Classement

Bonsoir à tous, J'ai mis un peu de temps à traiter, mais vu le volume de données et mes obligations professionelles, je n'avais pas le choix Je suis donc monté, la nuit du 9 au 10, à l'observatoire du mont d'arbois. Des conditions exceptionnelles étaient annoncées avec un jet stream de 10 ms..... et une fois encore j'ai dejanté, avec une turbu assez prononcée.... mais moindre que d'habitude cette saison J'ai donc commencé avec neptune, pour le fun, que l'on voit avec son satellite Triton Puis je suis allé sur Saturne Voici le seeing sur l'une des meilleures captures en monochrome J'ai fait 19x4min en couleur et monochrome. Voici la dérotation couleur sur 80 min, entre la 1ere et la dernière capture. Puis la dérotation Monochrome Et l'image finale en L+couleur Je suis ensuite passé sur Uranus, imagée ici en monchrome + filtre IR 685nm, permettant de reveler des détails sur le globe Puis j'ai été faire notre belle jupiter, elle est toujours très basse et très loin, mais le seeing étant meilleur que la dernière fois, cela permet un meilleur rendu. Puis au petit matin j'ai terminé par venus que j'ai imagé pendant 2h en monochrome en alternant filtre IR 685nm et B astrodon. En quelques chiffres cela donne ça http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/tongue.png : - fichier unitaire de 230k images et 90go en moyenne - 5 ser en IR et 4 en B - 1 to de données - 10h de stacking Voici donc le résultat en pratiquant une dérotation par filtre. Et l'image finale en fausses couleurs IR+B Cerise sur le gateau, avoir imagé venus sur une durée de 2h permet de mettre en évidence les mouvements de son atmosphère Voici l'animation en IR ...Et en B Voila, c'est tout pour aujourd'hui, en esperant que cela vous plaise Bon ciel à tous

Bonsoir ! Bon, ayant du retard de traitement, j'ai voulu quand même traiter mes dernière image, histoire de pas présenter les nébuleuses d'été...en hiver... Il s'agit donc de IC1590 dans Cassiopée, avec la CF-APO130 à 728mm (0.8x) et la minicam8, montée sur l'eq6r (fixe). Environ 9.5h de Ha, 5h de O3 et 5h de S2, par poses de 300". Malgré des débuts de nuits plutôt moyens en terme de seeing, la fwhm du Ha final est de 2.2", et les deux autres couches pas loin derrière (2.4") ! Donc au final pas mal. Pré-traitement Sirilic/Siril (1.4) avec Drizzle x2 - 0.5(frac) Traitement pix Staralign des 3 couches + Léger GradientCorrection BlurX Clonage Ha pour la Luminance Sur les Ha/S2/O3 : StarX et Histo-STF sur chaque, puis NoiseX SetiAstro NBStars to RGB -> stars Deux versions : RGBCombine + NBCalibration et Foraxx Mixage par ImageBlend Ajustements SelectiveColorCorrection ATrouWaveLet Sur la luminance Ha -> Stretch EZStretch "sfot", StarX puis NoiseX soft Ajustements GHS LRGBCombine StarReduction (après recombine) Export Starless pour réglage PL8 Assemblage Starless et Stars (reduites) sous PS + Denoise + Pikes. Voila voilà, à vous ! (clic pour le zoom)

Bonjour, Je vous présente le résultat de ma composition SHO sur la nébuleuse IC1396 autrement dit la nébuleuse de la trompe d'éléphant. Le tout fait sur 4 nuits avec la pleine lune... Pas l'idéal mais comme le ciel ne s'est pas montré clément depuis la mi-juillet, on fait feu de tout bois... Lights : - 90 x 300 sec avec un filtre Antlia OIII 3nm - 90 x 300 sec avec un filtre Antlia Ha 3nm - 90 x 300 sec avec un filtre Antlia SII 3nm Au total, 22,5 heures à barrir sous la lune 🌙. DOF : - 30 x 300 sec pour les darks - Offset synthétique - 30 flats en OIII - 30 flats en Ha - 30 flats en SII Setup : - Lunette WO RedCat 91/448 - Caméra ZWO ASI2600MM - gain 100 - refroidie à -10° - Monture AM5N - Autoguidage avec lunette guide 30/150 et ASI220MM - ASIAIR Plus Traitement avec Siril.

Une nouvelle version avec l'utilisation de LR et aussi GraXpert pour une autre déconvolution. Quelle est votre préférence (les goûts et les couleurs...) ?

Chaud mais assez stable hier matin dans mon coin de l'IDF, de quoi mitrailler les nombreuses (même si pas très grandes) taches ! 😍 Toujours au Soleye 300, Lunt 40 double stack et Player One IMX432 derrière Barlow et télécentrique (focale 13000mm, échantillonnage 0,14"/pix) Et en couleurs si on préfère...

Bonjour à tous ! Ma dernière image finie de capturer cette nuit, les objets Herbig-Haro du Pélican (HH). Un HH c'est une petite nébuleuse brillante qui se forme lorsqu’un jet de gaz éjecté par une étoile en formation entre en collision à grande vitesse avec le gaz et la poussière environnants (HH555 le plus évident sur l'image). Ces chocs chauffent le gaz et le font briller, c’est ce qu’on voit comme un objet Herbig-Haro. Ca donne ça : J'ai repéré les principaux mais il y en d'autres plus discrets. Newton 150/750 avec correcteur-réducteur x0.95, MiniCam8 (0.84"/pix). SHO par brutes de 5 minutes avec 3h35 en Ha et 2h30 pour la SII et la OIII puis 30 minutes pour chaque RVB (les étoiles), 10h05 TTC. NINA-Pix-Affinity Photo 2, le tout pour une image en palette Hubble.

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bonjour à tous le soleil tout chaud, venteux et tout calme du jour depuis l'observatoire Sirene sur le plateau d'Albion. A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm vers 15h50 HL a+ stéphane

merci à vous petite animation d'hier sur la zone où la grande tache a disparu , j'avais espéré un peu plus d'activité mais c'est resté plutôt calme. A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm 218 films de 600 images toutes les 30s entre 16h12 et 18h14 HL acquisition et autoguidage firecapture traitements AS!4 , photoshop, registax, virtualdub gif à la taille d'acquisition à 10 img/s a+ stéphane

Une image de la nuitdu 10/08 montrant les météores enregistrés par mes caméras de mon système GMN . le pic est prévu pour demain le nombre le plus élevé de météores est attendu le 12 août, à 13:15 GMT . Les caméras font un calcul de trajectoire pour contrôler l'origine de chaque "Etoile filante" ... la convergence des trajectoire nous indique la constellation de Persée comme origine visuelle...les météores s'appellent alors des Perseides . Cette année la lune n'aide pas...mais je fait aussi une captation radio que je vous ferais voir prochainement. Mes caméras tournent toute l'année toutes les nuits, pour voir et étudier toutes les pluies annuelles. J'essai depuis plusieurs années de faire des corrélations multi spectrale ( radio VHF, radio VLF ou ELF, video, et son ) , les météores ça a été le début de ma passion pour l'astro et ça continue depuis 20 ans ! Tout le matériel est installé aux Esperelles avec aussi un SQM Ninox pour faire des mesures demandées par le parc national des Cévennes pour le label RICE. On est Bortle 2. Hervé

Bonjour à tous, Je vous présente Le Grand Chariot ! Comme vous le savez tous, ou par malheur après acquisition, le SW 400 Flextube goto est un monstre de 95 kg absolument indéplaçable en un seul morceau ! Pour un collègue animateur astro pro, j'ai conçu un chariot de transport adapté aux besoins spécifiques de ses soirées d'animation et de ses déplacements sur terrains d'observation. Sans avoir à faire la moindre modification du télescope, il permet de déplacer l'instrument sans effort sur tout type de terrain. Posé sur son chariot, le télescope ne monte que de 6 mm par rapport à l'original sur ses pieds. Il permet aussi, une mise de niveau extrêmement précise. La base du dobson repose sur un cadre garni de caoutchouc et est complètement solidaire du chariot. En aucun cas, le télescope ne peut glisser et en sortir. Grâce à un levier avec verrou d'indexation, les roues sont rapidement réglables sur quatre niveaux : - position haute, stockage et transport en véhicule. - position 1, pour déplacer le scope sur sol plat, béton, bitume, etc. - position 2, pour se déplacer sur pelouse ou autre… - position 3, tous terrains. La garde au sol est de 80 mm, c'est très confortable. Une fois arrivé sur la place d'observation, on démonte les deux bras de brouette et l'ensemble des roues. C'est juste quatre broches à billes à enlever. La mise de niveau avec les trois pieds niveleurs est un vrai bonheur. Une fois celle-ci réalisée, on bloque les pieds avec les grosses molettes noires. C'est extrêmement stable, aucune vibration induite par ce système. Une fois les roues et les bras de portage enlevés, rien ne dépasse excessivement autour du socle et n'est gênant pour les observations. Pas de risque de se prendre les pieds dedans ou gêner la pose d'un escabeau. Du côté des roues se trouvent deux anneaux qui permettent d'accrocher les mousquetons d'un treuil électrique. Le chargement/déchargement avec des rampes, dans un véhicule équipé d'un treuil, est d'une facilité déconcertante… Grâce à des butées en caoutchouc fixées sur le socle, le tube reliant les deux roues empêche la fourche de tourner en azimut pendant le transport. Sur ces photos, elles n'étaient pas encore montées. Pour un autre collègue animateur, je vais m'attaquer maintenant à la version pour le SW 350. Après les premiers essais du modèle 400, j'ai déjà repéré quelques petites améliorations à faire que j'intégrerai sur celle du 350. Après une saison de tests en conditions réelles, je verrai ce qui est effectivement améliorable et envisagerai peut-être de le produire en petite série. Si certains d'entre vous seraient intéressés, contactez-moi par MP. D'autres photos avec le scope complet en situation suivront…

Bonjour à tous, Voici une prise sur deux nuits de pleine lune, les 9 et 10 août. Après beaucoup d'interrogation sur la cible, j'ai choisi le point d'interrogation. Assez loin de la lune et en nébuleuse en émission, bon pour un dual band. Le champ de la SQA 55 et le 2600MC permet de la faire entrer tout juste. C'est une HOO version libre, la zone contient assez peu d'OIII. Merci pour vos commentaires 🙂 Pascal 127 x 180s donc 6.35 h SQA55 focale 264 sur EQ6 R pro filtre idas NBZ Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight – BlurXterminator – GIMP Et la version annotée:

bonjour à tous, un soleil moins chaud qu'hier car les orages arrivent sur le plateau d'Albion A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm vers 12h50 HL a+ stéphane

Bonjour à tous, voici ma deuxième image de l'année sous le ciel breton à Pénestin (Morbihan). J'ai choisi la nébuleuse du Gecko qui est une cible que je ne connaissais pas mais dont mon amie Mary Bonell a fait une belle version sous le ciel ligérien. J'ai eu pas mal de soucis avec cette prise de vue car la pluie s'est invitée de façon inopinée dès la seconde nuit de prise de vue. Résultat : de l'eau entre les lentilles du quintuplet de la lunette Askar avec obligation de démonter, sécher et remonter soigneusement le tout... Mais, in fine, le résultat me semble assez sympa avec cette version du petit lézard qui, je l'espère, vous plaira aussi... Détails techniques : version HaRVB avec un total de 11h10mn pour la couche Ha et 18h45 pour le RVB. - Lunette Askar FRA500 (F500/D90) - Monture Celestron AVX - Mise en station QHY PoleMaster - Guidage ZWO120MM OAG + PHD2 - Focuseur Pegasus FocusCube 2 - Pilotage monture et Séquenceur : NINA - Prise de vue par caméra ZWO ASI 2600 MC PRO (gain 101, Température - 10°C, Offset 50) - Lights Ha 134x300s, RVB 225x300s, 50 DOF - Réduction des étoiles par la méthode suggérée par @Colmic - Empilement et prétraitement SIRIL - Traitement PixInsight, BlurXterminator et Noise Xterminator - Post-traitement Luminar NEO

bonjour à tous, A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm vers 12h50 HL ce 13 Aout a+ stéphane

Original et beau chalenge

J'ai pu tester cette tête binoculaire (la Bresser), fraîchement reçue du Bon Coin, hier soir quelques heures sur Saturne et sur la Lune. Pour moi c'est vraiment le caractère compensé qui a orienté mon choix, les concurrents nécessitant tous un correcteur qui multiplie la longueur focale. Je voulais pouvoir conserver mes oculaires sans changement de grossissement, et garder un maximum de simplicité. Je ne dirais pas que la tête est exempte de défauts, elle génère un peu de chromatisme (violet sur un oeil, jaune sur l'autre, c'est assez surprenant !), mais celui-ci n'est vraiment visible que sur le pourtour de la Lune. Je ne l'ai pas du tout ressenti sur Saturne, ni en me baladant dans les cratères de notre satellite. Elle génère également quelques reflets parasites, mais assez faibles et différents sur les deux yeux. Certains y seront peut-être allergiques, mais je m'y fais. Rien d'énorme non plus, je me souviens par exemple avoir été davantage gêné par les reflets à l'intérieur de mon zoom Baader Hyperion Mark IV que par ceux présents dans cette bino. Une fois cela noté, le piqué de l'image ne semble pas affecté (pour l'instant testée à 150x, je pousserai davantage une autre fois), et le gain de pouvoir observer avec les deux yeux est énorme par rapport à la légère dégradation. Je me demande aussi si le fait d'observer une moitié de miroir par oeil (c'est assez amusant quand on défocalise !), n'aide pas le cerveau à reconstituer une image moyenne plus nette, légèrement moins affectée par la turbulence. C'est un peu la sensation que j'ai eu, et ça pourrait me paraître logique puisqu'on dit que les petits diamètres sont moins sensibles à la turbulence, et qu'en l'occurence avec cette tête compensée, c'est un peu comme si on regardait dans deux miroirs distincts d'un diamètre (racine de 2) x plus petit. (soit 2x212mm pour un 300mm comme le mien). A vérifier auprès d'experts, ce ne sont que des suppositions purement spéculatives !

Salut, Nébuleuse de la bulle, pas de lune, cela devait être le 28 ou 29 juillet de cette année, et avec l'Asiair, lunette de suivi bien sur... J'attends que notre (amie) lune s'assombrisse pour renouveler une petite nuit dehors... Bonne journée et merci pour ton avis.

Commençons par des délires cartographiques : Projection de Mercator en plaçant un pôle dans l'océan indien, non loin de Madagascar Une idée de ce qu'est l'autosimilarité : Ici, les frontières ont été placées de telle sorte que dans le territoire de chaque pays, la capitale soit plus proche que celle des pays voisins : Les provinces canadiennes dont le nom peut être le prénom de votre enfant (oui - non mais ça va pas la tête ? peut-être - peut-être si vous êtes français - seulement pour des jumeaux) Le nom du pays peut-il être écrit avec des symboles de la classification périodique des éléments ? (oui - en partie - non) Poursuivons avec des délires tout court : Un peu en retard, mais bon... Rémy Cattelain, toujours aussi délirant (mais dommage, les 3/4 de ce qu'il fait sont des dessins politiques) : Je vous laisse déterminer les pourcentages sur ce paysage côtier et estival :

Très belle animation solaire !

Magnifiques détails , bravo !

Nuit exceptionnelle aujourd'hui (j'espère que l'heure d'envoi de ce message ne s'affichera pas tant j'en ai perdu la raison). Quasiment aucune turbulence, j'ai pu observer Saturne à 675x et avoir toujours une belle image ! Je reviens donc sur mon compte des craterlets : 8 !!! Pourtant l'arène de Platon était assez loin du terminateur. Sur la photo de référence : les 1 / 2 / 3 / 4 déjà vus, la séparation entre le 3 et le 4 se voyant comme le nez au milieu de la figure, le 6 entre le 1 et le 2, les 5 et 7 en haut à droite, et un des deux 6 en bas à gauche pas trop au bord. Je ne sais pas si vous m'avez suivi mais ça me servira de notes pour la prochaine fois ! Je découvre en tout cas que rien n'égale une absence de turbulence pour ce genre d'observation minutieuse... J'espère pouvoir y revenir quand l'arène sera plus proche du terminateur et plus contrastée, j'ose imaginer que dans de telles conditions j'aurais pu en apercevoir encore davantage...

Voici la V2 moins lumineuse 😃

...

Toujours propres tes images, bravo !

petite animation d'hier sur la zone où la grande tache a disparu , j'avais espéré un peu plus d'activité mais c'est resté plutôt calme. A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm 218 films de 600 images toutes les 30s entre 16h12 et 18h14 HL gif à la taille d'acquisition à 10 img/s a+ stéphane

IC 1848,dans la constellation de Cassiopée .avec lunette 102mm,asiairplus ,asi2600 . 80 brutes de 300s,mixages siril,dof,astrosurface,avec une forte lune a l'arriere

j'ai réduis un peut de couleur

Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh, toute ma jeunesse ! Une petite anecdote sur cette période. J'ai vu Pink Floyd le 7 décembre 1972 à Lille. "Dark Side Of The Moon" est sorti en 1973. C'était l'époque où les groupes jouaient encore leurs albums même avant leur sortie. Pour moi, c'est comme si c'était hier. Gilmour à quelques mètres, souriant, le cri de Waters sur Careful With That Axe Eugene, Mason et ses descentes de toms, Wright impassible derrière ses claviers, et encore un jeu de lumières minimaliste. Me.de, j'y étais ... Non, j'y suis toujours !

C'est ça, un spectro avec fente de 23µm. J'ai commencé il n'y a pas longtemps donc ma méthode est loin d'être au top ou du moins pas super efficace pour le cadrage. J'ai une lunette en parallèle qui est alignée au mieux possible avec l'instrument principal, un C9 (appelée caméra chercheur). Ca me permet de faire une astrométrie et de me caler assez proche de la cible recherchée mais forcément avec les différence de focales et la précision de l'alignement, ça tombe pas pile sur la fente. Et puis après, la plaque qui a la fente et qui se fixe devant la partie spectro est un miroir. Ca renvoie l'image vers la caméra de guidage via le module de guidage (un DO en fait). Ca montre la fente sur l'affichage de PHD2 (dans mon cas), il suffit de placer l'étoile ou l'objet dessus. Comme c'est sur la fente, la partie de lumière qui passe dedans va sur le prisme du spectro et donc sur la caméra dite "caméra science". Sur les objets et étoiles de forte luminosité c'est facile mais ça se complique avec un objet de faible luminosité... Il y a un quasar que je cherche encore pour lui tirer le portrait, je ne le trouve pas même à 30" cumulées. Faut que je recogite ma méthode ! la plaque miroir avec la fente qui se trouve devant la partie spectro. La pièce est pentue mais pas à 45° comme pour un DO qu'on utilise en imagerie CP. Ca envoie vers un autre miroir avant d'aller à la caméra du DO du module de guidage. Vue sur l'affichage du logiciel de guidage, la fente et l'objet qui est centré dessus. Le logiciel CCDciel permet d'exploiter les 3 caméras et de faire des centrages précis ainsi que le guidage. Pour l'instant je n'y arrive pas mais j'y travaille.. Aperçu de ce que certains font avec, c'est juste top !

La NASA a publié un communiqué, moins austère que l'abstract des papiers cités précédemment : https://science.nasa.gov/missions/webb/nasas-webb-finds-new-evidence-for-planet-around-closest-solar-twin/ (traduction automatique) Le télescope Webb de la NASA trouve de nouvelles preuves de la présence d’une planète autour du jumeau solaire le plus proche Des astronomes utilisant le télescope spatial James Webb de la NASA ont trouvé des preuves solides d’une planète géante en orbite autour d’une étoile du système stellaire le plus proche de notre propre Soleil. À seulement 4 années-lumière de la Terre, le système stellaire triple Alpha Centauri est depuis longtemps une cible incontournable dans la recherche de mondes au-delà de notre système solaire. Alpha Centauri, située dans le ciel le plus austral, est composée des étoiles binaires Alpha Centauri A et Alpha Centauri B, toutes deux semblables au Soleil, et de la faible étoile naine rouge Proxima Centauri. Alpha Centauri A est la troisième étoile la plus brillante du ciel nocturne. Bien qu’il y ait trois planètes confirmées en orbite autour de Proxima du Centaure, la présence d’autres mondes entourant Alpha Centauri A et Alpha Centauri B s’est avérée difficile à confirmer. Aujourd’hui, les observations de Webb à partir de son instrument MIRI (Mid-Infrared Instrument) fournissent la preuve la plus solide à ce jour d’une géante gazeuse en orbite autour d’Alpha Centauri A. Les résultats ont été acceptés dans une série de deux articles dans The Astrophysical Journal Letters. Si cela se confirme, la planète serait la plus proche de la Terre qui orbite dans la zone habitable d’une étoile semblable au Soleil. Cependant, parce que la planète candidate est une géante gazeuse, les scientifiques disent qu’elle ne soutiendrait pas la vie telle que nous la connaissons. « Ce système étant si proche de nous, toute exoplanète trouvée nous offrirait la meilleure occasion de collecter des données sur des systèmes planétaires autres que le nôtre. Pourtant, ce sont des observations incroyablement difficiles à faire, même avec le télescope spatial le plus puissant du monde, car ces étoiles sont si brillantes, proches et se déplacent rapidement dans le ciel », a déclaré Charles Beichman, du Jet Propulsion Laboratory de la NASA et de l’Institut des sciences des exoplanètes de la NASA au centre d’astronomie IPAC de Caltech, co-premier auteur des nouveaux articles. « Webb a été conçu et optimisé pour trouver les galaxies les plus éloignées de l’univers. L’équipe des opérations du Space Telescope Science Institute a dû mettre au point une séquence d’observation personnalisée pour cette cible, et leurs efforts supplémentaires ont porté leurs fruits de manière spectaculaire. Plusieurs séries d’observations méticuleusement planifiées par Webb, une analyse minutieuse par l’équipe de recherche et une modélisation informatique approfondie ont permis de déterminer que la source vue dans l’image de Webb est probablement une planète, et non un objet d’arrière-plan (comme une galaxie), un objet au premier plan (un astéroïde de passage) ou un autre détecteur ou artefact d’image. Les premières observations du système ont eu lieu en août 2024, à l’aide du masque corongraphique à bord de MIRI pour bloquer la lumière d’Alpha Centauri A. Alors que la luminosité supplémentaire de l’étoile compagnon voisine Alpha Centauri B a compliqué l’analyse, l’équipe a pu soustraire la lumière des deux étoiles pour révéler un objet plus de 10 000 fois plus faible qu’Alpha Centauri A, séparé de l’étoile par environ deux fois la distance entre le Soleil et la Terre. Bien que la détection initiale ait été passionnante, l’équipe de recherche avait besoin de plus de données pour arriver à une conclusion ferme. Cependant, des observations supplémentaires du système en février 2025 et avril 2025 (à l’aide du temps discrétionnaire du directeur) n’ont pas révélé d’objets semblables à celui identifié en août 2024. « Nous sommes confrontés au cas d’une planète qui disparaît ! Pour enquêter sur ce mystère, nous avons utilisé des modèles informatiques pour simuler des millions d’orbites potentielles, en incorporant les connaissances acquises lorsque nous avons vu la planète, ainsi que lorsque nous ne l’avons pas vue", a déclaré le doctorant Aniket Sanghi de Caltech à Pasadena, en Californie. Sanghi est co-premier auteur des deux articles couvrant les recherches de l’équipe. Dans ces simulations, l’équipe a pris en compte à la fois une observation en 2019 de l’exoplanète candidate potentielle par le Very Large Telescope de l’Observatoire européen austral, les nouvelles données de Webb, et a pris en compte des orbites qui seraient gravitationnellement stables en présence d’Alpha Centauri B, ce qui signifie que la planète ne serait pas éjectée du système. Les chercheurs disent qu’une non-détection dans les deuxième et troisième séries d’observations avec Webb n’est pas surprenante. « Nous avons constaté que dans la moitié des orbites possibles simulées, la planète s’est trop rapprochée de l’étoile et n’aurait pas été visible par Webb en février et avril 2025 », a déclaré Sanghi. Sur la base de la luminosité de la planète dans les observations dans l’infrarouge moyen et les simulations d’orbite, les chercheurs disent qu’il pourrait s’agir d’une géante gazeuse d’environ la masse de Saturne en orbite autour d’Alpha Centauri A sur une trajectoire elliptique variant entre 1 à 2 fois la distance entre le Soleil et la Terre. « Si cela est confirmé, la planète potentielle vue dans l’image Webb d’Alpha Centauri A marquerait une nouvelle étape pour les efforts d’imagerie des exoplanètes », a déclaré Sanghi. "De toutes les planètes directement imagées, ce serait la plus proche de son étoile vue jusqu’à présent. C’est aussi la plus similaire en termes de température et d’âge aux planètes géantes de notre système solaire, et la plus proche de notre maison, la Terre », dit-il. « Son existence même dans un système de deux étoiles étroitement séparées remettrait en question notre compréhension de la formation, de la survie et de l’évolution des planètes dans des environnements chaotiques. » S’ils sont confirmés par des observations supplémentaires, les résultats de l’équipe pourraient transformer l’avenir de la science des exoplanètes. « Cela deviendrait un objet de référence pour la science des exoplanètes, avec de multiples possibilités de caractérisation détaillée par Webb et d’autres observatoires », a déclaré Beichman. Par exemple, le télescope spatial Nancy Grace Roman de la NASA, dont le lancement est prévu en mai 2027 et potentiellement dès l’automne 2026, est équipé d’un matériel dédié qui testera de nouvelles technologies pour observer des systèmes binaires comme Alpha Centauri à la recherche d’autres mondes. Les données de Roman sur la lumière visible compléteront les observations infrarouges de Webb, fournissant des informations uniques sur la taille et la réflectivité de la planète. Cette image à trois panneaux capture la recherche observationnelle d’une planète autour de l’étoile semblable au Soleil la plus proche, Alpha Centauri A, du télescope spatial James Webb de la NASA. L’image initiale montre l’éblouissement d’Alpha Centauri A et d’Alpha Centauri B, et le panneau central montre ensuite le système avec un masque corongraphique placé sur Alpha Centauri A pour bloquer son éblouissement. Cependant, la façon dont la lumière se courbe sur les bords du coronographe crée des ondulations de lumière dans l’espace environnant. L’optique du télescope (ses miroirs et ses structures de support) fait interférer une partie de la lumière avec elle-même, produisant des motifs circulaires et en forme de rayon. Ces motifs lumineux complexes, ainsi que la lumière de l’Alpha Centauri B voisin, rendent incroyablement difficile le repérage des planètes faibles. Dans le panneau de droite, les astronomes ont soustrait les motifs connus (à l’aide d’images de référence et d’algorithmes) pour nettoyer l’image et révéler des sources faibles comme la planète candidate.

Il faut réaligner sur une étoile. La procédure plus longue d’alignement sur 4 étoiles ne doit être faite que si l’on change l’orientation de l’axe optique par rapport à celle du boîtier.

A la demande générale, la même avec des flats !

Super tube, oui et non, c'est un Meade 400mm, j'ai mis 2 ans à lui faire une collimation au top, trefoil dessus. Par compte superbes optiques. Super seeing cette nuit.... Non clairement pas, turbulences et mauvaise transparence. Super site en montagne, oui et non. On est à 1800m do'c c'est top par compte y a un truc de 4810m juste a côté, le mont blanc, qui a sa propre météo, donc c'est quit ou double, soit ça turbule de fou, soit ça agit comme stabilisateur et tu rigoles 😜. Super astro photographe... Je te laisse seul juge 😉 Merci ! 😊

Je pense qu'il faut que tu prennes cette version : Mais rien à voir avec l'accès réseau au Rpi4 C'est juste que la dernière version du soft Allsky semble réclamer du 64bits (un pote a eu des soucis avec la 32bits) Fais aussi un test de PING vers ton Rpi4 et donne le résultat

Je viens de les regarder/admirer à nouveau et Saturne, entre autres, est juste magnifique 😱 et les autres (en particulier Neptune, qui m'a bien scotché quand j'ai ouvert ton post) ne sont pas en reste... Quel est ton secret: un super tube optique, un super seeing cette nuit là, un super site en montagne, un super astrophotographe planétaire? Pour la dernière supposition j'ai le réponse 😉 Merci pour le partage👍

un plus pour la seconde version !

Et ben... En parlant de nostalgie... Entre Pleumeur-Bodou (je passais 1 mois en été à Trébeurden), Pink Floyd - Dark Side Of The Moon (que j'ai du écouter une centaine de fois)... Le tout allié à ma passion. Cà me donne beaucoup d'envies!

600mm : du centre de la lentille avant au plan focal. Et visiblement, en bout du porte oculaire, tu n'es pas encore arrivé au plan focal. Avec ma 80ED Evostar, idem, impossible d'obtenir une mise au point sans le renvoi coudé (ou à minima une bonne longueur de tubes allonge).

tu n'auras pas le même point de réglage de mise au point entre un objet "proche" comme une lumière sur la montagne en face de toi et un objet céleste beaucoup plus loin ! ces lunettes sont plutôt destinées à être utilisée en observation céleste et non terrestre (d'où la difficulté de mise au point en terrestre!) ça n'a rien à voir avec ton "problème" technique .... qui est plutôt un défaut d'utilisation CQFD pour de l'observation terrestre éventuellement, mais pour de l'observation astronomique : aucun intérêt

Je ne connaissais pas ce panneau. Et vous ? Il est en face de chez Sanofi à Vitry sur Seine ! Interro: que doit-on faire lorsqu'on rencontre ce panneau ? A- Faire demi-tour à toute allure. B- Appeler le 18 C- Hausser les épaules et continuer sa route.

Oui, c'est un "premier du nom", le mien et je l'ai utilisé à l'époque avec mon C9 Hyperstar, donc à f/2.2. C'était nickel... Maintenant, je ne sais pas ce que vaut la nouvelle version. Pas testée. Oui, je l'adore Pour moi, c'est souvent le OIII... Avec le duo NBZ / NB3 (qui ne se fait plus et très dur à trouver, donc vaut mieux viser une autre marque), on a un filtre Ha-OIII et l'autre SII-OIII... mais... malheureusement, le OIII du filtre NB3 (celui qui fait le SII) est plus large en bande passante, donc souvent il est juste bon à jeter. Cela équilibre l'image (pour moi qui fait du VA), mais si je veux traiter l'image ensuite (en mode "astrophoto", donc), le OIII de ce filtre ne me sert souvent à rien (dommage !). Conclusion : en choisissant ton set, mieux vaut vérifier si le OIII (qui est souvent en commun) a la même bande passante sur les deux filtres... comme ça, tu pourras le cumuler, et ce sera top !

Petite suite après le passage dans le plan des anneaux en 2025. GSO N250/5 + x2 + Asi585MCPro + Wave150i (25% conservées de 5000 images, turbu acceptable et traitement intégral avec Astrosurface V5)

J'ai eu le plaisir de voir ce film au planétarium de la cité des sciences de la Villette, au cours des dernières RCE. Ah nostalgie quand tu nous tiens ! J'ai eu aussi le plaisir de voir Pink Floyd au château de Versailles en 1988 ! Grandiose ! 4 millions de watts en quadri phonie !

Merci les astro amis. Photo avec flats à suivre!

Bonnes vacances Alexis! .... Sympa ce petit microscope de poche...peu encombrant et facile à utiliser apparemment 👍

Hello, petit coucou depuis des vacances retirées en Haute-Marne dans le parc national de Forêts. Au passage un ciel excellent 😋 même si la Lune... Un ami a offert un petit microscope de poche à ma plus grande fille, j'étais perplexe mais l'objet est finalement plutôt efficace. Plaisir garanti lors des balades en forêt 👌. Un exemple de vue au travers, photo prise au smartphone d'une feuille de papier essuie-tout, à 60 puis 120x : On voit que le champ apparent augmente avec le grossissement (comme avec les oculaires zoom astro) et qu'il y a bien sûr du chromatisme pour le prix mais l'image est assez plaisante. La mise au point est agréable et la lumière led qui éclaire l'objet est très efficace. Le site du fabricant (bien qu'il soit disponible plus ou moins partout sur le net) : https://carson-france.fr/microscopes-de-poche/5650-microbrite-plus-0750668011176.html 🙂

Petit footing hier et levé de notre Sélène , elle rougit en voyant sont pote d'en face coucher du soleil, à droite les dentelles de Montmirail pour ceux qui connaissent

Le fait de monter les ISO va réduire aussi la plage dynamique. Tu vas aussi réduire la capture du signal faible des objets... Et augmenter le bruit, comme certains te l'on dit. Vraiment, pouvoir faire du suivi avec une monture permet de monter très largement le temps d'expo, suivant la focale et la monture. Ca change énormément de choses...

NCN 2025 Un petit moment de bonheur ! Un grand bravo et merci pour l’organisation. NCN 2025.mov