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😥😥 https://mars.nasa.gov/news/9540/after-three-years-on-mars-nasas-ingenuity-helicopter-mission-ends/ Après trois ans sur Mars, la mission de l’hélicoptère Ingenuity de la NASA prend fin L’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA, qui a marqué l’histoire, a terminé sa mission sur la planète rouge après avoir dépassé les attentes et effectué des dizaines de vols de plus que prévu. Alors que l’hélicoptère reste debout et en communication avec les contrôleurs au sol, les images de son vol du 18 janvier envoyées sur Terre cette semaine indiquent qu’une ou plusieurs de ses pales de rotor ont été endommagées lors de l’atterrissage et qu’il n’est plus capable de voler. Conçu à l’origine comme une démonstration technologique pour effectuer jusqu’à cinq vols d’essai expérimentaux sur 30 jours, le premier aéronef sur un autre monde a opéré depuis la surface martienne pendant près de trois ans, a effectué 72 vols et a volé plus de 14 fois plus loin que prévu tout en enregistrant plus de deux heures de temps de vol total. « Le voyage historique d’Ingenuity, le premier avion sur une autre planète, est arrivé à sa fin », a déclaré l’administrateur de la NASA, Bill Nelson. « Cet hélicoptère remarquable a volé plus haut et plus loin que nous ne l’aurions jamais imaginé et a aidé la NASA à faire ce que nous faisons de mieux : rendre l’impossible possible. Grâce à des missions comme Ingenuity, la NASA ouvre la voie à de futurs vols dans notre système solaire et à une exploration humaine plus intelligente et plus sûre vers Mars et au-delà. La NASA discutera de la mission Ingenuity lors d’une conférence téléphonique avec les médias aujourd’hui Ingenuity repère l’ombre de sa pale de rotor endommagée : Après son 72e vol le 18 janvier 2024, l’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA a capturé cette image en couleur montrant l’ombre de l’une de ses pales de rotor, qui a été endommagée lors de l’atterrissage.4 points
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Pour celles et ceux qui ne seront pas de sortie ce soir : https://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/22363853-lodyssee-dhubble-un-oeil-dans-les-etoiles/ 🙂 Alexis3 points
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Salut les Astram! Je vous presente une petite nebuleuse planetaire... NGC 1514 est une nébuleuse planétaire située dans la constellation du Taureau, à environ 800-1520 années-lumière de la Terre. Elle a été découverte par William Herschel en 1790, qui la décrivit comme "une nébuleuse très singulière, qui ressemble à une étoile de la huitième magnitude, avec une atmosphère légèrement lumineuse, d'un diamètre de 2’. En effet, en lumière visible, la nébuleuse apparaît comme une boule de cristal, avec une étoile au centre, en fait, c'est un système binaire à longue période, d'approximativement neuf ans, qui a été révélé par des observations spectroscopiques récentes. L'étoile la plus chaude est la naine blanche qui a donné naissance à la nébuleuse. Elle a une température de surface de plus de 80 000 K, et émet un rayonnement ultraviolet qui ionise le gaz de la nébuleuse, le faisant briller. L'étoile la plus froide est une étoile normale, qui a une température de surface d'environ 10 000 K, et qui est plus massive, plus lumineuse et plus éloignée que la naine blanche. Elle a été enrichie en éléments lourds par le transfert de matière de la naine blanche lorsqu'elle était sur la branche asymptotique des géantes, avant de perdre son enveloppe. NGC 1514 présente une structure complexe et variée selon la longueur d'onde à laquelle on l'observe. En lumière visible, NGC 1514 est généralement cataloguée comme une nébuleuse ronde ou légèrement elliptique, avec une apparence amorphe et grumeleuse composée de nombreuses petites bulles. En infrarouge, le satellite Wise a mis en évidence la présence de deux anneaux de poussières qui entourent la boule de cristal. Ces anneaux sont invisibles en lumière visible, car ils sont noyés par l'éclat de l’étoile centrale. Ils sont probablement le résultat de l'interaction entre le vent stellaire de la naine blanche et le compagnon , qui crée des ondes de choc et des turbulences dans le milieu interstellaire. Et c'était le but de ma "mission", de détecter ces anneaux ! on ne rigole pas au fond !http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/biggrin.png j’ai utilisé un filtre IR850 et ma caméra Neptune imx464 ( elle possède une sensibilité élevée dans les infrarouges) pour tenter de voir ces anneaux… tel un gamin qui croit au père noël !http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/smile.png En utilisant des spectres et des images optiques à haute résolution, les astrophysiciens ont pu modéliser la nébuleuse à partir des cartes de position-vitesse de la ligne [O III]. Ils ont identifié plusieurs structures : une coquille externe sphérique, une coquille interne déformée par des protubérances, avec des bulles symétriques. Ils ont estimé les vitesses d'expansion et les âges cinématiques de ces structures, qui sont similaires pour la coquille interne et les bulles (environ 4000 ans), mais plus élevés pour la coquille externe (environ 5400 ans). Ils ont également proposé une structure en forme de tonneau pour expliquer les anneaux infrarouges, mais sans données cinématiques pour la confirmer. La structure de NGC 1514 témoigne de l'importance des binaires dans la formation et l'évolution des nébuleuses planétaires. Ces objets célestes sont souvent le résultat de l'interaction entre deux étoiles, qui modifient leur structure, leur rotation, leur masse et leur composition. Les binaires peuvent aussi influencer la morphologie et la chimie de la nébuleuse, en créant des jets, des disques, des lobes ou des anneaux. NGC 1514 pose un défi pour les modèles de formation des nébuleuses planétaires, car elle présente une symétrie sphérique, alors qu'on s'attend à ce qu'une binaire crée une nébuleuse asymétrique. De plus, la masse de la naine blanche est supérieure à celle d'une étoile typique, ce qui suggère qu'elle a subi un processus de fusion nucléaire inhabituel. Enfin, la nature et le rôle du compagnon restent à éclaircir, car il pourrait s'agir d'une coïncidence de position, et non d'un membre du système binaire. J’ai la chance d’avoir plusieurs caméras avec chacune des caractéristiques propres… La Saturn (imx533) est une caméra NB, elle possède un pic de sensibilité vers le vert/bleue, parfait pour faire de l’ OIII. J’ai utilisé l’Halpha sur cette même caméra pour le côté pratique... et faire du halpha avec ma couleur… C'est compliqué. La Uranus (imx585c) m’a servi pour la couleur, elle possède un bruit de lecture extrêmement bas ce qui est parfait pour les courtes poses. Et ensuite la Neptune(imx464) pour l’infrarouge 850, son pic de sensibilité est à 850 ! (+90%). C’est clair qu’il faut optimiser chaque détail…Le bruit de lecture est le bruit qui domine dans le domaine des courtes poses, c’est lui qui fera la différence au-delà du bruit photonique, donc comme le gain est élevé , ma dynamique s'effondre alors, il faut choisir, le capteur est plus susceptible de choper un poil de signal ! Après, c’est évident que pour une détection optimale de ces anneaux (la raison du choix de cette cible) ,il aurait fallu utiliser un filtre plus profond mais mes temps de poses unitaires aurait plus conséquents… Mon matériel ne me permet pas de faire de la longue pose… Je tenterai de nouveau cette cible avec un filtre IR1200 en poussant à 4-5s et je verrai bien. Ha oui, les Darks sont primordiales en poses courtes si vous ne voulez pas que votre PC hurle ou explose (20000 images (9mo)en mode rejet il faut 25h) …en somme 2h max. Matériels habituels : TN 300mm F4 orion (eq6) camera PlayerOne Saturn,Uranus et Neptune. filtres: Saturn imx533M: Oxygen:2sx4h+1sx2h Halpha:2sx4h Uranus imx585C color: 2sx5h Neptune imx484 Infrared ir850: 2sx4h Logiciels: Sharcap Pipp Siril Astrosurface Photoshop Aladin Ouf le speech est fini ! NGC 1514 en R (halpha+IR+R), V (OIII+V), B (OIII+B). C'est con, mais c'est pour être précis😁 et une planche de démonstration entre les différents filtres utilisés et les fameux anneaux par WISE: A+ dans le bus dirait ma fille!😄2 points
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yep idem sur pas mal d'oculaires : https://www.bresser.de/index.php?lang=2&lang=2&cl=alist&searchparam=&cnid=cac5ee11fbbb7878e670b967f2629ccf&attrfilter[Attributs%2Bg%C3%A9n%C3%A9rals][Articles%2Br%C3%A9duits]=1&fnc=mfexecutefilter2 points
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Bonjour, Il y a quelques promos chez bresser, comme le ES254 à 605€ ( https://www.bresser.de/fr/Astronomie/Telescopes/EXPLORE-SCIENTIFIC-Ultra-Light-Dobsonian-254mmm-GENERATION-II.html) et également un ES 406 à 1400€ en reconditionné (https://www.bresser.de/fr/Angebote/Occasion/Astronomie/EXPLORE-SCIENTIFIC-Ultra-Light-Dobsonian-406mm-GENERATION-II-Refurbished.html )2 points
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Les minuscules petits robots LEV-1 et LEV-2 déposés sur le sol ont réussi à transmettre une photo à la Terre ! SLIM est arrivé la tête dans la poussière, mais l'espoir n'est pas perdu qu'il puisse recharger ses batteries ! Traduction automatique de 2 communiqués de la JAXA : Résultat pour l’atterrissage sur la Lune de SLIM 25 janvier 2024 (JST) Agence japonaise d’exploration aérospatiale L’atterrisseur intelligent SLIM (Smart Lander for Investigating Moon) de l’Agence japonaise d’exploration aérospatiale (JAXA) a atterri sur la surface lunaire le 20 janvier 2024 à 0h20 JST, et la communication a été établie avec la Terre. Cependant, en raison du fait que le vaisseau spatial n’était pas à l’assiette prévue à l’atterrissage, la production d’énergie n’a pas été possible à partir des cellules solaires, et le vaisseau spatial a été arrêté avec une commande depuis le sol à 2h57 JST. L’analyse des données acquises avant la coupure de l’alimentation a confirmé que SLIM avait atteint la surface de la Lune à environ 55 m à l’est du site d’atterrissage cible initial. La précision de la position avant le début de la manœuvre d’évitement d’obstacles (à environ 50 m d’altitude), qui indique les performances d’atterrissage précises, a été évaluée à environ 10 m ou moins, peut-être environ 3 à 4 m. Bien que l’évaluation plus détaillée se poursuive, il est raisonnable de mentionner que la démonstration technologique de l’atterrissage précis avec une précision de 100 m, qui a été déclarée être la mission principale de SLIM, a été réalisée. Toutes les données techniques sur le guidage de navigation menant à l’atterrissage, ainsi que les données d’image de la caméra de navigation capturées pendant la descente et sur la surface lunaire qui sont nécessaires à la future technologie d’atterrissage précis, ont été obtenues à partir de l’engin spatial. Les petites sondes (LEV-1 et LEV-2) ont été séparées avec succès juste avant l’atterrissage dans cette situation d’urgence. La caméra spectroscopique multibande (MBC) embarquée à bord de SLIM a également été utilisée à titre d’essai et a capturé des images jusqu’à ce que l’alimentation soit coupée. En ce qui concerne les circonstances dans lesquelles SLIM est devenu stationnaire sur la surface lunaire à une attitude qui ne pouvait pas générer d’énergie à partir des cellules solaires, les données techniques acquises ont révélé qu’à une altitude de 50 m juste avant le début de la manœuvre d’évitement d’obstacles, la poussée de l’un des deux moteurs principaux a très probablement été perdue. Dans ces circonstances, le logiciel embarqué SLIM identifie de manière autonome l’anomalie et, tout en contrôlant autant que possible la position horizontale, SLIM a poursuivi la descente avec l’autre moteur et s’est déplacé progressivement vers l’est. La vitesse de descente au moment du contact avec le sol était d’environ 1,4 m/s ou moins, ce qui était inférieur à la plage de conception, mais des conditions telles que la vitesse latérale et l’assiette étaient en dehors de la plage de conception, ce qui aurait entraîné une assiette différente de celle prévue. La cause de la perte de fonctionnalité du moteur principal fait actuellement l’objet d’une enquête, y compris la prise en compte de facteurs externes autres que le moteur lui-même, avec le plan pour déterminer la cause détaillée. Nous fournirons de plus amples informations au fur et à mesure de l’avancement de l’enquête. En ce qui concerne les activités futures, une analyse plus approfondie des données techniques et scientifiques acquises, ainsi qu’une analyse de la cause des anomalies survenues, se poursuivront. L’analyse des données a montré que les cellules solaires de SLIM sont actuellement orientées vers l’ouest, ce qui suggère qu’il existe une possibilité de production d’énergie et donc de récupération de SLIM à mesure que les conditions d’éclairage de la lumière du soleil s’améliorent avec le temps. Bien que les activités de SLIM sur la Lune ne devaient initialement durer que quelques jours, les préparatifs nécessaires à la récupération se poursuivront afin d’acquérir de nouvelles données techniques et scientifiques. Nous continuerons à vous tenir au courant de l’état d’avancement du projet. https://global.jaxa.jp/press/2024/01/20240125-2_e.html 25 janvier 2024 (JST) Agence japonaise d’exploration aérospatiale L’Agence japonaise d’exploration aérospatiale (JAXA) a confirmé le 20 janvier 2024 que le Lunar Excursion Vehicle (LEV-1), un petit robot déployé à partir de l’atterrisseur intelligent pour l’étude de la Lune (SLIM), a mené avec succès des activités sur la surface lunaire. Les données de télémétrie ont été envoyées directement depuis le petit robot. Selon les données de télémétrie, après le déploiement de SLIM, LEV-1 a exécuté des mouvements de saut planifiés et une communication directe avec les stations au sol, y compris la transmission de données d’ondes radio inter-robots à partir du robot lunaire transformable (LEV-2, surnommé « SORA-Q »). D’autre part, l’acquisition d’images sur la surface lunaire n’a pas été confirmée pour le moment. À l’heure actuelle, le LEV-1 a terminé sa période opérationnelle prévue sur la surface lunaire, a épuisé sa puissance désignée et est en état de veille sur la surface lunaire. Bien que la capacité de reprendre l’activité dépende de la production d’énergie solaire à partir des changements de direction du soleil, les efforts seront maintenus pour continuer à recevoir des signaux de LEV-1. LEV-1 et LEV-2 sont devenus les premiers robots d’exploration lunaire du Japon. De plus, le petit LEV-1 d’une masse de 2,1 kg (y compris un dispositif de communication de 90 g), a réussi à communiquer directement avec la Terre depuis la Lune. Il s’agit du cas le plus petit et le plus léger au monde de transmission directe de données à une distance d’environ 380 000 kilomètres. De plus, l’accomplissement des mouvements bondissants de LEV-1 sur la surface lunaire, la communication inter-robots entre LEV-1 et LEV-2 et les opérations entièrement autonomes représentent une réalisation révolutionnaire. Il serait considéré comme une démonstration technologique précieuse pour les futures explorations lunaires, et les connaissances et l’expérience acquises seront appliquées dans les missions à venir. De plus, la transmission d’ondes radio en bande UHF à partir de LEV-1 dans le cadre des efforts de sensibilisation a encouragé la participation des opérateurs radioamateurs du monde entier, et nous avons reçu des rapports de réceptions de signaux réussies. Cette initiative a permis au public de participer directement à des missions d’exploration lunaire. Nous tenons à exprimer notre sincère gratitude à toutes les personnes impliquées dans la mission LEV-1. Le minuscule robot LEV-2 pèse 250 grammes !2 points
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Bonjour à tous, Voici la seconde image de notre team Northern France Remote (NFR): Abell 6 et HFG1sont 2 nébuleuses planétaires très faibles qui, même sous le ciel exceptionnel Espagnol ont demandé près de 90h de pose. Il s'agit d'une version HO-HOO (RVB pour les étoiles). L'objectif était de faire ressortir la couche O3 sur l'image finale. En effet, les images de ces objets trouvées sur le net montraient que les auteurs avaient surtout mis l'accent sur la couche H. Nous avons donc réalisé un mix 50/50 concernant H et O pour la luminance. HFG1, la nébuleuse la plus importante présente une structure en arc de cercle bleuté, on y voit même une galaxie en arrière plan ! L'arc bleuté est plus marqué à l'opposé de la queue, dans le sens de déplacement de la nébuleuse, ce qui laisse penser qu'il s'agit d'un front d'onde de choc de matière interagissant avec le milieu interstellaire. La seconde nébuleuse, Abell 6, plus fine, comporte des petites brillances au niveau des "pôles" et quelques irrégularités en son centre. Pour commencer, une brute de 5 min en H: Une brute de 5 min en O: L'image finale: Un crop sur HFG1: Un crop sur Abell 6: La full pour voir plus de détails et d'explications, c'est par ici : https://www.astrobin.com/30yo9o/ Côté exifs : Askar 107PHQ / Monture Eq6R, Asi2600MM, filtres Antlia HORVB 45h de H par brute de 5 min / 40h de O par brute de 5 min /60*60 sec par filtre R, V, B novembre/ décembre 2023 Traitement Pixinsight Bon ciel à tous, Julien Cadena et Mickael Coulon1 point
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Bonjour à tous. Je continue la tournée des classiques, un peu comme en cyclisme avec les Classiques de printemps (Tour des Flandres, Paris-Roubaix, Liège-Bastogne-Liège, Milan-San Remo, etc....) Direction Orion. Cible délicate pour moi, lampadaire de la rue dans le champ côté sud ouest, grand chêne centenaire du voisin côté sud-est, reste à viser plein sud pour un créneau de 90min environ, le tout à seulement 34°... Bref pas évident du tout... et pourtant..... La nébuleuse d'Orion, également connue sous le matricule de M42, Sh2-281, LBN 974, ou NGC 1976, est un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation du même nom. C'est la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord, de nuit et en l'absence de pollution lumineuse. Elle peut être facilement observée avec des jumelles. Sa structure occupe un pan de ciel de 66 × 60 minutes d'arc, quatre fois plus étendu que la pleine lune. Sa taille est d'environ 24 années-lumière. Cet objet correspond à la principale partie d'un nuage de gaz et de poussières beaucoup plus vaste encore, le nuage d'Orion, qui s'étend sur près de la moitié de la constellation et contient en plus la boucle de Barnard et la nébuleuse de la Tête de Cheval. En 2007, les nouvelles mesures disponibles, grâce notamment aux grands radiotélescopes intercontinentaux, Very Long Baseline Array, ont permis de ramener la distance de la nébuleuse de 1 500 années-lumière, comme on le croyait jusque-là, à environ 1 350 années-lumière de la Terre, soit un rapprochement virtuel d'environ 10 % ce qui fait d'elle la pouponnière d'étoiles la plus proche du Système Solaire. La nébuleuse d'Orion contient un amas ouvert renfermant de nombreuses étoiles très jeunes et très chaudes (théta, le Trapèze), nées récemment et dont le rayonnement ionise à présent l'hydrogène environnant. La nébuleuse d'Orion a été découverte en 1610 par Nicolas-Claude Fabri de Peiresc. Il fut apparemment le premier à remarquer son aspect diffus, bien que Ptolémée, Tycho Brahe et Johann Bayer assimilassent les étoiles du centre à un seul gros objet. Galilée avait détecté de petites étoiles de cette région en observant avec sa lunette astronomique peu de temps auparavant. La nébuleuse d'Orion abrite en son sein une énorme bulle de gaz, très ténue, d'une température de 2 millions de degrés Celsius, découverte par une équipe internationale menée par des chercheurs suisses et du Laboratoire d'astrophysique de Grenoble (CNRS/Université Joseph- Fourier, Observatoire de Sciences de l'Univers de Grenoble) grâce au satellite européen XMM-Newton. Cette température est tellement élevée que le gaz émet non pas dans le domaine visible, mais dans celui des rayons X, domaine d'investigation du satellite XMM, lancé par l'Agence spatiale européenne en 1999. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 73 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:1 point
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Hello, Enfin une nuit étoilée le 19 janvier, ce qui m'a permis d'étrenner mon nouveau tube Lacerta 200/800. Il remplace le même tube mais qui était de SW (en vente sur grenier). Conditions froides à -4, et turbulences assez fortes. Trois séquences: 143 x 120 s avec IDAS NBZ, 80 x 10 s et 149 x 5 s avec IDAS LPS. Set up: Lacerta 200/800 sur EQ6 R pro Correcteur starizona x0,75 Filtres IDAS NBZ/LPS Caméra ASI2600MC pro Guidage PHD2 sur lunette 225/60 et caméra GPCAM2-290C Nina – SIRIL – Pixinsight - GIMP J'apprends à me servir de pix que j'ai depuis deux mois, et j'ai utilisé le HDR composition avec les 3 séquences, ça marche bien. SIRIL toujours pour le prétraitement. La turbulence annoncée était mauvaise et quand j'ai vu un HFR dans nina à 2.6 je ne me suis pas trop inquiété, d'habitude je suis plutôt à 2. La map a été faite par nina avec l'EAF ZWO, j'avais une belle parabole. En fait je suis déçu car mes étoiles sont pourries, ovales et avec des aigrettes dédoublées et parallèles. Je crois que ma collimation n'était pas bonne, j'avais juste passé un coup de laser qui était bon, j'ai du me louper et je vais reprendre ça aux petits oignons. Je vous joints un crop du stack de 5s, plein centre de l'image, qu'en pensez-vous, c'est bien un pb de collim? Toutes les aigrettes sont dédoublées, partout sur les images et sur les brutes. Pour le reste je suis assez content de la nébuleuse, j'ai gardé les couleurs issues du capteur, sans trop bidouiller. Et on voit le trapèze 🙂. Merci pour vos remarques et votre avis sur la collimation ou autre. Et si vous avez une solution pour éviter les aigrettes en couleur type serpent venimeux, je suis preneur. Les branches de l'araignée sur le Lacerta sont usinées monobloc, ce qui a des avantages mais aussi peut-être des inconvénients. Bon ciel Pascal1 point
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Chez moi le script est toujours actif meme apres la derniere version de pix le week-end dernier1 point
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Salut, Tu mets toutes les infos dans la balance, donc ensuite, il faut faire un choix. C'est pour cela que certains astrams n'utilisent pas ou ont abonné la Barlow (j'en fais partie). Sur un Dob et même d'autres instruments, outre les pb d'équilibrage, tu as les pb "mécaniques" liés à la MAP qui font que parfois, tu as trop ou pas assez de tirage, qu'il faut ou pas mettre une bague allonge et même parfois que le PO n'est pas adapté à certaines configs. Ici savoir quelle Barlow prendre (31,75mm ou 50,8mm), jongler ou pas avec la bague de réduction. (mais c'est aussi ce qui fait le charme de l'astronomie diraient certains). Dans ton cas, mais encore 1x c'est un avis très personnel et qui est tout à fait discutable, je complèterais par un bon ES 4,7mm (vu que tu es déjà équipé en ES et que veux certainement rester dans la marque). Bon ciel.1 point
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J'ai le même soucis chez moi. Normalement le modèle AI se télécharge tout seul. Il y a plusieurs version sur le Github de GraXpert. Tu peux essayer des versions inférieures à la 2.2.2: https://github.com/Steffenhir/GraXpert/releases Peut être commencer par la version 2.0.0: et ensuite faire la mise à jour vers la 2.2.2 il faut cliquer sur "Assets"1 point
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Non, régler le primaire ne change que là ou la silhouette du secondaire va se retrouver dans l'image du primaire (et la réflexion de la pupille de l’œilleton qui se trouve dedans, qu'on doit rendre être concentrique avec l’œillet sur le primaire). Pour être complet, régler l'inclinaison du secondaire n'est pas non plus ce dont on parle, et ce que cette étape fait, c'est régler le centrage de l'image du primaire sous le porte-oculaire. Ce qu'il faut régler ici, c'est la position du secondaire par rapport à l'axe du porte-oculaire (tout en laissant la rotation comme elle est), en dévissant les vis d'inclinaison du secondaire et en vissant la vis centrale. Puis il faut refaire la collimation axiale. Sur certains télescopes on peut aussi incliner le secondaire plus ver le primaire (sur les Skywatcher il y a souvent des vis de collimation sur le PO). En vert le bord intérieur du PO. En rouge le secondaire. Sur une photo avec une pupille centrée et à une distance qui fait que l'image du primaire a la même taille que le secondaire, il faut que ces deux soient concentriques. Si tu éloignes le secondaire du primaire le cercle rouge va aller à gauche. Si tu inclines le PO plus vers le primaire le cercle vers va aller vers la droite... Bien sûr je pars du principe que tu as fait la photo avec la caméra centrée dans le PO (en faisant la photo par la pupille de l’œilleton de collimation, par exemple). Une photo prise "à la louche" dans le PO vide décentre souvent la caméra et alors on ne peut rien en déduire. p.s. si tu ne vois aucune patte du primaire, alors ou bien le secondaire est sous-dimensionné, ou bien l’œilleton de collimation se trouve trop loin du tube (il faut rentrer le PO pour rendre la taille apparente du secondaire plus grande). Mais je sens que se serait mieux de te faire aider dans un club pas loin de chez toi. Car ce réglage dérègle tout le reste et peut introduire une erreur de rotation, et comme tu ne semble absolument pas comprendre quel réglage sert à quoi (voir ta réponse) on risque de ne pas s'en sortir avec des conseils "à distance".1 point
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Bonjour, Toujours dans Orion voici un amas ouvert que je n'ai jamais fait: Lambda Orionis ou Collinder 69. L' amas Lambda Orionis (également connu sous le nom de Collinder 69 ) est un amas d'étoiles ouvert situé au nord-ouest de l'étoile Bételgeuse dans la constellation d' Orion . Il a environ cinq millions d'années et se trouve à environ 1 300 al (400 pc) du Soleil . L'amas comprend une étoile double nommée Meissa . Avec le reste d'Orion, il est visible de la mi-août dans le ciel du matin jusqu'à fin avril avant qu'Orion ne devienne trop proche du Soleil pour être bien vu. On peut l'observer depuis l' hémisphère nord et l' hémisphère sud . L'amas suit une orbite à travers la Voie Lactée qui a une période de 227,4 millions d'années. L'amas pourrait s'être formé dans la région centrale d'un nuage allongé, ce qui est soutenu par la distribution d' étoiles candidates de pré-séquence principale , qui sont concentrées dans l'amas et les régions voisines sous une forme allongée. Des étoiles OB massives et des étoiles de faible masse se sont formées dans les régions centrales de ces nuages. Les étoiles de faible masse les plus proches des étoiles massives ont probablement perdu leurs disques circumstellaires à cause de la photoévaporation . De nombreuses étoiles de faible masse situées à proximité n'ont pas été affectées par cela et représentent la population actuelle d'étoiles de faible masse avec un disque circumstellaire. L'amas est entouré d'un grand anneau moléculaire , appelé anneau Lambda Orionis . Cela a été interprété comme un vestige d’une supernova qui a explosé il y a un million d’années. L'explosion de la supernova a rencontré les nuages et les gaz de la région et a dispersé le noyau parent, créant ainsi l'anneau moléculaire. Les infos: Lunette 80ED + réducteur 0.8x @ 480mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 27 x 120s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 120s:1 point
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Salut Salut, Il y a pas mal de champignon le traitement sera surement attaqué, pour vérifier l'état global du traitement deux solutions: - Lumière puissante de face style lampe torche. - Démonter le doublet, le mettre sous une lumière direct et se positionner a environ 30° sur le côté cela te permet de vérifier les tâches dessus plus facilement Un bon coup de nettoyage et normalement cela sera bon. Ce qui m'inquiète un peu plus c'est que le doublet a été clairement bricolé, les grosses cales carrés ne sont pas d'origine, c'est certain. Les japonais notamment carton et royal astro utilise ce type de cale pour leur petit doublet, normalement beaucoup plus réduite en taille. Le problème que tu pourras retrouver c'est du diffusé si les cales sont trop dans le champ. L'autre chose qui me fait dire que le tube a été bricolé, c'est que les cales ont été collés au vernis et vraiment comme un barbare, la colle a bien débordé autour. Bon bricolage, malgré cela ce tube peut probablement de bonne image.1 point
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Magic Stéphane a encore frappé 😊 Du grand grand art encore une fois. Merci du partage Stéphane 👍0 point
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Bonjour, @Thibault Astro dans ton premier post tu détaille tes traitements et tu fais le retrait du gradient à la fin. Il me semble qu'il est "mieux" de la faire dès le début, sur l'image linéaire avant l'étalonnage des couleurs. Tu peux aussi, au lieu de le faire sur l'image "empilée", le faire sur les brutes individuelles, après calibration avec les DOF et avant le register et le stack (voir commande Siril "seqsubsky" applicable sur une sequence) Cordialement, Stéphane0 point
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Si ça permet d'avoir plusieurs niveaux d'étirement. Tu as l'option en bas pour aussi sauver l'image étirée. 😋0 point
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Le bizness des abris antiatomiques est en plein boom ( façon de parler ! ). T'aurais dû investir GGITS ! Ah nan, c'est vrai t'as pas de sous et l'épicier va te recevoir à bras fermés ... https://survivalcondo.com/ https://risingsbunkers.com/0 point
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aussi oui ! je l'avais oublié celui-là la liste de films est trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès longue0 point
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Bonsoir à tous, ça faisait longtemps ☺️ Je voulais juste vous dire que j'ai commandé le Bresser Messier 6" dob ce soir. Il arrivera prochainement, je vous tiens au courant dans les CROA. Merci beaucoup pour votre aide 🙏 Bonne soirée et belles observations0 point
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Excellente reprise en effet ! Ça c'est aussi notre influence mutuelle 😁😎0 point
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Se sont les même données ? Et ben, l'évolution du traitement est impressionnante !0 point
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Bonjour à toutes/tous ! En profitant encore de la soirée du 19/01...qu'il fallait savoir exploiter au max , un premier quartier en mode mosaïque ! Assemblage de 3 tuiles empilées via autostakkert, merge PS, traitement Astrosurface pour les wavelets. Finalisation PS. Je vous sors un jpg à 70% de la taille, et aussi une carte du jour via Atlas de la Lune. Le tout est pris par mon Intes mk66 (D=150mm), en mode réducteur x.79 (donc à 1500mm de focale) sur l'Ares-C (imx533). Ca ne rivalise pas avec les gros Dobson ou autres qui passent par ici, mais je continue de trouver qu'avec sa collimation, il s'en sort vraiment pas mal pour un "petit" tube. (Clic&Zoom pour la résolution postée).0 point
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Bienvenue sur le forum où vous trouverez tant des approches pour débutants que des sujets plus pointus ou spécialisés. N'hésitez pas ni à poser des questions ni à témoigner de vos observations, simples ou plus spécifiques, par des comptes rendus d'observations (CROA) Bon ciel !0 point
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Modeste consolation... ce n'est pas que sur la Belgique.... Patience...de meilleures nuits vont revenir...0 point
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@Lune cendrée Merci pour votre message. Pour le ciel, même si dans les environs de Liège, il y a des coins pas trop mal (j'observe à Olne, c'est-à-dire plutôt en campage), c'est pas top pour l'instant vu le temps pourri... Au plaisir et que la météo soit avec nous :).0 point
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Belle image! Je partage, un poil de rose en moins serait parfait 🙂👍👍0 point
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Bonjour, Merci pour vos avis Donc la barlow c'est plutôt à oublier ? (pour du visuel seulement ici)0 point
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Salut, Tout a été dit ici globalement et par des gens d'expérience. @22Ney44 a bien expliqué les raisons, mécanismes et historique. JM ci dessus, dont les images en caméra couleur + filtres duo-band sont une des références de rigueur/qualité ici (parmis évidemment plein d'autres qui se reconnaitront ), a un point de vue très objectif, surtout en terme de budget/investissement. Il faut savoir en effet qu'avec un filtre duo-band et une bonne caméra couleur, il sera possible avec de la maitrise de traitement (qui reste une bonne part d'une session totale sur un objet), la satisfaction de pouvoir atteindre son objectif sur une nuit claire avec qualité et investissement raisonnable est indéniable. Maintenant, en tant qu'utilisateur de caméra mono, je ne vais pas remettre pour autant ma pratique car en effet, le signal obtenu en luminance est intérressant et le temps d'acquisition pas nécéssairement délirant ! MAIS, cela a un coût matériel obligatoirement plus important pour avoir un rendement similaire (en temps consacré) car la caméra est plus chère en mono (pb de chaine de production), les filtres sont plus nombreux et nécéssitent quand même d'être de qualité, le focuser devient quasi incontournable et la RAF motorisée idem. Evidemment, il est possible de faire du mono tout manuel avec Bathinov entre chaque filtre, tiroir à filtres manuel...mais là pour le coup, le temps à y consacrer devient TRES important et pas certain que cela soit intérressant, autant faire de la couleur avec un duoband ou simple filtre luminance ! Par ailleurs, à condition là encore d'avoir les outils (payants) les plus performants actuellement, à savoir Pixinsight + suite XTerminator, le traitement peut rendre la différence de rendu plus ténue entre Mono/couleur... Je dirai pour finir que ce choix est parfois aussi question de mentalité de chacun et du niveau d'investissement technique (au dela de financier) qu'il veut y mettre, de sa sensibilité/façon de se "challenger" habituelle. Je sais que moi, je voulais savoir faire du mono, aussi pour devoir affronter un certain nombre d'écueils, de technicité, etc... Mais c'est pas vraiment l'esprit "clé en main". En eséprant avoir apporter ma pierre à l'édifice de ton choix !0 point
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C'est un peu compliqué à mon avis mais c'est peut être possible: il faut bien comprendre ce qu'est le drizzle et comment ça marche. Le drizzle est un opération d’intégration optimale qui vise à améliorer la résolution en tirant profit du décalage aléatoire des images d'une séquence (d'où la nécessité de faire du dithering pour pouvoir en profiter). Comme ces décalages se font à une échelle plus petite que le pixel cela permet en pratique de reconstruire une image mieux résolue qu'un empilement traditionnelle si les images de départ sont sous-échantillonnées ou à la limite du sous échantillonnage. Par ailleurs, pour les images issues d'une caméra OSC, le drizzle va permettre de construire une image couleur sans interpolation toujours en profitant des décalages aléatoires des pixels pour calculer une valeur RVB pour chaque pixels. Dans Pixinsight, l'opération de drizzle repart directement des fichiers calibrés. Cependant pour pouvoir connaitre les décalages à appliquer (translation, rotation voir même distorsion) à chaque image il faut auparavant avoir alignées les images entre elles afin de stocker ces infos géométriques. De même, si on veut rejeter les pixels déviants et profiter de la pondération des images, il faut, avant d'effectuer le drizzle, avoir empilé les images de façon classique afin de récupérer l'info sur la localisation des pixels à rejeter et sur le weighting. Toutes ces informations nécessaires au drizzle sont stockées dans des fichiers xdrz. Donc, en gros, bien que l'empilement drizzle reparte en fait directement des fichiers calibrés il faut quand même avoir effectué les opérations de dématriciage, d'alignement et d'intégration "classique" pour pouvoir mener à bien le drizzle. C'est à tester mais il doit donc être possible de: faire la calibration dans Siril Faire le dématriciage dans Pix aligner ces images dans Pix (en choisissant "generate drizzle data") empiler ces images dans Pix (toujours avec "generate drizzle data") Réaliser l'empilement drizzle dans Pix en fournissant les images alignées et les fichiers xdrz au process DrizzleIntegration.0 point
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Merci pour vos réponses ! je ferais une mise au point plus loin que ce que j'ai pu faire, et j'enverrai une photo de mon porte occulaire quand je rentrerais chez moi 🙂0 point
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Avec une caméra mono on fait du L RVB, L pour luminance qui laisse passer une grande partie du spectre visible. Puis on colorise la luminance par des captures aux filtres R, V et B. Le signal n'est pas de la même intensité sur chaque zone et c'est ce qui permet de restituer les couleurs par mixage avec un logiciel dédié. Le capteur couleur reconstitue la luminance à partir des RVB et comme tous les photosites n'ont pas travaillé pour une couleur donnée, la luminance est moins piquée.. Un petit aperçu LRVB C'est la même histoire de mixage en SHO mais visuellement plus flagrant. Pour la luminance on utilise souvent le Ha mais on peut aussi faire un mix H+S+O avec des % pour chaque couche. Les couches Ha/OIII/SII Mixage SHO brut La monochrome est au dessus de la couleur sur la résolution à temps de pose global égal et même probablement au dessus tout court. Tu trouveras plein de posts là dessus ici entre autres, les pours et les contres, les pros et les antis. En fait chacun aura une bonne raison de justifier son choix et chaque raison est valable. Perso j'ai eu les deux et je n'en ai gardé qu'une Autre point non négligeable depuis quelques mois, la puissance de traitement que nous offrent les logiciels actuels. Des choses compliquées voire inatteignables hier deviennent quasi fastoches aujourd'hui. S'équiper d'une caméra couleur peut sembler moins cher que la mono à priori mais maintenant il y a des filtres qui permettent de faire des images SHO avec une caméra OSC alors que c'était réservé aux caméras mono il n'y a pas si longtemps. Ce sont des filtres duo band Ha/OIII et OIII/SII qui viendront compléter le filtre luminance (IR/UV cut). Si tu t'équipes de tous ces filtres, une roue à filtres devient bien pratique et une roue motorisée c'est encore mieux. Cerise sur le cake, ils sont souvent en diamètre 2" et donc plus chers que sur une dimension qui aurait pu être moindre. Je te laisse fouiller les sites pour faire des additions et des comparaisons mono vs OSC. Quoi qu'il en soit, en venant d'un 1000D (que j'ai aussi eu un temps en Astrodon), une des dernières caméras couleur sera un bond Konsidérable en terme de sensibilité et de bruit. Bon choix à toi0 point
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Tres chouette également cette M42, traitement un peu plus dur que celles qu'on voit en ce moment, mais jolie0 point
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Bonsoir si tu veux changer les oculaires ( mais faut peut être les essayer déjà, par exemple changer le 25 n’est pas forcément la première priorité), tu peux imaginer - 24mm 68° -11mm 82° -4,7mm 82° Note que les grossissements importants sont aussi très utiles en ciel profond0 point
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Dites, je n’arrive pas à faire des photos en pose longue sur ce mak de type newton. À chaque fois ça fait des traits. Je ne comprends pas. Pourtant j’utilise une télécommande pour ne pas bouger le réflexe lorsque je démarre la prise de vue. Blague à part. Je voulais faire une petite update pour clore le feed. Jouet reçu et aussitôt sorti du carton et pointé sur Jupiter (enfin sur les nuages qui sont devant..). Entre deux éclaircies, je discerne déjà mieux les bandes de Jupiter qu’avec la lunette et c’est bien plus net ! Idem pour les pléiades que j’ai pu observer 10s. Entre temps, et après plusieurs heures de lecture, je me suis enfin décidé sur les oculaires à prendre en priorité. 2/3 du budget part dans une petite focale à grand champ. J’ai lu ici et là que j’allais perdre en contraste comparé à un champ plus restreint mais bon.. je débute.. et c’est un Dobson manuel.. 1/3 dans un 9mm plus confortable que le 10mm fourni d’origine. Je verrais ultérieurement si j’éprouve le besoin de le remplacer pour un modèle de gamme supérieure. J’ai dégoté dans les PA un ES 4,7mm 82 et un xcel 9mm à des tarifs raisonnables. Ça rentrait dans le budget! 🙂 Et si cela me convient pas, je pourrais toujours les revendre sans trop y perdre. Après 10minutes d’utilisation, je confirme que les oculaires ´super’ fournies sont effectivement de piètre facture. Je n'ai pas vraiment pu juger de leur optique (nuages nuages..) mais ils semblent peu qualitatifs. Le pire étant le 25mm dont la bonnette est détendue au point où il est impossible d’y mettre le capuchon de stockage sans la déloger. Il va falloir que je le remplace. (Zut j’avais dit à ma femme que j’allais calmer les dépenses). Vu le ciel nuageux j’ai pris le temps de me pencher sur la colimation. J’ai cru au départ que tout était fortement décalé. En fait c’était mon Cheshire qui, de part son poids/longueur, déformait le porte oculaire (la piècee est en plastique). Il est préférable de colimater ce télescope à l’horizontal pour s’affranchir de la gravité. Je verrais si l'ES de 200g engendre le même soucis et si cela a un impact sur les observations. Si oui, il faudra soit que je trouve une solution pour rigidifier cette pièce, soit que je prenne en compte le facteur poids dans le choix de l'oculaire de 25mm. Le cas échéant, j'ai trouvé un 25mm Lacerta 65° chez Pierro astro qui ne pèse que 80 gramme et serait compatible. Il va aussi falloir que je voie pour me trouver une caisse de transport/rangement type flight case. Il est quand même gros ce bébé. Je tenais à vous remercier pour vos conseils de qualité et votre bienveillance. J’ai arpenté pas mal de forum de spécialistes dans différents domaines et c’est (ici) de loin le meilleur accueil que j’ai eu. Ça donne envie de plus découvrir la communauté. Ce week end j’essaie une sortie à 1200m d’altitude.0 point
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Et un bonus "Egoak" chant de resistance à la repression écrit par Joxean Artze et interprété ici par Joan Baez🥰 " Si je lui avais coupé les ailes Il aurait été à moi Il ne serait pas parti Oui mais voilà, Il n’aurait plus été un oiseau Oui mais moi, C’était l’oiseau que j’aimais et l'oiseau biensur, c'est la liberté qu'on ne peut mettre en cage...0 point
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Pour les nébulosités des Pléiades à 100 mm je dirais que oui de mémoire (notamment la plus grande), mais faudrait que je vérifie mes notes. Il ne faut pas confondre avec la diffusion éventuelle sur les optiques ou à cause d'un ciel un peu brumeux ou humide, vu qu'il y a beaucoup d'étoiles brillantes dans le champ. L'avantage aussi de ce tube, mais valable avec d'autres, c'est que même s'il y a un peu de turbu ou en cas de mise en T° pas complète on peut en profiter au début en restant sur les grandes focales oculaires, la F de 740 mm permet de grands champs0 point
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Et ne pas oublier de lancer Carte du Ciel et d'y sélectionner une cible. Je sais ça semble évident mais au cas où... A noter que Nina sait aussi récupérer les coordonnées depuis Stellarium avec Hôte localhost et port 8090. Et il faut aussi configurer stellarium.0 point
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Alors fais comme moi, 2 pas en arrière pour être tranquille la nouveauté ça a du bon parfois... ou pas0 point
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Les premiers segments sont arrivés au Chili ! First segments of ELT’s main mirror arrive in Chile | ESO0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
