius. 8bits en imagerie planétaire dans tout les cas de figure. Le 16 bits n’est intéressant que pour aller chercher les protus en imagerie solaire. C’est presque tout… Pas du tout. C’est juste le stack qui n’a pas été parfait pour le satellite tout simplement parce que ton seeing devait pas être super de base. 120s est même trop court tout court. Je m’explique. L’écueil principal quand tu fais une capture sur Jupiter, c’est la rotation planétaire. Jupiter tourne extrêmement vite sur elle-même. Lorsque tu analyses une capture de seulement 60 secondes, tu te rends compte que la rotation devient déjà évidente même avec un C8. Alors maintenant, tu vas me dire : dans ce cas pourquoi ne pas limiter sa capture à 60s voir moins puisqu’il y’a déjà un risque de flou-filé rotationnel à ce stade ? Eh bien, pour 2 raisons. La première, c’est que AutoStakkert!4 est un outil de stack magique ! Il procède en un alignement multipoints des images et donc, est capable de recaler de manière locale toutes tes images et ainsi générer une petite dérotation partielle. La limite se situe, pour un C8 autour 3 à 4 mins. Au-delà, la dérotation commence à être un tantinet moins efficace et tu en ressens l’impact dans la résolution finale. Essaie une capture de 180 ou 200 s, tu verras par toi-même ! La deuxième raison, c’est qu’on cherche à augmenter le rapport S/N ( signal sur bruit ) au maximum possible pour obtenir une belle image. Pour ce faire, même procédé qu’en imagerie CP. On va cumuler un max d’images brutes. Tu comprends maintenant qu’avec une capture de 200s, tu récoltes naturellement plus de frames qu’avec une capture de 120s. Avec un stack au même pourcentage, tu stackes donc plus d’images unitaires et ton bruit de fond tend à diminuer. Bien sûr, il y’a encore l’étape suivante, Winjupos, pour déroter sur des temps de capture encore plus long si on cherche un rapport S/N toujours plus optimal. Mais déjà, AS!4 ( AS! 3 aussi évidemment ) est plus fort qu’on a tendance à le penser. À méditer !
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  32. La météo m'autorisera peut-être à essayer et vous faire un retour 😄
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  33. Merci @etoilesdesecrins! Et bravo pour cette observation, qui semble relever de la performance même à ce diamètre 😉. Je peux grossir au max du max à 150x, mais plus raisonnablement à 100-120x, ça sera donc compliqué. Mais le plus difficile actuellement c'est de trouver une trouée dans cette couverture nuageuse qui n'en finit pas 😣
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  34. C’est pas mal du tout 👍 C’est bien détaillé. Pour le satellite, tu dois pouvoir mettre un point d’alignement dessus dans autostakkert. Ta caméra est surement en 12bits, mais tu peux la forcer en 8bits pour augmenter le débit : Il faut décocher la case 16bits dans la section Image, et cocher HighSpeed dans la section Control (il se peut que la case soit cachée par défaut). (au cas ou, pour lever tout malentendu, c’est une image que j’ai chopé sur le net en tapant firecapture dans un moteur de recherche, il ne faut pas reproduire les réglages)
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  35. Bah je ne suis surtout pas monté dessus. Il pleut tout le temps. Dans l'espoir qu'il ait pu y monter, depuis...
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  36. Vu la couleur presque naturelle des étoiles je dirais que tu as shooté sans filtre. Ca rend la nebuleuse un peu plus tenue, mais ca donne des bonnes couleurs.
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  37. 0°C je pense que ça peut geler, c'est pour ça que j'ai mis +2°C
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  38. Je ne sais pas comment WBPP génère le master dark, j'ai tout laissé par défaut. Les deux master darks à -10°C et -5°C ont été récupérés du prétraitement d'une image avec des bias, celui à +2°C a été généré juste avec les bias et les darks, les bias aux températures correspondantes aux darks évidemment. En tous cas merci pour ton analyse. Je pense que je m'en tiendrai à -5°C toute l'année mais je me garde le +2°C en secours pour les nuits très humides. J'ai eu un soucis de givre à cause du refroidissement et de l'humidité. Depuis je sais qu'il faut pousser le réchauffage du hublot à 100% avant de mettre le refroidissement du capteur.. Quoi qu'il en soit, ils sont quand même assez propres ces capteurs !
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  39. Voir titre du sujet? Ce qui marche également nickel c’est un réflecteur de radiateur. Tout ce qui isole (de la mousse, style tapis de yoga de chez Décathlon) marche également (l’extérieur de la mousse refroidit mais pas le tube) mais un peu moins bien.
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  40. on ne met pas de resistance chauffante sur le miroir primaire...ça va te mettre de le bordel sur le miroir ( defaut d'astigmatisme, plus de coma, veine d'air chaud...) la résistance que tu montres c'est pour les lames de fermeture de C8. sur un newton si tu as des pb, il faut isoler le dos du secondaire ou mettre des résistances chauffantes. le primaire ne s'embue presque jamais ou alors c'est le dernier, tu es emmerdé avec le secondaire et les oculaires bien avt. Yannick
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  41. Bonjour à tous, super rencontre c'est NCN 2024! Voici quelques photos de mon télescope. Merci pour vos retours (ceux qui sont venu me voir), ils sont bien venu pour ma prochaine réalisation... Je suis déjà en train de corriger 2-3 trucs sur celui-ci. Mais je suis très content, il marche pas trop mal du haut de ma petite expérience. Je reviendrais l'année prochaine j'espère ! Bon ciel
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  42. Intéressant, ce qui sera crucial c'est de voir si l'appli mobile est à la hauteur, càd simple et conviviale (c'est à mon avis l'atout décisif de l'ASIAIR par rapport à d'autres solutions).
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  43. Je vois: Touptek est un fabriquant. En tous cas, si la partie logiciel tient la route, ça m'intéresse pas mal. J'aime bien ZWO mais j’apprécie la liberté de pouvoir aller voir ailleurs!
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