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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 08/27/25 dans toutes les zones

  1. Salut le forum, En retrait depuis quelques temps, je voulais quand même faire ce petit récap. des phénomènes de transit des satellites saturniens puisque cette année y est très favorable. Il faut donc en profiter ! Là je me suis concentré sur les 4 gros satellites : Titan, Rhéa, Théthys et Dioné. Les ombres portés et les passages de Mimas et Encelade sont eux réservés à de gros calibres (350/400 mm et plus) et des conditions de seeing exceptionnel. Alors à vos yeux et caméras... SEPTEMBRE 2025 (horaires HL : TU + 2h) : --------------------------------------------------------------------------------------------------------- Horaires à quelques minutes près !! Penser à préparer sa session d'avance... 4 Septembre : Titan proche du Globe de Saturne en fin de nuit. 4 - 5 Septembre : Transit de Rhéa puis de Dioné. Transit partiel de l'ombre de Rhéa puis de Rhéa (début : lever - fin : 0 H 15 le 05/09) Transit de l'ombre de Dioné puis de Dioné (début : 23 H 52 le 04/09 - fin : à 3 H 15 le 05/09) Double ombre projetée entre 23 H 52 et 23 H 55 le 04/09. 8 Septembre : début du transit de Thétys Transit partiel de l'ombre de Téthys puis de Téthys (début : 4 H 55 - fin : coucher) 11 - 12 Septembre : Titan très proche du Globe de Saturne dès son lever. Passage dans l'ombre de Saturne vers 5 H 25. Transit de l'ombre de Téthys puis de Téthys (début : 23 H 30 le 11/09 - fin : 2 H 30 le 12/09). 13 Septembre : début du transit de Dioné Transit partiel de l'ombre de Dioné puis de Dioné (début : 4 H 55 - fin : coucher). 13 - 14 Septembre : Transit de Rhéa Transit de l'ombre de Rhéa puis de Rhéa (début : 21 H 30 le 13/09 - fin : 1 H 10 le 14/09). 15 - 16 Septembre : transit de Dioné Transit de l'ombre de Dioné puis de Dioné (début : 22 H 40 le 15/09 - fin : 2 H 00 le 16/09). 20 Septembre : Titan de plus en plus proche du Globe de Saturne, début d'ombre de Titan puis début transit en toute fin de nuit vers 6 H 40 HL synchronisé avec celui d'Encelade. 22 - 23 Septembre : Transit de Rhéa Transit de l'ombre de Rhéa puis de Rhéa (début : 21 H 55 le 22/09 - fin : 1 H 45 le 23/09). 24 Septembre : Transit de Dioné Transit de l'ombre de Dioné puis de Dioné (début : 3 H 45 - fin : 6 H 55). 25 Septembre : Début du transit de Téthys Début du transit de l'ombre de Téthys puis de Téthys (début : 4 H 40 - fin : coucher). 26 - 27 Septembre : Transit de Dioné Transit de l'ombre de Dioné puis de Dioné (début : 21 H 25 le 26/09 - fin : 0 H 40 le 27/09). 28 Septembre : Proximité de Titan. Titan très proche de Saturne en 2e partie de nuit puis éclipse par le globe de Saturne à partir de 3 H 45. 29 Septembre : Transit de Téthys Transit de l'ombre de Téthys puis de Téthys (début : 23 H 15 le 26/09 - fin : 2 H 20 le 29/09). Albéric
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  2. Voyage sous les cieux noirs de France Quatre nuits, quatre terres, quatre voyages au cœur du ciel profond. C’est ainsi qu’a pris forme cette fresque céleste, un véritable patchwork d’astres et de lumière façonné sous certains des plus beaux ciels de France. D'abord dans le Cantal où les montagnes se sont effacées devant l’immensité de la Voie lactée. La première tuile, capturée au-dessus des reliefs endormis, a ouvert la voie à ce voyage photographique. Puis en Dordogne, sous des vallons boisés et silencieux, le ciel s’est révélé d’une profondeur saisissante, offrant une richesse de signal que seul un ciel bien noir sait livrer. Ensuite la Creuse, ici c’est la quiétude des grands plateaux qui a accompagné les heures de pose, un silence seulement brisé par le cliquetis discret du matériel tourné vers les nébuleuses. Un ciel de toute beauté. Enfin, en Haute-Loire, dans l’air vif des nuits d’altitude, les dernières données sont venues compléter ce puzzle astronomique, comme un fil d’or reliant chaque région à l’autre. La cible, Sh2-126 et LBN 437 & 438, est une fresque subtile où se mêlent l’hydrogène et l’oxygène ionisés, mais aussi les voiles délicats des nébuleuses obscures. C’est une région où la lumière et l’ombre se confondent, où les nuages interstellaires dessinent une danse immobile à l’échelle de milliers d’années. Réalisée en HOO rehaussé de RVB, l’image finale est le fruit d’une persévérance : 4 nuits, 4 lieux, et des heures d’exposition patiemment collectées. Elle raconte une aventure à la fois terrestre et céleste, où chaque déplacement sous un nouveau ciel apportait sa part de lumière à l’ensemble. C’est ainsi qu’est née cette fresque : Filtre Antlia ALP-T Ha/OIII, Ultra RVB : 88x300s + 98x180s : ZWO Asiair Plus : Askar FRA600 f/3.9 : ZWO ASI6200Mc Pro à -10° : iOptron GEM45 : Siril - PixInsight - Photoshop : Cantal - Dordogne - Creuse - Haute-Loire : Bortle 2.6 : du 15 au 25/08/2025 La version full https://flic.kr/p/2rpXnJQ
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  3. https://esawebb.org/news/weic2517/ traduction automatique : Webb étudie le cœur complexe d’un papillon cosmique Le télescope spatial James Webb de la NASA, de l’ESA et de l’ASC a révélé de nouveaux détails dans le noyau de la nébuleuse du Papillon, NGC 6302. Du tore dense et poussiéreux qui entoure l’étoile cachée au centre de la nébuleuse à ses jets sortants, les observations de Webb révèlent de nombreuses nouvelles découvertes qui dressent un portrait inédit d’une nébuleuse planétaire dynamique et structurée. La nébuleuse du Papillon, située à environ 3400 années-lumière dans la constellation du Scorpion, est l’une des nébuleuses planétaires les mieux étudiées de notre galaxie. Cette nébuleuse étonnante a déjà été photographiée par le télescope spatial Hubble de la NASA et de l’ESA. Maintenant, Webb a capturé une nouvelle vue de cette nébuleuse. (...) Cette nouvelle image de Webb zoome sur le centre de la nébuleuse du Papillon et son tore poussiéreux, offrant une vue sans précédent de sa structure complexe. L’image utilise les données de l’instrument MIRI (Mid-InfraRed Instrument) de Webb fonctionnant en mode unité de terrain intégrale. Ce mode combine une caméra et un spectrographe pour prendre des images à plusieurs longueurs d’onde différentes simultanément, révélant comment l’apparence d’un objet change avec la longueur d’onde. L’équipe de recherche a complété les observations de Webb avec des données provenant de l’Atacama Large Millimeter/submillimeter Array, un puissant réseau d’antennes radioélectriques. Les chercheurs analysant ces données Webb ont identifié près de 200 raies spectrales, chacune contenant des informations sur les atomes et les molécules de la nébuleuse. Ces lignes révèlent des structures imbriquées et interconnectées tracées par différentes espèces chimiques. L’équipe de recherche a localisé l’emplacement de l’étoile centrale de la nébuleuse du Papillon, qui chauffe un nuage de poussière jusque-là non détecté autour d’elle, ce qui fait briller ce dernier dans les longueurs d’onde de l’infrarouge moyen auxquelles MIRI est sensible. L’emplacement de l’étoile centrale de la nébuleuse est resté insaisissable jusqu’à présent, car cette poussière enveloppante la rend invisible aux longueurs d’onde optiques. Les recherches précédentes de l’étoile n’avaient pas la combinaison de sensibilité infrarouge et de résolution nécessaire pour repérer son nuage de poussière chaude obscurcissant. Avec une température de 220 000 Kelvin, c’est l’une des étoiles centrales les plus chaudes connues dans une nébuleuse planétaire de notre galaxie. Ce moteur stellaire flamboyant est responsable de la magnifique lueur de la nébuleuse, mais sa pleine puissance peut être canalisée par la bande dense de gaz poussiéreux qui l’entoure : le tore. Les nouvelles données de Webb montrent que le tore est composé de silicates cristallins comme le quartz ainsi que de grains de poussière de forme irrégulière. Les grains de poussière ont des tailles de l’ordre d’un millionième de mètre - grandes, en ce qui concerne la poussière cosmique - indiquant qu’ils grandissent depuis longtemps. À l’extérieur du tore, l’émission de différents atomes et molécules prend une structure multicouche. Les ions qui nécessitent la plus grande quantité d’énergie pour se former sont concentrés près du centre, tandis que ceux qui nécessitent moins d’énergie se trouvent plus loin de l’étoile centrale. Le fer et le nickel sont particulièrement intéressants, traçant une paire de jets qui s’envolent de l’étoile dans des directions opposées. Curieusement, l’équipe a également repéré la lumière émise par des molécules à base de carbone connues sous le nom d’hydrocarbures aromatiques polycycliques, ou HAP. Ils forment des structures plates en forme d’anneau, un peu comme les formes en nid d’abeille que l’on trouve dans les ruches. Sur Terre, nous trouvons souvent des HAP dans la fumée des feux de camp, des gaz d’échappement des voitures ou des toasts brûlés. Étant donné l’emplacement des HAP, l’équipe de recherche soupçonne que ces molécules se forment lorsqu’une « bulle » de vent de l’étoile centrale éclate dans le gaz qui l’entoure. Il s’agit peut-être de la toute première preuve de la formation de HAP dans une nébuleuse planétaire riche en oxygène, ce qui donne un aperçu important des détails de la formation de ces molécules. Les résultats ont été publiés aujourd’hui dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.
    3 points
  4. Bonjour a toutes et a tous, suite a un manque cruel de temps pour moi, j'arrive a trouver 5 min pour vous partager cet empilement de saturne (prise il y a presque 1 ans maintenant). j'utilise un C11 et une asi 385 mc. Pour les logiciel, vu que je suis sur linux, pour le moment je traite qu'avec ASICap et autostakker. j'aimerai bien des retours constructif sur comment m'ameliorer pour l'acquisition et le traitement (si il y a un equivalent a astrosurface sur linux?). Merci a vous 2024-09-14-2144_8-Saturn_nodri_SHAP_lapl5_ap47_conv.tif
    2 points
  5. Bonjour à tous, Je vous partage ma dernière photo, environ 26h de pose sur le mois d'Août Voilà une cible que je n'avais plus fait depuis mes débuts. J'adore cette cible mais il m'avais déjà donner du fil a retordre au traitement à l'époque. J'avais envie de l'a refaire pour un premier "gros" projet avec mon nouvel instrument : un CDK de 400mm à F/7 d'artisan par Paul Fays-Long de Gallifrey Optics Astrobin : https://astrob.in/ba7tjm/C/ C'est également l'une des premières photos de mon observatoire personnel qui est en service mais qui n'est pas complétement terminé. J'espère qu'elle vous plaira autant qu'elle me plaît....
    2 points
  6. Bonjour, Après vous avoir présenté l'année dernière une Nébuleuse de la Rosette en couleur "normales" (RGB one shot color) (voir sujet ci dessous), voici les versions HOO, SOO et SHO issues de deux nuits d'imagerie avec des filtres dualband 31/03/2025 --> Utilisation du filtre dualband Altaïr Ha+Oiii 4nm pour la version HOO 01/04/2025 --> Utilisation du filtre dualband Altaïr Sii+Oiii 4nm pour la version SOO Combinaisons des couches des deux sessions pour la version SHO Détail du matériel: - télescope: SW Equinox 80/500 - réducteur: TRF-2008 x0.8 - camera: Player One Poseidon-C - monture: SW AZ-EQ6 - guidage: OAG + ASI290mm - filtres dualband Altair Ha+Oiii et Sii+Oiii Capture via Kstars/Ekos/Indi sur Raspberry (Nafabox) Traitement: Siril et Gimp Les images: Version HOO - Lights: 90x120s gain 125 offset 25 temp -10°C - DOF: 50/50/40 Version SOO - Lights: 90x120s gain 125 offset 25 temp -10°C - DOF: 50/50/40 Version SHO Combinaison avec les couches HA et Sii ci dessus. Pour la couche Oiii utilisation des 180 Lights Les images postées ici sont en jpeg, réduites en taille (hauteur et largeur divisée par 2) HOO SOO SHO Cordialement, Stéphane
    2 points
  7. Salut à tous, Ca y est j'ai enfin pu tester mon montage double stack de Lunt40 derrière le C8 Ca change un peu de la FSQ85 Seulement deux misérables images, une pour la session de samedi 23/08 et une pour la session dimanche 24/08 J'ai l'impression de tout devoir réapprendre Version en fausse couleur pour ceux qui préfèrent: Ce fut une véritable galère pour arriver à faire la mise au point (pas mal de turbulence) Sur ces deux essais le CPL (filtre polarisant circulaire) entre les deux étalons Lunt semble n'apporter qu'une perte de signal (et donc m'obligé pousser le gain) Donc à réessayer une autre fois dans de meilleures conditions ! A+ Jérôme
    2 points
  8. NGC 6823 est un très jeune amas ouvert situé dans la constellation du Petit Renard. Nuits du 17, 18, 24 et 25 Août 2025 Monture HEQ5 + Polemaster Lunette TS PHOTOLINE 80 / 560 avec coma TS2,5 : 566 mm à F/7 Caméra : Altair-Astro 183 MM ProTec refroidie à -15° Baader H-alpha 7nm : 60 x 300 sec Bin 1x1 -> 5H00 Baader O3 8.5nm : 60 x 300 sec Bin 1x1 -> 5H00 Baader S2 8nm : 59 x 300 sec Bin 1x -> 4H55 ZWO ANTLIA Rouge : 11 x 120 sec -> 0H22 ZWO ANTLIA Vert : 9 x 120 sec -> 0H18 ZWO ANTLIA Bleu : 9 x 120 sec -> 0H18 Exposition totale 15 heures 51 minutes Traitement Siril + Photoshop
    2 points
  9. Fin juin dans la douceur de la nuit estivale sur les galets d’une crique de l’Esterel (83) Canon R8 + 16-35mm à 16mm f:2.8 ISO 6400 14“ . 16 images empilées sous StarryLandscapeStacker. Premier plan éclairé par la torche de mon iPhone à l’intensité minimum.
    2 points
  10. Maintenant les prédictions lui donnent une magnitude de -2 à son périhélie Évidemment il faut prendre ça avec des pincettes, on les connaît les ptites comètes qui font de l'œil et puis qui font pschit par la suite... Deux possibilités : soit il s'agit d'un sursaut, et on reviendra à une situation « normale » d'ici quelques jours ou semaines, soit son activité est bel et bien plus importante que prévu, et dans ce cas cela pourrait être un feu d'artifice fin octobre / début novembre. À suivre !
    2 points
  11. bonjour une autre version de M31 Yves
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  12. Bonjour à tous. Le seeing était couci-couça mais voici quelques photos prises il y'a deux jours en proche-UV et en Cak. L'occasion d'inaugurer l'imx 585 mm en solaire et de surveiller les grosses taches qui arrivent...
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  13. Bonjour à tous, Une belle nuit de nouvelle lune hier soir m'a permis de continuer la série des nébuleuses sombres de Céphée et de shooter la nébuleuse de l'Hippocampe (LDN1082) que j'avais sur mes tablettes depuis un moment. Comme d'habitude pour ces nébuleuses plutôt diffuses, j'ai utilisé mon newton associé avec le réducteur Starizona 0,75x. Newton ONTC 200/900 + réducteur de focale Starizona 0.75 (soit une focale exacte de 650mm) Caméra ASI2600MC + filtre UV/IR-cut Monture Ioptron CEM40 Pilotage avec un Asiair Pro Traitement Pixinsight 125x180s: Nico
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  14. Bonjour tout le monde, Après 1 bon mois de pluie et mauvais temps en Suisse, me revoilà avec la galaxie d'Andromède. Lunette: Sky-Watcher 80ed avec réducteur/correcteur 0.85x donc 510mm de focale Caméra: Canon EOS 600D partiellement défiltré Monture: EQ6-R Pro Lights: 153 x 60sec pour une durée totale de ~3h (j'ai dû supprimé 83 photos à cause de nuages 😵) DOF: ~30 de chaque Ciel: Bortle 4 Voilà 2 versions avec des teintes différentes, intéressé par ce que vous en pensez. Merci beaucoup.
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  15. J'y suis finalement arrivé grâce au Chat de Mistra AI. Ca a pas été simple... -Je lui ai donné les dimensions, orientations, et coordonnées des centres des 2 ellipses. -je lui ai demandé ensuite de rejoindre les bords pour faire un volume. Il a trouvé de lui-même que c'était un cylindre elliptique oblique -je lui ai demandé ensuite de le dérouler autour de son axe, pour avoir les formules de ces bordures sous la forme y=f(x) A partir de là, il a retrouvé les équations de Jason D, qui ne sont pas bonnes. -j'ai du lui préciser qu'il fallait que la distance entre les tangentes ayant la plus forte pente devait être de 10mm. Il m'a trouvé des formules, mais qui faisait que la plus grande distance était de 17mm et des brouettes, et pas 10mm/sin(pi/4)... -je lui ai donc demandé de respecter çà... Sauf qu'il n'a plus respecté l'autre distance -je lui ai donc demandé de respecter les 2 contraintes... Sauf qu'il prenait une distance horizontale de 10mm entre les tangentes -je lui ai donc dit que c'était la distance perpendiculaire qui devait faire 10mm... ET ENFIN IL A TROUVE! Je mets à jour le post d'origine, et j'ajoute le fichier.
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  16. Salut, je sais pas si je vais arriver à détroner notre Momo National @Archer92 et son cocon, mais je vais essayer.... Avant hier, après avoir fait ma 20ène de poses en Ha sur NGC6946, j'ai voulu refaire IC5146 en RVB que je n'ai encore pas encore faite au T350 avec 55 poses de 240 Sec sur l'ASI6200. Donc la voici: en starless, ça donne ça: A l'époque je l'avais faite au C14 EdgeHD Hyperstar avec une KAI11000 couleur: Ca fait une belle évolution je trouve. A vos commentaires a+ Serge
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  17. Avec un objectif grand angle (35mm) et très ouvert (F/1,4) j'ai voulu tenté l'expérience d'images en poses courtes afin de palier à l'absence de monture. Pour mon Canon EOS Rp (non défiltré) et la focale de 35mm, le calcul du temps d'exposition pour avoir des étoiles sans filé donne entre 3 & 6s. J'ai donc choisi 6s de poses et j'ai empilé 48 images pour faire le test. Evidemment, la prochaine fois j'accumulerais plus de poses... Le plus délicat pour moi, a été de réussir une mise au point correcte car le masque de Bathimov ne m'a pas vraiment aidé avec cette focale et l'APN... Voici donc l'image, mais je suis intéressé par vos commentaires et retour d'expérience sur ce genre de pratique afin de faire mieux la prochaine fois.
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  18. Bonjour @AmineH, Si vous souhaitez vendre votre miroir plus facilement, mettez alors votre annonce dans le Grenier du site. Ce sera bien plus visible que dans un post. C'est ici : https://www.webastro.net/petites_annonces/ Si vous vous lancez dans l'astrophoto, commencez par définir vos cibles préférées. De là vous choisirez le capteur le plus adapté à ces cibles. Ce capteur vous donnera alors la valeur de l’échantillonnage. Il ne vous restera alors plus qu'à choisir le tube, télescope ou lunette, qui a la même valeur d’échantillonnage. En tout état de cause, c'est la monture avec ses performances de suivi, qui fixera le niveau de qualité atteignable par l'ensemble de votre setup surtout dans le cas du ciel profond. L'astrophoto planétaire, de par les techniques employées, est moins critique à cet égard. Ney
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  19. Le vol a rempli l'essentiel des objectifs, aussi bien pour le booster que pour le ship. On va attendre la suite.
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  20. VOilà la nouvelle bestiole: QHYminicam8 En gros une roue à filtres 8 positions avec une caméra astro refroidie intégrée. J'ai pris la version "combo": capteur mono + filtres LRGB/SHO installation des filtres: De bas en haut, de gauche à droite on a: L R G B S H O Pince fournie pour la manipulation des filtres: Tout est installé: Y a plus qu'à tout refermer: La sortie est en CS et pas en 1.25", c'est tout pitit. Adaptateur CS/2" fourni: J'ai aussi un adaptateur perso en CS/M42: Je vais pouvoir mettre mon porte filtre ZWO 2": ça y est j'entends au fond "hé mais il est teubé lui, il a déjà une roue à filtres intégré, il a rien compris comme d'hab" Mouais ben si c'est réfléchi. En position "1" de la RAF il y a normalement une plaque métal noire pour faire des darks et accessoirement protéger le capteur de la caméra. Je l'ai retirée et comme ça, dans mon porte filtre ZWO 2" je vais pouvoir mettre d'autres filtres pour faire du planétaire / lunaire / solaire, sans avoir besoin de découper en rectangle certains de mes filtres. Par exemple des IR 642/685/720/742/850nm pour la lune turbulente ou le Continuum 540nm pour le solaire Le tiroir accepte les filtres 2" mais j'ai un adaptateur 2" / 1.25" Ouhla je viens de me rendre compte qu'avec toutes ces nouveautés, le compteur de temps pourri est passé à 4 semaines.....j'arrête là sinon je vais prendre cher....
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  21. J'utilise aussi le prisme de Herschel de Lunt en 1.25", il est vendu complet et sécurisé donc avec son filtre interne ND3 non démontable (très important) et celà afin d'atténuer encore le flux en sortie du prisme qui lui est équivalent à un filtre ND 1.3. Donc pas de soucis vos yeux sont en parfaite sécurité cependant je préfère encore ajouter 2 autres filtres, pourquoi ? 1 - Un filtre Baader UV/IR Cut pour supprimer les IR dont l'effet est de chauffer les tissus, toutefois on reçoit pas mal d'IR tous les jours et encore plus l'été, c'est plus psychologique qu'autre chose j'avoue. 2 - Un filtre Polarisant afin de rendre l'intensité lumineuse du soleil plus supportable à faible grossissement ou lorsque le soleil est déjà haut dans le ciel, c'est pour moi le plus utile il suffit de le tourner pour changer l'intensité et on voit mieux les détails ensuite. L'adaptateur provient de AliExpress : SVBONY-Télescope EySIM 1.25, tube d'extension, adaptateur polyvalent 56mm/70mm, SV157 - AliExpress 18 comme ça je peux changer d'oculaire tout en gardant les filtres en place
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  22. Très belle image, bravo Serge. 100% d'accord. Arrive un moment ou on perd son objectivité. Faut faire des pauses et demander l'avis des copains.
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  23. À choisir , sans conteste le 250 ... ( j'ai eu un xt12i , jamais servi de la raquette) Évidemment le système intelliscope est certes un atout , surtout pour débutant, mais honnêtement, la recherche par soi-même fait partie du plaisir d'observer..... Mes meilleurs souvenirs, quand j'ai commencé ( y a 25 ans hein ....) , c'était vraiment la découverte du ciel , et chercher par moi-même, même si c'était long parfois, mais personnellement, rien ne vaut la pratique simple de découvrir le ciel..... Si je pouvais revivre ces moments magiques de mes débuts, ce serait sans hésitation, même si au jour d'aujourd'hui, je pratique toujours de la même façon, le ciel , on fini par le connaître et du coup le charme de la découverte des premières observations n'est plus là.....bien que toujours aussi agréable à vivre ... Tout ça pour dire que très franchement, part sur le 250 , et passe par ces étapes, au final tu ne le regretteras pas le moins du monde Voilà pour mon avis 😉💫
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  24. Voilà plus de 6 mois que je n'avais pas eu l'occasion de sortir le matos et de faire une image... J'ai profité de cette première vraie belle nuit sans lune de l'été (dans les Pyrénées) pour installer ma lunette à Hautacam, au pied de l'observatoire géré par l'Astro Club du Haytacam. La nuit a tenu ses promesses et j'ai pu obtenir un set d'image relativement facile à traiter. Voici donc les paramètres de cette images : 25 poses de 5 min en Ha 28 poses de 5 min en O3 20 poses d'1 min par filtre R-G-B Avec au final très peu de rejet, puisque je n'ai éliminé qu'une image en O3 et une sur le fitre bleu. Le traitement réalisé sous PixInsight est tout ce qu'il y a de plus classique : couches Ha & O3 traitées en starless avec l'aide de BlurX / Noise X et montée d'histogramme avec GHS recombinaison d'une starless HOO en passant par une couche de luminance synthétisée avec 40% de Ha et 60% de O3. traitement des étoiles en RGB avec BlurX puis une montée d'histogramme en Arcsinh et un boost sur la saturation recombinaison Starless + étoiles RGB avec un petit booster sur la saturation pour terminer. Lien vers l'image en pleine résolution : https://www.astrobin.com/38wcec/
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  25. Bonsoir bonsoir ! En passant par ici, je vous poste une acquisition faite hier soir, traitée rapidement (malgré du retard sur d'autres...lol) Hier donc, la nuit s'annonçant dégagée avant le retour des nuages, n'ayant pas de projet entamé, me suis dit "voyons voir si une M31, à 910mm de focale, ne rentrerait pas avec le capteur du Nikon Z6 et ses gros pixels !? En fait, il s'agit surtout d'un idée qui court dans mon esprit au sujet d'un passage FF...on verra... J'ai donc démonté une partie du train optique, dupliqué ma conf NINA (j'ai l'habitude ), et mis el correcteur x1 sur la CFAPO 130/910, avec le Z6 derrière. Bon, malheureusement, j'ai du laisser une partie du train monté sur la SQA55, à savoir le tiroir à filtres, n'ayant pas la bonne bague pour le BF recherché... BRef, sortie du PO 3.7" de la 130 vers le M48 sortie de correcteur, + tiroir aussi en M48, bague Nikon Z en M48. Bon, après un premier faux flat vers 21h00, j'ai tout suite détecté que les "coins"...c'est vraiment pas énorme (cf photo traitée). Le correcteur 1x deluxe chez TS est prévu pour enlever le M48 (avec +7.5mm de BF), et passer en M54. Il faudrait aussi passer l'adaptateur du tiroir en M54....mais là ce n'est que pour mes tests, ce setup étant normalement "mono" ! BRef, premier point déjà où ça "frotte" et/ou frotterait, sauf à passer tout en M54 vissé (sur la RAF aussi donc)... Question "tilt", la moyenne sur la séquence annonce 6% environ, autant dire pas de quoi se tordre la cervelle. Pourtant ma bague "Nikon Z" achetée sur A****z** n'a rien d'un usinage tiptop...elle a un micro-jeu, compensé par du gaffer du coup... Qu'à cela ne tienne, une fois quelques écueils (penser à changer les paramètres du PlateSolve )...C'est parti pour la session. Guidage pas top (0.6-07" moyen), mais mon echantillonnage étant passé à 1.34"...m'en suis arrêté là (seeing ? Equilibrage ? MES pas refaite ?...) BRef, ce matin, flats rapide "on the sky" (vraiment tout commme il faut le gars) 6h d'acquisitions donc au final, pur RGB du Z6 (défiltré Astrodon néanmoins) Traitement full manuel Siril Traitement pix "RGB direct". SPCC a dégrossi mais donne un peu trop de rose/magenta...Le Z6 n'étant pas dans la liste, j'ai ajusté l'équilibre ensuit. Ajustements finaux PS et export. Voili, je n'ai pas révolutionné M31 hein, c'était pas le but, mais 910mm ça détaille un poil les étoiles et l'image globale reste correcte je pense. Je n'ais pas réussi à totalement me défaire des angles, sans doute aussi du aux flats...ou pas quoiqu'il en soit à cause du cercle d'image possiblement sur ce capteur couplé à la lunette. A vous !
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  26. Bonjour à Tous , IC 1318, également appelée la nébuleuse du Papillon est une nébuleuse en émission dans la constellation du Cygne. Énorme nébuleuse en émission assez brillante et distincte, en forme d'accent circonflexe, assez difficile à voir, mais qui apparaît facilement sur les photographies. Elle possède en son centre une nébuleuse obscure. Elle se déploie autour de la brillante étoile Sadr. Elle est située dans la Voie lactée. Nuit assez courte du fait d'un voile nuageux qui intervint au bout de 02h30 de poses mais assez pour faire 39 poses de 240sec sur Askar FRA400 , Posseidon-C , Filtre ALP-T . Eric Shimili SHO 😐
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  27. un petit tour vers Sh2-129, également connue sous le nom de nébuleuse de la chauve-souris en vol,dans céphée ,capture avec 1 lunette 102mm ,asiairplus ,filtre HA et OIII,asi2600,65x300s soit environ 5h30,mixage siril et astrosurface
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  28. Des nouvelles de Percy, qui continue son petit bonhomme de chemin ! Photos prises le 20 août, sol 1600 :
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  29. Bonjour à tous Voila ma combinaison idéale en mode nomade actuellement :-) 1 - Une lunette 70/600 Vixen triplet (très rare non importé en Europe) 2 - Une rotule Manfrotto MVH502AH PRO 3 - Un trépied Takahashi TMT10300 Bon ciel
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  30. NGC 6992 , fait hier soir 25 08 2025 , 119 poses de 60s gain 252 derriere la lunette 72ed sur heq5 goto , Zwo 585 mc + filtre uhc , reducteur focale 0.8 , asiair plus . compilation Siril + starnet et starless , traité sous PS et Photodirector 365
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  31. Bonjour à tous, Je poursuis les prises en grand champ avec la SQA55, et toujours sans filtre hors uvircut caméra car pas de lune pour le moment. L'image manque de détails en Ha et OIII sans doute (dont la bulle du croissant) mais elle gagne peut-être en nébulosités broadband vs un filtre dualband. L'idéal sera sans doute de refaire une session Ha OIII en plus. Pas de SPCC qui me passait tout en rouge, juste un peu de correction colorimétrique. Merci pour vos commentaires 🙂 Pascal 140 x 120 s = 4h40mn SQA55 focale 264 sur EQ6 R pro Pas de filtre (Ircut caméra) Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight – BlurXterminator – GIMP
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  32. Bonjour à tous ! Après plusieurs années d'arrêt de l'astro, j'ai enfin pris la décision de m'y remettre et ai fait l'acquisition d'un magnifique Dobson Flextube 400mm et les bons vieux Pentax XW que j'avais l'habitude d'utiliser. Pour référence, j'avais eu un 300 (Orion), puis un 400 (Lightbridge) puis retour à un 350 (Orion) à l'époque où je pratiquais activement. Depuis sa réception, j'ai eu l'occasion de le sortir 3 fois. Une fois pour une soirée publique (du coup je n'étais pas vraiment l'observateur principal) et 2 avec mon club dont une était d'avantage une soirée de prise en main et de recherche d'optimisation du système de suivi. J'ai cependant eu hier soir une très belle soirée de pleine observation, sous un ciel très dégagé à Liré dans le 49 (Bortle 4). Bon c'est dimanche soir, demain on bosse...Mais je voulais profiter de ce beau ciel sans lune avant les nombreux jours de pluie qui s'annoncent. La soirée a été assez courte mais vraiment belle. Direction le site, arrivée à 21h, dobson monté en 8 minutes chrono, je suis prêt ! J'avais dans ma liste d'observation des cibles certes assez classiques mais que je voulais redécouvrir avec ce nouveau télescope et me refaire la main en repérage. Matériel utilisé: - Dobson Skywatcher Flextube 16" - Oculaire Pentax XW 30, 14, 10 et 7mm - Filtre Astronomik UHC - Quickfinder - Chercheur coudé redressé 9x50 - Pocket Sky Atlas M13 - Amas d'Hercule La nuit étant quasiment tombée, je pointe en premier M13. Parfaitement visible dans le chercheur. Pentax 14mm: C'est directement la claque. L'amas est très lumineux et bien résolu au centre. De plus en plus d'étoiles apparaissent au centre avec de la concentration. Je vois 2 longues extensions d'étoiles à droite de l'amas. Le tout donne une magnifique sensation d'une spirale. En vision décalée le coeur devient très contrasté Pentax 10mm: Impressionnant à ce grossissement. Je réussis à faire très finement la mise au point. Je résous encore plus d'étoiles au centre. L'amas est toujours très lumineux et très net (Il y a vraiment un très bon ciel ce soir !!). La vision décalée fais encore apparaitre l'amas très dense et contrasté. Je n'ai pas souvenir avoir eu une si belle observation de cet amas dans le passé. Le centre est vraiment impressionnant là !! Pentax 7mm: Là je suis carrément dans l'amas ! Toujours autant d'étoile visible au centre. En vision décalé ça explose carrément ! Je ne pensais pas pouvoir aller à ce grossissement en restant aussi net ! Une grosse claque ! M27 - Nébuleuse de l'Haltère Egalement parfaitement visible dans le chercheur. Pentax 14mm: Magnifique vue de la nébuleuse, très contrastée ! Je vois clairement sa forme de "trognon de pomme" avec des zones plus sombres à droite et à gauche. Les parties plus denses de la nébuleuse sont très contrastées. J'arrive à voir l'étoile centrale de temps à autre (sûrement dans des trous de perturbation), elle est bien visible aussi en vision décalée. Pentax 10mm: Là l'étoile centrale est clairement visible en vision directe. Sa forme est toujours bien définie et très contrastée. Les zones plus sombre se détachent nettement. M51 - Galaxie du Tourbillon Elle est assez basse sur l'horizon mais je tente quand même Pentax 14mm: Les deux coeurs sont très nettement visible. En vision décalée je distingue des bras sur la galaxie principale. Je les vois aussi mais moins en vision directe. Belle surprise aussi là ! Pentax 10mm: Le grossissement n'apporte pas plus de détail, je la voyais même mieux au 14mm. Je distingue toujours les bras de la spirale en vision décalée. NGC7008 - Nébuleuse du foetus C'était le défi du soir cette nébuleuse, notamment son repérage manuel. Je la trouve après quelques minutes grace au pocket sky atlas en faisant un saut d'étoiles. Pour la repérer, je suis parti de Deneb et ai tracé une ligne imaginaire vers Alderamin (Dans Céphée). Entre ces deux étoiles j'avais repéré un petit groupe d'étoiles ressemblant à la constellation de la flèche puis, de là, un autre regroupement d'étoile en forme de bol. Et hop, je finis par la trouver avec le 14mm ! Pentax 14mm: Je vois une nébulosité très claire sous 2 étoiles assez brillantes. Encore plus contrastée en vision décalé. La nébuleuse prend la forme d'une goutte. Avec une zone bien plus sombre en bas. Je vois au centre de cette "goutte" une étoile très peu lumineuse mais bien visible. Pentax 10mm: L'étoile centrale est bien visible dans la goutte. La zone plus claire en bas est plus nette ici. En se concentrant davantage la nébuleuse apparaît plus comme un "crochet" avec une zone plus sombre sur la droite. Avec le filtre UCH elle est encore plus contrastée et sa forme de crochet apparait d'avantage. Avec le filtre je ne vois plus l'étoile centrale. La zone plus contrastée en bas apparait encore mieux avec le filtre. M57 - Nébuleuse de la Lyre Pentax 14mm: Vision impressionnante ! La nébuleuse est super contrastée avec sa zone centrale plus sombre mais plus claire que le fond du ciel. La nébuleuse apparait verdâtre. Je vois nettement ses extensions à gauche et à droite, encore plus en vision décalée Pentax 10mm: Toujours très contrastée ! La zone centrale est magnifique, avec clairement de la nébulosité au centre et un anneau très net et contrasté. Je ne vois pas l'étoile centrale par contre. Les extensions sautent aux yeux en vision décalée. Pentax 7mm: Encore plus impressionnante ! Dommage que je n'ai pas encore de 5mm car je pense que j'aurais encore pu zoomer. Pas plus de détails qu'au 10mm mais je n'en perd pas non plus. Je crois ne jamais l'avoir aussi bien vue ! Une grosse claque encore. J'ai cru voir l'étoile centrale l'espace d'un instant mais je n'en suis pas sûr du tout. M31 - Galaxie d'andromède Il fallait quand même que je l'observe, ce fut la première cible du ciel profond que j'ai observé avec mon premier télescope ! Pentax 30mm: Coeur bien lumineux. Je discerne une séparation sombre en dessous du coeur. La galaxie s'étends bien sur la gauche (Plus d'un côté que de l'autre) Pentax 14mm: Pas plus de détail. Je vois toujours cette séparation plus foncée sous le coeur. Je vois aussi sa voisine M 110 Saturne Plusieurs observations de saturne sur les différentes nuits. La planète est magnifique même si basse sur l'horizon. La vision actuelle des anneaux n'est pas la meilleure mais laisse deviner une ombre légère sur les côtés. Juste au dessus de l'anneau, sur la planète, on voit clairement une bande blanche bien définie. Merci aux membres du club pour le prêt de l'Ethos 3.7 qui nous a permis de bien zoomer et de profiter de la vue pendant les quelques trous dans la perturbation ! Je remballe le tout vers minuit, je serais bien resté d'avantage si nous n'étions pas dimanche. Vivement la prochaine soirée. Je suis tellement content de ce télescope, les images que j'obtient avec dépasse largement ce que j'avais dans mes souvenirs sur mon ancien lightbridge. Sa prise en main est excellente et le suivi fonctionne très bien quand on sait bien le configurer / utiliser (je vais rajouter une section sur ce sujet sur la page dédiée dans la section matos) Merci d'avoir lu ce CROA, certes classique, mais qui m'a aussi permis d'enfin me remettre sérieusement dans cette magnifique passion !
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  33. Profitant d'une rare nuit favorable au niveau météorologique et sans Lune, j'ai pu imager La Nébuleuse de l'âme. Il s'agit ici une version couleur normale (one shot color), des versions HOO et SHO suivrons, dès que la météo le permettra... Et comme cela fait un moment que je n' avais pas posté, je vais devoir rattraper le retard accumulé, je ferais d'autres posts pour vous présenter les nébuleuses de la Rosette en HOO/SHO, la Méduse et la Trompe d'éléphant que j'ai imagé depuis début 2025... Concours de circonstance, la même nuit @rmor51 traquait la même cible, voir son post ici Cible: Nébuleuse de l'Ame Nébuleuse en émission et amas ouvert, située dans la constellation de Cassiopée, à une distance d'environ 6500 AL de nous, et une taille d'environ 150 AL dans la longueur. Capture (24/08/2025): - 90 poses de 180 secondes - prises de vues à gain 125, offset 25, température 0°C (petit soucis, je n'ai pas réglé la bonne température, d'habitude de vise -10°C) - DOF 50/50/50 Le setup: - monture SW AZ-EQ6 - lunette SW Equinox 80/500 - correcteur réducteur x0.8 TRF-2008 - camera PlayerOne Poseidon-C - guidage au diviseur optique avec ASI290mini - filtre L-pro (Altaïr) - Kstars/Ekos/Indi sur un raspberry pour piloter le setup Traitements: - pre-traitement via Sirilic / Siril (retrait du gradient effectué sur la séquence lors du pré-traitement) - traitement Siril -- Retrait de gradient GraXpert (via script Siril) -- Photometrie -- Etirement Hyperbolique Généralisé -- Réduction d'étoiles (pour la version avec réduction, via script Siril/Starnet++) -- Retrait du bruit vert -- post traitement Gimp (MakeDarkSky via plugins PyGapM27, courbes) La version sans la réduction d'étoiles La version avec réduction d'étoiles La résolution astrométrique Cordialement, Stéphane
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  34. Salut, Pour avoir possédé plusieurs de ces systèmes avec encodeurs auxiliaires, la seule chose de sûre, c'est qu'il vaut mieux les désactiver dans la raquette. Ils ont tendance à envoyer des bits erratiques qui finissent par foutre en l'air la précision de pointage/de suivi au cours de la nuit. Si la fonction a été implémentée dans la raquette, ce n'est peut-être pas pour rien... (avant cela, il fallait démonter pour les déconnecter) Il y a de longs posts à ce sujet sur cloudlnights. Le goto est suffisamment rapide.
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  35. Merci Voilà le montage avec le matos que je dispose :-)
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  36. Merci. Vu la durée d'exposition je m'attendais à mieux en particulier pour les couches O3 (bleu) et S2 (rouge) qui ont été difficiles à traiter. Le ciel ne devait peut-être pas être vraiment clair pour la couche de bleu
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  37. Le filtre UV/IR cut pourquoi pas même si c'est un peu ceintures et bretelles, le continuum oui, je recommande, le polarisant évidemment pour le confort. Le filtre orange par contre j'éviterais, c'est gadget, on utilise des filtres à bande étroite en solaire pour passer outre la turbulence atmosphérique pour percevoir les détails de la surface du soleil.
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  38. Il y a Sequator (gratuit) pour faire un assemblage en séparant la VL du paysage.
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  39. Excellente méthode, bien meilleure qu'avec une boussole !
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  41. encore m31 72 x 300 s le 24/08 avec redcat 71/350 + asi 2600 mc sur monture zwo am3
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  42. Idem, j'ai pas cherché les ennuis moi... LRVBSHO-dark Ah tu a pris l'option minicam8/steroidemode !?
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  43. Je ne suis même pas allé jusqu'en bas du site, alors que tout est expliqué Finalement comme un vrai gosse impatient à Noël
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  44. Salut Pascal😊 que de signal pour cette image du papillon! c'est très beau. Alors par contre, j'ai immédiatement vu que tu n'avais pas fait de SPCC, le Halpha me semble un peu trop "rouille". Ensuite, tout dépend de tes gouts, si c'est cette couleur que tu aime, alors GO! a+ Serge
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  45. Des clignoquoi? J'ai beau regarder le tuto BMW US, j'ai rien compris, je laisse tomber! Je repars faire la collim de mon Newton. (je l'ai floqué, çà y est).
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  46. superbe, détails couleurs au top!
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  47. Merci les copains J'ai aussi en stock le Croissant (couleur et Ha/OIII), la Tête de Poisson (faite cette nuit même), et Pacman. Avec des focales variables en jouant sur le tirage derrière les 2 réducteurs. Suis descendu à 860mm de focale de mémoire soit f/d 4.2. ça en fait un C8 rapide comme un TGV
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  48. Bonjour @RIGEL33, Toujours au top vos images ! Celle ci m'interroge : Si le bidon fait vraiment 2,5L, ELLE EST A QUI LA MAIN ? Ney
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  49. Cygne, Aigle, et autres drôles d'oiseaux Ah, enfin un soir qui réunit toutes les conditions pour une soirée d’observation comme je les apprécie : un ciel clair, sans vent, sans Lune, sans fatigue, sans obligations et sans travail le lendemain . Les ingrédients étant tous rarement réunis (@etoilesdesecrins ne me contredira pas) je n’ai pas longtemps hésité hier pour me décider à sortir. L’envie de cocher l’observation de nouveaux Messiers aux jumelles (je pense à @GeoffreyJoe qui vient de terminer sa liste et que je félicite au passage) me dirige rapidement vers ma paire de Nikon. Elle sera seule ce soir sur son trépied, j’ai envie d’un setup minimaliste. Et en effet, moins d’une minute plus tard me voilà installé dans la cour, prêt à attaquer mon petit programme. À 22h je dois tout de même attendre encore un peu que la nuit tombe tout à fait, mais la constellation de ce soir, le Cygne, déploie déjà fièrement ses principales étoiles. Je pointe donc ma première cible, M39, facile à trouver depuis Deneb, et formant un triangle isocèle avec les deux étoiles de mag 4, Pi² et Rhô Cygni. Les deux sont franchement visibles à l’œil nu après quelques minutes et comme la voie lactée se dessine progressivement je sens qu’il est temps d’aller regarder en détails. L’amas montre 3 étoiles principales alignées plus une sur le côté, et s’y ajoutent 6 étoiles plus faibles encore visibles en VD, ainsi qu’une demi-douzaine supplémentaire à la limite de la VI. L’ensemble n’est pas très compact et à mesure que le ciel s’assombrit et que le champ autour se comble de points aussi faibles il se dissout, pour ne laisser bientôt qu’un groupe épars de 6 ou 7 étoiles parmi un vaste champ de voie lactée. La magie d’un objet qui s’amenuise lorsque le ciel noircit… À l’œil nu l’amas se devine assez bien en VI et je remarque aussi entre le couple π²-ρ et Deneb une partie bien brillante de la Voie Lactée qui correspond à la position de la fameuse nébuleuse de l’Amérique du Nord NGC 7000. J’y jetterai un œil aux jumelles, mais avant, de retour à l’oculaire je vise un peu plus bas sous M39 et aperçois à ma grande surprise une lacune bien sombre dans la myriade d’étoiles de la Voie Lactée. Je consulte le PSA, je ne rêve pas il s’agit bien de la nébuleuse sombre Barnard 168. De forme allongée, elle mesure environ un tiers du champ et se termine par un doublet d’étoiles. Je suis vraiment impressionné d’observer ma toute première nébuleuse sombre, objet que je pensais réservé aux ciels plus noirs ! La vision est assez différente de celle des objets lumineux, mais l’observation demande finalement les mêmes techniques. Cela me donne envie d’en ajouter désormais à mes prochaines listes. Plus bas encore je distingue un petit patch gris en VI, très proche d’une étoile plus brillante que la moyenne du champ. Quasi invisible en VD il s’agit d’un groupe riche et dense d’étoiles faibles. Impossibles à dénombrer, je n’en distingue qu’une somme à peu près ronde de piqûres groupées, comme une petite portion détachée de Voie Lactée. Le PSA m’informe qu’il s’agit de l’amas ouvert NGC 7209. Encore un objet découvert fortuitement, à la faveur du champ très large que procure la vision aux jumelles ! Je le trouve très intéressant et aimerais le revoir à plus fort diamètre et grossissement où il doit valoir le coup d’œil. Je passe ensuite sur NGC 7000 et confirme qu’elle est bien visible aux jumelles : c’est la première fois que je parviens à distinguer nettement sa forme, immense nuage gris bien dessiné sur un fond d’amas riche. Je vois même la partie plus sombre qui la sépare d’une autre plage grise à côté : la nébuleuse du Pélican. Tout ceci me semble étonnant alors je navigue autour, un peu plus loin… Non je n’invente pas, il y a bien là une zone plus lumineuse, avec des zones plus sombres qui s’y mêlent autour et qui dessinent les contours de la nébuleuse. Je regrette de ne pas avoir de filtre sous la main pour confirmer. Soudain, alors que je me reposais la nuque d’une observation si haute pour des jumelles droites, j’aperçois une immense trainée lumineuse qui fend le ciel en deux d’Ouest en Est en passant par le zénith, immobile, comme une comète ultra brillante, rectiligne et incroyablement longue. Il est aux environs de 22h30. À l’extrémité Est un groupe de 9 satellites presque parfaitement alignés précède la trainée. Ils se déplacent vite et sont assez brillants. Je rentre aussitôt à la maison pour aller chercher ma compagne déjà au lit (la pauvre se lève tôt le lendemain…), j’ai un besoin urgent de partager cette vision, et d’avoir un témoin. Elle tente d’en prendre une photo mais l’écran du smartphone reste désespérément noir. J’ai heureusement trouvé une photo sur les réseaux pour illustrer cette « découverte » : Le phénomène s’atténuera au bout d’un quart heure après que la trainée se soit déplacée lentement vers l’Est. D’après l’association Météo Centre – Val de Loire, « il pourrait s'agir du dégazage de l'un des étages de la fusée chinoise Chang-Zheng 8A (panache éclairée par la lumière du soleil) » (Source : Facebook). J’en retiendrai une vision impressionnante, presque surnaturelle, beaucoup plus brillante que la Voie Lactée, comme un faisceau concentré de lumière d’un projecteur éclairant le ciel. Retrouvant un peu de sérénité je poursuis mon programme du côté de Sadr, avec M29 dans le même champ. Le tout petit groupe pauvre et discret d’étoiles plus faibles que celles du champ autour semble s’en détacher grâce à un « vide » tout autour. L’amas est divisé en deux parties égales. Je peine à distinguer une ou deux étoiles en VD, le reste se dévoile en VI, sanas pouvoir vraiment les compter car trop serrées, mais il est certain qu’il en compte moins d’une dizaine de membres en tout, avec un espace évident au milieu des deux groupes d’étoiles alignées. Subtil, un peu décevant de prime abord, je le trouve finalement intéressant, avec sa forme plus ou moins carrée. J’avais prévu ensuite quelques amas NGC moins courus, je tente rapidement de voir s’ils peuvent être attrapés aux jumelles. Pour commencer, NGC 6910 m’échappe complètement, et je ne vois que le doublet d’étoiles espacées proches de Sadr… Plus loin je recherche NGC 6871 et tombe sur un joli groupe allongé de 6 étoiles dont la beauté réside surtout dans la fine paire brillante et serrée d’égales magnitudes qui la domine à l’extrémité. Je manque probablement le plus gros de l’amas, faute de pouvoir grossir. Enfin je pars à la recherche de NGC 6819 : plus difficile à pointer mais j’arrive finalement au groupe de 4 étoiles du PSA qui contient l’amas. Rien en VD, mais avec attention en VI un petit disque gris apparait entre les deux plus brillantes du groupe. C’est vraiment une très pâle lueur, galactique, mais clairement détectée. En comparaison, l’amas NGC 2158 proche de M35 serait presque brillant. Cet amas sera probablement très intéressant à observer au télescope. Un peu essoufflé par ces trois amas je fais une petite pause et m’en vais chercher une étoile variable, Chi Cygni, dont j’ai appris l’existence en préparant ma prochaine soirée club. J’ai pour objectif de commencer à suivre régulièrement l’évolution de sa magnitude, jusqu’à ce que le Cygne ne soit plus observable. Pour cela je suis allé chercher une carte de l’AAVSO : L’étoile sera finalement facile à repérer et je commence à m’amuser à comparer sa brillance aux autres étoiles. Elle est bien plus brillante que celle notée 60, mais un peu moins que celle notée 50. Je pense donc que sa magnitude soit se situer aux alentours de 5,2-5,3. J’essaierai d’y revenir chaque semaine si le temps le permet, pour voir si elle est en phase croissante ou décroissante. Je suis soudain très heureux d’avoir estimé ma première variable et trouve ce petit jeu très intéressant . Pour finir la soirée et reposer enfin mes cervicales (quelle idée d’observer dans une constellation si haute !) je change de région et passe à l’Aigle voisin. Mais c’est pourtant bien dans l’Écu que je trouve très facilement l’amas des canards sauvages M11, que j’ai pris l’habitude de pointer dès que j’ai les jumelles en main mais que je n’ai jamais pris le temps de décortiquer en détails. Ce sera enfin fait ce soir. L’amas se trouve juste à l’Est d’un presque carré d’étoiles, dont celle un peu détachée du groupe est une jolie double inégale mais fine. L’amas est superbe, brillant et compact, accolé à l’Est d’une étoile seulement visible en VI. En VD seule une étoile de l’amas se distingue, le reste s’évapore. En vision décalée je distingue très bien la fameuse forme triangulaire qui pointe vers l’Est. Autrement, l’ensemble est une tache floue avec une zone plus brillante à l’Est qui s’atténue bien du côté opposé et est complètement non résolu. Cela lui confère un aspect d’amas globulaire dont seule sa forme non ronde l’en distingue. Je termine par l’autre amas de la petite constellation de l’Écu, et par cela ajoute pour ce soir un 4ème objet de Messier à ma liste d’objets décrits aux jumelles : M26 fait vraiment pâle figure à côté de M11 ! À l’Est des deux étoiles brillantes Epsilon (joli doublet au passage !) et Delta Scuti, il est beaucoup plus petit mais ses étoiles semblent plus espacées car il me semble en apercevoir une ou deux à la limite de la VD. En VI pas vraiment d’aspect flou mais la sensation d’un petit groupe très compact. Me voilà ravi d’avoir enfin pu détailler ces deux amas qui trainent depuis longtemps sur mes listes ! En bonus, comme je repère un amas globulaire tout proche sur la carte, je tente une dernière prise. J’ai de la chance, je parviens à distinguer le très faible et petit disque flou de NGC 6712. À côté M26 retrouve un peu de splendeur ! C’est une parfaite conclusion pour moi, je peux aller me coucher immensément satisfait de cette belle soirée aux jumelles, pleine de surprises.
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  50. Et voilà, le ciel a été clair jusqu'à 4h ce matin donc je passe en tout à presque 10h en RGB J'ai retravaillé le fond de ciel trop clair et poussé un peu plus les curseurs (mais j'aime pas trop; je ne suis pas à l'aise avec le bruit qui monte) Je pense que cette V2 est qd même mieux
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