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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 05/12/25 dans toutes les zones
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Dans l’esprit de collaboration qui nous anime chez SADR (remote associatif au Chili) voici le résultat de 53h mises en commun sur la Nébuleuse du Poulet qui court, IC2948 dans la constellation du Centaure. Pas mal de détails pour un crop d’une image prise avec une petite lunette de 71mm. 🙂 J’ai taché d’aller chercher des couleurs au-delà du bleu et du orange dans le mixage SHO . Merci aux collaborateurs: Jean-Paul Quéau, Gaëtan Leroy, Alexandre Delarue et Patrick Delay! La full: https://www.astrobin.com/5csge4/6 points
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Bonjour à tous, Je vous partage ici une image de cette belle galaxie, pour laquelle j’ai tenté de faire ressortir au maximum ses structures en Ha. Le challenge était de révéler au mieux ses « bras anormaux » ! Anormaux oui, on les nomme de cette manière, car, contrairement aux bras spiraux traditionnels composés d'étoiles, Ces bras sont constitués de gaz chaud ionisé, et ils ne suivent pas la structure spirale habituelle de la galaxie, Ils sont en effet inclinés par rapport au plan galactique. Cette spécificité est due au trou noir supermassif au centre de M106, qui formant un disque d’accrétion, émet des jets de particules avec une inclinaison d’environ 30° par rapport au plan galactique. L’interaction de ces jets avec le disque galactique créer des ondes de choc et donne naissance aux bras anormaux que nous pouvons observer sur cette image. Je vous propose également une petite animation, permettant de mieux distinguer les structures « classiques » de cette galaxie spirale, de ses bras anormaux qui viennent l’embraser. ANIM M106.mp4 Les acquisitions ont été effectuées en nomade, avec une AP155 sur une AP900 et une ASI2600 pour le capteur, filtres Astrodon LRVBHa L : 30H RVB : 1H par couche Ha : 35H Vos retours sont les bienvenus ! Malik2 points
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Hello, Cette période fin Avril/Mai 2025 dépasse toutes mes espérances, je cumule les nuits dégagées , j'en profite à fond j'avoue Après le vertige du quasar/trou noir Ton 618, je vous invite à plonger de nouveau dans quelque chose de vertigineux également, l'amas de galaxies Abell 1656. L'amas de la Chevelure de Bérénice ou amas de Coma (Abell 1656) est un vaste amas de galaxies qui contient plus de 1000 galaxies identifiées. Avec l'amas du Lion (Abell 1367), c'est l'un des deux amas majeurs qui constituent le superamas de la Chevelure de Bérénice. La distance moyenne de l'amas à la Terre est d'environ 99 Mpc (∼323 millions d'al)[3]. Ses dix plus brillantes galaxies spirales ont une magnitude apparente comprise entre 12 et 14 et sont observables avec un télescope d'amateur de diamètre supérieur à 200 mm. La région centrale est dominée par deux galaxies elliptiques géantes : NGC 4874 et NGC 4889[4]. L'amas est situé dans le ciel à quelques degrés du pôle galactique nord. La plupart des galaxies de la partie centrale de l'amas de Coma sont elliptiques. Des galaxies naines ainsi que des elliptiques géantes sont présentes en abondance dans l'amas. Comme il est courant pour les amas de cette richesse, les galaxies sont très majoritairement elliptiques et de type S0, avec seulement quelques spirales plus jeunes dont beaucoup sont probablement situées en périphérie de l'amas. L'étendue complète de l'amas ne fut pas perçue avant qu'il ne soit étudié en détail dans les années 1950 par les astronomes de l'observatoire du Mont Palomar, bien que de nombreuses galaxies individuelles de l'amas aient été identifiées auparavant. Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.8x @ 479mm Caméra planétaire Player One Neptune-664c + filtre Player One IRcut Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 323 x 30s Gain 180 Traitement Siril, Pixinsight, Photolab 6. une brute de 30s: Pas assez de mes dix doigts pour tout compter....2 points
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Bonjour tout le monde, Voici le résultat de 2 nuits en Ha sur la nébuleuse (ou en tout cas une partie) North America NGC 7000. Etant donné que le setup commun va être installé en Espagne jeudi, j'ai ressorti mon matériel pour faire 2 nuits d'acquisition sur mon balcon. Pas de polaire visible, MES via TPPA de Nina. Voici le résultat de 9h de pose (108 x 300s). J'avais eu quelques soucis de MAP V-curves avec Nina, mais finalement l'ajout d'un léger backlash m'a permis d'avoir une courbe avec l'ensemble des points dessus. Matériel : Newton Lacerta Carbon 200/800 F4 ramené à F3.8 avec le correcteur de coma x0.95 Monture NYX 101 Pegasus Astro ASI 1600 MM-C + Filtre Ha 7nm ZWO Guidage par lunette guide 60/240 + zwo asi 290mm Vous trouverez une version avec et sans étoiles (lien astrobin : https://www.astrobin.com/g256ah/0/) Merci pour vos retour constructifs !2 points
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Quelques images de la tache AR4079, restée très calme au global. Une éruption de classe C1 ce 9 mai, visible en Cak. Avec l'anim' qui va bien... Avec un supplément HR qui passe encore un peu juste, surtout en UV... Bonne soirée et bon courage à chacun pour la semaine prochaine ( aussi bien pour le travail que pour le solaire... )2 points
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Salut tout le monde, je suis parti avec mes potes habituels pour 10 jours en Creuse, dans le même gîte que l'an dernier. Ce séjour m'a permis de tester enfin la TOA150 échangée cet hiver contre mon APM130 (petit coucou à son nouveau papa !). Avec cet instrument l'idée c'est d'atteindre un échantillonnage de 0.70" pour des galaxies moyennes à faibles. La TOA150 est donnée pour une résolution de 3µ au centre du champ et 5µ au bord d'un 24x36 (avec le correcteur FL67), ça matche assez bien avec les pixels de l'ASI2600 mono. Les conditions météo ont été soit parfaites (seeing 1.59" et SQM 21.88) soit désastreuses, avec au total 4 nuits exploitables sur les 10, et beaucoup de pluie et d'orages violents. Matériel : TOA150 + correcteur FL67, ASI2600MM à -10°C + EFW et filtres 36mm ZWO, OAG-L + ASI174, monture EM400 Temma2, ASiair Plus Pour toutes les images, retrait de DOF, traitement SiriL, BlurX + NoiseX sous Pix et finition CS5. - NGC 3718 dans la grande Ourse, la meilleure nuit, avec un seeing entre 1.59" et 1.8" pour les plus mauvaises, mais une humidité infernale due à 2 jours de pluie ininterrompue. 5 heures de pose avec des subs de 180s en L. J'ai également des couches RVB pour cet objet mais pour le moment le résultat ne me satisfait pas. On devine une myriade de galaxies dans le fond de ciel. Cliquez dans l'image pour la full. - Le trio du Dragon, NGC5981 + NGC5982 + NGC5985, avec là encore un très bon seeing mais toujours une humidité importante. 3 heures de pose en subs de 180s. Pour cette image comme pour celle de 3718, on voit que les étoiles ont un défaut (aigrette sombre). Après contact avec Riton, j'ai un peu desserré les anneaux et le correcteur et je n'ai plus retrouvé le défaut sur les images du reste de la semaine. Cliquez dans l'image pour la full. - Le classique trio du Lion, M65 + M66 + NGC3628, seeing nettement moins bon et présence de la Lune pas très loin. 2 heures de pose en subs de 120s. Cliquez dans l'image pour la full. - NGC3344 dans le petit Lion, seeing moyen entre 1.8" et 2.4", présence de la Lune pas très loin. Je suis assez content des détails qui apparaissent pour une galaxie de taille modeste, ça augure du bon pour la suite. 2 heures de pose en subs de 120s. Cliquez dans l'image pour la full.2 points
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Salut à tous, Si vous lisez l'excellente revue qu'est Astrosurf Magazine, vous avez certainement remarqué la rubrique intitulée "Ciel extrême" tenue par Yann Pothier. Pour les astrams nouvellement arrivés dans l'astronomie d'observation, Yann Pothier fait partie de cette bande de "fous du ciel" (dans le sens noble de l'expression !), passionnés par le ciel profond, qui ont été parmi les premiers à utiliser des Newton azimutaux mobiles qu'on appelle communément ajd des Dobson, souvent aussi déjà des diamètres appréciables et qui en plus traduisent leurs observations par des dessins. Il a édité à partir de 1996 le trimestriel "Ciel Extrême". Ca, c'est pour la petite histoire, le reste ici : http://www.astrosurf.com/cielextreme/index.html M'intéressant également à ces "tâchouilles", principalement "exotiques", j'avais logiquement isolé dans l'observatoire l'AS Mag n° 133 (mars/avril 2025) car la 1re de couverture avait attiré mon attention avec pour précision : "Ciel extrême : 4C 61.20". Avec une magnitude visuelle donnée à 16 et qq, évidemment, là, on est loin des Messier et NGC qui nous occupent habituellement déjà pas mal... Pas question d'utiliser le C14 pour cette cible, le diamètre est trop restreint (!), il faut plus grand, bien entendu la météo adéquate, un très bon ciel bien transparent, pas de Lune et la cible placée au mieux dans le ciel. Finalement, des conditions qui sont... rares. La nuit de lundi 28 à mardi 29/4, ces conditions étaient réunies, avec pour mon site une très (très) rare moyenne SQM de 21,82 vers 0h15 légales. Le Dob 460 (F/D 3,7) se mettait au frais depuis le dîner et a permis de faire un petit tour du ciel sur les objets brillants "classiques" après avoir montré une Jupiter affreuse. Repérer (la zone de) 4C 61.20 est relativement aisé puisqu'il suffit de partir de Dubhe (Alpha UMa) et cheminer jusqu'à la galaxie NGC 3407 qui est de 13e magnitude. Encore une x, ce cheminement se fait très facilement. Bien entendu, si on possède des cercles digitaux ou bien un Go-To, l'opération est encore plus simple... En revanche, à ce niveau là, l'affaire se corse rapidement car on a beau changer d'oculaire et descendre en focale, même équipé, en "super ou ultra grand champ" et/ou en "haut de gamme", on ne distingue pas grand chose... Les 3 étoiles repères vers NGC 3407 sont facilement visibles, en revanche point de 4C 61.20. Il a fallu pousser jusqu'à presque 400x (zoom TVO 3-6 réglé à 5mm) pour distinguer faiblement la lueur de l'objet par "glimpses" comme décrit dans l'article. Observation de nouveau confirmée la nuit de mardi 29 à mercredi 30/4 avec une moyenne SQM moins bonne (21,62). J'attends de pouvoir faire la même cible avec le Dob 600 d'un pote venant de temps à autres à la maison. Essayez d'observer 4C 61.20 chez vous, aux RAP ou aux NAT, c'est une bonne occasion de tester votre vue et l'instrument (diamètre, optique). Plus d'informations en lisant le texte dans AS Mag... Merci à @yapo pour la présentation de cet objet "extrême". 🙂1 point
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UN MATIN ENSOLEILLÉ SOUS UN CIEL BLEU PUR Bonjour à tous, Voilà des mois (années ? ) que je n'avais pas dessiné la moindre tâche du soleil, la faute au climat tropical, rendant souvent très éprouvant ce genre d'observation, à suer sang et eau ! Mais l'hiver pointe le bout de son nez, et l'air se fait tellement plus frais ! De plus un ciel bleu pur à tomber à la renverse. A la lunette, le disque solaire et ses jolies tâches apparaissent ciselés comme jamais. Voici d'abord une capture d'écran de cette tâche que je voyais peu à peu évoluer à l'oculaire. Et le dessin réalisé à la lunette Takahashi FC100 à moins de 60X. Bon ciel à tous ! Gildas1 point
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Bonjour, si j'en voyais un je ne le croirais pas! Et puis personne ne me croirait! Alors . . . ;- )1 point
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Super ! Elle vient de réapparaitre. et elle a de magnifiques secret en RGB, invisible avec les filtres. Si tu peut ajouter le memem temps en RGB a celle ci, tu aura un Poster !1 point
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Bonjour tout le monde. Vous vous rappelez certainement de la supernova dans M101 il y a presque exactement deux ans. Découverte le 19 mai 2023, dès le lendemain la plupart des observatoires de la planète ont assuré un suivi de ce phénomène violent transitoire pour en déterminer sa nature. En fouillant dans les archives publique du LCO Global j'ai trouvé tout plein de données couvrant la période du 20 mai au 01 août 2023, avec un suivi quasi-quotidien de M101. Bingo ! Je télécharge donc tout ça, notamment toute les photos prises en bande B (bleu visible), ce qui représente 326 images fits prises depuis différents observatoires du globe, avec des télescopes et des capteurs différents... Autant vous dire que le premier challenge a été de trier tout ça ! Au final, j'en ai gardé 50 qui étaient exploitables, environ une par jour (avec un trou entre le 15 juillet et le 01 août). La plupart ont dû être écartées car la supernova était saturée sur le capteur : c'est rédhibitoire pour la photométrie. j'ai donc processé tout ça dans AstroImage J et j'ai sorti cette courbe : Puisque le style graphique d'AIJ est toujours aussi moche 😅 j'ai exporté les valeurs de magnitude et j'ai refait une belle courbe sur Excel : La forme de la courbe correspond à une supernova de Type-II-L, c'est à dire une supernova "à effondrement de cœur" dont l'étoile progénitrice avait une masse supérieure à 8 masses solaire, et "L" pour "Linéaire" dans la décroissance de sa luminosité. Sur la bande B, j'ai trouvé une valeur de pic de magnitude 11,13, je me suis donc dit que connaissant la magnitude observée et la distance de M101, je pourrais en déduire la magnitude absolue de la supernova ? Le calcul est assez simple et les trois valeurs sont reliées par l'équation suivante : m = 5log(D)+5+M+A avec : m = magnitude observée M = magnitude absolue D = la distance en parsecs A = l'extinction interstellaire. Cette dernière valeur est assez difficile à déterminer et potentiellement négligeable quand on vise hors du plan galactique. Sinon, j'ai fouiné et trouvé une ressource intéressante pour la trouver : https://irsa.ipac.caltech.edu/applications/DUST/ En moulinant tout ça, je trouve une magnitude absolue (dans la bande B donc) de -17,99... C'est dire la violence de ces phénomènes !!🤯 Je vous laisse, je retourne fouiller dans les archives... 👀1 point
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Ah, oui, la aucun rapport avec la photo de départ, compare les tu veras !! Ya pas photo ! ... enfin si, il y en a 2 completement differentes!1 point
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Merci beaucoup ! J'aimerais faire les couches OIII et SII, mais les nuages arrivant, les prochaines nuits ne sont plus exploitables et jeudi on part avec un ami chez E-EYE en Espagne pour installer notre beau setup. Du coup les photos proviendront très certainement plutôt de là bas, mais si je peux finir cette image Ha, pourquoi pas 😃1 point
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Avec Siril, Transformation Asinh. Transformation de l'histogramme. Saturation des couleurs. Suppression du bruit vert. Ensuite avec Graxpert Déconvolution et Denoise. Voilà. Pascal1 point
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Pas forcément, il faut vérifier que ton modèle de carte/GPU est compatible avec ce niveau de CUDA. En fait, tu as qq part une matrice de compatibilité https://forums.developer.nvidia.com/t/cuda-compatibility-between-nvidia-rtx-a5000-and-geforce-rtx-4060-ti/264216 Mais il faut auparavant connaître la microarchitecture de ta carte et son GPU. (En colone en haut)1 point
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Merci pour le partage de ce dernier épisode de ce magnifique CROA sur les NCN 2024... Un régal à lire...on à l' impression d'être sur place "....1 point
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Dans les rassemblements astro, les journées sont indolentes. Et c'est bien normal : le jour n’est pas l’objet, n’est pas le sujet, enfin on est pas là pour ça, quoi. On est bien là pour la nuit, les nuits, qu’on enchaîne dans une frénésie de ciel enfin noir et dégagé. Le matin on dort, aussi longtemps que possible du moins, avant d’être réveillé par la chaleur du jour qui, il faut le dire, est parfois accablante par ici. Les gens de ces contrées sudistes disent : “il pleut du feu”. Pas faux. Bref, en journée on somnole et on prépare la nuit. Certains courageux exhibent des instruments solaires. L’an dernier en particulier, j’avais pu admirer le soleil en bino dans une lunette de 180 mm. Quelle claque ! Cette année elle n’est pas là (c’est honteux), mais il y a force instruments équipés en H-alpha et il est toujours impressionnant d’observer les protubérances, filaments et autres facules qui animent notre étoile. Car oui, ça bouge ! Si on y repasse tous les jours (on y prend goût), on voit l’évolution de certaines formations : telle protubérance qui s’était transformée en arche s’écroule, une autre surgit… Ce côté vivant est fascinant surtout quand on est habitué à l’observation d’objets du ciel profond qui, à échelle humaine, sont immuables. Pour ceux qui ne sont pas trop fatigués, l’après-midi il y a aussi quelques conférences. J’assiste par exemple à celle de Laurent Bourrasseau, qui présente un très astucieux télescope de voyage tout en carbone : le “slim 400”. 12kg pour 400mm : un 400 dans l'encombrement d'un 300 pour un poids proche d'un 200. De la bien belle ouvrage et beaucoup d’inventivité, de créativité ! Accessoirement, il fait un peu plus frais à l’endroit où se tient la présentation, une ancienne bâtisse templière. Enfin bien entendu on peut toujours taper la discute’ avec le pèlerin de passage et tenter de mettre des visages sur les ombres de la nuit. Car sinon, l’astro est désastreuse pour la vie sociale, il faut bien le dire : la nuit, on a que des ombres et des murmures. Mais je suis un peu pessimiste peut-être, car une fois on m’offre une bière artisanale opportunément nommée “Lumière cendrée”, qui est fort bonne, on parle matériel et observations. Et durant certaine pose nocturne, tout de même, j’ai l’occasion de refaire le monde avec un gars qui feint d’être un anti-dobsonneux primaire (et proclamé -;) ) mais fort sympathique malgré ce terrible défaut (il se reconnaîtra, s’il passe par ici). Au fil des nuits, dans le Cygne qui trône au sommet de la nuit, j’aborderai l’Amérique du Nord (NGC 7000), le Pélican et toutes les nébulosités du coin, qu’il faudrait que je prenne la peine d’identifier formellement. Elles sont assez faciles avec le 30 mm 80° et le filtre OIII, mais j’ai vu mieux. Puis 61 Cygni, la belle classique double colorée : "61 Cygni, l'étoile volante de Piazzi, deux étoiles oranges, très esthétique à l’oculaire, “remarquable par son très rapide mouvement propre au sein de notre Galaxie." (Wikipedia). NGC 6826, la blinking, est une autre source d’émerveillement dans le ciel d’été. Elle est mieux sans OIII ni UHC (ce dernier par acquit de conscience). J’ai beau alterner visions centrale et périphérique, j’ai toujours du mal à la faire blinker correctement. Mais finalement, elle clignote comme un petit ver luisant (les vers luisants clignotent, maintenant ?). Ruprecht 173, un petit amas ouvert avec une supergéante jaune, X Cygni, qui est une céphéide. Difficile de le délimiter avec Ruprecht 175, juste à côté. NGC 6888, le Croissant, ne m’apparaît ici que par glimpses : à la longue et à force de temps “d’intégration” il acquiert quand même de la structure, voire des filaments ! Mais il est moins évident, moins facile qu'à Valdrôme. NGC 6874 ou Basel 6, un amas ouvert qui ne présente rien de remarquable (je passais par là, quoi…). Et bien sûr dans le cadre de mes animations spontanées aux ombres de passage, je montrerai de nombreuses fois, au fil des nuits, d’autres classiques : les dentelles sont à la fois fines et structurées (filtre OIII), on devine le triangle de Pickering et dans un moment de pur fantasme j’imagine la vision si l’ensemble pouvait tenir dans le même champ. Ah, il y faudrait un oculaire optiquement impossible ! Et puis bien entendu je passerai et repasserai par Albireo et les Messiers du coin. Revenu au calme, le Petit Renard me tendra les bras avec son cintre (si je puis dire), Collinder 399 ou amas de Brocchi, dont le crochet contient la jolie quadruple Struve 2521 (cf. Sue French, Celestial Sampler, p. 127). L’une d’elle est une belle orange, à chercher au nord du champ. Puis IC 4954, dit encore Ced 174, une nébuleuse par réflexion vaguement éclairée par NGC 6823, une zone de formation d’étoiles. C’est franchement discret, du moins à mes yeux et ces soirs-là. Et encore M 27 bien entendu, qui sera ici très belle à plusieurs reprises, en majesté jusqu'au 5 mm… Bêtement j’oublie d’aller chercher l’éclair bleu, ou NGC 6905, dans le Dauphin. Une ombre déboule en courant pour me montrer la jolie comète 13/P Olbers dans un 250. Elle est empêtrée dans les pattes de la Grande Ourse. On distingue une courte queue, la chevelure et un noyau de feu froid. C’est glacial, luisant, sensation de quelque chose qui s’enfuit dans les lointains. De loin en loin, je fais un tour du camp pour me dégourdir les jambes et voir ce que font les autres ombres. Une nuit en particulier, je me rends auprès d’un bon géant : un binoscope 360. Deux Newton de 360 mm accouplés, leurs faisceaux optiques reliés par un astucieux système binoculaire : on observe par l’avant. Oui, on a la tête dedans. Son inventeur est à proximité et me demande sur quelle cible pointer la bête. Sans penser à rien je lui réponds “M 13” et ce ne sera pas un mauvais choix : après un départ laborieux car je n’arrive pas à fusionner les images, l’écartement oculaire est réglé et, vlouf, M 13 emplit le champ. L’impression de rotondité est la plus frappante : la vision binoculaire restitue la 3e dimension, on visualise la sphère. Laquelle est très résolue (2 x 360 !), on pourrait compter les grains, pardon les étoiles agglutinées en grappe, c’est impressionnant. On discute cinq minutes du 2 x 600 en cours de réalisation (oui) et dont l’avancement est raconté sur tel forum d’astronomie. C’est étonnant, intéressant, spectaculaire. Ce qui l’est moins, ce sont les instruments automatisés et autonomes qui fleurissent ici et là. Ces robots qui font tout, tout seuls, diffusent autour d’eux un réseau auquel les touristes de passage peuvent se connecter avec la promesse de pouvoir admirer “en direct” la photo prise par ledit automate. Le résultat est un festival d’écrans de téléphones qui éclairent les alentours de leurs blanches lumières. Vertus éducatives, peut-être (quoi que : on apprend au public à découvrir le ciel sur écran…) mais nuisances lumineuses certaines. De retour dans mes pénates heureusement à l’écart de la pollution lumineuse, des ombres de passage, enfin des touristes, me demandent le Hibou. Je leur montre la Chouette, fine et détaillée ce soir-là. Puis M 103, un petit amas ouvert triangulaire, et encore NGC 663, autre amas ouvert plus intéressant visuellement : il y a une quarantaine d'étoiles au 30 mm et, en grossissant au 13, apparaît comme une couronne d'étoiles au centre. Plus tard et comme je suis dans Cassiopée, je vais voir la Rose de Caroline (NGC 7789) mais je ne perçois pas la nébulosité, je ne vois que l’amas ouvert. L’humidité doit être en train de tomber. Vite, je me rends sur M 52 et NGC 7635. Ils sont sont bien jolis, mais de Bulle, point : une vague nébulosité au filtre OIII. C’est la Bulle… sans bulle. Faute peut-être là-aussi à l’humidité qui, chaque nuit, s’abat sur les Cévennes vers les 2 - 3h du matin. Après la fin officielle des NCN le terrain se videra brutalement. Ne resteront que quelques tentes sur le vaste terrain. Nous verrons cependant, quelques jours plus tard, arriver quelques martiens. Qu’on se rassure, nulle histoire à la Orson Welles ici et encore moins de panique : il s’agit de membres d’un club d’astronomie de Mars, en Ardèche. L’un d’eux assemble non loin de mon site un 600 monobras : avec cette longue perche, on dirait un gaffophone. Au fil des nuits suivantes, nous échangerons quelques vues mémorables : le Sextette de Seyfert, dans le Serpent, splendide, qui comme l’indique son nom contient cinq galaxies en interaction. L’ensemble est assez compact dans le champ, les galaxies sont proches et semblent en effet liées, on le devine, on le voit ! Cette grappe de galaxies a de la profondeur, de la perspective, il y a un vertige dans l’image. C’est une belle observation et une belle vision. Nous irons aussi rendre visite à la nébuleuse Saturne (NGC 7009), dans le Verseau. Là il faut grossir : la nébuleuse est assez détaillée, mais ça vibre un peu, au bout de la perche-monobras. Il y aura encore M 2, l’amas globulaire, bien résolu, détaillé, fin. De mon côté je lui montrerai entre-autres la fenêtre de Baade, qu’il ne connaît pas. Il est étonné. Et pour sûr, le 600 apporte un peu de lumière à l’image… Mais au fil des nuits, un fin croissant de Lune se fait de plus en plus présent et signale, par son insistance lumineuse, la proche fin du séjour. Il va falloir partir. Partir et espérer revenir. Un matin tôt, je replie le camp, entasse tout comme je peux dans la voiture, salue les quelques survivants de la piste aux étoiles et repars. Le détour par le viaduc de Millau en vaudra la peine : quel ouvrage, tout à la fois imposant et élégant, c’est magnifique ! Au fil des kilomètres vers le nord-est, le ciel se couvrira d’un voile laiteux, prémices des cieux habituellement bien moins cléments de la région. Au final, j’ai trouvé dans ces Nuits du Causse Noir 2024 une bonne ambiance, un bon ciel et un bon camping. Un peu trop d’humidité, aussi, mais il paraît que cela dépend des années, et un peu trop de lumières blanches notamment à proximité des robots, mais rien n’est parfait en ce bas-monde. A bientôt, si l’Univers veut.1 point
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Le volume qui pourrait en effet dissuader certains observateurs car on voit clairement le "monstre" face au N22T4. Oui, ça été pareil pour moi, comme décrit, au moment de la 1re utilisation, le temps de prendre ses marques, quand on est habitué observer avec d'autres XW.1 point
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Je découvre ce sujet un peu tard, mais il n'a fait que me conforter dans mon choix ! J'ai il y a deux semaines justement fait l'acquisition du fameux XW 23mm d'Eric Maire. Je n'ai pas l'expérience pour une analyse détaillée, et surtout que je n'avais comme point de référence précédent que la position "24mm" de mon zoom Baader Hyperion. Je peux juste confirmer que j'en ai pris plein les yeux. L'image est extrêmement bien définie sur toute la surface (on pourrait en effet pinailler sur les quelques derniers % en bordure de champ). Avec un F/5 je ne ressens pas le besoin d'avoir recours à un correcteur de coma. En revanche je confirme aussi que j'ai partagé la difficulté d'utilisation dont certains parlent, au moins dans un premier temps. Les ombres volantes apparaissent très facilement, on doit suivre les rotations de l'oeil d'un léger mouvement de la tête (ce qui n'était pas le cas dans mes oculaires plus bas de gamme). C'est la même particularité que sur les autres de la série XW (j'ai le 5 et 10). Ça demande un peu d'habitude, de passer du temps à chercher la hauteur de bonnette idéale. Mais on s'y fait vite, personnellement j'ai déjà pris le pli en quelques sorties. Cette série d'oculaires me comblera pendant de nombreuses années, je n'ai aucun doute à ce sujet !1 point
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Salut à tous, Pour faire avancer un peu le Schmilblick, j'ai pu avoir en prêt depuis qq jours un Pentax XW 23mm en 85°. Afin de pouvoir l'essayer face à mon TVO Nagler 22mm (Type 4). Essais faits mercredi et jeudi soirs avec un très bon ciel et une Lune croissante. 1re constatation, le XW23 est vraiment plus volumineux que le N22T4 lors de la prise en main. Le N22T4 semble aussi plus "dense" que le XW23 alors qu'en fait il a une masse de 680g d'après les sites revendeurs alors que le Pentax ferait 770g. Pour le positionnement de l'oeil, j'ai trouvé plus facile avec le N22T4 que le XW23 dès les première observations, mais sans grande difficulté, très rapidement, on s'habitue. D'une part, j'utilise le N22T4 depuis qq années et d'autre part, je possède d'autres XW 70°, et je suis habitué à leur bonnette "bizarre". Le Pentax est très fidèle à cette "neutralité" concernant les images rendues, pas de couleur "chaude", donc il est dans la suite des autres XW en 70°. En observant la Lune (C14 en visée directe et lunette Astro-Physics Traveler 105 avec RC 2" Everbrite TVO), on constate un très léger liseré bleu sur les "cornes" de notre satellite, quand on laisse filer "en bord de champ" sur le N22T4. Ce liseré est totalement absent sur le XW23. Dans les 2 cas, l'image est vraiment très belle, on a toutefois une toute petite impression de meilleure définition avec le Pentax dans la Traveler. En CP (Dob 18" @ F/D 3,7), utilisation obligatoire du Paracorr 2. Pointage de M3 en 1er, puis M13 ensuite. Dans les 2 cas, belle définition, difficile de les départager sur l'image des objets. NGC 6207 est parfaitement visible pas très loin de M13 avec le "Y" vu sans problème. Le N22T4 en revanche, pourtant bien réglé sur la bonne lettre (B) subit une déformation facilement sur le dernier tiers restant du champ et bien visible alors qu'on est sur les 8 ou 9/10 seulement avec le XW23. Sur M104, le triplet du Lion, ou encore M81/82, M51, M101 et en attaquant ensuite la chaîne de Markarian (et un ciel sombre), sans que le N22T4 soit laissé de côté, l'image semblait plus "transparente" à chq x dans le XW23 et les différences de contraste légèrement plus marquées (notamment sur M82, bras de M51). Ce brave Nagler 22 T4 a été acheté en 2nde main en 2021 pour venir compléter la série des 12 et 17mm. L'occasion était belle de le comparer avec le récent Pentax XW 23. Force est de constater qu'il s'agit toujours d'un bel oculaire mais le Pentax semble bien quand même un "chouilla" devant, ce qui n'a rien d'exceptionnel quand on connaît le reste de la famille XW et qu'il est d'une génération optique bien plus récente que les Nagler T4 (les 12 et 17mm étant déjà arrêtés depuis des années, le 22mm connaîtra certainement la même destinée, la production TVO écoulée). Reste sa meilleure compacité. En occasion également (encore faut-il en trouver un), ce peut être un oculaire intéressant car en neuf, le N22T4 est maintenant à près de 700e (prix constaté TTC) vs le XW 23 à près de 600e. Il reste aussi une alternative intéressante face à l'Ethos 21 qui coûtera bientôt hélas 1 mois de SMIC. Merci d'avoir lu tout ce baratin, Eric @maire qui a déjà parlé du XW23, entre autres 🙂1 point
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Bonjour J'ouvre un topic pour montrer la construction d'un dobson 400. Je suis parti d'un miroir de 400mm très épais(75mm) et d'un secondaire 88mm La galette a été acheté sur les PA , le miroir a souffert ( 3 éclats),mais le Foucault révèle une surface avec un poli de très très bonne qualité( les franges d'interférences au Foucault sont très colorées !!!) Et c'est de la silice fondue!!!!! Voilà où jen suis ! A très bientôt0 point
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En même temps c'était un scientique un peu au sommet de la science en son temps... là on parle d'une personne lambda qui a photographié un pigeonpadaire. la comparaison me parait hasardeuse. il y en a combien déjà qui ont prédit la fin du monde pour l'an 2000? on attend toujours. c'est pas pas que cé l'internet il l'a dit que toux sa cé vré!😅0 point
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La dynamique de l'image est impressionante, la qualité est super. tres bon traitement. Il manque que les couleurs.0 point
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Super Sebseacteam !! Les extensions sortent bien avec ces couleurs. Merci ANT-1 j'ai suivi les conseils de Pascal69 sans trop tirer sur les curseurs. Merci à tous. Régis.0 point
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Je pense qu'après la photo postée par T@ygeta on peut rebaptiser le pigeon en lampadaire, maintenant0 point
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Salut Julien Merci Je dois la reprendre. J'y suis dessus depuis pas mal d'heures... Je vais la reprendre a tête reposée. Si je touche a un truc tout part en cacahuètes. J'ai essayé range selection en montant la color saturation mais ça ne me plaît pas. Ensuite 1h40 d'intégration, je m'attends pas à un truc complètement waouh0 point
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J'y arrive pas Tu peux y jeter un "oeil" stp Je te joins les XISF STARLESS.xisf STARS.xisf0 point
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Ou utilise SPCC pour avoir la couleur officielle. Je crois que le nouveau Siril l'intègre mais je n'ai pas encore essayé😉0 point
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Héhé, mais oui mais non !😃 Je m'explique : lorsque le groupe a été nommé on s'est basé sur l'observable, et effectivement à l'oculaire on perçoit 6 galaxies (si on dispose d'un grand diamètre et qu'on est attentif, mais c'est un autre débat). On s'est aperçu ensuite que 5 galaxies seulement sont en interaction, la 6e étant située loin à l'arrière plan. Le sextette ne comprend ainsi que 5 galaxies effectivement liées.😉 ...Y'en a au moins un qui suit ! 😀0 point
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Bien joué Momo, peut être la couleur à revoir, baisser un peu le rouge je pense.0 point
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Sympa en effet pour le prix! Mais il me semble qu'elle sera "difficile" en Astro, mais plus sur du paysage!0 point
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voila le lien décrivant la configuration à mettre en place pour l'utilisation de cet applicatif http://www.astrosurf.com/blogs/blog/11-astro-10-microns/ l'utilisation de la polemaster en mode chercheur http://www.astrosurf.com/blogs/entry/169-polemaster-en-lunette-guide/ je l'utilise régulièrement en mode planétaire et visuel. 2mn pour faire cet alignement top chrono un manuel d'utilisation de la polemaster https://astronomie-02100.weebly.com/uploads/6/2/8/4/62846569/tutoriel_de_mise_en_station_avec_polemaster.pdf et bientôt un test complet avec différents télescopes et cet applicatif sous NINA.0 point
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J'avais en effet peut être un soucis de suivi à ce moment-là. Je suis à nouveau sur l'objet là, guidage ok avec la NYX-101 et voici la nouvelle brute : Cela semble beaucoup mieux et au niveau de la mise au point, voici les nouveaux paramètres : j'ai surtout ajouté un backlash qui me permet d'avoir une belle courbe désormais : Les étoiles avec aigrettes me paraissent meilleures. C'est une araignée monobloc épaisse donc pas d'aigrettes tordues 😃0 point
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Cela fait belle lurette que je n'ai pas mis les pieds sur le forum, et voilà que je tombe sur une rencontre solaire à coté de chez moi !!! Elle est pas mal celle là ! 😅 J'aimerai bien y participer, je vais voir comment je peux m'organiser ! A bientôt donc peut être ...0 point
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Saluts, J'en ai moi aussi entendu à 3 reprises : - une fois sur les terrasses de l'observatoire du pic du midi où le métal ne manque pas pour moduler en sons les ondes électromagnétiques émises par le "vortex" de plasma à l'arrière du météore. C'était un son fort, qui ressemblait à un avion à réaction dans le lointain et j'ai été estomaqué de voir une escadrille de débris spatiaux (identifiés le lendemain par un ami) émettre ces sons en même temps que le météore. - ensuite deux fois, sur des étoiles filantes assez lumineuses (magnitude 0 environ), des sons un peu "space" genre onde de choc, tir d'arme laser... L'origine de la modulation en sons est encore mal expliquée comme expliqué plus haut, je me souviens d'un article qui citait comme source des origines assez variées de ces sons électrophoniques (structures en métal environnantes, vibrations diverses : de feuilles des arbres, boucle de ceinture, cheveux, vêtements, lunettes, bref on ne sait pas trop...). https://www.pourlascience.fr/sd/physique/la-musique-des-meteores-peut-etre-expliquee-12589.php Les aurores polaires peuvent en émettre aussi. Par contre pev-astro, sur les images du nimitz, le halo blanc peut très bien représenter quelque chose de chaud comme souligné par ALain G, en fonction du code couleur donné par le logiciel, en inversant les couleurs. cela pourrait être du coup... juste le flux des réacteurs d'un F 18 vue par derrière0 point
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J'ai entendu ce son électrophonique en 2002. Nous étions tris en pleine séance astronomique en Guadeloupe dans un endroit très sombre, calme et non habité. On a vu au loin sur la mer des Caraïbes un bolide accompagné d'un son grave et irrégulier comme crépitant. L'un de nous trois ne l'avais pas vu et s'est retourné en entendant les son. son apparition et sa disparition étaient parfaitement synchronisés par rapport au son perçu. Autour de nous rien de particulier à part de la végétation, une voiture et une lunette. Nous ne savions pas comment il se faisait que le son et l'image étaient synchro. C'est ainsi que j'avais pris connaissance de ce phénomène. Ce que nous ne comprenons toujours pas c'est que le son provenait bien de la direction du bolide et non de l'environnement. J'avais acheté naïvement à l'époque un enregistreur à cassettes... comme si on avait le temps de déclencher dans ce cas 🙃 J'avais 38 ans j'en ai bientôt 61, je ne l'ai jamais entendu de nouveau. A l'époque la Nasa recensait les témoignages de sons électrophoniques et j'avais participé à ce sondage.0 point
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Merci les copains pour votre passage et vos com', je vois qu'on est plusieurs à aimer le Ton, paraît que c'est très bon pour la santé 😜0 point
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Bonjour à tous, voici mon 1er dessin lunaire, complétement improvisé. Je devais juste observer avec ma petite lunette. En 3 secondes j'ai franchi le pas et attrapé mes crayons! Je n'avais pas de programme, le dessin s'agrandissait au fur et à mesure, c'est pour cette raison qu'il n'est pas cadré. Je ne sais toujours pas comment poster l'image en direct...je verrai ce que ça va donner. je n'ai fais aucune correction après le dessin, c'est aussi pour ça que le fond n'est pas homogène. Apparemment j'ai réussi à mettre l'image en direct, cool0 point
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