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Bonjour, c'est la saison des galaxies, ma lunette n'a pas la focale idéale pour cela mais je triche NGC 4565 galaxie de l'Aiguille Photos réalisées à la lunette Skywatcher Esprit 120ED à 858mm de focale (et Drizzle X3) sur monture Wave 150i Nikon Z7 défiltré/refiltré EOS For Astro, et filtre IDAS LPS-P3 Pose de 3h en 36x300s , 36 darks, 36 flats, 36 bias, gestion du setup avec un Asiair Plus, EAF ZWO, Lunette guide 80/400mm et camera AZI678MM. Faite à Hamois en Belgique la nuit du 25/04/2025 T Logiciels utilisés: Pixinsight, darktable sous Linux. Dans Pixinsight utilisation de BlurXT, NoisXT.6 points
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Bonjour Le soleil de ce midi. Lunt LS50 et camera ASI178MM.. Détail sur une belle protu. Sinon une petite question technique. J'envisage de greffer le module Ha de la lunt derrière un objectif de 80ED skywatcher. Jusqu'ici, le prix des ERF m'a retenu de faire cette modification. Mais la Lunt 50 possède déjà un ERF en entrée du module Ha. Ma question est simple : comme il est conçu pour un diamètre de 50mm, sera-t-il suffisant avec un objectif de 80mm ? Autrement dit, faut-il absolument que j'investisse dans un ERF de 80mm ? A bientôt Jean-Christophe3 points
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Bonjour tout le monde ! Voici un couple de galaxies NGC 4490 "Le Cocon" /NGC 4485, capturé les 21+22/04 derniers. Caméra Altaïr 26M sur la TS CF-APO 130/910n en LRGB. 3h de L et 30mn de R/G/B, le temps n'a pas été suffisamment clément ( merdidian flip foiré la 1ère nuit et nuages arrivés en fin deuxième nuit lol). Toutefois, le temps d'image a été assez rentable, avec une FWHM mesurée vers 2.3" sur le stack L. J'ai pu aussi régler mon focuser Sesto Senso II qui me permet d'avoir qqc de plus fiable avec mon train optique qui commence à peser Un prétraitement Siril/Sirilic Traitement pix assez simple StarAlign/Crop Solver+SPCC sur RGB combinée BlurX/StarX EZStretch sur starless RGB et Starless L NoiseX Seti Stars stretch pour étoiles RGB Un léger SelectiveColor pour les parties rouges (vu que pas fait de Ha, plus tard sans doute ) Export PS Assemblage, Denoise, Ajustement, StarPikes. Voici l'image ! (clic-droit pour full)2 points
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Salut, j'ai profité que ce qu'il apparait comme la seule nuit claire de cette nouvelle lune... La transparence était pas super mais j'ai fait 29 poses sur cet objet pas très haut au Sud dans le Lion. J'en ai fait 2 version une "au naturel" et l'autre avec un HDR. Je préfère la version naturelle: la version HDR: La full est blindée de petite galaxies: en HDR: le FDC est très môche du à la transparence je pense. la version annotée: A vous de me dire la version que vous préférés. a+ Serge2 points
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Au fond de la nuit Des nébuleuses sur mon Miroir de cristal Le temps est subjectif, malléable, élastique… C’est une matière souple, une pâte… Et j’espère que vous serez d’accord avec moi, car ce CROA est un souvenir. Oh pas très vieux tout de même : juillet de l’année dernière, aux Nuits du Causse noir, les fameuses NCN… J’ai dû être, ces derniers mois, sur une planète à gravité élevée où le temps s’écoule plus lentement. Du coup me voici, fin avril, pour un CROA qui n’est plus très éloigné d’une pleine rotation de la Terre autour de notre bonne vieille étoile. Mais qu’est-ce qu’une année à l’échelle de l’univers, mhh? Bon en vrai : j’ai eu la flemme. Et puis, je tenais quand même à finaliser ce séjour par un écrit, à présenter quelque chose cette année : “L’essentiel, c’est de participer” (de Coubertin of course). Voilà. Bref, ça reprend toujours de la même façon : avec une voiture bien chargée. Le matériel d’astro, les affaires de camping, le viatique pour une petite quinzaine en autonomie totale. L’enchaînement des autoroutes qui défilent, qui dévalent au point d’avoir l’impression de tomber dans un tunnel où je rattrape continuellement la même caravane de néerlandais, le même camion gros porteur, les mêmes remorques. Je reste quand même en sécurité en m’arrêtant de temps à autre, on dira ce qu’on veut nos autoroutes françaises sont bien faites et il y a de nombreux points de vue remarquables : celui du pont de Garabit vaut bien un arrêt par exemple. Et puis je découvre “la méridienne”, l’autoroute voulue par Giscard, la plus haute de France paraît-il, et qui aboutit au viaduc de Millau que je me réserverai pour le retour. En attendant je sors en amont et enquille les petites routes des causses. On arrive vite un peu en hauteur, les horizons se dégagent bien, tiens : c’est le genre de lieu où un rassemblement astro pourrait se tenir… J’arrive sur le fameux causse Noir, trouve le camping de Pradines, c’est bien, c’est grand, clair et dégagé, planté de télescopes et autres lunettes. Je n’ai aucun mal à localiser l’ami Xavier : son 500, même incliné tel un arbre qui se repose (!) est identifiable de loin. Finalement je planterai la tente à quelque distance, sous un pin qui fournira une ombre bienvenue car en journée il fait chaud. Le terrain des réjouissances est vaste, ses bordures sont plantées de pins et de broussailles sans que cela nuise au dégagement des horizons nécessaire aux explorations étoilées. Ou plutôt devrais-je dire : les terrains. Il y a un terrain dédié aux observateurs visuels, dont je suis, un autre réservé aux astrophotographes. Et puis il y a un troisième terrain pour Astrociel, qui a rejoint les NCN faute de site désormais, Valdrôme ayant définitivement fermé la petite station de ski qui l’accueillait. Quel dommage, le ciel là-haut était tout à fait excellent, sec, dépoussiéré. J’étais l’an dernier sous label Astrociel, cet été 2024 sous étiquette NCN, je retournerai cette année chez Astrociel : un coup à toi, un coup à moi, pas de jaloux. J’ai opté pour un séjour prolongé, qui englobe les NCN elles-mêmes plus une extension de 7 jours. Je résumerai ici toutes les nuits en une seule, l’énumération chronologique de chacune des nuits serait fastidieuse, et puis il s’agit de mes notes et souvenirs, je n’ai plus la proximité nécessaire avec l’événement pour en dérouler le compte-rendu quotidien. Et les nuits seront bien jolies par ici. Nous sommes dans la réserve internationale de ciel étoilé (RICE) des Cévennes, à 900m d’altitude. Je m’installe à proximité du chêne de Xavier, que dis-je, de son 500 en bois de Bourgogne (plus précisément de Saône et Loire, pour les initiés). Assemblage de mon fidèle dobson 300 : légèreté, minimalisme, pureté des lignes claires, élégance : une approche de l’astronomie dépourvue des fioritures qui encombrent, qui éloignent, qui distancient l’observateur du ciel. Au début des nuits le terrain bruisse encore de conversations, de mouvements furtifs : partout on s’affaire autour des instruments, les goto-istes cherchent leurs étoiles repères (j’entends notamment deux dames non loin de moi : - “IL ne trouve pas l'étoile” !!! - “Tu as appuyé sur le bouton flèche vers le bas ?” - “Tu veux dire avant ou après avoir validé” ??, etc.), moi avec mon dobson je suis déjà loin, très loin. En début de nuit j’aime rendre visite aux classiques, d’abord car c’est la courtoisie la plus élémentaire quand on est dans le voisinage, ensuite parce qu’ils sont brillants et faciles, ça permet de se mettre en jambes (enfin : en yeux) et de ne plus se ruiner la vision nocturne avec un flash de, disons M 13, par la suite. La voie lactée se déploie d’un horizon à l’autre, le Grand Rift est bien visible, la nébuleuse de la Pipe est discernable avec un peu d’attention. J’estime le ciel à un bon Bortle 2. Je lève les voiles avec mon nouveau Pocket Sky Atlas “Jumbo édition” (qui n’a plus de “pocket” que le nom, mais qui a l’avantage d’intégrer quelques objets de plus et surtout d’offrir des cartes plus grandes, plus lisibles, atout précieux pour le presbyte encore diminué par la lumière rouge), quelques cartes de champ et surtout deux incontournables à mes yeux : le “Deep Sky Wonders” de Sue French (version augmentée de son déjà excellent “Celestial sampler”) et les chroniques “Small wonders” de feu Tom Trusock, que j’avais compilées depuis le forum Cloudy Nights (et mises à disposition ici : https://www.webastro.net/forums/topic/259032-small-wonders-tom-trusock/ ) La démarche : chercher, certes parfois sans succès, mais en cas de victoire la satisfaction est intense, c’est une vraie victoire, pas une victoire électronifiée à la Pyrrhus… Sauf pour les événements transitoires, ponctuels, où j’utilise par exemple Sky safari, mais c’est bien rare. Vite je rattrape le Scorpion qui plonge en début de nuit derrière un pin, pour observer nu Scorpii, ou “Jabbah” (sans Hut, désolé), une belle double écartée Juste en dessous, à environ 2° au sud-ouest, beta Scorpii, alias Graffias, alias Akrab. La belle est double, plus serrée que nu Sco. Un détour obligatoire par M 4, toujours à la droite d’Antarès (il n’a pas bougé !), le gros du Scorpion, puis M 80 : au 6,4mm il explose dans le champ en un jet de bulles mousseuses, mais il ne tient pas le Nagler 5mm, c’est trop, même ici, il est déjà trop bas. Je file dans le Sagittaire, pour revoir le Lagon (M 8). Une visite de courtoisie aux classiques s’impose toujours, je l’ai dit, et puis j’y reviendrai fréquemment : aux visiteurs et autres curieux je montrerai répétitivement “les-merveilles-du-ciel-d’été” durant le séjour. Puis bien entendu M 20, la Trifide, qui est sur le lagon comme un nénuphar posé sur l’eau. M 17, le Cygne, majestueux, structuré, certains soirs il sera même brillant et d’ailleurs visible à l’oeil nu. Toujours remontant j’aborde M 24 qui, d’après Wikipedia : "n’est pas réellement un objet du ciel profond. Avec M 40 et M 73, il fait partie des trois objets du catalogue considérés comme des erreurs. (M 40 est une étoile double, M 73 un astérisme).”, puis M 16 qui, lui, aura les faveurs du public de passage. Dans le fond, c’est simple : sur un lagon sont posés successivement un nénuphar et un cygne. Plus haut, un aigle domine la scène (prêt à fondre sur le cygne ? Les aigles chassent-ils les cygnes ? M’étonnerait...). M’enfin bref, l’image est là. Je redescends rapidement vers M 28 et M 22, ce dernier étant nettement le plus gros des deux. Mais je veux revoir la fameuse fenêtre de Baade, découverte l’an dernier à Valdrôme en suivant les balades de Tom Trusock : “As you look toward Sagittarius, be aware you are looking toward the center of our galaxy. In fact, the precise center is located about 4 degrees WNW of 10 Sagittarii (Gamma) … There are two readily visible globulars that lie in the area known as Baade's Window: NGC 6522 and NGC 6528.” A un petit demi-degré au nord de l’étoile Al Nasl, on trouve en effet NGC 6528 et 6522, deux pâles amas globulaires, visibles grâce à une trouée dans les voiles de poussières qui sinon bloquent la vue en direction du centre galactique. C’est une fenêtre ouverte sur le centre de la galaxie. C’est pâle, peu spectaculaire, mais l'observation visuelle est un plaisir intellectuel autant qu'esthétique. Je reviens ensuite beaucoup plus près, dans le système solaire, car il paraît que Cérès passe par là. Je suis dessus, c’est certain, mais j’hésite entre trois points lumineux : l’un d'eux est forcément le célébrissime astéroïde (ou faut-il dire “planésitimal” ?), mais j’échoue à l’identifier formellement et je ne veux pas m’éblouir avec Sky safari. Quelle étrange monomanie, me dis-je, que cette activité qui me pousse à rester éveillé pour identifier de petits points lumineux… Plus bas je rattrape in extremis M 54, tout petit mais condensé, M 69 puis M 70, avant qu’ils ne disparaissent derrière un pin. Pour me consoler je file plein est, en direction du Capricorne, pour trouver NGC 6818 ou Little gem, très jolie : un ovale qu’il faut grossir pour découvrir un centre renforcé avec quelques détails, et qui sort très bien à l'OIII. Juste au sud, il devrait y avoir la galaxie de Barnard, NGC 6822, que j’échouerai plusieurs nuits à trouver. Finalement c’est Xavier qui, passant par chez moi, la retrouvera d’une pichenette désinvolte sur mon instrument, avec une remarque du style : “moui pas mal, ça me rappelle au bois de Vincennes avec mon Strock (254)”. Pour moi c’est un zeste de noir sur une plage de néant. J’ai dû passer dix fois dessus. Bien plus au sud et proche du coucher j’accroche encore M 75, petit globulaire condensé mais turbulent. Plus tard dans les nuits, le terrain s’apaisera : les curieux seront partis, les plus couche-tôt des astrams aussi. Même Xavier fait parfois un somme, allongé de tout son long au pied de son 500. (...) à suivre1 point
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Hello, Voici M63 avec les infos suivantes: Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.8x @ 479mm Caméra planétaire Player One Neptune-664c + filtre Player One IRcut Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 180 x 30s Gain 180 Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 30s:1 point
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Aïl . . . Ouille! Ce très beau champ m’a tapé dans l’œil 😜 (dsl, j'ai pas pu résister) Blaque a part, photo bien réussie avec un superbe champ1 point
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Elle est bien entourée de ses copines les étoiles. Oui pas mal de nuits dégagées en perspective 😜1 point
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Salut, Oui, ce collier de perles galactiques est splendide, voire fascinant ! L'observation visuelle est décidément un plaisir tout autant esthétique qu'intellectuel... Et puis les premières fois ont toujours un charme bien particulier !1 point
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De la nébuleuse planétaire NGC 3918 au géant Oméga du Centaure.... Bonjour à tous ! Voici le bilan de deux veillées de cette semaine, toutes deux focalisées sur la sublime constellation du Centaure. La première session (ça fait très sérieux de vocabulaire !) fut menée avec le T280mm, un vrai entonnoir à photons ! Je poste tout d'abord une carte unique dans la mesure où les trois objets se situent dans la même région : NGC 3918 C'est une très intéressante nébuleuse planétaire assez brillante et couleur émeraude à petit grossissement. Un joli diamant incroyable. Cet éclat disparaît malheureusement dès qu'on grossit. Pour distinguer les structures, il faut énormément utiliser des oculaires de toute petite focale. 500X est un minimum pour que l'observation devienne intéressante : Voici le dessin obtenu : on devine les anses et une légère brillance plus forte dans la structure annulaire. Voici à titre de comparaison une photo : NGC 4945 Poursuivons notre promenade afin d'admirer une très belle galaxie lenticulaire. Au C11, elle apparaît très étendue et des fragments de spirales apparaissent de façon très furtive. Voici à nouveau une petite photo à titre de comparaison : Oméga du Centaure à la lunette fluorine : Hier, enfin, j'ai privilégié la lunette Takahashi pour observer le géant Oméga du Centaure. On observe, on admire.... Bon ciel à tous ! Gildas1 point
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Quelques bricolages supplémentaires. Tout d'abord au niveau du barillet, j'ai donc ajouté des vis moletées pour la collimation et un embout imprimé en TPU pour protéger le bas du tube carbone. Suivant la discussion ouverte dans "Matériel général", j'ai installé un ventilo Noctua : J'ai dû m'y reprendre à 2 fois pour les soudures du câble (sortie 12v classique en 5.5/2.1mm), au début j'avais mis le ventilo face à l'extérieur mais je n'avais pas réalisé qu'il ne pouvait tourner que dans un sens 🤔 Concernant le secondaire j'ai ajouté également des vis moletées, qui m'éviteront quelques sueurs froides avec la clé Allen au-dessus du primaire 😄1 point
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Bonsoir à tous, Svetlana Gerasimenko qui est décédée il y a peu ( 8 avril ) ?1 point
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Bonjour, je ne connais pas le Baader, mais j'ai pu comparer à un Lumicon : ce dernier est bien plus restrictif, donc beaucoup moins d'étoiles dans le champ. Sur mon dobson 300, j'ai finalement préféré le ES.1 point
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Bonjour, WE pluvieux = des heures de traitement. Aujourd'hui la Rosette faite avec le L-extreme pour le OIII et Ha. faite en 2 nuit sur fevrier -Mars. On a ici 6h de dual bande sur asi2600MC et les etoile en RGB d'une autre session. Le tout sur a 200/600mm avec le reducteur starizona, ca rentre juste dans le champ. Traitement DSS , siril, cimp, graxpert, starnet, comme toute mes photos. Quelques vue de détails puis la complete avec les étoiles RGB ! J'aime bien le haut de cette nebuleuse (enfin, ici c'est le haut, mais en vrai ya pas de sens...) Et avec les étoiles RGB:1 point
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La galaxie du sombrero M104 avec Askar PHQ130 à 1000 de focale, monture EQ8R Pro, poste fixe dans le 82, Asiair, Caméra ZWO 2600 MC, OAG, guidage ZWO 220 MM, filtre Lpro 3 nuits 8h de temps de pose 160x180 s. Pour faire suite à la remarque de Colmic , j’ai retourné les deux images, c'est plus symp. Traitement PixInsight1 point
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Hello, Fin Mars - début Avril 2025 il y a eu plusieurs nuits dégagées. J'ai enfin pu enchaîner les sessions de shoot, après ces longues semaines de temps pourri, ça fait du bien !!! On est plusieurs à avoir pu en profiter. J'ai fait la tournée des classiques histoire de reprendre en douceur. Voici M101 avec: Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.8x @ 479mm Caméra pla,étaire Player One Neptune-664c + filtre Player One IRcut Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 701 x 30s Gain 180 Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 30s: D'autres images suivront1 point
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Bonsoir bonsoir ! Un petit partage de cette image de NGC 5907, faite le 05 Avril dernier. C'est en fait dans le cadre du projet DIANA/CASSINI collaboratif où nous devons accumuler du temps sur cette objet pour en faire une grosse intégration globale. A mon niveau, je profite de cette première contribution (tout comme @gerard33 ), pour en faire au moins une version LRGB avec seulement 4h de L et 30mn de R/G/B Tout ça sur la CFAPO 130/910 et la 26M. Une fwhm du stack "intermédiaire" à 2.55" Pré-traitement Sirili/Sirilic Un traitement pix standard LRGB Quelques "marbrures" sur la couche couleur dans le FDC (un mix de Lune et brumes je pense, la nuit ayant été voilée à un moment). Je n'ai fait gaffe qu'à la fin malheureusement... (clic droit pour zoom)1 point
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Salut 🙂 J'ai deux S50 et un S30 ... mais je ne cible pas le Soleil ! On ne peux pas dire qu'en CP l'un soit meilleur que l'autre : - Sur les nébuleuses et amas ouverts étendus, le S30 et son champ plus large conviendront mieux la plupart du temps - pour les galaxies et amas globulaires ainsi que les quelques nébuleuses planétaires accessibles au Seestar, le S50 sera plus performant de par son diamètre supérieur au S30 : IC 434 en grand champ au S50 : M 51 & NGC 7380 (certaines nébuleuses tiennent bien dans la cadre du S50!) Eric1 point
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Ahhh c’est pas faux !! depuis que j’ai commencé (été 2019) j’ai toujours un projet astro qui traîne dans ma tête ! pas un jour ne s’écoule sans parler de ça! entre achat et mes ventes astro j’ai du mal à décrocher ou plutôt me poser J’espère que j’arrêterai un jour de partir sur un nouveau projet ! ca commence à revenir cher et c’est complètement irrationnel ! mais en même temps, c’est ça qui me motive ! je suis certain que beaucoup sont dans mon cas !1 point
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Salut salut ! De retour sur ce cher forum après plus de 15, voire 20 ans d'absence pour cause d'études, de début de vie professionnelle, de famille... Bref, la vie quoi ! Mon cher télescope, un 150/750 Orion sur monture SkyView Pro acheté vers 2004, a végété dans le grenier de la maison familiale pendant toutes ces années mais la flamme de l'astronomie ne m'a jamais vraiment quitté et ce sont les dernières éclipses solaires, en particulier celle du mois dernier, qui m'ont remis vraiment dedans. Donc me revoilà 🙂 J'ai été modérateur sur ce forum vers 2005/2006, je ne sais plus exactement, et j'étais très actif à l'époque. J'ai participé entre autres à un WE en Lorraine chez @Littlesoket, beaucoup échangé avec TeTeC (qui ne semble plus là), envisagé d'aller en Turquie dans un 5* pour vivre l'éclipse de 2006 avec d'autres membres du forum, partagé quelques pauses avec @Créateur de bugs lors d'un stage qu'on faisait tous les deux dans la même boîte, et j'en passe. En reparcourant quelques sujets sur le forum récemment, j'ai vu des pseudos qui me parlent comme @syncopatte, Bruno (celui avec un avatar de dessin vert, je ne le retrouve pas avec le @), epsilon eridani (pareil, il y en a 2 donc pas sûr duquel on parle) ou encore le célèbre @Thierry Legault. Peut-être les plus anciens se souviendront-ils de moi, on verra 😉 Depuis le temps j'ai évidemment changé d'adresse mail et celle que j'utilisais à l'époque, en @voila.fr 👴🏻, a disparu. Je ne peux donc pas récupérer mon compte initial. Si un admin peut y faire quelque chose, je suis preneur 🙏🏻 Dans un premier temps, je vais surtout lire les sujets liés au Strock-250 car je compte me lancer dans l'aventure très prochainement afin d'avoir un "vrai" télescope transportable, notamment pour les prochaines éclipses de 2026/27/28. Je vais d'ailleurs créer de ce pas "mon" sujet sur cette construction pour y centraliser mes questions et partages d'infos. Je sais que le club d'où est sorti ce super projet traîne dans les parages... 😏 Je vais me remettre aussi à vraiment pratiquer l'observation avec les clubs du coin, à la fois pour me remettre dedans parce que c'est trop bien 🤩 mais aussi (surtout !) pour faire accrocher la descendance qui a déjà sa petite lunette Celestron et qui ne demande qu'à s'en servir ; il faut battre le fer tant qu'il est chaud ! Au plaisir de vou (re)croiser, sur le forum ou dans un champ paumé quelque part sur cette planète !0 point
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Bonjour à tous, Je vous présent ma version de la galaxie de l'oeil au beurre noir, alias M64 Les prises de vue ont été faite le 02 avril dernier, toujours avec le même setup : TS60/360 sur EQM35 ASI178mc Autoguidage avec FMA135 + GPCMOS KMA. 136 poses de 90', gain 200 Traitement avec SIRIL, Graxpert, starnet et GIMP Elle est un peu petite sur mon capteur, mais j'aime bien ces champs avec des galaxies perdues au milieu des étoiles. Comme toujours, critiques et conseils sont les bienvenus !! Et bon ciel à tous !! (ça doit se dégager la semaine prochaine normalement)0 point
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Je dis bravo ! pour ta maîtrise astrophotographie sous ce ciel de parigot que je connais aussi 😡 Y'a du signal, du détail, c’est net et bien post traité 👍0 point
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Bonjour à tous, voici ma dernière version de NGC7000. j’ai pu au total acquérir 122x3’ sur 2 nuits avec 800 iso sur mon canon 500d défiltré. ma monture est la Skywatcher star adventurer gti et j’ai utilisé mon canon 70-200 f/4 comme objectif, le tout guidé par mon asiair mini. Je suis sous un bortle 5 j’ai aussi ajouté ma première version de cet objet faite il y a une année car je trouvais fun de voir ma progression. j’attends vos retours positifs et négatifs bien sûr afin que je puisse encore progresser. merci de vos retours Robin Python0 point
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je ne sais pas si les versions precedentes etaient moins bonnes, c'est surtout sur des forums américains que l'on a montrer les premieres images que des influenceurs ont eut en main avant la commercialisation qui soit disant montré un manque d'uniformité sur le disque en halpha ! personnellement, je pense plutot a une mauvaise prise ne main , en sachant que pour avoir une bonne uniformité , il faut d'abord trouver suivant la hauteur du soleil , le bon emplacement du disque parfois , c'est un peu en haut , parfois un peu a gauche , ce n'est jamais au centre du champs de l'oculaire et ensuite on peu regler l'uniformité de la bande passante qui va recouvrir tout le disque , mais pour cela il faut que le disque soit bien positionné ! les lunettes halpha ne donne pas la totalité du champs visuel en halpha Lunt, coronado etc ! le sweet spot est calculé pour recouvrir la totalité du disque solaire pas pour la totalité du champs de l'oculaire' ! ce qui peut du coup produire un manque d'uniformité si on ne maitrise pas bien la " bête " Après il peut bien sur avoir un appareil meilleurs qu'un autre sur la bande passante et sur la taille du sweet spot , mais je pense que c'est bien moins aléatoire que sur une lunt ou coronado ! a priori mon modèle a un numéro de série 00011 ! donc dans cette série , il est très très bon ! *0 point
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Moi j'aime bien Tyler même s'il est malade....0 point
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Bien joué, jolie M101 👍 j’avais également un décalage semblable avec mon 150/750 J’avais également pensé à mon secondaire mal centré0 point
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Je n'avais pas tenté de les résoudre avant, pour éviter tout conflit avec la version stable. C'est tout à fait normal: ce ne sont pas des bugs de Siril, juste une problématique de dépendances logicielles. Ansvr version Windows n'a pas été mis à jour depuis un paquet d'années... Et Python 3.9 est sorti il y a 5 ans. Si çà peut aider certains.0 point
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Somptueuse cette aiguille 👍 J'aime bien les couleurs et le traitement.0 point
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Merci à vous deux. Ça me rassure peu. Je pourrai envoyer la sortie d'empilement mais pas avant la semaine prochaine. Ça m'intéresse de savoir ce que vous pouvez en sortir.0 point
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Bonsoir, Dans le plugin pour ajouter la Terre sur une image solaire, dans la saisie de l'année il n'est plus possible de sélectionner une année antérieure à l'année courante, ce qui pose problème pour traiter des images en retard, ou pour retraiter d'anciennes images. Cordialement0 point
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Bonjour, La bienvenue sur le forum WA. Ca dépend surtout ce que tu souhaites observer comme objets (du ciel profond), la taille de ton Dobson, les oculaires, la pupille de sortie. Les filtres Lumicon, considérés comme parmi les meilleurs, sont devenus quasi inaccessibles (prix) et difficiles à trouver, sauf commander directement aux USA. En Europe, les Astronomik, sont maintenant bien présents, mais restent chers, tout en étant de haute qualité. A bien moins cher, un OIII Explore tient la route. Perso, j'avais testé un OIII Baader 2" (pas le modèle dont tu parles) il y a maintenant 6 ou 7 ans sur un ciel d'été et il est reparti chez le fournisseur. Test fait avec un Dob 18" @ F/D 3,7 et un oculaire TeleVue Ethos 21. Objets classiques de l'été : Dentelles, M27, 57, 8, 20, 17... Vraiment très en retrait par rapport à mon vieux Lumicon acheté il y a au moins 15 ans. Et vraiment derrière l'ES également. C'est évidemment terminé pour les filtres Orion également et les Meade que l'on trouvait... dans le passé. Aucun intérêt de commander des TeleVue maintenant non plus, les prix ont explosé et la marque demande à Astronomik de lui fournir les produits. Bon ciel.0 point
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Bon je crois qu'on est tous d'accord, et qu'on va bientôt tous avoir l'interstellarum ! Merci pour le lien joker0247, je vais certainement le commander en début de mois prochain ! J'étais déjà bien parti pour passer commande, mais cette conversation a fini de me convaincre. Entre ça et les Splendeurs du CP, beaucoup de nuits blanches en perspective !0 point
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Oui effectivement un filtre dark a moins de sens en planétaire par contre un 642 pour Uranus et Neptune ils l'ont oublié0 point
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À la découverte de l’amas de la Vierge Bonjour les amis, voilà un moment qu’il me tardait de sortir à nouveau les petits instruments, après avoir généreusement profité du télescope aux quatre coins de la Grande Ourse. Puis arriva la pleine Lune, le mauvais temps … et nous voici déjà presque en mai ! Hier point de tout ça, une nuit noire et un ciel découvert étaient prévus, comme une bonne récompense après une semaine de travail. Avec 14°C annoncés, c’est une relative douceur qui m’attendais après les frimas de l’Hiver, mais le vent fut également de la partie pour compenser. Arrivé à 22h au milieu des champs je prends paisiblement possession des lieux et m’installe en attendant que les nuages se dissipent. Pour l’instant la couverture est totale et c’est assez perturbant que de sortir du matériel astronomique dans ces conditions : un passant ignorant que la météo annonce un ciel bien clair dans moins d’une heure me prendrait sans doute pour un « original » 😄. Mais pas d’impatience, je profite de l’ambiance et m’amuse à tenter de reconnaître les quelques étoiles qui commencent à poindre dans cet écran qui se morcelle : Arcturus, Spica, les 4 principales du Corbeau, puis Dénébola… ou est-ce plutôt Régulus ?? Non la voilà qui se découvre un peu plus tard. Déroutant et amusant. Lorsqu’enfin le ciel commence à montrer un aspect plus familier je décide d’allumer la monture et c’est parti pour un voyage aux confins de la Vierge, amorcé il y a presque exactement un an. Je commence le périple en pointant Vindemiatrix, puis Rhô. Entre cette dernière et 34 Virginis je vois aux jumelles deux étoiles alignées plus faibles, à environ 1/3 et 2/3 de la distance qui les sépare. Elles forment un grand triangle isocèle avec une 3ème de mag 9 au Nord-Ouest. La galaxie M60 est juste en dessous : elle montre un noyau brillant avec un halo ovale et faible en VI. Une cible relativement facile comparée à celles qui jalonnent la suite du chemin. Une étoile de mag 10 à l’Ouest forme un triangle avec M60 et celle de mag 9, et juste au Sud la faible lueur de M59 est détectée après 10 minutes de recherche (j’ai imprimé une carte détaillée de la zone mais n’ai pas pensé à réaliser un gabarit de pointage, ce qui rend plus difficile l’estimation du champ réel à l’oculaire…). La galaxie ne montre qu’une timide lueur dont je n’arrive pas à discerner correctement la forme. Il est temps de passer à la lunette. À la L60x25 M60 montre le même aspect qu’aux jumelles mais en plus évident et en vision directe. M59 est quant à elle maintenant évidente bien que visible uniquement en VI. Son orientation est perpendiculaire à celle de M60 et son noyau très peu marqué (ou bien est-ce son halo qui m’échappe ?). Le Pentax 5mm donnera des images plus grosses mais trop sombres et sans détails supplémentaires. Je crois que le grossissement de 72x qu’il donne est un peu fort sur cet instrument pour ces cibles très ténues. Environ un degré à l’Ouest je trouve sans trop de difficultés M58, bien balisée par la présence d’une étoile de mag 8. Visible aux J42x10 uniquement en VI, elle m’apparait plus accessible que M59 tout en restant bien plus faible que M60. La présence des 3 spécimens dans le même champ facilite bien leur comparaison. Pas de détails notables mais une satisfaction d’ajouter à ma liste cet objet inédit. À la L60x25 elle montre une tache uniforme et ronde, difficile, accompagnée d’une étoile faible (mag 11) au Nord. Avec de l’attention une zone centrale légèrement plus brillante se manifeste en VI. À 72x cette partie est confirmée et présente une forme un peu allongée. La galaxie, bien que moins contrastée alors demeure persistante et presque visible en VD. Non loin au Nord je tente ensuite ma chance sur un duo. Mêlées à un groupe de 5 étoiles de mag 8 à 9 et quelques faibles au centre, elles ne donnent aucun signe de leur présence aux jumelles. Je tente alors une approche directement à la lunette : à 25x c’est M90 qui sort de l’ombre en premier, difficilement au départ puis en continu après quelques minutes. Son allongement est évident et prononcé, dans un rapport 4:1 selon une direction NE-SO. Voilà qui donne un peu de variété ! Sa surface me semble plutôt homogène, bien que je distingue après une zone centrale un peu plus brillante et ovalisée. Quant à sa voisine M89, elle est à peine moins brillante mais montre une face bien différente : un noyau bien prononcé et visible en VD, avec un halo arrondi en VI. Il est déjà minuit et je commence à m’agacer des rafales de vent qui sévissent. Je poursuis néanmoins et retente aux jumelles maintenant que les positions des deux galaxies sont bien établies. Cependant, après quelques minutes d’une grande concentration je ne parviens à saisir que quelques glimpses, alors qu’elles demeurent visibles immédiatement à la lunette. Quittons donc ces lueurs fantomatiques pour trouver à l’Est la belle et plus gratifiante M87. Au Sud d’une étoile de mag 9 elle arbore un noyau bien brillant quasi visible en VD et qui s’entourne en VI d’un halo presque rond et évident. À la L60x25 la galaxie est entièrement accessible en VD, avec le même degré de détails qu’aux jumelles mais en plus lumineux. À 72x le noyau n’est pas ponctuel mais assez large, presque la moitié du disque. L’image est à nouveau plus sombre, confirmant que le grossissement idéal se trouve à mon avis plutôt aux alentour de 50x. Il est temps que je me retrouve un 7mm, ou une bonne Barlow pour mon 14 . Vers 1h, érodé par le vent, je ne parviens même pas à débusquer les deux galaxies suivantes, M84 et M86, pourtant largement à la portée des jumelles. Je me surprend à me perdre dans une zone moins riche en étoiles repères. La fatigue l’emporte, et à quelques pas de la chaine de Markarian je décide de plier bagages, pour revenir à la prochaine éclaircie terminer l’exploration de cette merveilleuse zone du ciel.0 point
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Aucune configuration ne l'est. D'où la diversité de l'offre. Là tu parles seulement du tube optique, pas de la configuration. Si c'est une configuration avec monture équatoriale, ce n'est pas 99 % (de l'observation visuelle) mais beaucoup moins, puisque tu exclus tous ceux qui ont besoin d'un instrument aisément transportable (ce qui est ton cas). Un Dobson 250 mm à F/5 serait plus adapté, avec un prix nettement plus bas. Donc effectivement, tu étais parti dans une mauvaise direction. De plus tu as envie de cette lunette. Il me semble que c'est le critère le plus important.0 point
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C'est assez surprenant 🤔 Le fait que les dobsons très ouverts (de F/3 à F/4,5) ne soit pas fait pour le planétaire est une légende urbaine. Si tu as un miroir de qualité (artisan on va dire) avec un état de surface optimal (un micromamelonage très faible), un barillet pas mou du genou, un secondaire de qualité porté par une araignée sur laquelle on a pas lésiné sur la matière pour sa mécanique, tu gagnes beaucoup en contraste. Ensuite il faut que la collimation soit réglée aux petits oignons. Une collimation au laser est insuffisante y compris avec des lasers soit disant high tech... Avec un grand diamètre, la collimation sur une étoile est la meilleure manière d'arriver à la perfection: 1) en respectant la symétrie imaginaire de l'ombre du secondaire de part et d'autre d'un axe moyen de l'image défocalisée en intra et extra focale et 2) en moyennant les apparitions des tavelures (Speckles) en intra et extra-focale et en s’approchant de plus en plus de la meilleure mise au point. On peut donc faire une collimation précise avec un niveau de turbulence non nul. (Se référer à l'echelle de Pickering, il y a plein de vidéo sur le net). C'est une technique imparable. Pour cela préférer les dobsons avec collimation par le haut où on peut contrôler la collimation en même temps que l'on ajuste le tilt du primaire. 3) La mise en température d'un grand miroir doit être organisée, maintenant avec une petite batterie au lithium on peut alimenter une soufflerie 😃 On évite les jupes qui transforme les télescopes en cheminée à turbulence. Préférer les bafflages amoviles... déjà là, ça restreint aux niveau des fabricants de structures mais on trouve ... Le mieux, - si on peut - est de faire soit même cette réalisation . Pour la collimation utiliser un oculaire de courte focale pour finaliser la collimation sur les tavelures. (Evidement si la turbu est faible c'est encore mieux!) ET là... quand vient un trou d’absence de turbulences même fugace, et bien des détails plus précis se révèlent. La lunette APO sera très très vite oubliée en visuel... La lunette APO c'est un bel objet très cher en grand diamètre et est avant tout un outil d’imagerie... Avec l'habitude d'observer et l'expérience, on parvient même à trouver des détails insoupçonnés mais il faut passer un peu temps à l'oculaire0 point
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Mon expérience des télescopes, c'est qu'un Dobson 200 mm tube plein est léger, facile à transporter, immédiat à installer. Juste que le tube est long, bon, et alors ? Mon expérience des lunettes, c'est ma 150/1200 équatoriale : chiante à installer mais c'est à cause de la monture équatoriale (j'ai une page de notes pour ne pas me tromper de sens et tout placer au mieux pour faciliter l'équilibrage), chiante à manipuler mais c'est à cause de la longueur du tube (observation des objets bas debout sur la pointe des pieds, des objets hauts à genoux par terre). T39 compte utiliser une lunette plus courte sur une monture azimutale (qu'il connaît), à mon avis il n'aura pas les inconvénients de la mienne. Je ne crois pas qu'installer et manipuler une lunette azimutale de 900 mm de focale soit plus simple qu'un Dobson 200 mm ou 250 mm, mais il a déjà l'expérience de ce type de lunette (125 mm, c'est à peine moins grand) donc il sait ce qu'il veut. Et puis il y a une certaine logique à faire ce choix si on aime les lunettes (et là on parle d'une excellente lunette). Pour moi, le seul souci est de dire qu'il s'agira d'un instrument complémentaire de la 125 mm. Pas du tout, ce sera une progression par rapport à la 125 mm. Si la lunette de 150 mm sortira aussi souvent que la 125 mm et si une plus grande lunette est impossible, en effet autant viser la 150 mm, qui remplacera la 125 mm.0 point
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Salut Salut ! Je trouve tellement enrichissant de lire vos CROA que je me laisse prendre au jeu de l'écriture ! Premier CROA pour moi 🙂 Session du 31 mars, un peu plus d'1 heure avec mon newton 200/1000 (Perl). Motorisation uniquement en AD pour le confort d'observation. 3 Oculaires ES : le 24mm en 68° ainsi que le 14 et le 11mm en 82° + Barlow Kepler 3x. Ce qui permet les 6 grossissements suivants : 40, 70, 90, 120, 210, 270. Je démarre par un rapide petit tour sur Jupiter. Je monte vite à 270x. Les 2 principales bandes orange foncé sont visibles sans aucune difficulté. Une troisième bande plus fine se laisse parfois entrevoir mais il faut avoir l'oeil attentif pour ne pas rater le moment où la turbulence se stabilise. Je tente de redescendre à 210x mais l'image n'est pas tellement meilleure. Ayant déjà beaucoup observé Jupiter ces dernières semaines, je ne m'attarde pas trop en je pars en Ciel Profond ! M81-M82 : Je n'avais encore jamais observé ces 2 galaxies mais c'est justement la lecture d'autres CROA qui m'ont incité à aller y jeter un oeil ! Je n'ai pas été déçu ! Je remarque tout de suite qu'elles ne se présentent pas sous le même angle, M81 de 3/4 et M82 par la tranche. Ce qui rend l'observation magnifique à mon sens est de pouvoir les observer ensemble dans le même champ. J'observe principalement avec le 24mm, qui m'a offert la vision la plus esthétique. M51 : Je vois sans problème la présence des 2 noyaux galactiques, M51 et sa "compagne" mais l'image est moins contrastée que M81-M82. Je monte à 90x avec le 11mm, l'image est envoûtante quand on sait ce qu'on regarde mais les contours restent quand même assez peu définis. Je ne vois pas les bras spiraux de M51 ni vraiment le pont de matière entre les 2 galaxies (parfois dur de savoir si je le vois un peu ou si je l'imagine car je sais qu'il y est ! ). Je re-tenterai dans quelques semaines, quand elle sera plus haute dans le ciel 🙂 Et peut-être que j'aurai du grossir encore un peu plus... Double amas de Persée : Cible qui m'est familière et que j'affectionne particulièrement mais je ne l'avais plus pointé depuis l'automne. Et là WAHOUUU !! J'en prends direct plein la vue avec le 24mm. C'est absolument splendide à regarder ! Après avoir regardé des galaxies, ça réveille les pupilles tant d'étoiles et de lumière !! Observer ces 2 amas dans le même champ c'est un vrai régal ! Triplet du Lion, M65, M66 et NGC3628. Beau trio de galaxies. NGC 3628 plus faible mais qui reste visible sans difficulté. Observation essentiellement au 24mm mais je tente quand même de grossir un peu avec le 11mm sur M65 puis M66 mais je suis moyennement convaincu car pas je ne vois pas vraiment de détails supplémentaires. Comme pour M81 et M82, c'est l'observation à faible grossissement avec tous les objets dans le même champ qui me plaît le plus. Retour sur M81 et M82 pour finir ma session : Je repars faire un tour vers ces 2 belles galaxies et j'en ai une vision encore plus belle qu'au début de la session ! Le fond de ciel me semble plus noir et je vois plus de contrastes. Soit quelques lumières se sont éteintes à l'horizon et le ciel est réellement plus noir, soit mes yeux sont mieux adaptés à l'obscurité qu'en début de session... sûrement un peu les 2 !! Je colle mon oeil à la bonnette du 24mm de manière à être totalement immergé dans cette vision. C'est splendide. Je passe plusieurs minutes à contempler ce spectacle. Je crois que j'aurai pu rester toute la nuit collé à l'oculaire tellement c'était beau !! Moi qui n'avait encore jamais pointé M81 et M82, je n'ai qu'une envie, c'est d'y retourner !! Bon Ciel à vous !!0 point
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Hello , Une présentation du lieu de la rencontre, le stade Gilbert Sailly de Champtoceaux Comme en 2023 nous utiliserons le terrain de football pour installer vos tentes, MAIS nous aurons aussi une prairie attenante pour ceux qui souhaiterons venir avec une caravane ou camping car, ou qui souhaite avoir leur véhicule à côté de leur matériel . Il y a même 3 plateformes béton pour les poser son scope sur du dur 🙂, premier arrivé ... La salle qui accueillera le planétarium, les expos de fusées, météorites et photos (sans les tennisman 😃) Coté sanitaires, 2 vestiaires (hommes et femmes) avec douches fermées ) La salle de restauration et de présentation des exposés: Et coté détente de quoi organiser un concours de pétanque ! Nous avons hâte de vous retrouver 😉0 point
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Hello, petit retour avec un peu de retard sur mes impressions du Pentax XW 5mm en face du ES 4,7. Test à la lunette de 60 mm le Vendredi 22 Février : sur Sirius d'abord pour tester le chromatisme. Il est présent en bord de champ sur les deux oculaires. Match nul sur ce point. La vue sur Bételgeuse m'a parue sensiblement égale pour les deux, pas de différence de teinte comme j'avais pu le constater entre le Pentax 7mm et l'ES 6,7mm. Sur Jupiter en revanche j'ai trouvé l'image plus agréable au Pentax, plus fine avec une mise au point plus franche. Du côté de l'ES de la diffusion et du chromatisme autour du globe de la géante. Un tour sur Castor montre la double avec plus de finesse au Pentax. En ciel profond, l'amas NGC 2158 est plus évident au Pentax, avec une granulosité que je n'ai pas observée à l'ES. Le Pentax semble donc permettre une détection d'étoiles un peu plus faibles. Quant à M35 il paraît plus joli et plus brillant en général dans le Pentax, et plus terne dans l'ES. Même constat dans l'épée d'Orion où tout paraît plus agréable à regarder, avec l'envie d'y rester plus longtemps. Le confort apporté par le Pentax, notamment son tirage d'anneau supérieur et la facilité je trouve à accéder à tout le champ d'un coup y sont sûrement pour beaucoup. Quelques galaxies : là c'est plutôt kif-kif sur M65-M-66 et M51. C'est surtout le confort encore une fois qui rend le Pentax supérieur, mais les visions sont semblables. Peut-être l'écart se serait creusé avec davantage de diamètre ? Pour finir quelques remarques : le Pentax est quasi parafocal avec l'ES 24/68, c'est très confortable à l'usage de ne pas avoir à refaire la mise au point. Les ES 82 sont assez éloignés niveau map. Les ES sont assez sensibles à la buée avec leur petite bonnette, surtout le 4,7 qui demande de bien coller l'oeil. La grosse bonnette du Pentax fait office de pare-buée très efficace : un autre point pour le confort 😉. Enfin, on l'a déjà évoqué sur un autre post, le renvoi-coudé taka a une bague vissante. Avec les ES il faut dévisser plus longtemps pour retirer l'oculaire sans que ça raccroche et ensuite visser longtemps pour verrouiller l'oculaire suivant. Même si ce n'est pas trop gênant, le Pentax à l'avantage de nécessiter moins de tours de bague, c'est un point à noter. Au final, l'écart est plus grand entre l'ES 4,7 et le xw 5 qu'entre l'ES 6,7 et le xw 7m. Ça se joue bien sûr sur des subtilités qui demandent de nombreux allers et retours entre les oculaires pour faire la comparaison mais l'écart est réel. Je valide donc cet achat et vais probablement guetter de nouvelles bonnes occasions pour un 7 et un 10mm 😁0 point
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