Aller au contenu

Classement

  1. jackbauer

    jackbauer

    Membre


    • Points

      7

    • Compteur de contenus

      4314


  2. Pyrene

    Pyrene

    Membre association


    • Points

      4

    • Compteur de contenus

      1924


  3. Tom30

    Tom30

    Membre


    • Points

      4

    • Compteur de contenus

      19


  4. astrolivier

    astrolivier

    Membre


    • Points

      3

    • Compteur de contenus

      121


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 02/06/24 dans toutes les zones

  1. Bonjour à tous, je débute dans le monde de l'astrophoto (un peu moins d'un an...) J'apprends un peu plus à chaque session (même si elles sont rare avec la météo française de nos jours) et je n'ai pas le temps de me rendre dans un club pour m'améliorer alors si des âmes charitables peuvent me conseiller sur la façon de faire mes acquisitions et le traitement je suis preneur 😉😅 Mes 3 premières photos (enfin les 3 premières à peu près potables) M42 (58×180s) Ic434 (33×600s) M45 (42×300s) Le traitement est vraiment pas terrible (et je ne suis pas encore au point) j'ai l'impression que le correcteur intégré de ma fra400 génère beaucoup de halo sur les etoiles brillantes (ou mon APN ?) Traitement sur Siril et un peu de retouches sur lightroom pour réduire le bruit et rehausser les couleurs FRA400 f/d 5.6 Canon 600d defiltré partiel Monture celestron advanced gt Lunette guide 50/180 et asi120mm Asiair mini
    4 points
  2. La référence pour l'estimation du réchauffement climatique réside dans les niveaux "préindustriels". Cette convention renvoie à la période 1850-1900, surtout du fait que les bateaux n'ont commencé à mesurer systématiquement les températures de surface de la mer à cette époque. Selon une étude parue hier dans Nature, le développement industriel a commencé en réalité vers le milieu du XVIIIème siècle, avec des effets mesurables dès le tout début du XIXème. Le signal traditionnel déduit des mesures de températures est en fait biaisé, entre autres par la variabilité propre aux températures de surface, par les approximations des mesures d'époque, et par les éruptions volcaniques qui à cette période masquaient le réchauffement anthropique. La publication propose une objectivation basée sur un nouvel outil : le rapport strontium/calcium dans le squelette d'une éponge des Caraïbes, d'une très longue durée de vie. Cette mesure permet une nouvelle estimation fine des variations de température sur une durée de 300 ans. Ce changement de référence indique qu'en réalité le réchauffement d'origine anthropique est déjà actuellement de 1.7°C, soit un demi degré de plus que les estimations actuelles, et que les deux degrés réels seront atteints dès la fin de cette décennie.
    4 points
  3. Update 5 du 10/08/2025: Voici la version finale de ce projet que vous pouvez telecharger ici: esp32AstroV6.1.3_finale.zip PS: Ne pas oublier de renseigner correctement les champs SSID et Mot de passe dans l'onglet 'variablesWIFI' afind'éviter d'avoir à reflasher l'esp32 via le port USB! Cette dernière update vise uniquement à modifier le comportement du programme en cas de défaillance d'un des capteurs. En effet, en cas de panne de l'un des composants, tout le programme tombe à l'eau, plus de visiblilité sur la page web, et cela sans savoir explicitement quel capteur est défaillant. Avec cette update, si un capteur tombe en panne ou n'arrive pas à se connecter pour une raison ou une autre, alors il renvoi une indication (-999) sans affecter le comportement des autres capteurs. Cela évite de bloquer tout le programme et permet en plus d'identifier quel capteur est défaillant simplement en visualisant la page web. Ce projet touche à sa fin. Il me semble que ce projet est suffisament abouti, qu'il permet d'être modifié, upgradé etc... par qui conque le souhaite. Ce projet m'a permis d'apprendre bien des choses, tant sur la programmation, le comportement de l'esp32, et tout un autre tas de choses. En espérant que ce projet puisse servir à certains Ne pas hésitez à venir poser des questions en cas de nécessité, je me ferai un plaisir d'aider. Olivier ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ UPDATE 4 du 08/10/2025: Je vous propose une nouvelle version du firmware de l'esp32, que vous pouvez telecharger ici: PS: Ne pas oublier de renseigner correctement les champs SSID et Mot de passe dans l'onglet 'variablesWIFI' afind'éviter d'avoir à reflasher l'esp32 via le port USB! 1) Reprise complète du mode de gestion de l'économie d'énergie. Malgré une nette amélioration je n'étais pas encore satisfait. J'ai donc encore poussé le vice un peu plus loin. Pour les capteurs BME280, MLX90614 et SHT3x, j'ai implémenté le mode sleep qu'ils permettent par le protocole i2c. Cela n'était pas implémenté au paravant. Cela implique que les capteurs sont réveillés uniquement lors de la lecture puis rééteints. Cela permet d'avoir une utilisation energetique que sur une phase de 100ms sur une période de 20s, ce qui a pour conséquence une énorme diminution de la consommation et donc une augmentation drastique de la durée de vie de la batterie. Seul le TSL2591 ne dispose pas de cette fonctionnalité. Pour pouvoir couper le capteur on peut simplement relier l'alimentation du capteur à une sortie de l'esp32 et de passer à l'état haut ou bas selon l'effet voulu. Je n'ai pas fait cette modification sur ma platine, donc si vous souhaitez faire cela, n'oubliez pas dans le code principal de supprimer le pin utilisé à la ligne 155, sinon la pin restera inutilisable puisque désactivée par défaut. Par ailleurs, lorsque l'esp32 est en mode sleep, tous les websockets, MQTT et autres protocoles sont désactivés, améliorant encore la consommation inutiles dans ces phases là. 2) Implémentation de la sonde SHT3x. Le BME280, bien que permettant l'ensemble des mesures de température ambiante, pression, humidité et donc après calcul du point de rosée, je n'étais à l'aise de laisser ce capteur dans le bouclier exterieur. Un ami m'a donné une sonde SHT3x qui ne permet de connaitre que la température ambiante et l'humité, et donc après calcul du point de rosée. Cependant cette sonde est réellement faite pour aller en milieu "extérieur". J'ai donc déplacé le BME280 dans mon boitier "quasi étanche" pour mesurer la pression atmosphérique, et mis la SHT3x dans le bouclier. Si l'on ne dispose pas de ce capteur, il suffit de commenter la ligne au début du programme #define SHT, ainsi seul le BME280 sera utilisé. Attention toutefois, les calculs intervanants avec le MLX90614 pour la detection de nuages utilisent en fonction de la sonde choisie, la température ambiante du BME280 ou du SHT3x et non celle du MLX90614. Cela car mon MLX90614 se trouve dans mon boitier "quasi étanche" et que cette valeur intervient directement dans le calcul de la présence de nuages. Dans le boitier la température qui grimpe la journée en cas de soleil fausse complètement les données. C'est un parti pris ici et chacun pourra modifier la température voulue puisque dans la gestion du MLX90614, la fonction de prise de température ambiante est implémentée. Il faudra alors simplement dans la fonction "updateSensorCache()" du code principal modifiée la source ainsi que dans le fichier MLX90614. 3) Reprise du code pour la partie WebSocket. J'ai repris le code pour harmoniser les fonctions des gestions des valeurs entre les parties WEB, Websocket, MQTT et ASCOM. Cela est beaucoup plus cohérent. Pour la partie interface web, j'ai priviligié le Websocket. Cela permet une communication entre le serveur web et l'esp32 bilatérale sans délai. J'ai toutefois laissé la partie HTTP présente en tant que communication de secours. Ainsi, si pour une raison ou une autre le Websocket échoue, le HTTP prend le relai. Cela rend plus sécurisant l'utilisation notamment lors des sessions de nuits 4) Amélioration globale de la fonction anémomètre. J'avais parfois des bizarreries lors de la lecture du vent (par exemple des vitesses de vents à plus de 300 km/h alors qu'il n'y avait de vent chez moi!). J'ai donc renforcé drastiquement la partie concernant les mesures de la vitesse du vent. Ces étrangetés ne devraient donc plus survenir. 5) Calcul de la présence de nuages. Comme mentionné à plusieurs reprises, pour le calcul de la présence de nuages, je me suis complètement inspiré de l'approche faite par Lunatico avec le AAG Cloudwatcher. Ils donnent sur leur site toutes les formules et explications concernant les équations pour le calcul de la correction à appliquer à la tempéarature "brute" fournie par le capteur. Je m'étais pour le moment contenter des constantes K1 à K5 même si sur la page web on pouvait renseigner ces valeurs. Toutefois, elles n'étaient donc pas utilisées dans le calcul. C'est maintenant chose faite. par ailleurs, J'ai également implémenter le facteur qu'ils nomment T76 qui intervient de manière complètement transparente pour l'utilisateur, ajuster les coefficients en cas de "grand froid", donc quis'applique lorsque les températures ambiantes sont <-5°C. 6) Page WEB. Reprise du code pour accepter le nouveau format Websocket avec HTTP en secours. J'ai également ajouter des champs sous les coefficients K1 à K7 pour pouvoir modifier à la volée les constantes tempéature ciel clair et température ciel couvert, intervenant dans le calcul du pourcentage de nuages. Voilà, j'spère que cette nouvelle mouture vous conviendra. Je pense en rester là avec ce projet qui me semble pour le coup suffisament abouti. je reste disponible ici pour échanger. Amicalement. Olivier ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ UPDATE 3 du 18/09/2025: Après avoir du lâché le projet durant plusieurs mois, j'ai pu reprendre le developpement de ma station météo spéciale ASTRO et Observatoire. Le code original en V4 fonctionnait bien mais j'avais envie de l'améliorer sur plusieurs points. Cette version du code reste compatible avec le drriver ASCOM V2. Vous pouvez telecharger le firmware ici: Ne pas oublier de renseigner correctement les champs SSID et Mot de passe dans l'onglet 'parametreWIFI' afi nd'éviter d'avoir à reflasher l'esp32! Voici la liste des principales évolutions du firmware: 1) Modification de la partie firmware - Ajout d'un mode DEBUG: Le fait d'avoir des Serial.print(ln) augmente la durée d'un tour de loop. Je voulais un système plus réactif. Une fois que tout est OK on peut supprimer les Serial en commentant la ligne //DEFINE DEGUG_MODE en haut du fichier *.ino. Cela fait gagner environ 50% de réactivité. Bien penser à le commenter quand tout est OK. - Ajout d'un mode "simulation": Cela permet de tester le code et la page web en simulant des données sans que les capteurs ne soient physiquement connecté. - Utilisation d'un MUTEX: Cela evite des écritures et lectures simultannées qui pourraient poser problème. - Utilisation d'un cache pour les données: Toutes les données collectées sont stockées dans un cache. Le cache est par défaut remis à jour toutes les 20s. Ce sont les données dans le cache qui sont lues par la page web ou le driver ASCOM. - Ajout du code nécessaire pour l'utilisation avec MQTT, donc pour ceux qui utilisent Home Assistant ou d'autres application MQTT. - Ajout du code nécessaire pour l'utilisation de WebSocket: bien plus rapide pour la communication entre la page WEB et l'esp32. - Modification du code pour les interruptions dans le comptage des 'ticks' intervenant dans le calcul du vent et de la pluviomètrie. - Ajout d'un Watchdog: Redémarre l'ESP32 si le système se bloque (ex: boucle infinie, plantage logiciel). - Utilisation d'un heartbeat: Maintien le système en vie en effectuant des tâches périodiques (ex: vérifier le WiFi, réinitialiser le watchdog, envoyer un signal de vie). - Ajout d'une vérification de la mémoire: evite les fuites mémoire et évitera bien des plantages. - Ajout d'un reboot systèmatique tous les 7 jours: Cela prends moins de 2s et permet la réinitialisation de tous les compteurs, notament pour millis(). - Amelioration du mode MODEM SLEEP : Le code a été remanié pour offrir une plus grande économie en terme energetique. Concretement, si aucune requete n'est reçue par l'esp32, alors il passe en mode éco. La puissance du wifi est mise au minium afin d'avoir la meilleure économie. Ce mode garde l'aventage de pouvoir reveiller instantanément l'esp32 si une requete est reçue. Complétement transparent pour l'utilisateur, cela préserve également les capteurs. Pour une meilleure réactivité, un cache de données avec le minimum est mis à jour. Cela permet au reveil d'avoir des données fraiches. - Amélioration de la gestion du wifi: l'esp32 analyse les performances de la connexion au wifi et ajuste sa puissance de transmission / réception pour une fois de plus améliorer le coté energetique. - Diverses modifications du code (liste non exhaustive!): suppression des Serial, modification des String pour utiliser des tableaux, ce qui est beaucoup plus efficace et évite des défragmentations, suppression des différents 'delay' pour utiliser du FreeRTO non bloquant, ajout de beaucoup de texte pour la compréhension et modification par d'autres personnes. Création d'un onglet utilisateur qui permet de modifier quelques paramètres. Attention, certains paramètres sont à ajuster dans les fichiers *cpp tels que les SSID, mot de passe... - Améliortion de l'autonomie sur batterie + panneau solaire: Toutes les modifications apportées permettent, en plus de proteger les capteurs dans le temps, d'avoir une meilleure efficacité energetique. En comparant par rapport au code précédent, l'autonomie a été multipliée par 3. On ne peut pas faire mieux puisque le wifi doit rester actif en permanence pour pouvoir être le plus réactif. De ce fait on oublie les mode light sleep et deep sleep. A titre d'information, les estimations sont les suivantes: avec une batterie 3000mAh, un panneau solaire 5V 10W, on obtient: sur une période de 1 mois, avec une utilisation complète équivalente à 1 semaine, on obtiens une charge possible jusqu'à 350 Wh pour une consommation de 75 Wh. On est largement exedentaire et donc auto suffisant, même avec des journées courtes et couvertes. 2) Modification de la partie WEB: - Refonte en partie de la page WEB: Nouvelle mise en page avec de nouvelles gauges, plus attractives à l'oeil. Modification du script pour utiliser le WebSocket au lieu d'une requête web. - Meilleure gestion des coefficients K1 à K7 intervant dans le calcul de la température du ciel (présence de nuages). Ne pas hésiter à me dire si vous rencontrer un problème. Amicalement. Olivier ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ UPDATE 2 du 04/07/2024: IMPORTANT: Si vous avez déjà installé l'ancienne version du driver ASCOM, il faut d'abord le désinstaller via l'utilitaire de desinstallation des programmes Windows. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ UPDATE 1 du 02/07/2024: Pour répondre à la demande d'un astram du forum, j'ai repris une très grande partie du développement de ce projet. La demande initiale était simple: ajouter la prise en charge d'un anémomètre, d'un pluviomètre et d'un détecteur de gouttes. Le pluviomètre et l'anémomètre m'ont été chaleureusement offert par le demandeur afin de pouvoir tester en vrai les différents codes. Ces deux capteurs proviennent du site Lextronic: - Le pluviomètre: https://www.lextronic.fr/pluviometre-a-godet-27641.html - l'anémomètre: https://www.lextronic.fr/anenometre-a-sortie-reed-27644.html - Capteur de gouttes: 1) Afin de me simplifier la vie, j'ai repris l'architecture du code de l'ESP32. J'avais initialement construit un firmware où tout était dans le même fichier. J'ai du coup créé les fichiers .CPP et .h pour chaque capteur et chaque fonctionnalité. Cela permet une maintenance plus facile et l'ajout de fonctionnalités plutôt facilement. 2) La mise à jour du firmware de l'ESP32 peut maintenant se faire via une mise à jour OTA (over ther air). Dans le cadre d'une station météo c'est plus pratique puisque dans de nombreux cas celle ci sera alimentée par un panneau solaire et donc bien loin du port USB. Sur la page web qui affiche les données des divers capteurs, un bouton en haut de la page permets d'accéder à la page de mise à jour de l'ESP32. Arès avoir sélectionner le fichier .bin crée par l'IDE arduino ou autre IDE, puis cliqué sur le bouton "Mise à jour", une barre de progression se remplie. Une fois fini un message de succès apparait pour confirmer l'upload. En cas d'erreur un autre message d'echec apparait. Une fois le telechargement sur l'ESP32 terminé, un bouton "retour vers l'acceuil" apparait sous la barre de progression. 3) L'adresse IP fixe de l'ESP32 doit être renseignée dans le fichier "WIFI.cpp" et les SSID et mot de passe wifi doivent être renseignés dans le fichier "variablesWIFI.cpp". Ces données sont utilisées dans le cas de la mise à jour par OTA mais aussi dans la gestion "cachée" des pages web. Sans rentrer dans le détails cela permet de rendre dynamique les variables nécessaires afin que les infos utilisées dans l'ESP32 soient réutilisées par les pages web. Cela évite d'avoir à modifier les fichier html pour y modifier les adresses IP. Tout est automatique dorénavant. 4) La gestion en économie d'énergie a été améliorée. Initialement il n'y avait pas de gestion d'énergie. Sur cette version, après 5 minutes d'inactivité, l'ESP32 se met en mode "Modem Sleep" (le WiFi et le Bluetooth sont donc désactivés). Ce n'est pas le mode d'économie le plus avancé (il aurait fallu pour cela mettre un "Deep Sleep") mais le "reveil" de l'ESP32 serait bien plus délicat. Une activité est soit une requete de la page web soit une requete du driver NINA. Donc, si aucune requête arrive à l'ESP32, celui ci rentre en "Modem Sleep". L'ESP32 arrête toutes les lectures des capteurs. Si une nouvelle requête est faite alors l'ESP32 reprends sa routine durant 5 minutes. A chaque nouvelle requête le timer de 5 minutes se remet à 0. Cela garantie une économie d'énergie ceratine ainsi qu'une plus grande longévité des capteurs puisque, ce projet se destinant à une météo astro, il va de soit que les requêtes ne seront que peu fréquentes en cas d'inutilisation prolongée à cause de la météo ou tout autre évenement :). 5) NINA communique avec l'ESP32 grâce au driver MeteoESP32 Setup V2.exe que je joins dans ce post -> ajout des paramètres anémomètre et pluviomètre. 6) Je recommande de laisser la gestion du Safety Monitor à l'execllent driver "Environment Safety Monitor" ici: https://www.dehilster.info/astronomy/ascom_environment_safetymonitor.php Cela permettra une gestion bien plus pointue sur cet aspect que mon premier driver joins ici. Je le laisse pour les gens curieux qui veulent voir comment est fait un driver ascom en utilisant le projet. 7) Mise à jour de la page index.html. Couleurs retravaillées, ajout de la date et de l'heure, ajout du bouton pour la mise à jour par OTA, ajout de la version actuelle sur l'ESP32 en bas de page. Diverses modifications du code notamment pour integrer la gestion dynamique des adresses IP. Pour tester le projet, je joins le fichier esp32AstroV4.0.0finale.zip Il y a tous les codes dedans. Pour la partie web j'utilise un IDE arduini 1.8.X car le plugin "sketch upload data" ne fonctionne pas avec les versions 2 et plus. Telechargement ici:https://github.com/me-no-dev/arduino-esp32fs-plugin/releases/ Pour les librairies il suffit de les récupérer depuis le gestionnaire de librairie de l'IDE. Bien astronomiquement à vous, Olivier MeteoESP32 Setup V2.exe Fin UPDATE 1 du 02/07/2024 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Bonjour à tous, Voilà de cela plusieurs années j'ai fais un rêve. Construire un observatoire. Pour y parvenir j'ai mis en route pleins de petits projets qui sont plus ou moins finis, le dernier grand pas étant l'abris en lui même..... arf.... un jour Mais à dire vrai, il y eu en parallèle du rêve de la conception d'un abris, la réflexion sur la facilité de la création d'un driver de type ASCOM. Moi qui ne suis pas ingénieur, me lancer dans la programmation était sommes toute difficile. Puis, quelques années plus tard, de petits modules facilement programmables sont apparus: les arduino. Aujourd'hui il existe énormément de variantes mais j'ai le plaisir de "jouer" avec cela depuis quelques années maintenant. Sans être expert, le langage C++ me fait un peu moins peur. Encore loin de la création d'un projet ASCOM j'ai par la suite participé à divers projets et j'ai de mon coté personnalisé certains petits projets notamment sur INDI, le ASCOM Linuxien, qui m'ont permis de touché un peu au code HTML (le code pour la création de page web entre autre), javascript ou CSS. Le temps passe, l'idée toujours en tête, mais voilà....une révolution a commencé il y a de cela quelques mois: l'IA générative. Pour les autres, ChatGPT. Cet outil, oui oui c'est simplement un outil, permet de faire des choses remarquables, comme aider à la réalisation d'un driver ASCOM!! Je m'explique: Il y a quelques années, j'avais réalisé un boitier météo pour Linux, basé sur une solution existante nommée Weatherradio. Le principe est simple: un arduino sur lequel étaient branchés les capteurs suivants: - un BME280 de chez Velleman: il s'agit d'un petit module permettant de connaitre la température ambiante, la pression atmosphérique, l'humidité relative, et par quelques petites formules, le point de rosée. - un TLS2591 chinois: un capteur de luminosité (en lux) extrêmement sensible qui, par simple calcul, permet de connaitre la qualité d'un site, le fameux SQM. Je vous laisse aller voir sur le net, mais en gros, on peut facilement comparer deux sites en mesurant la "noirceur" du ciel. - un MLX90614 chinois: c'est un capteur de température infra rouge (les fameux thermomètres à distances pour enfant, ceux qui sont en rupture de stock depuis la COVID 19 😕 ), capteur qui permet donc de mesurer la température du ciel, et au moyen d'une formule tirée du boitier AAG Cloudwatcher, la quantité de nuages dans le ciel. En gros si le ciel est chaud c'est qu'il y a des nuages, s'i lest plus froid il n'y a pas de nuages et donc il fait beau. Bon c'est assez empirique mais après quelques réglages cela sera assez précis. J'y reviendrais. Ce petit monde donc était connecté à un petit arduino nano, qui est dans l'obligation d'être connecté à un port USB du pc pour communiquer toutes les mesures transmises. Sans rentrer dans les détails, j'avais installé le firmware weatherradio dessus et tout allait bien. Mais voilà, le temps est passé et la révolution en marche. J'ai acheté un module arduino, enfin pas vraiment arduino, mais on va rester simple, qui s'appelle un ESP32. Petite carte électronique donc qui permet de faire la même chose que l'arduino nano, donc d'y connecter des capteurs, mais il offre surtout deux avantages supplémentaires en plus de sa puissance de calcul: - il offre une connectivité sans fil, donc parfait pour le mettre loin de tout sur une petite batterie solaire (à venir), - il offre une mémoire flash sur laquelle on peut y programmer un serveur web. Ca devient très intéressant. Concrètement, que cela veut il dire: Ce petit module permet d'installer à l’intérieur de sa mémoire différents fichiers (un peu comme sur un pc) et il peut par la sorte générer des pages internet. Pages que l'on peut visiter depuis n'importe quel périphérique disposant d'un accès internet et connecté sur le même réseau wifi que celui du module. A partir de la, on peut afficher les valeurs des capteurs sur une page web. Vous commencez à sentir le truc 8-) Je me suis donc dit, si avec ce petit module si puissant, un peu d'IA qui offre une aide génialissime et beaucoup d'envie, je me lançais dans la création de mon premier driver ASCOM pour une station météo Astro. Attention, ici je ne fais pas de suivi météo comme les stations du commerce, même si en réalité cela est tout à fait possible avec ce module ( quand je vous dit qu'il est puissant ce machin ^^) Tout feu tout flamme, je me lance dedans. ChatGPT offre une aide précieuse. On peut lui demander à peu près tout et j'avoue que sans cet outil je n'y serais surement pas arrivé. Il connait tous les langages de programmation et pour peu qu'on sache l'utiliser c'est extrêmement puissant. Après plusieurs heures à triturer les codes C++ de l'arduino et C# d'ASCOM le résultat tombe. Ça fonctionne aux petits oignons. Donc, petit résumé de la chose: J'ai un ESP32 sur lequel sont branchés plusieurs capteurs. les valeurs mesurées sont renvoyées sur une page internet générée par l'ESP32. Le driver ASCOM que j'ai conçu permet, via NINA par exemple, d'envoyer une requête internet (basiquement il ouvre une page internet sans que vous le voyez) et reçois les valeurs de la page web. Le drivers traite l'info et NINA affiche les valeurs. Enfin, dans un soucis d’esthétisme, j'ai crée une interface sur la page internet avec des petites gauges affichant les valeurs. Les valeurs sont rafraichies toutes les 10 secondes. On peut changer cela facilement dans le fichier script.js qui accompagne le code HTML de la page internet. Mais ce que je souhaitais avant tout, c'était de pouvoir paramétrer quelques valeurs importantes que je vais exposer juste après, sans avoir besoin de rebrancher l'ESP32 à l'ordinateur et de renvoyer une mise à jour du firmware de l'ESP32. Petite explication. Le module MLX90614, comme je l'évoquais plus tôt, est un module qui sert à mesurer la température d'une portion de ciel. Si il y a des nuages ou non, la température mesurée (via le capteur infrarouge) va en être modifiée. Le but ici n'est pas d'expliquer comment cela fonctionne car cela alourdirait inutilement cette page déjà bien remplie ^^. Le truc, c'est que la valeur brute mesurée n'est a elle seule pas suffisante pour être pertinente. Le fabriquant du boitier AAG cloudwatcher, qui dispose du même module, a mis en ligne dans sa notice les équations qui permettent de corriger la valeur mesurée par le capteur. En gros, à la valeur mesurée, on doit appliquer une correction que l'on va soustraire à la valeur brute. On obtiendra une valeur corrigée. Le problème, c'est que cette correction peut varier en fonction des saisons. En gros, la valeur de correction à appliquer sera différente si on regarde la température du ciel en hiver ou en été. L'équation qui génère la valeur de la correction est constituée de 7 coefficients sur lesquels ont peut agir. On comprends dès lors que pour éviter de devoir modifier les valeurs des coefficients en dur dans le firmware de l'ESP32 et ne pas avoir à recharger le firmware tous les x temps, il me fallait trouver un autre moyen. Et l'ESP32 permet cela assez facilement!! J'ai créé un fichier dans la mémoire de l'ESP32 dans lequel sont stockés ces coefficients. Ensuite, (merci ChatGPT) dans le code de la page web j'ai généré un formulaire dans lequel on peut à la volée donner de nouvelles valeurs aux différents coefficients. Ces valeurs sont donc stockées en dur sur l'ESP32 et elles ne seront ainsi pas perdues même après un reboot de l'ESP32 (panne d’électricité par exemple, ou batterie à plat ^^). C'est donc depuis la page web générée par l'ESP32 que l'on peut modifier les valeurs facilement en fonction des saisons. Un vrai bonheur. Voilà, je suis arrivé au terme de ce petit projet qui m'aura permis de toucher du doigt plusieurs domaines: - l'apprentissage sur un module ESP32 que je ne connaissais mais que je vais réutiliser pour d'autres sujets que l'astro (pour 3€ les 2 modules sur Ali.... ce serait dommage de ne pas le faire), - apprentissage de l'outil ChatGPT pour obtenir les résultats souhaités, - apprentissage de divers langages: HTML, javascript, C# et d'autres!! - démystification de la création d'un driver ASCOM que je croyais réservé à une élite d'ingénieur en informatique, du moins pour des projets simples Petit plus!!! En plus d'un driver méteo je vous propose le driver Safety Monitor qui se connecte aussi sur le même module afin de savoir si les conditions météo sont favorables, mis à part le vent que je n'ai pas intégré. Aussi, je vous propose de partager mon travail afin que chacun puisse soit s'y essayer ou s'en inspirer. je fourni: - l'executable du driver météo pour NINA en tant qu'ObservingConditions, - l'executable du driver météo pour NINA en tant que Safety Monitor, SafetyMonitorESP32 Setup.exe -le firmware ESP32 avec son repetoire pour la partie WEB, -les projets visual studio pour ceux qui veulent aller plus loin ou integrer de nouvelles fonctionnalités comme un anémomètre par exemple. visual studio - MeteoESP32Driver.rar visual studio - SafetyMonitorESP32.rar Voilà, j'espère avoir pu partager avec vous quelques petits choses. Je répondrais aux questions, s'il y en a, A très vite Olivier @bemoBonjour, je sais que cela fais maintenant très très longtemps que j'avais promis ce driver!! il est enfin là... vaut mieux tard que jamais PS: Un grand merci aussi à @Raphael_OD et @Antiath sans qui je n'aurais tout bonnement pas essayer non plus!! des conseils avisés et utiles!!! un grand merci
    3 points
  4. Bonjour Sur une idée originale de notre ami @Goofy j'ai demandé à mon eVscope de me montrer un objet que l'on ne voit pas souvent: le JWST. Avec une magnitude apparente d'environ 16 il est donc accessible avec un eVscope (donné jusqu'à magnitude18). Le JWST se trouve dans la constellation des Gémeaux. On peut trouver ses coordonnées équatoriales sur le site du JPL :https://ssd.jpl.nasa.gov/horizons/app.html#/ Capture de vision amplifiée de 32 minutes (pour avoir une image plus grande: clique droit, ouvrir l'image dans un nouvel onglet): Le déplacement du JWST est dû au fait qu'il est inséré sur une orbite autour du point de Lagrange L2. Il parcourt cette orbite en six mois à une vitesse d'environ1km/s. Sa distance avec le point de Lagrange varie entre 250000 et 832000 km, tandis que celle avec la Terre oscille entre 1,5 et 1,8 million de kilomètres. https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Webb_(télescope_spatial) CROA de @Goofy : https://www.webastro.net/forums/topic/249122-installer-un-filtre-de-bande-sur-un-unistellar/?do=findComment&comment=3127586 2024bch : une supernova récemment découverte ( le 29/01/2024) par Patrick Wiggins, Université de l’Utah (États-Unis). Elle est située dans la galaxie NGC 3206 (distance environ 63 millions d'AL) dans constellation de la Grande Ourse: Paramètres de cette supernova ici: https://www.rochesterastronomy.org/sn2024/sn2024bch.html ou encore là : https://www.wis-tns.org/object/2024bch Merci pour votre passage par ici, bon ciel à vous
    2 points
  5. Bonjour les gens, En réalité cela ne va pas changer grand chose par rapport aux prévisions déjà établies. + 1,5°C par rapport à la référence de la fin du XIXième siècle ou + 1,7°C par rapport à la référence du milieu du XVIIIième siècle nous conduit aux mêmes dérives si entre ce deux références la température n'a évoluée que de 0,2°C. C'est juste un changement de repère orthonormé où Ox est le temps et Oy est la variation de température moyenne de la planète. Le problème reste cependant entier. La Californie nous montre une tendance à la bipolarisation de son climat pourtant maritime et déjà évoquée plus haut dans le sujet : des étés chauds et secs avec comme conséquences des incendies géants, des hivers froids et humides avec comme autres conséquences des inondations. El Niño a sûrement une contribution dans la situation cette année. Il n'en demeure pas moins que la tendance bipolaire commence à être lisible dans la durée. Ce qui est inquiétant, est de constater que l'océan perd de plus en plus son rôle d'intégrateur pour réguler les amplitudes météorologiques. Est-ce alors à penser que les facteurs jouant ce rôle sont maintenant saturés. A l'image d'un condensateur qui "aplatit" des courbes de variations, qui une fois chargé sans décharge à suivre ne joue plus son rôle, nos océans sont bloqués dans un état chargé, les calories stockées sont un facteur, le pH en réduction à l'acide carbonique en est un autre. Outre les conséquences météorologiques consécutives aux évolutions climatiques, la biodiversité marine est en mutation. L'acidification et l'accroissement de température des eaux de surface ont des conséquences déjà sensibles analysées par satellites, (attendons les premières valeurs mesurées in situ,) sur les populations de crils ou de plancton, bases alimentaire de toute la chaine du vivant maritime dont l'organisation va être bouleversée. Seuls les plus adaptatifs survivront. Il est vraiment désolant de lire encore ce qui était sans doute vrai il y a 50 ans : https://www.un.org/fr/climatechange/science/climate-issues/ocean qui nous dit que tout va bien, et que d'autres messages comme : https://www.greenpeace.fr/oceans-recifs-coralliens-victimes-rechauffement-climatique/ qui nous disent que tout va mal, D'autres organismes impliqués* par les conséquences tentent d'analyser un peu plus froidement, mais aussi de se verdir, et maintenant bleuir l'image : https://www.banquemondiale.org/fr/news/feature/2022/02/08/what-you-need-to-know-about-oceans-and-climate-change Pas facile de se faire une idée précise, sauf qu'à lire et relire les rapports du GIEC, il n'y a plus de doute que la fête sera pour plus tard, bien plus tard. Il y est question, sans plus de remise en cause, que désormais nous ne retrouverons un équilibre climatique que dans 800 à 1 000 ans. Qui parmi les citoyens a déjà intégré cette notion ? Bien peu je crois. Ney * : Une image pour mesurer la différence entre être impliqué et être concerné est celle de l’œuf au bacon du petit déjeuner. La poule est concernée, le cochon est impliqué !
    2 points
  6. On en revient à ce que Danjon & Couder appelle le tautochronisme : l'aberration sphérique. Entre nous, il ne faut pas faire confiance à Vladimir Saçek qui n'a rien compris sur le sujet... cf https://www.telescope-optics.net/achromats.htm Ce qu'il faut montrer sur le réfracteur de Lick (36", 914mm, formule optique officielle, publiée dans Sky & Telescopes) Note : j'ai pas l'officielle du Clark de Flagstaff. de 546 à 595nm : c'est piqué, ça atterrit dans le spot de ce gigantesque réfracteur, on peut exploiter la résolution sur cette plage de couleur quand le temps le permet. (ici, imaginez 1500x sur cette plage de vert à orange) Et si on grossit moins, la concentration des couleurs augmente A x750 : de 535 à 605nm x500 pour de 525 à 615nm, c'est une plage très utile, il faut quand même filtrer le rouge et le bleu défocalisé autour sinon ça baigne dans la lumière violette, mais la tache rouge de Jupiter par exemple est très piquée et surtout, le flux est immense, on perçoit fortement les couleurs. C'est technique pour s'en servir, il ne faut pas juste y planter un oculaire de 40mm sans rien avec... Mais imaginer que vous souhaitez faire des extractions de bandes couleurs, c'est tout à fait possible. La spectroscopie était (et revient depuis 2023) une utilisation principale de ces réfracteurs (Lick et Yerkes) (en fait spectro-photographie par bande pour être précis) cf https://ecuip.lib.uchicago.edu/multiwavelength-astronomy/optical/tools/04.html About Yerkes restoration (2022) : https://www.grainger.com/know-how/inspiration/kh-video-yerkes-observatory https://youtu.be/MbGxz7K1C7g?si=iTcrjAHi0blqaJC5 About reuse (2023) of Yerkes refractor (spectroscopy and illumination measurement) :
    1 point
  7. c’était juste pour illustrer Après sans trop digresser, c'est pas dit du tout que ça ne passe pas sur un 127. Sur le C6/réducteur, le 24/68 passe bien, ce qui revient à mettre un pano 40 en natif. Le C6 est un pur 1"25 pourtant, mais avec l'oculaire si loin du diaph, tout passe sans vignette gênante. Largement de quoi se repérer et se balader. La raison pour laquelle le 38/70 passe sans encombre notable sur le 150 qui est la quasi copie du 127.
    1 point
  8. c'est une très jolie capture !! Bien joué !!
    1 point
  9. détrompe toi c’est pas evident d’avoir un superbe résultat comme ça! Mais fonce, tu y prendras goût!! Et de toute façon tu prends pas de risque! Je pense bien oui ! promis j’essaye de dessiner gribouiller cette année vous donnez envie avec tous vos dessins. Sauf que je fais beaucoup moi s de sorties que vous j’ai l’impression et si le ridicule ne tue pas effectivement je ne prends os trop de risques 😅
    1 point
  10. Bravo ! Le même article est dans le Monde de ce soir. Je l'ajoute. https://www.lemonde.fr/sciences/video/2024/02/05/on-sait-enfin-pourquoi-les-insectes-volants-s-attroupent-autour-des-lumieres-artificielles-la-nuit_6214893_1650684.html
    1 point
  11. Et objectifs presque atteints ! La soirée avait pourtant mal commencé, avec ma motorisation qui refusait de fonctionner. J'utilise un powerbank 5V avec un transfo qui me permet une tension de sortie variable entre 5V et 12v, pour alimenter ma motorisation en 6V. Jusque là ça fonctionnait très bien mais hier j'ai eu toutes les difficultés du monde à régler la tension de sortie (chaque pression sur le bouton du câble incrémente de 0,2V), cette dernière restant bloquée à 5V... Même en atteignant les 6V la raquette refusait de fonctionner et la diode orange refusait de passer au vert... J'ai perdu une grosse demie heure à tenter de régler le problème, en vain. J'ai fini par débrayer les moteurs et me suis servie de la monture en manuel seulement. Le hic, c'est qu'avec tout ce temps perdu, Cassiopée était descendue trop bas sur l'horizon, en bonne partie masquée par la maison du voisin... Loupé pour NGC 457 ! J'irai voir la chouette une autre fois. Je commence donc par rechercher M50 aux jumelles d'abord : j'imagine une ligne entre Procyon et Sirius, il se trouve à peu près à mi chemin, à peine plus proche de Sirius. Il est bien visible aux jumelles et le pointage au chercheur se fait assez facilement (la technique du laser dans le chercheur est un gain de temps phénoménal, et peut-être encore plus efficace que le chercheur point rouge...). M50 est appelé "l'amas du cœur" sur Stellarium, et à l'oculaire je comprends pourquoi ! Ses étoiles principales, de 8ème et 9ème magnitudes, forment le contour d'un cœur ou d'un papillon. Quelques dizaines d'étoiles sont résolues et cet amas très graphique, assez intéressant, m'occupe un bon moment à divers grossissements. Il est ensuite temps de chercher M48, amas ouvert que je n'étais pas parvenu à localiser lors d'une soirée précédente aux jumelles. Plutôt que de partir à l'arrache, j'ai étudié un peu les cartes dans la journée, et le cheminement est simple : Gomeisa et Procyon, qui forment la constellation du Petit Chien, définissent une ligne droite. En prolongeant vers le bas cette ligne de 3x la distance entre ces deux étoiles, on tombe sur un petit trio d'étoiles de magnitudes 5 à 3, formation très remarquable au chercheur. Arrivé là, il suffit de partir à 90° dans le sens horaire de la ligne droite utilisée précédemment et d'une longueur égale au Petit Chien, pour tomber sur M48. Avec ce cheminement, je tombe dessus du premier coup en quelques minutes. L'amas est assez peu dense et relativement étendu. Je n'y remarque rien de particulièrement remarquable (bizarre comme phrase). Le temps file, les Gémeaux sont au zénith et avant que leurs pieds ne retombe derrière le mur de ma terrasse, il est temps de retourner vers M35 pour tenter de trouver NGC 2158 signalé par @joker0247 un peu plus haut. Ce dernier le qualifiait de "discret"... Effectivement, pour être discret, il l'est ! 😄 Je l'ai bien repéré mais malgré y avoir insisté un peu à divers grossissements, en vision directe et indirecte, il est resté une tâche floue et je n'ai résolu aucune étoile de cet amas. J'en ai tout de même profité pour contempler encore M35, encore plus beau que la veille 🥰 Dernier de ma liste, M67, amas ouvert dans la constellation du Cancer. Je constate que le ciel est effectivement bien plus transparent que la veille (malgré un vent plus présent, ou peut-être grâce à lui ?) : M44 est visible à l’œil nu ce soir. Pour trouver M67 c'est très simple : partant de M44, il suffit de suivre la pince gauche du crabe (en bas) qui termine par deux étoiles proches : l'amas est juste un peu sur la droite. A l'oculaire il a une forme très intéressante : je lui trouve des contours un peu similaires à M1 vu dans un (très) grand diamètre, une sorte de forme de crabe ou de croissant. Cela fait de longues minutes que je le détaille quand soudain : l'image gagne d'un coup, presque instantanément, de meilleurs contrastes ! Il est minuit et l'éclairage public vient de s'éteindre. Je lève la tête et le nombre d'étoiles dans le ciel a facilement triplé ! Quelle beauté. Je retourne sur M67 en profiter encore un peu mais tout de même la fatigue se fait sentir. Orion est parti se cacher derrière la colline voisine, tandis que le Lion est en train de prendre de la hauteur. "Rhaaa je finirais bien par une petite galaxie quand même... Je vais voir le Triplet ? Non je ne connais pas assez bien leur repérage je vais y passer trop de temps et je suis crevé... Tiens, mais c'est la Grande Ourse là tout là haut ?!" Je tourne rapidement le télescope au nord, prolonge la diagonale Phecda-Dubhe et tac : M82 puis M81 apparaissent, assez faiblement, mais ça va, elles sont toujours là, je peux aller me coucher 😊 Les musiques qui ont accompagné mes observations de ce weekend : https://youtu.be/R1oN2jxSFrc?si=eR8mTDF01A5oZSGf Caoilfhionn Rose - Awaken https://youtu.be/o5MdcURuXao?si=VRF-OhH9AzaINqzG Hania Rani - Ghosts https://youtu.be/3GALJl6Y16w?si=PItDvSlBO368dNPr Air - Live at Niemeyer Space (pour la 2398 fois 😄) Merci de m'avoir lu !
    1 point
  12. Chouette, bien vu ! Y a de jolies taches aussi. 😊 A+ Serge
    1 point
  13. Ha oui joué avec la petite lulu.
    1 point
  14. Nouvelles images mises en ligne du survol du 03/02 : https://www.missionjuno.swri.edu/junocam/processing?phases[]=PERIJOVE+58 Les spécialistes du traitement d'images sont déjà à l'oeuvre, comme ici Jason Perry :
    1 point
  15. Merci pour l'info complètement passée à la trappe.. J'avais mis ça du temps de ma 2600 mono et Ideal QE curve pour la 294MC. Je corrige puisque je suis passé à une unique IMX571 couleur !
    1 point
  16. Nouveau survol de Io il y a à peine quelques heures et déjà une photo fantastique :
    1 point
  17. Ah oui, "glowing dust", ce n'est déjà plus la même connotation... Bon, voici la Montagne Sainte Victoire et M66 vus par un voyageur galactique nommé Paul Cézanne. Sobiesky, merci pour l'idée ! 😁
    1 point
  18. Attention, il s'agit d'une traduction automatique : elle n'est pas parfaite ! Le texte original en anglais mentionne "glowing dust" que l'on peut traduire aussi par "poussière rougeoyante" : c'est plus approprié Concernant le "style" des photos imposé par la com' de la NASA, ce sera toujours un sujet de discussion ! Je vais prendre l'exemple de la galaxie M 66, alias NGC 3627 L'image prise par Webb avec l'instrument MIRI : Voici l'image brute, sans le traitement de choc : idem avec l'instrument NIRCAM : Et maintenant avec Hubble : Faites votre choix !
    1 point
  19. Oui, ces images sont fantastiques... Il y a quand même quelque chose qui me gêne un peu dans l'apparence générale (mais c'est peut-être à cause de mon âge et de mon tempéramment pinailleur 😄 ) : le choix des (fausses) couleurs est très très très différent de ce que j'ai l'habitude de voir, et les images me font plus penser à des tabeaux peints à l'acrylique "flashy" qu'à des images montrant une réalité d'intérêt astrophysique. Les nuages de poussière (et de gaz, même si le texte ne le dit pas !) qui émettent en infrarouge sont représentés en rouge - orange - jaune. Plus ou moins inconsciemment, mon cerveau de Terrien interprète cela comme "très chaud, tellement chaud que c'est incandescent". Et d'ailleurs le commentaire parle bien de "poussière incandescente". Or, sauf erreur de ma part, si ces poussières sont détectées dans l'infrarouge moyen, c'est parce que leur température est de l'ordre de quelques dizaines de Kelvins ! Donc, on est plutôt au rayon "surgelés" qu'au rayon "rôtisserie".... 😁 Tout ceci étant dit, ça ne m'empêche pas d'admirer ces images, et de réaliser que les "vieilles" photos dans le visible ne montraient pas toute cette matière interstellaire, ce qui ne donnait pas une juste idée de la composition des galaxies. Merci pour le partage !
    1 point
  20. Pour ceux qui aiment les belles images de galaxies : Qui veut des belles images de galaxies ? (images cuisinées avec du Webb et du Hubble) https://webbtelescope.org/contents/media/images/2024/105/01HM9KGGP1EWFFSRRSKR8NZGWZ?news=true traduction automatique : Cette collection de 19 galaxies spirales de face du télescope spatial James Webb en lumière proche et moyenne infrarouge est à la fois écrasante et impressionnante. « Les nouvelles images de Webb sont extraordinaires », a déclaré Janice Lee, scientifique du projet pour les initiatives stratégiques au Space Telescope Science Institute de Baltimore, dans le Maryland. « Ils sont époustouflants, même pour les chercheurs qui étudient ces mêmes galaxies depuis des décennies. Les bulles et les filaments sont résolus jusqu’aux plus petites échelles jamais observées, et racontent une histoire sur le cycle de formation des étoiles. La caméra NIRCam (Near-Infrared Camera) de Webb a capturé des millions d’étoiles dans ces images. Les étoiles plus anciennes apparaissent en bleu ici et sont regroupées au cœur des galaxies. Les observations MIRI (Mid-Infrared Instrument) du télescope mettent en évidence la poussière incandescente, montrant où elle se trouve autour et entre les étoiles – apparaissant dans des nuances de rouge et d’orange. Les étoiles qui ne se sont pas encore complètement formées et qui sont enfermées dans du gaz et de la poussière apparaissent en rouge vif. Les images haute résolution du télescope Webb sont les premières à montrer de grandes coquilles sphériques dans le gaz et la poussière avec des détails aussi exquis. Ces trous peuvent avoir été créés par des étoiles qui ont explosé et sculpté des régions géantes dans la matière interstellaire. Un autre détail qui attire l’attention ? Plusieurs noyaux de galaxies sont inondés de pointes de diffraction roses et rouges. Ce sont des signes clairs que ces galaxies peuvent avoir des trous noirs supermassifs actifs centraux ou des amas d’étoiles centraux. Ces galaxies spirales constituent le premier grand lot de contributions du télescope Webb au programme PHANGS (Physics at High Angular resolution in Nearby GalaxieS), qui comprend des images et des données existantes du télescope spatial Hubble de la NASA, de MUSE du Very Large Telescope et de l’Atacama Large Millimeter/submillimeter Array (ALMA). Grâce aux images du télescope Webb, les chercheurs peuvent maintenant examiner ces galaxies dans l’ultraviolet, le visible, l’infrarouge et la radio. Quelques unes : M66 NGC 1433 NGC 4321 NGC 628
    1 point
  21. 😥😥 https://mars.nasa.gov/news/9540/after-three-years-on-mars-nasas-ingenuity-helicopter-mission-ends/ Après trois ans sur Mars, la mission de l’hélicoptère Ingenuity de la NASA prend fin L’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA, qui a marqué l’histoire, a terminé sa mission sur la planète rouge après avoir dépassé les attentes et effectué des dizaines de vols de plus que prévu. Alors que l’hélicoptère reste debout et en communication avec les contrôleurs au sol, les images de son vol du 18 janvier envoyées sur Terre cette semaine indiquent qu’une ou plusieurs de ses pales de rotor ont été endommagées lors de l’atterrissage et qu’il n’est plus capable de voler. Conçu à l’origine comme une démonstration technologique pour effectuer jusqu’à cinq vols d’essai expérimentaux sur 30 jours, le premier aéronef sur un autre monde a opéré depuis la surface martienne pendant près de trois ans, a effectué 72 vols et a volé plus de 14 fois plus loin que prévu tout en enregistrant plus de deux heures de temps de vol total. « Le voyage historique d’Ingenuity, le premier avion sur une autre planète, est arrivé à sa fin », a déclaré l’administrateur de la NASA, Bill Nelson. « Cet hélicoptère remarquable a volé plus haut et plus loin que nous ne l’aurions jamais imaginé et a aidé la NASA à faire ce que nous faisons de mieux : rendre l’impossible possible. Grâce à des missions comme Ingenuity, la NASA ouvre la voie à de futurs vols dans notre système solaire et à une exploration humaine plus intelligente et plus sûre vers Mars et au-delà. La NASA discutera de la mission Ingenuity lors d’une conférence téléphonique avec les médias aujourd’hui Ingenuity repère l’ombre de sa pale de rotor endommagée : Après son 72e vol le 18 janvier 2024, l’hélicoptère Ingenuity Mars de la NASA a capturé cette image en couleur montrant l’ombre de l’une de ses pales de rotor, qui a été endommagée lors de l’atterrissage.
    1 point
  22. Une nouvelle image d'Uranus, cette fois avec l'instrument NIRCAM : https://esawebb.org/images/weic2332a/ Traduction automatique : Cette image d’Uranus prise par la caméra proche infrarouge NIRCam montre la planète et ses anneaux avec une clarté nouvelle. L’image du télescope Webb capture de manière exquise la calotte polaire nord saisonnière d’Uranus, y compris la calotte interne blanche brillante et la bande sombre au bas de la calotte polaire. Les sombres anneaux intérieur et extérieur d’Uranus sont également visibles sur cette image, y compris l’insaisissable anneau Zêta, l’anneau extrêmement faible et diffus le plus proche de la planète. Cette image du télescope Webb montre également 9 des 27 lunes de la planète. Ce sont les points bleus qui entourent les anneaux de la planète. Dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir de 2 heures, ce sont : Rosalind, Puck, Belinda, Desdemona, Cressida, Bianca, Portia, Juliette et Perdita. Les orbites de ces lunes partagent l’inclinaison de 98 degrés de leur planète mère par rapport au plan du système solaire. Une journée sur Uranus dure environ 17 heures, la rotation de la planète est donc relativement rapide. Il est donc extrêmement difficile pour les observatoires dotés d’un œil aiguisé comme Webb de capturer une image simple de la planète entière – les tempêtes et autres caractéristiques atmosphériques, ainsi que les lunes de la planète, se déplacent visiblement en quelques minutes. Cette image combine plusieurs expositions plus longues et plus courtes de ce système dynamique pour corriger ces légers changements tout au long du temps d’observation une superbe version annotée : Sans annotation :
    1 point
  23. Concernant ce comparatif Hubble / Webb, le communiqué de la NASA apporte des précisions : https://www.nasa.gov/missions/webb/the-crab-nebula-seen-in-new-light-by-nasas-webb/?utm_source=TWITTER&utm_medium=NASAWebb&utm_campaign=NASASocial&linkId=244916778 À première vue, la forme générale du reste de la supernova est similaire à l’image de longueur d’onde optique publiée en 2005 par le télescope spatial Hubble de la NASA : dans l’observation infrarouge de Webb, une structure nette de filaments gazeux duveteux en forme de cage est représentée en rouge-orange. Cependant, dans les régions centrales, les émissions des grains de poussière (jaune-blanc et vert) sont cartographiées par Webb pour la première fois. D’autres aspects du fonctionnement interne de la nébuleuse du Crabe deviennent plus importants et sont vus plus en détail dans la lumière infrarouge capturée par Webb. En particulier, le télescope Webb met en évidence ce que l’on appelle le rayonnement synchrotron : une émission produite par des particules chargées, comme les électrons, qui se déplacent autour des lignes de champ magnétique à des vitesses relativistes. Le rayonnement apparaît ici sous la forme d’une matière laiteuse ressemblant à de la fumée dans la majeure partie de l’intérieur de la nébuleuse du Crabe. Cette caractéristique est un produit du pulsar de la nébuleuse, une étoile à neutrons en rotation rapide. Le puissant champ magnétique du pulsar accélère les particules à des vitesses extrêmement élevées et les amène à émettre des radiations lorsqu’elles s’enroulent autour des lignes de champ magnétique. Bien qu’il soit émis dans tout le spectre électromagnétique, le rayonnement synchrotron est observé avec un niveau de détail sans précédent avec l’instrument NIRCam de Webb.
    1 point
  24. Bonjour, Les adhésions des RAP 2024 sont ouvertes depuis début décembre. Cette année c'est du 9 au 12 mai, toujours sur le même site, à Craponne sur Arzon (43) Toutes les informations sont disponibles sur le site des RAP : https://www.astrorap.fr/ Bon ciel
    0 point
  25. Salut, La nuit dernière, j'ai étrenné mon tout nouveau réducteur 0.7 reçu hier sur NGC 2146 qui donne une focale résultante de 2737mm soit F/D 7.7. Je pense que ça commence à faire beaucoup trop de lentilles sur le chemin optique (lame de Schmidt->Primaire->correcteur EdgeHD-5 lentilles du réducteur), mais ça marche bien. J'ai pris 30 poses de 240 Sec et j'ai arrêté les frais quand ça a commencer à se dégrader: J'avais prévu de basculer sur M65 en 2ème partie de nuit, mais du coup j'ai fermé boutique. Donc 30 images, j'ai refait des Flats (réducteur oblige) avec ma boite à Flats, mais j'ai complétement zappé de refaire des Dark-Flats de la durée correspondante. Du coup, les Dark-Flats sont de 4 Sec alors que les Flats sont de 2.5 Sec. Pas que ça ait l'air de faire grosse différence. Traitement habituel: WBPP & Drizzle" GraX SPCC BlurX GHS NoiseX Sat Une fois n'est pas coutume, je vous donne la crop avant: la full: et la version annotée: Vos commentaires sont les bienvenus. @dauphin-joyeux, que pense tu de celle là? a+ Serge
    0 point
  26. Des galaxies plein les cheveux ! Toujours en mars 2023, toujours à Allons dans le Lot-et-Garonne, me voilà à pointer en grand champ l’amas d’étoiles de la Chevelure de Bérénice, région riche en galaxies. Cette constellation est l'une des seules avec l'Écu de Sobiewski faisant référence à un personnage ayant existé : Bérénice II d'Égypte, femme de Ptolémée III. Vers 243 avant notre ère, le roi entreprit une expédition contre les Assyriens, accusés d'avoir assassiné sa sœur. Craignant pour la vie de son mari, la reine Bérénice se rendit au temple d'Aphrodite et fit la promesse de sacrifier sa chevelure si son mari revenait sain et sauf de la guerre. Quand Ptolémée revint, Bérénice coupa ses cheveux et les déposa sur l’autel d’Aphrodite. Dans la nuit qui suivit, sa chevelure disparut. Le roi fou de rage, boucla les portes de la ville et la fit fouiller, sans aucun résultat. Pour apaiser le roi et la reine, l'astronome de la cour, Conon de Samos, annonça que l'offrande avait tellement plu à la déesse qu'elle l'avait déplacée dans les cieux. En guise de preuve, il montra au couple royal un amas d'étoiles, nommé à cette époque le Toupet de la Queue du Lion (faisant partie de la constellation du Superlion chez les Ottomans), mais qui devint désormais la Chevelure de Bérénice. Dans la photo, on repère facilement les galaxies les plus grosses comme celle de l’Aiguille (NGC 4565 – C38) et la galaxie de la Carpe Koï (C36 - NGC 4559). Mais en regardant la version annotée, on pourra voir qu’il y en a vraiment beaucoup. J’ai pris soin de signaler les plus visibles. Photos prises le 21 mars 2023 à Allons (47) – Canon 40D défiltré partiel avec objectif 70-300, focale à 190 mm, ouvert à f/5.0 sur monture StarAdventurer (sans goto ni autoguidage). 88 poses de 120 s – ISO 800 – 25 DOF – Siril et Toshop. (cliquez sur l’image pour voir la full) Version annotée (cliquez sur l’image pour voir la full)
    0 point
  27. Soit le bienvenue Chuck. Pour un novice, tu as déjà du bon matos et tu fais de bien belles photos 👍Pas si novice que ça je pense Bien astronomiquement, FRanck
    0 point
  28. Si, Briiice dans son message initial : « J’aimerai savoir si il est intéressant de s’équiper d’un panel d’oculaires grand champ 82 degrés ( ES) voir 100 degrés (APM) pour faciliter la recherche et le suivi avec le mak. » C'est à ce message que je répondais.
    0 point
  29. Bienvenue Belle M42 non cramée 😄 Je vois que les nuages se dissipent devant @Chuck_Novice
    0 point
  30. Salut @Chuck_Novice merci pour ta présentation et bienvenue sur le forum . En plus avec une superbe photo de M42 toute en douceur... J'adore
    0 point
  31. Une bien jolie image!! j'aimerais tant pouvoir imager....si j'habitais loin de cette belle Normandie plutôt couverte un leger bruit qui peut surement être enlevé sans perte de détails. J'imagine que le detecteur dont tu fais reference c'est un vieux post que j'avais fais avec Bemo il y a de ça quelques années!! J'ai fini le driver Météo et je viens de finir le driver SfetyMonitor. Je vais publier ici l'ensemble du projet dans les heures à venir. j'en profite pour te remercie à nouveau j'espère voir de belles images comme celles ci bientot
    0 point
  32. Salut, des sorties orientées amas ! c'est vrai qu'en ce moment c'est la saison. Tu n'avais pas l'air enchanté de M103, c'est pourtant un des "grands" amas de Cassiopée, région très riche qui en compte de bien plus modestes. Lune cendrée a raison de dire que l'on peut en confondre, NGC 663, NGC 654 aussi de mémoire pas loin ...NGC 2158 nécessite certes un bon ciel aux jumelles de diamètre "standard", 42 à 50 mm, mais il se fait tout de même bien. De là à le résoudre, c'est une autre histoire ... M50 me fait penser à une sorte de lettre alpha couchée, il devient impressionnant à la lunette. Un peu à l'image de Cassiopée ou du Cygne, cette région est très riche en amas, à parcourir à la lunette ou aux jumelles. Bonne idée pour M48, rarement évoqué et pourtant intéressant (grosse plage floue aux jumelles, avec une partie plus concentrée à la lunette). Merci du partage ! M44 est "presque" trop apparent dans un instrument, un peu comme les Pléiades ...😁 Il me permet d'estimer la qualité du ciel à assez bonne hauteur, ce qui ne veut pas forcément dire que c'est transparent dès l'horizon 😉 Tu voulais varier un peu avec des galaxies, souvent en cette saison je regarde une des premières à se lever à l'ESt, NGC 2903 dans la Tête du Lion. Elle est un peu plus haute que le Triplet, je l'ai bien détectée ce week aux 8x42 sous très bon ciel (mais ça reste petit petit dans les jumelles ...)
    0 point
  33. Sur le RPI4, c'est Kstars-Ekos qui tourne. Et on dispose de plusieurs solveur: - Interne à Kstars, local avec les index de astrometry.net. - Astrometry.net en local ou en ligne. - Astap en local. - Watney en local. Pour le solveur interne et Astrometry.net, il existe une procédure de chargement des index dans les options du module d'alignement. Pour Astap, il faut installer l'exécutable et le fichier d'index depuis le site. Idem pour Watney. Perso j'utilise le solveur interne sans soucis. La documentation de Kstars est dispo sur ce site, dans la rubrique Logiciels.
    0 point
  34. Merci, non à 100 mm ça va encore pour les dessins, pas trop difficile, sauf amas ouverts particulièrement riches. Surtout si on opère sous ciel moyen, les nébulosités sont assez réduites et/ou uniformes. A 300 mm ça se complique ...😁
    0 point
  35. Tout à fait mais on peut monter une bague qui permet d'utiliser des accessoires en 2"
    0 point
  36. Moi je sais.... il fait la danse de l'hélicoptère, ça chasse le brouillard et les nuages... Vais essayer ce soir tiens...
    0 point
  37. Bonjour, Je ne connais pas le Geoptik..... Par contre j'ai upgradé a l'époque mon ancienne EQ6 avec le trépied Planet. Gain en stabilité , en poids facilitant la manipulation et en charge effective pour la monture. Je possède actuellement une EQ8 PRO. Elle repose aussi sur un Berlebach Planet et supporte une SW Esprit 150. La stabilité reste exemplaire. Un ami à la même configuration mais avec un C14 et image avec sans aucune contrainte. Bref, le Berlebach est une valeur sûre.... Un conseil, il faut prendre l'option double clamp pour encore plus de rigidité.
    0 point
  38. Tiens, apparemment, je l'avais faite aussi en 2012 celle là. Ici aussi, il y a pas photo: entre monture, capteur et traitement, ça fait une sacré différence. a+ Serge
    0 point
  39. Bien joué, jolie galaxie Très humide en ce moment, faut effectivement protéger le PC, faudrait pas finir comme Cloclo 😀
    0 point
  40. Proche de ce bel amas dit aussi " l' amas du sapin de Noël", qui abrite la nébuleuse du cône, il y a NGC 2169...un petit amas ouvert qui rappelle un asterisme, ses étoiles pouvant évoquer les formes du nombre " 37"...( attention alors à l' inversion droite gauche avec le renvoi coudé...😉) Il est assez facile à pointer, entre Orion et les pieds des Gémeaux, et se trouve proche d'une petite guirlande d'étoiles... Je dois par contre refaire un tour sur M50... J' en garde peu de souvenirs, et réalise que je devrais un peu " étoffer" mes descriptions... c'est aussi le plus difficile à faire dans un CROA je trouve... Sympa de pouvoir continuer ton programme à la faveur d'une éclaircie... J' ai retrouvé ce petit trio stellaire entouré au crayon sur mon pocket Sky atlas... Je suppose que je l' ai utilisé aussi la dernière fois pour observer M48 l'an passé... Un des aspects les plus ":funs" de la recherche je trouve...est le repérage aux jumelles ( pour retrouver une figure d'etoiles repères, proche de la cible recherchée) , très précieux... Je peux ensuite rapidement m'y retrouver avec mon chercheur ( redressé dans les deux sens...ouf!!! même vue qu'aux jumelles...) J' ai plus de soucis quand je fais une recherche directement " à l' oculaire"... à cause de l' inversion droite gauche du renvoi coudé...je " pars " souvent du mauvais côté...😂...pas très douée et pas trop le "sens de l' espace"... Un bel amas...optimal à apprécier sous un bon ciel... injustement négligé au profit du célèbre voisin... Quelle chance!!!...on voit en effet tout de suite la différence....les heures d'observation après minuit sont souvent les meilleures à tout point de vue...mais il faut penser aux travailleurs matinaux ... ( En Belgique, hélas, l' extinction de l' éclairage n' est plus systématique, et dépend des différentes régions... En espérant que tu puisses continuer des petites observations bien organisées...je profite de tes CROA...😀 La météo du nord n' est pas folichonne...je ne perd pas grand chose...ma fracture épaule se consolide avec beaucoup de kiné... Par prudence je ressortirai la lunette seulement au mois d' avril, alors je profite des cibles hivernales par " procuration" sur les CROA des autres ....et me rattraperai sur les galaxies de la Vierge au printemps....
    0 point
  41. Bonsoir @Algenib, oui bien sûr ! Comment aurait-il échappé aux normes et règlementation ? Vous trouverez joint un document publié par le CEREMA ( https://www.cerema.fr/fr ) qui explique de manière assez détaillée l'encadrement réglementaire de l'éclairage public. C'est bien tout le problème de l'éclairage LED. Si le flux lumineux de chaque point est maintenant mieux contrôlé et dirigé vers le sol, nous sommes aussi soumis à l'intégralité du spectre en continu même si la distribution des couleurs est différentes de la lumière naturelle. Les filtres à bandes que nous utilisions avant ne sont de ce fait quasiment plus d'aucune utilité. Concernant les UV ou les IR je ne sais pas ce que produisent les LED de l'éclairage public. Notre salut est dans la recherche de spot les plus noirs possible. Ils devraient être un peu plus nombreux du fait d'une part de la dispersion du flux lumineux de l'éclairage public mieux guidé vers le sol, (encore que par réflexion il repart vers le haut) et surtout par le fait que les petites agglomérations sont de plus en plus nombreuses à couper ou réduire très notablement l'éclairage public passée une certaine heure. L'encadrement plus serré sur les enseignes lumineuses y contribue aussi, les boutiques pharmaceutiques semblant les plus résistantes à l'extinction. Ney
    0 point
  42. Bonsoir, D'abord merci pour ce fil qui m'a rappelé cette comète. J'ai fait une petite observation ce soir: Cordialement, Claude
    0 point
  43. Très joli tes dessins des dentelles @etoilesdesecrins ça donne envie d’être en été 😎 Du coup ça me fera une future cible à dessiner, ça n’a pas l’air si difficile à dessiner (enfin je dis ça …)
    0 point
  44. Il n'y a pas de recule sur la suppression des pesticides puisque depuis 3 ans la vente et l'utilisation de ceci est en forte hausse, tout ça n'est que du blabla de part et d'autres. La France est a peine derrière l' Espagne sur leurs utilisations et ces deux pays sont ceux qui en utilise le plus en Europe. Même en bio le cuivre et le souffre sont en augmentation. Il ne devrait pas y avoir de question a ce poser sur la préservation de la biodiversité mais seulement des réflexions sensé d'un coté comme de l'autre pour trouver des solutions. Mais je pense que l'humain n'en est plus capable et court a sa perte.
    0 point
  45. Bonjour Monsieur, Ce n'est pas la moto qui a tué, elle n'est pas en capacité de prendre la moindre initiative. Il n'y a donc pas lieu ni d'incriminer ni d'interdire la moto. Ce type de raisonnement est biaisé et correspond davantage à de l'agitation populiste qu'à un raisonnement éclairé. Votre écrit est par ailleurs d'autant plus surprenant que vous n'avez pas renoncé à la pratique de la moto après ce très malheureux événement. C'est le motard qu'il faut éventuellement mettre en cause, pour qui il appartient à la Justice d'arrêter le degré de responsabilité des personnes concernées et de prononcer une décision au nom du Peuple français. En revanche, je vous accorde volontiers qu'en matière d'accident de la route, les mis en cause dont la responsabilité est établie font l'objet de condamnations faibles au regard d'autres procédures plus "punitives" et je compatis à la douleur des familles qui ont perdu un proche et qui n'acceptent que très difficilement les verdicts qui s'en suivent. Ney
    0 point
  46. ça c'est du optimisé en terme d'encombrement! Gérer le regard, la cloture, l'entrée de garage sans y mettre de support, gérer aussi le chien, bravo!
    0 point
  47. Comme je l'ai dis dans ma présentation, je me débrouille en tournage et fraisage... Ici une bague M54 mâle réduit M42 mâle taillés masse.. alu série 7075... Et divers bague M42 mâle/femelle.. Pourquoi carré ??? Au départ c'était pour faciliter la fabrication.. A l'arrivée, la personne qui les utilisent adore car tellement plus facile pour viser et deviser.... 👌 Qu'en pensez vous?
    0 point
  48. Instrumental qui me vient souvent en mémoire... (le titre ? ) Lien Invidious : https://invidious.fdn.fr/watch?v=TydZ4NAXMic
    0 point
  49. Et hop une nouvelle image : https://esawebb.org/images/potm2312a/ Le vaste amas de galaxies SDSS J1226+2152 dans la constellation de la Chevelure de Bérénice déforme les images des galaxies lointaines en arrière-plan en traînées et en taches de lumière dans cette image du télescope spatial James Webb. Il s’agit d’un exemple spectaculaire de lentille gravitationnelle, un phénomène qui se produit lorsqu’un objet céleste massif tel qu’un amas de galaxies déforme l’espace-temps et fait dévier le trajet de la lumière des galaxies plus lointaines, presque comme si une lentille monumentale le redirigeait. Cette image provient d’une série d’observations scientifiques précoces avec Webb. L’une des galaxies à lentilles les plus remarquables de ce riche champ est nommée SGAS J12265.3+215220. Sur cette image, il s’agit de la galaxie la plus interne, juste au-dessus et à droite de la galaxie centrale. Celui-ci se trouve bien au-delà de l’amas de premier plan en distance, ce qui nous donne une vue de la galaxie environ deux milliards d’années après le Big Bang. Les astronomes utilisent maintenant ce trésor très attendu de galaxies brillantes à lentille gravitationnelle du télescope Webb pour explorer la formation d’étoiles dans les galaxies lointaines. Tout comme leurs homonymes optiques, les lentilles gravitationnelles peuvent grossir et déformer les galaxies lointaines. Cela permet aux astronomes d’observer les détails les plus fins des galaxies qui seraient généralement trop éloignées pour être clairement résolues. Dans le cas de SGAS J122651.3+215220, la combinaison de l’effet de lentille gravitationnelle et des capacités d’observation sans précédent du télescope Webb permettra aux astronomes de mesurer où et à quelle vitesse les étoiles se forment, ainsi que de mieux comprendre les environnements qui favorisent la formation d’étoiles dans les galaxies à lentilles. Au milieu de ce spectacle spectaculaire de lentilles gravitationnelles, une ménagerie de galaxies spirales et elliptiques de toutes formes et de toutes tailles entoure l’amas de galaxies. Les instruments infrarouges sensibles du télescope Webb se sont avérés prodigieux pour repérer des galaxies lointaines dans l’obscurité de l’espace. Aucune des minuscules piqûres d’épingle dans la parcelle de ciel capturée ici n’est une étoile : chacune d’entre elles est une galaxie. La variété des couleurs des petites galaxies sombres nous donne des indices sur ce que nous voyons : beaucoup de galaxies blanches plus pâles remonteront à la période de formation d’étoiles intense connue sous le nom de midi cosmique, environ deux à trois milliards d’années après le Big Bang, tandis que les quelques petits systèmes orange et rouge datent probablement d’encore plus tôt dans l’histoire de l’Univers. Petit zoom :
    0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.