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  1. sebseacteam

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 06/11/25 dans toutes les zones

  1. Hello, Voici une galaxie bien accompagnée, déjà faite l'année dernière au C8. La version ici à la 80ED n'a pas à rougir finalement.... NGC 3079 est une galaxie spirale barrée vue par la tranche et située dans la constellation de la Grande Ourse. Elle a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1790. Le Quasar Jumeau (aussi appelé Double Quasar, ou Q0957+561 ou QSO 0957+561 ou PGC2518326 ), est le premier objet identifié grâce à l'effet de lentille gravitationnelle. Il est situé dans la constellation de la Grande Ourse et consiste en une double image (QSO 0957+561 A et du même quasar induite par l'effet d'une lentille gravitationnelle (une galaxie) située entre le quasar et l'observateur sur Terre. Le Quasar Jumeau se situe à une distance de 7,8 milliards d'années-lumière (redshift=1,41), alors que la galaxie lentille est à 3,7 milliards d'années-lumière (redshift de 0,355). Les deux images du quasar sont séparées par 6 secondes d'arc, et ont une magnitude apparente de 17 et 16,7 pour les composants A et B respectivement. Le temps d'arrivée de la lumière provenant du quasar est différent selon qu'elle prend le chemin qui produit l'image A ou B. Pour le Quasar Jumeau, il y a 417 ± 3 jours de décalage entre les deux images. La galaxie lentille YGKOW G1, (parfois appelé G1 ou Q0957+561 G1), est une galaxie elliptique géante de type cD se trouvant dans un amas de galaxies qui contribuent également à l'effet de lentille. Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.8x @ 479mm Caméra planétaire Player One Neptune-664c + filtre Player One IRcut Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 367 x 30s Gain 180 Traitement Siril, Pixinsight, Photolab 6. une brute de 30s: Et comment trouver le double quasar (image faite au C8 l'année dernière) Sur l'image faite à la 80ED:
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  2. Salut à toutes et à tous, Je souhaitais faire un petit compte-rendu d’une récente observation avec mes toutes nouvelles jumelles Swarovski SLC 10X56. J’ai recommencé l’astro en 2010 avec une paire de Perl 10X50 bas de gamme, histoire de se remettre en selle et de voir si cela me plaisait toujours. Après cette reprise heureuse et prometteuse, sous les fréquents ciels clairs de l’époque, je suis passé à des instruments plus puissants, lunettes et T300. Séduit par l’observation aux jumelles et sa simplicité, j’ai ensuite recherché une paire plus polyvalente orientée nature, un peu plus qualitative mais sans me ruiner. J’ai porté mon dévolu sur les Nikon Monarch 5 en 8X42, qui non seulement font le taf, mais surpassent sur divers points mes vieilles 10X50 (que j’ai fini par donner) : agrément d’image, magnitude limite stellaire malgré le moindre diamètre (tests en parallèle), encombrement et poids. Mais comme en astronomie on en veut souvent plus, depuis quelques années je me disais que des grosses jumelles de 50 ou 56 mm de qualité devaient offrir de sacrées vues, en extrapolant ce que j’avais déjà dans les 8X42. L’an dernier, ce vague projet a pris plus de consistence et voilà que pendant des mois j’ai écumé les forums, les tests, les avis, à la recherche de la plus intéressante paire de jumelles à bras levés pour moi. En gros le cahier des charges était : - meilleure qualité optique possible - plus gros diamètre possible tout en gardant une pupille < 6 mm - meilleure transmission possible pour gagner un peu encore en ciel profond - poids contenu - très faible inertie de mise en œuvre, donc sans trépied, …Directement utilisable 15 min entre les nuages ou en fin de soirée, avant d’aller au lit, après un repas en famille par exemple - pour fréquemment emporter sous des ciels très purs - prix finalement pas très important en raison de diverses astreintes l’an dernier ayant permis de renflouer le porte-monnaie (et peu dépensier par ailleurs !) Rapidement, j’ai donc sélectionné 3 ou 4 modèles : - Kite Ibis, mais seulement 50 mm - Kowa Prominar 10X56, retours assez bons sans plus, je les ai eues en main en journée en magasin et elles ne m’ont pas enthousiasmé plus que cela, mais légères - Zeiss HT 10X54, chères et bord de champ moyen en astro d’après certains tests, mais légères - Swarovski SLC 10X56, plus lourdes. Après moult réflexions ce sont ces dernières que j’ai choisi, porté par le test dythirambique de ScopevViews notamment, et divers autres compte-rendus très positifs. Mon but ici n’est pas un descriptif complet du matériel ou un test optique, je laisse cela aux spécialistes, mais plutôt de présenter quelques observations objectives sur divers objets. Avant mon achat, je n’ai guère trouvé de compte-rendus précis sur des objets astronomiques. Bien sûr, le produit est excellent, bien fini, ça sent la qualité des matériaux et la solidité. L’optique est au top, les vues superbes, et je craignais beaucoup le poids de 1200 g mais l’ergonomie est stupéfiante : à l’usage à bras levés je ne peine guère plus qu’avec mes Nikon de moins de 700 g ! Juste un petit bémol : je n’avais jamais eu de jumelles à la pupille de 5.6 ni au relief d’œil aussi généreux, et, porteur de lunettes, j’ai eu du mal à trouver mes marques quand à l’écart, la distance, garder ou pas les lunettes …Et notamment la présence d’une sorte de reflet du bord de champ m’a un peu gêné en diurne, selon l’angle de l’œil, l’éclairage. Cela semble se transformer en nocturne en bord de champ un peu plus pâle, mais peut-être que la pupille généreuse et le ciel nocturne pas optimal de mon site à domicile y contribuent. Sur d’autres sites moins pollués cela gêne moins. Déjà, en fin d’hiver, les mésanges et chardonnerets à la mangeoire étaient ahurissants de netteté, de finesse, avec des couleurs naturelles et éclatantes. Le bord de champ est encore très propre, comparé aux Nikon 8X42 dans lesquelles il est rapidement flou. Bon, passons à présent à ce test en ciel profond. Ayant reçu les jumelles en fin d’hiver, j’avais tout de même pu les tester quelque peu, sans et avec la lune, voire sur la lune, principalement à domicile dans les Monts du Lyonnais. Je rappelle pour celles et ceux qui ne me connaissent pas que j’observe depuis un petit hameau sans lumière parasite, un peu entre St Etienne et Lyon, donc bonnes conditions mais ciel globalement un peu blanchi par la lointaine (et atténuée) pollution lumineuse de ces villes. Au cours de ces tests astro rapides, l’impression était bonne mais pas non plus fracassante, car après consultation de mes notes anciennes aux 10X50, tout ce que je voyais aux 10X56 était déjà mentionné aux 10X50. Mais n’ayant plus ces dernières, je n’ai pas pu comparer de façon objective. Et je n’ai pas beaucoup comparé avec les Nikon 8X42, il me semble que cela n’a guère de sens. Fin mai, nouvelle lune, lors de retrouvailles familiales sur mon site du sud des Hautes-Alpes, le météo n’annonce qu’un voire deux soirs clairs sur quatre que je vais passer sur place. Ne voulant donc pas me charger avec la lunette, et privilégiant là-bas la famille, je décide de n’emporter que les SLC 10X56. C’est un peu comme cela que je conçois les jumelles. Donc, le vendredi 23 mai, après une journée de grand beau temps, un ciel d’un bleu profond balayé par un léger vent de nord, je m’installe face au sud, protégé du vent léger par un hangar. La transparence est sublime, le ciel indécent pour reprendre le terme d’un astram croisé cet été à ChâteauRenard. Sur une simple chaise de jardin, avec nuque appuyée sur le dossier (obligatoire, par contre !) je ne ressentirai à aucun moment pendant 1h30 à 2 h une quelconque fatigue liée au poids des jumelles (en alternant toutefois observation, recherche sur PSA et prise de notes). J’utilise grosso modo l’échelle d’appréciation de difficulté d’un objet présentée par Ciel Extrême : VD : visible dès la vision directe (graduation de 1 à 3, vers la difficulté) VI1 : visible 100 % du temps en vision indirecte VI2 : visible 75 % du temps en vision indirecte VI3 : visible 50 % du temps en vision indirecte VI4 : visible moins de 50 % du temps en vision indirecte VI5 : visible moins de 10 % du temps en vision indirecte (contient des sous-échelons pour quantifier encore la difficulté) Je commence en fin de crépuscule par la petite nébuleuse planétaire du Corbeau, NGC 4361 (mv 10.3). Avec le recul je déplore ce choix curieux d’objet si faible, en début d’observation ! Sous un doublet, je perçois un astre qui me semble trop brillant pour cela, puis, la nuit avançant, une faible présence floue semble apparaître à env 5’ plus au sud. Peu probant … Le globulaire M68 (mv 8.3), par contre, après une petite erreur de positionnement liée à la nuit incomplète, m’apparaît facilement, le centre en VD, la périphérie enfle en VI1. Il est nettement non stellaire, flou, avec un diamètre apparent notable. Le contraste avec les étoiles proches bien piquées est saisissant. Une étoile brillante à O est un peu gênante. Mais c’est sur M83 (mv 7,5) que j’essuie ma première claque. Quoi ? c’est cette grande galaxie facile, qui n’était dans mes souvenirs à la lunette qu’un vague halo empâté et à peine visible ? Certes la latitude sudiste du lieu et le ciel pur jusqu’à l’horizon sont ici très favorables. C’est une belle plage floue NE/SO, vue VI1, alors bien développée. Deux étoiles faibles proches agrémentent la vue. Elle est unie mais avec un centre plus marqué. Seconde claque sur le réputé difficile amas globulaire du Bouvier, NGC 5466 (mv 9,1). Il est ici très facile, VI1, comme un assez gros disque gris pâle uniforme, mais avec des bords assez marqués. Même si avec le recul sur mes notes je n’ai guère trouvé de difficulté très notable, sur le moment je suis assez impressionné. Mv 9.1 quand même, pour un globulaire de classe XI, donc peu condensé. Dans le Bouvier la galaxie NGC 5248 me semble visible, mais au debrief je ne retrouve pas son positionnement entre 2 étoiles, que j’ai noté. Donc non confirmé. Le petit globulaire NGC 4147 par contre (mv 10.3) me frappe de facilité tout de suite, VI1, dans une zone stellaire pauvre. Le centre est marqué, la périphérie floue. Il est un peu plus petit et faible que M68. Je me concentre à présent sur les galaxies de printemps, bien en face plein sud, dans la Chevelure ou la Vierge. J’avais déjà exploré celles du Lion à domicile et en Haute-Loire, précédemment. M85 (mv 9.1) est facile, VD3, entre 2 étoiles brillantes écartées. Centre brillant, assez étendue autour, un peu N/S. Je note une seule fois (un glimpse, comme on dit), une étoile très faible juste au SE, de mv 10,5. NGC 4559 (mv 10,0) est bien vue, VI1, nettement ovalisée E/O avec un centre légèrement plus marqué. Il me semble noter une étoile très faible à E mais non confirmée sur photo. NGC 4494 (mv 9.8), proche, n’est par contre qu’un petit halo faible au SSE d’une étoile brillante. Elle n’est vue au mieux que VI3. Toujours dans les environs, la fameuse galaxie de l’Aiguille NGC 4565 (mv 9,6) déçoit, même sous ce ciel, tout comme un soir précédent sous moins bon ciel. Elle est remarquablement faible, tout de même notée NO/SE entre deux étoiles de mag 9 orientées de la même façon. Le centre est un peu plus restreint et contrasté, mais le départ des extensions n’est vu que VI3-VI4, il donne toutefois à l’ensemble une forme assez nettement allongée. La grande NGC 4725 (mv 9,4) est facile par contre, presque vue en vision directe, juste à O d’un triangle assez compact. Elle est nettement ovalisée NE/SO, relativement contrastée, avec des bords francs. Elle présente un joli contraste avec les étoiles proches bien piquées. Dans la Chevelure, place maintenant au trio M98, M99 et M100. M98 (mv 10,1) est nettement la plus faible des trois, et n’est qu’un simple halo VI4 proche d’une étoile brillante mais dans une zone pauvre en étoiles. M99 (mv 9,9) est située dans un petit triangle, un peu éclipsée donc, assez petite et faible, VI2, peut-être légèrement N/S. Enfin, M100 (mv 9,4) est assez facile, VI1, ronde, floue, unie, à E d’une chaîne stellaire brillante. M64 (mv 8,5) bien haute dans le ciel, est évidente, remarquablement facile, vue en VD, nettement ovalisée NO/SE, et luit d’une lueur assez douce. Les bords sont assez flous. Une étoile de mag 10 environ est visible au SE. L’amas globulaire M53 (mv 7,7) est évident lui aussi, VD, petit et contrasté, dans un champ riche de quelques étoiles brillantes. La forme pourrait être irrégulière. Son pâle voisin NGC 5053 (mv 9,8) reste très difficile, il est à peine soupçonné seulement comme une vague zone du ciel un peu plus claire, sans formes ni limites. C’est juste comme une présence quasi sûre extrêmement mal définie. Passons à présent à M104 (mv 8,0), déjà un peu basse mais très facile, VD, entre de petits groupes stellaires assez brillants. Elle est bien contrastée avec de vagues extensions en VI évoquant sa forme caractéristique. M61 (mv 9,6) réputée faible, ce qui était aussi le cas dans mes souvenirs aux 10X50 bas de gamme, m’apparaît ici presque facile, comme une petite tâche ronde unie juste à E d’une étoile mag 8.5-9. Etonnant ! Le fameux duo M84 – M86 (mv 9,1 et 8,9) en rapport ne m’apparaît presque pas si évident que cela, certes assez facile, m ais un peu perdu dans un champ pauvre. M84 est assez condensée, M86 est légèrement plus grande et brillante. M87 (mv 8,6) dans le même champ est légèrement plus facile, typique d’une elliptique, avec une étoile mv 9 à 5’ N environ. Je ne l’ai pas noté mais avec le recul, il me semble que l’image d’une ou deux autres galaxies plus faibles proches m’est restée en mémoire. Peut-être « les Yeux », NGC 4435 et NGC 4438, nettement plus faibles ? Explorons à présent M49 (mv 8,4), intéressante par sa facilité (VD3), légèrement N/S avec un centre plus marqué. Encore un aspect typique d’une galaxie elliptique. Mais ce sont surtout les environs qui sont gratifiants, puisque l’on peut voir deux autres galaxies : NGC 4535 (mv 10,0), faible, peu contrastée, au N d’un losange stellaire. Elle est de faible brillance surfacique. NGC 4526 (mv 9,7) est bien plus facile, VI2, entre les étoiles du centre du losange. Elle diffère bien de la précédente car apparaît petite et contrastée. Peut-être ovalisée, elle reste sans détails. Cet ensemble présente un joli champ intéressant. A cette heure, la Vierge a déjà bien dérivé vers l’ouest et pile en face se trouve sa partie Est. Le joli fuseau NGC 5746 (mv 10,3) n’est guère probant, je devine peut-être la partie centrale la plus renflée, faiblement, mais je suis gêné par l’étoile brillante proche. Par contre, le duo NGC 5846 (mv 10,0) et NGC 5850 (mv 10,8) se révèle, belle surprise, en VI1-VI2. C’est un ensemble pâle dans un champ riche. Avec attention, les deux galaxies proches se dédoublent même, mais c’est difficile ! Elles présentent le même aspect et le même éclat, et restent peu contrastées. Je note une étoile faible au NO (mv 10,5). Par contre le faible amas globulaire NGC 5634 (mv 11,0) n’est pas vu. Il me semble discerner une tâchouille mais pas au bon endroit …. Le Scorpion s’est levé dans un ciel très pur même près de l’horizon, dans ces conditions M4 est une formalité mais aussi une splendeur ! Bien contrasté, il me semble même irrégulier et granuleux mais je ne m’y attarde guère. Rien à voir en tous cas avec le pâté faiblard et flou qu’il montre sous des ciels plus brumeux ! Il se fait déjà tard, et avant de rentrer je jette un œil dans les champs riches de la Voie lactée du Cygne, qui est à peine levé à l’est. La claque !! Rarement j’ai vu des champs aussi riches d’étoiles, cela fourmille littéralement et c’est impressionnant. Je pense qu’il y a un double effet qui se conjugue, le diamètre déjà intéressant couplé avec une forte transmission, cela ajouté à l’effet grand champ qui permet d’englober un effectif stellaire fourni. J’ai alors l’idée de pointer la Grande Dentelle encore bien basse. Je m’en souviens bien, elle restait fort discrète dans mes vieilles 10X50, c’était l’apanage des bons ciels et d’un positionnement haut de l’objet. Ici immédiatement je perçois un faible arc diffus, mais assez bien visible, et d’une taille supérieure à mes souvenirs avec ce type d’instrument. Etonnant ! A retenter, car sur moult objets le gain de ces jumelles par rapport à mes 10X50 ne semblait pas révolutionnaire, sur les Dentelles par contre cela me semble flagrant. C’est donc sur ces magnifiques images et cette belle surprise prometteuse que je clos cette soirée riche en tests, en plaisir, en retrouvailles d’objets déjà connus dans divers diamètres. Le bilan bien entendu est fort positif, mais même avec un diamètre de 56 mm, à bras levé, cela reste des jumelles, avec l’usage bien spécifique qui va avec. Cet usage peut être complémentaire de la puissance d’un télescope ou d’une lunette. On pourrait adjoindre un peu plus de stabilité et donc de résolution avec un support (trépied, monopode), mais je privilégie un usage minimaliste. Même si j’ai été agréablement surpris par la facilité de certaines petites galaxies, ces jumelles sont plutôt destinées aux grands champs, aux objets larges …Le bon comportement printannier m’ouvre donc de belles perspectives cet été sur les amas ouverts, les grandes nébuleuses d’été, les riches champs de la Voie Lactée, notamment les régions tourmentées Scorpion / Sagittaire, et aussi les Barnard, objets fort peu prisés pour le moment à ma lunette et mon télescope. Ce serait l’occasion de s’y mettre davantage. Elles pourraient exceller là-dessus, mais déjà je suis comblé par le compromis performances et agrément d’utilisation par rapport à la très faible intendance d’utilisation (transport et mise en place immédiats, poids contenu, etc …). Par contre, en raison de la pupille de 5.6 mm, je conseillerais ce type de modèle à des observateurs assez jeunes ayant accès à des sites bien noirs, sans trop de pollution blanchissant le fond de ciel. A défaut, il vaut peut-être mieux rester sur de classiques 10X50, pour garder plus de contraste et un fond de ciel bien noir. Bon ciel !
    4 points
  3. Bonjour à tous ! 🙂 Moi en général : Je m'appelle Pierre j'ai 17 ans et j'habite en Charente. Ça fait déjà un petit peu de temps que je suis sur ce magnifique forum qu'est Webastro mais je n'avais pas pu me présenter avant ( désolé 🥺). J'ai plusieurs loisirs/passions comme la myrmécologie, la minéralogie ou le ping pong mais j'aime avant tout l'astronomie 🤩. Ma découverte de l'astronomie : Pour commencer j'ai découvert les astres les plus importants avec un télescope pour enfant, mais les observations étaient plutôt limitées 😅. Donc j'ai ensuite eu un télescope Skywatcher 130/900 eq2 qui m'a permis d'explorer l'espace plus profondément 🙂. Cette année j'ai eu la chance de rencontrer Benoît Reeves ( fils d'Hubert Reeves) grâce à mon lycée, et d'observer le ciel avec lui. Il avait apporter un Seestar s50, et lorsque j'ai vu l'image de la nébuleuse Dumbell apparaître sur l'écran alors qu'il faisait à peine nuit ( j'étais comme ça 🤯), ça m'a donné très envie d'en voir plus. J'ai attendu patiemment l'arrivée du Seestar s30 pour faire le plus grand investissement de ma vie 💸. Moi actuellement : le Seestar m'a permis de m'essayer au traitement d'images . J'observe donc en visuel mais je fais aussi des photos ( j'aime bien les galaxies, c'est plus lumineux que les autres trucs du ciel profond 😊). Je m'intéresse également à la radioastronomie amateur, sans pour autant me lancer. Mon matériel : - Une bonne paire d'yeux ; - Un skywatcher 130/900 sur eq2 ; - Un Seestar s30. Voilà voilà, j'espère que j'ai pas était trop long 😉. Bon ciel à tous ! ( ici c'est pas gagné🌧️).
    2 points
  4. Bonsoir à tous, Je vous propose aujourd'hui de vous partager mon escapade pour réaliser une photo que je souhaite faire depuis mes débuts dans le monde de l'astrophoto, le complexe de gaz du Scorpion, également connu sous le nom de Rho Ophiuchi. Il s'agit d'une région très riche en gaz et nébulosités, située dans la constellation du Scorpion. C'est une cible très basse, à peine 20° au pied des Pyrénées. Pour maximiser mes chances de réussir mon cliché, plusieurs conditions étaient nécessaire. Tout d'abord, un ciel parfait (enfin, autant que possible quoi ...). Ensuite, pas ou peu de lune (avec un APN et sans filtre, il me faut le moins de pollution possible). Enfin, un horizon sud bien dégagé (un bon spot est repéré à 20min de route) Ces conditions se sont miraculeusement réunies le 30 Mai dernier, pendant un week-end long !! Donc les enfants couchés, chargement du matériel photo, un encas, de la boisson, un pull et hop, direction les premiers contrefort des Pyrénées, sur une table d'orientation. J'arrive juste pour le coucher du soleil. Et c'est beau, y pas à dire. Je partage ce moment ainsi que l'arrivée des étoiles avec un couple qui profitait également du moment. Pendant que les darks se font, nous discutons étoiles, planètes, lune. Je sors ma paire de jumelles pour leur faire partagé un zoom sur la lune, ainsi que sur Jupiter avant qu'elle ne se couche. La nuit commence a tombé, le couple rentre chez lui, et je fini mon installation. Vers 23h30 le Scorpion se lève au dessus des montagnes, je lance mes photos. Ma nuit va alors consister en des aller-retours entre la voiture pour fermer un peu les yeux et la table d'orientation, histoire de faire un dithering très grossier et vérifier que tout va bien. J'en profite également pour lever les yeux au ciel, pour un véritable émerveillement. Rien qu'a l'oeil nu ou avec ma "super" paire de jumelles (40€ chez décath'), c'est un vrai régal !! La voie lactée est somptueuse, les nuages sombres ressortent vraiment bien. Andromède est discernable à l'oeil nu et ressort bien comme une tache laiteuse oblongue. Je fais également le tour des différents amas globulaires du coin, facilement repérable (M13, M10, M12, M22, M4, M11). Même la lagune et la trifide ressortent. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas pris le temps de simplement profiter du ciel, Quel bien cela fait !!! Vers 4h, le scorpion commence à se coucher. Je change mon cadrage pour me recentrer sur la voie lacté et faire quelques photos avant que le ciel ne s'illumine à nouveau. Le changement des couleurs, le levé de Vénus (une petit bille orange posée sur l'horizon), l'heure bleu, avec les étoiles encore visible alors que les montagnes se dévoilent, puis enfin le levé du soleil. Il est alors l'heure de tout remballer, des étoiles encore plein les yeux, pour redescendre (et faire un stop à la boulangerie pour les croissants / chocolatines). Une nuit blanche (je ferais pas ça tous les soirs) mais quelle nuit !! Assez mots, place aux images ! Le setup : K-70 avec DA50mm fermé à 2.2, iso 640 Star adventurer 139 x 2 minutes Le scorpions, de la voie lactée jusqu'au cheval bleu La voie lactée, du sagittaire jusqu'à l'écu 6x2' Lors du contrôle de mes lights, j'ai observé un phénomène étrange. A partir du milieu de la nuit, des zébrures colorées apparaissent. Pas forcément bien visible sur les vues individuelles mais bien quand on fait défiler les images. Sur l'APN, ca ressemble a des espèces de vagues vertes et roses. Ca m'a fait penser au phénomène de l'airglow. Ou alors juste des nuages de très hautes altitudes ... Si quelqu'un a une explication, je suis preneur ! un petit film pour illustré ! Projet sans nom.mov Le setup au couché du soleil L'heure bleu (6 poses traitées avec séquator) Et le levée du soleil Voilà pour ma petite aventure ! Merci de m'avoir lu jusqu'ici ! J'espère que ces images vous plairont et bien sur, conseils et critiques sont toujours les bienvenus !!! Bon ciel à tous !! Julien (encore un)
    2 points
  5. Voici un test d'une petite caméra très performante et ultra accessible, la Minicam 8 de QHY, ici en version monochrome. J'ai de longues années durant utilisé avec bonheur une QHY290M refroidie pour chasser la tachouille avec un bête 150PDS, ce duo offrait de très bons résultats qui pouvait même en remontrer a plus gros, mais le capteur de la 290 était quand même assez rikiki... Du silicium a depuis coulé sous les pixels, et dans cette famille de capteurs Starvis 2.90µ il y a désormais l'IMX585, ultra sensible, propre, très capable en IR et 4x plus grand que son illustre prédécesseur. QHY a eu la bonne idée d'intégrer cet IMX585 dans un ensemble compact et leger comprenant une roue a filtre 8 positions, le tout fait seulement 480gr. La conception permet d'avoir le capteur au plus près des filtres, ce qui minimise les effets indésirables comme les reflets et les halos, et permet d'utiliser des filtres aux dimensions réduites au minimum utile, ce qui influe sur le tarif final. Le capteur est littéralement dans la RAF. Quand on pose la Minicam a côté de sa grande soeur 533, sa compacité est évidente. Sur un même tube, l'imx 585 offre le même champ en largeur que l'IMX 533, ce dernier étant carré il offre plus de champ en hauteur. En revanche ce que ne montre pas cette comparaison, c'est le cout: La solution 533M+RAF 7 position + Un set LRVBSHO (Baader Cmos 6.5nm pour le SHO) en 1.25" dépasse allégrement les 2400e, la Minicam 8M avec sa RAF 8 positions et son jeu de filtres LRVBSHO (7nm pour le SHO) m'a couté 810e, on en a 3 pour le prix d'une toute équipée... Puisqu'on parle des filtres, voici leurs courbes de transmission: La 8ème position est occupée par un filtre "dark" (un cache), mais QHY prépare un IR pass compatible qui pourra y prendre place. A noter que QHY propose aussi un kit de filtres dédiés au planétaire, et un autre kit adapté au modèle couleur. Avant de passer aux choses sérieuses, j'ai fait une analyse du capteur en environnement contrôlé (flatbox): Voici un test en mode Full résolution (mode standard). Les résultats sont conformes avec les specs mises en avant par le fabricant Et nous avons ici le résultat du test en mode Linearity HDR 16 bits, un mode spécifique à QHY qui tire parti des capacités de l'IMX 585 en HDR, avec un algo maison pour l'adapter à l'astro. On y reviendra plus tard. Enfin j'ai testé la capacité de refroidissement, et on est bien au delà des specs annoncées, cette caméra est absolument bluffante sur ce point puisqu'avec une puissance de refroidissement de 80% j'ai atteins sans problème les -34°C dans mon bureau ou il faisait 19°/20°! Pour terminer j'ai fait un dark de 300s au gain unitaire: Pas d'ampglow, comme attendu avec un capteur de cette génération. Les présentations sont faites, venons en aux tests sous les étoiles, pour commencer j'ai monté la Minicam sur une petite lunette TS72/420ED (pas apo), le tout sur une petite SAGti, ma config de "voyage", la lunette est ramenée à un peu moins de 338mm de focale grâce a un aplanisseur réducteur 0.79x: Voici une brute de B33 en Ha, 120s au gain unitaire (80) en mode Linearity HDR 16 bits, autostretchée dans Siril: Beaucoup de signal, pas de reflets ni d'artefacts, c'est très propre! Voici maintenant quelques brutes de la méduse, une seule pose de 180s au gain unitaire et en mode standard (12 bits) non pretraitée par filtre (Ha, Olll, Sll): Ha, 1x180s Olll, 1x180s Sll, 1x180s La encore pas de mauvaises surprises. Maintenant on va essayer d'en savoir plus sur ce mode Linearity HDR, une feature seulement proposée par QHY ( P1 et ZWO font l'impasse sur ce mode, Altair a un mode HDR inutilisable (visiblement celui d'origine, adapté aux images diurnes). La promesse est de conserver un bruit de lecture à 1e quel que soit le gain, et un Full Well a 46Ke quel que soit le gain (49ke mesuré en réalité), le tout avec une dynamique élevée. Sans rentrer dans les détails une partie des pixels travaillent à haut gain, l'autre partie a bas gain. Quoi de mieux que M42 pour mettre à l'épreuve ce mode qui apparait plus comme un gadget plus qu'autre chose? En effet sur cette nébuleuse on doit souvent choisir entre le cœur ou les extensions, et donc souvent faire des expos courtes pour ne pas cramer le coeur et des expos longues pour attraper les extensions. J'ai donc pointé M42 et soyons fous, avec des poses de 300s dans ce mode linearity HDR: Et voici donc le résultat de 5X300s au gain unitaire, en mode linearity HDR, juste empilé avec Siril puis montée d'histogramme (hyperbolique généralisé) et en effet, on arrive a avoir le beurre et l'argent du beurre sans cramer le cœur. Et le résultat final un peu à la va vite de 5x300 en Ha + 2X300s en Sll Pour présenter une image un peu plus aboutie, j'ai visé aussi NGC281, en SHO cette fois, toujours en mode linearity HDR, la encore avec des cumuls assez faibles pour l'exercice: NGC 281 (Cas) - Sll 5X300s +Ha 10x300s + Olll 5X300s - SHO - gain 78/offset 50 - Mode Linearity HDR - L72/338 - Minicam8M - SA Gti - PHD - Siril/PS Voila pour les tests avec la petite lunette, passons maintenant au T200 Quattro (un 200/800 pas mal modifié, avec un correcteur/réducteur Starizona Nexus qui ramène la focale a 600mm): Une seule brute de 60s au gain unitaire en mode standard, ça sort très vite, c'est propre! Et une image "finie" de IC342 en 20mn, après avoir orienté la caméra comme il faut: IC 342 (Cam) - 20x60s - L - gain 80/offset 30 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS sans darks ni flats Puis une de Arp 18 en 20mn aussi, avec un seeing moins sympa que sur IC342, mais ça passe: Arp 18 (Uma) - 20x60s - L - gain 80/offset 30 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS sans darks ni flats Prochaine étape, mettre un correcteur TS Maxfield 0.95x a la place du Nexus 0.75x, pour revenir a un échantillonnage plus sympa pour les galaxies (1" c'est un peu court), ça tombe bien il y en a un actuellement sur le T300. D'ailleurs je n'exclue pas de la coller dans le PO du 300! Conclusion: cette caméra est vraiment sympa, ultra performante, pour avoir regardé dedans c'est extrêmement bien foutu, c'est vraiment la camera idéale pour se lancer dans le mono sans y laisser un rein, parfaite pour les petites et moyennes focales. Les filtres fournis sont de très bonne qualité, et le tarif est imbattable. Si je devais lui trouver des défauts, le ventilateur tourne vite et est donc assez audible, et enfin son principal avantage peut devenir un inconvénient, puisque le format de filtre est propriétaire, c'est ce qui permet de réduire les couts mais vous ne pourrez pas mettre autre chose. Étant donné le public visé ce n'est pas un problème majeur mais tout de même. De plus de tous les modèles d'IMX585 refroidis disponibles à ce jour et à venir, c'est de très loin celle qui en offre le plus au niveaux des spécifications, bref je lui souhaite tout le succès qu'elle mérite! D'ailleurs le premier batch est parti comme des petits pains. EDIT du 10/04/2025: J'ai pu tester quelques prises en LRVB avec la Minicam 8M, toujours sur le T200/600: M64 (Com) - LRVB - 40/15/15/15 x 60s gain 80/offset 30 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS M100 (Com) - LRVB - 40/15/15/15 x 60s gain 80/offset 30 - Mode full resolution - T200/600 - Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Inutile de vous dire que ça confirme tout le bien que je pense de cette caméra La météo favorable m'a permis de bien profiter de ce combo T200/600 Minicam 8M: Voici quelques cibles acquises récemment (il en manque faute de place) toutes regroupées sur une seule planche et à l'echelle! Seeing pas toujours idéal hélas. Je viens de passer le T200/600 à 765mm de focale, je rajouterai les premiers résultats ici. Bon ciel! Mise à jour du 24/04/2025 Depuis QHY a ajouté de nombreux filtres compatibles avec cette caméra, je vous en fait la liste rapidement: Un kit deepsky de 7 filtres pour la M (LRVBSHO): Un kit planétaire de 7 filtres pour la M ( LRVB/CH4/UV/Na): Un kit de 5 filtres photométrie pour la M (U/G/R/I/Z): Voila de quoi utiliser a bon escient les capacités de cet IMX 585 qui va plus loin que le visible, a titre de comparaison voici ce que ça donne par rapport à un IMX 571 (idem 533/455/411/461) Le gain avant et après le visible est assez conséquent! Mise à jour du 27/04/2024 Je rajoute des essais à 765mm de focale, toujours avec le T200 mais avec le correcteur réducteur TS Maxfield 0.95x. Pas encore eu de seeing sympa, les nuits ou ça se dégage un voile persiste et d'autant plus gênant qu'on s'éloigne du zénith. M82 (Uma) - L - 20x 60s gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/765- Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS M106 (Cvn) - L - 30x 60s gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/765- Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS M106 (Cvn) - LRVB - 30 / 15 / 15 / 15x 60s gain 80/offset 25 - Mode full resolution - T200/765- Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS Il y a moyen de faire beaucoup mieux que ça avec un seeing plus sympa, mais ça donne une idée. Soit dit en passant, j'ai utilisé la dernière version de Siril (1.4) pour M106 et c'est vraiment pas mal comme mise à jour! Edit du 29/04/2025: LRVBHa, test avec des poses de 180s gain 0 offset 25 pour le LRVB et 180s gain 80 offset 50 pour le Ha; toujours avec le T200/765: M182 Uma)- L: 20x180s G0/OF25 - Ha:15x180s G80/OF50 - RVB:10X180 G0/OF25 - Mode full resolution - T200/765- Minicam8M - AZ6 GT - PHD - Siril/PS (image recardée/croppée en 4:3) Je n'avais pas pensé à le faire, avec l'autofocus de NINA on ne se pose pas trop de questions, voici donc un test pour voir si les filtres sont biens parafocaux, map faite au bathinov sur le filtre L puis juste un changement de filtre pour voir si il y a des écarts. Globalement on peut considérer qu'ils sont parafocaux, pas de mauvaises surprises.
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  6. Bonjour, ce matin le ciel est enfin clair, sans voile , ni nuages ^^... donc j'ai pu observer et retenter d'enregistrer directement en couleur.. Et en mode Coronographe avec filtre H alpha 100 Angströms Chris
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  7. Bonjour à tous, Voici ma dernière prise, WR134 dans la constellation du cygne La dénomination « WR 134 » ne désigne pas à proprement parler une nébuleuse, mais une étoile de Wolf-Rayet située à environ 6000 années-lumière dans la constellation du cygne. On désigne le plus souvent par extension la nébuleuse créée par cette étoile et visible sur l’image présentée ici : une faible « coquille » bleutée perdue au milieu d’un « océan rouge » de nébulosités Ha. Les étoiles de Wolf-Rayet, très massives et chaudes, expulsent au terme de leur évolution une grande quantité de vent stellaire ; avant d’exploser en supernova Dans le cas de WR 134, il s’agit d’une étoile environ 400 000 fois plus lumineuse que le Soleil, 115x300s soit 9h30 sur 2 nuits, dimanche et lundi 50DOF Setup TS80 + reducteur 0.79 + filtre L-Ultimate + ASI294MC Pro sur Eqg Goto Autoguidage lunette Orion 80/400 Acquisition NINA Traitement SIRIL + GIMP Image HHOO avec réduction d'étoiles J'ai un petit defaut en haut à droite à cause d'un voile nuageux qui a décalé la cible sur la 2ème nuit mais heureusement NINA a repris la main A+ Manuel.
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  8. Bonsoir à tous, je suis rentré d'un séjour de 10 jours en Vendée avec quelques copains Météo très touristique : beau la journée mais nuageux la nuit Au final on a pu bénéficier de 3 nuits et demi seulement, toujours mieux que l'an dernier ceci dit (zéro nuit sur 10 jours...). Le setup est le même que dans la Creuse le mois précédent, à savoir : TOA150 + ASI2600MM + EFW + filtres ZWO 36mm, guidage avec OAG-L + ASI174 mini, le tout sur EM400 Temma2 et piloté par ASiair Plus : Puisqu'on me pose souvent la question : le poncho sur le trépied sert à protéger de l'humidité la batterie qui se trouve sur la tablette porte-acessoires, et également de la pluie puisque le setup reste en place 10 jours. L'ASiair est connecté à un CPL et l'autre CPL (qui lui est Wi-Fi) se trouve dans mon van. C'est la solution la plus rapide que j'ai trouvée, quand je n'ai pas de 220V sur le terrain alors j'utilise un extender Wi-Fi OPAL. Je vous présente une M51 prise sur 3 nuits, la L a été faite dans d'excellentes conditions, les RGB un peu moins avec beaucoup de passages nuageux. Au final j'ai conservé 4 heures de L avec une FWHM entre 1.6" et 1.85", et 1 heure pour chaque couche RGB, le tout en subs de 120s. Traitement Siril, BlurX + NoiseX sous Pix, finition sous CS5 avec recadrage de M51 pour mettre en valeur les 2 petites galaxies en haut à droite. Après pas mal de discussions sur Astrosurf quant au traitement, je me suis arrêté sur cette version soft calquée sur les conseils de JeffBax. Cliquez sur l'image pour obtenir la Full qui regorge de petites galaxies dans le fond de ciel : Gros plan : Et l'image annotée dans Pix, avec les quasars dont le plus faible atteint une magnitude de 22.32 :
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  9. Bonjour, J'ai trouvé cette carte afin de "voir" ou passent les fumées provenant du Canada, ça permet d'anticiper les belles rares nuits. https://www.meteoblue.com/fr/meteo/cartes/marcillat-en-combraille_france_2995969#coords=3/49.94/-15.13&map=aerosolOpticalDepth~hourly~auto~atmos col~none N'hésitez pas à partager si vous trouvez mieux !
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  10. J'ai hésité à la poster car je ne suis pas très satisfait mais bon, quelques conseils et avis ne font pas de mal. J'ai tenté malgré la lune quasi pleine 2 petites sessions des Dentelles du Cygne. 1ere session, j'ai oublié d'allumer les bandes chauffantes...donc 30 brutes de gardées sur 70 2eme session marquée par un léger voile atmosphérique d'où une bonne partie des brutes assez faibles La focale de la SQA55 va bien aux dentelles je trouve. C'est la première fois que j'essaye avec une telle lune, d'habitude je ne sors pas le matos. Mais faut toujours tenter. A refaire dans de meilleurs conditions, les brutes ne sont pas de bonnes qualité. 🗓️: 08 et 09/06/2025 🔭: Askar SQA55 📷: Player One Poseidon C-Pro ❄️-10° ⚙️: StarAdventurer GTI 🚥: Player One Anti-Halo PRO dual-band 🎯: ZWO ASI120mini + lunette 30 f/4 💻: NINA + GSS + PHD2 ⏱️: 108 x 180s 🎚️: Gain 126 🖥️: Siril + GraXpert + Photoshop 🌍: Haute-Vienne 🌔: 97% 🌌: Bortle 4
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  11. Dans le même genre: "Monsieur, monsieur, réveillez-vous ! C'est l'heure de votre somnifère !"
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  12. Belle prise. C'est aussi un rêve mais Rho Ophiuchi, c'est 18° maxi
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  13. quelques photos de l'évènement EuroAstro, édition 2025 à Champtoceaux (49)
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  14. Joli tir Seb, très sympa en effet cet ensemble !
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  15. Superbe reportage photo! j'adore ce type d'ambiance (man vs wild😄). Concernant les passages, je me demande si ce ne pourrait pas être de l'airglow..
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  16. Belle prise et merci pour le pitch sur le double quasar, bien intéressant 👍👍🙂
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  17. Salut à tous, Pas mal d'images en retard à vous montrer de l'équipe NFR. On commence par Cederblad51! Située dans la constellation d'Orion, cette petite nébuleuse fait partie d'une plus grande: Sh2-264. le but était de chercher un objet à la fois original et pour lequel notre focale apporterait une plus value tant en termes de composition que de résolution. Cette zone est en fait une vraie pouponnière d'étoiles, on voit de nombreux objets Herbig Haro qui peuplent le champ, il s'agit de jets de matières issues d'étoiles très jeunes, ces jets, suivant l'axe de rotation de l'étoile, entrent en collision avec le milieu interstellaire et créent ces nébulosités que l'on voit distinctement ici: Setup: lunette Askar 107PHQ/ caméra ZWO ASI2600MM Pro/ monture Sky-Watcher EQ6-R Pro Exifs: 15h de L (unitaires de 3min), 4h par filtre couleur RVB (unitaires de 3min), 10h45 de H (unitaires de 5min) total: 37h45 Localisation: Pixelskies (Espagne) Quelques explications et meilleure définition ici: https://app.astrobin.com/u/JulienCadena?i=ok9h3w Second objet: Ngc1514 Il s'agit d'une nébuleuse planétaire au cœur du Taureau, un défi même à 750mm de focale, tant l'objet apparait petit sur le champ. L'objectif était de présenter cette jolie bulle bleue avec la résolution de notre instrument, à la fois noyée dans un nuage de poussière et également, nous l'espérions dans du H alpha. Pour ce faire, on a cumulé près d'une quarantaine d'heures de H! Mais le signal obtenu sur le master reste très ténu, peut être le F7 de la lunette montre ses limites ! Setup: lunette Askar 107PHQ/ caméra ZWO ASI2600MM Pro/ monture Sky-Watcher EQ6-R Pro Exifs: 17h33 de L (unitaires de 3min), 4h par filtre couleur RVB (unitaires de 3min), 37h de H (unitaires de 5min), 8h de O3 (unitaires de 5min) total: 74h39 Localisation: Pixelskies (Espagne) Quelques explications et meilleure définition ici: https://app.astrobin.com/u/JulienCadena?i=b9tknh Troisième objet: M78 Avant dernier objet de notre setup 107PHQ, pour l'occasion nous avons choisi un classique du ciel d'hiver, qui nous permettait de réaliser une belle image en peu de poses, le temps cette saison ci ayant été plutôt compliqué même sous le ciel Espagnol. On ne présente plus M78, ici en version HaL/R(H)VB, l'idée était de mettre en avant la nébuleuse sur son fond d'hydrogène, ce qui aura été possible grâce à 21 heures de pose: Setup: lunette Askar 107PHQ/ caméra ZWO ASI2600MM Pro/ monture Sky-Watcher EQ6-R Pro Exifs: 16h27 de L (unitaires de 3min), 4h par filtre couleur RVB (unitaires de 3min), 21h de H (unitaires de 5min) total: 49h46 Localisation: Pixelskies (Espagne) Quelques explications et meilleure définition ici: https://app.astrobin.com/u/JulienCadena?i=13b7j5 Dernier objet: M81 et M82 A la fois grand classique du ciel de printemps et dernière image de l'équipe NFR dans sa première version, voici m81-82. Deux objets que l'on ne présente plus, un projet qui s'est décidé sur le tard l'an dernier, en avril et que nous avons eu la chance de pouvoir finir en début d'année. Un duo vraiment pas facile à traiter à cause de la dynamique de l'image ( la brillance des 2 galaxies/ faible ifn présent dans le fond de ciel): Setup: lunette Askar 107PHQ/ caméra ZWO ASI2600MM Pro/ monture Sky-Watcher EQ6-R Pro Exifs: 31h18 de L (unitaires de 3min), 4h par filtre couleur RVB (unitaires de 3min), 32h de H (unitaires de 5min) total: 75h39 Localisation: Pixelskies (Espagne) Quelques explications et meilleure définition ici: https://app.astrobin.com/u/JulienCadena?i=1kmle6 Voilà qui termine l'épopée des images à la 107 PHQ! Place maintenant à un nouveau setup: une lunette Fsq106 associée à une caméra Player one Zeus monochrome. L'équipe s'agrandit également: en + de Mickael Coulon, 2 autres collègues du club astro (le GAAC) se joignent à nous (Gael Cessateur et Ludovic Ternissien). Pas d'images à vous montrer encore car le setup a souffert de multiples problèmes lors de nos débuts en février (fuites de lumière, problème de caméras..). Le train imageur est en train d'être optimisé avant de repartir chez Pixelskies. (on avait vraiment eu de la chance avec Mickael lors de l'installation du 1er setup..). On espère pouvoir reshooter d'ici juillet. Bon ciel à tous, Mickael et Julien
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  18. Oui, y en a que j'ai faite plusieurs fois déjà. J'avais commencé un tableau pour lister les cibles déjà faites: Faudra que je le mette à jour
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  19. Bien joué Seb, tu dois avoir un sacré paquet de galaxies dans ton catalogue maintenant
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  20. Très belle série d'images , bravo !
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  21. Tu vas t'en souvenir longtemps de cette escapade, superbes images à la clé
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  22. Super prise, très chouette. Bravo !!!
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  23. Magnifique photo de la voie lactée, avec Rho Ophuici, meme les nuages faible de fond de ciel ressortent, dur a obtenir sur un APN. Sur le timelapse on voit des passage de voile nuageux leger, visiblement ca a pas gené. Nuit tres productive ! Il semble pas defiltré ton APN, si ?
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  24. J'avais essayé une fois avec la même réussite que toi = 0 Il me semble bien que ce genre de chose passe par le séquenceur avancé..
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  25. Premier essai sur le ciel. Ca marche vraiment bien... https://www.webastro.net/constellia/photo/172774_m51/
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  26. Une belle nuit au Champ du Feu en Alsace ce 30 Mai qui m'a enfin permis de shooter cette belle région du ciel. Compliqué car malheureusement très basse. Samyang 135mm ouvert à F2.4 Zwo ASI 2600MC DUO Gain 100 Filtre L-Pro StarAdventurer GTi 61x120 secondes Traitement Pixinsight WBPP, suite RC Astro et Photoshop.
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  27. Désolé du retard de la réponse, je n'avais pas fait attention. C'est un plastique très fin que j'ai trouvé sur le net. Il faudrait que je recherche dans les papiers si tu as besoin de l'adresse.
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  28. 19h30 , il y a une belle trouée nuageuse mais le poteau sur lequel est posée habituellement la monture est à l'ombre. Du coup je pose grossièrement le trépied dans la pelouse et fit une mise en station à ma louche. Il y a un peu de dérive et j'ai croppé les images au traitement. J'ai imagé AR4100 et un e petite protubérance:
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  29. Quelques images sans animation des autres protubérances de hier:
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  30. Bonjour, Petit tour d'horizon des avancements sur le programme Starship, alors que les nombreux lancements promis cette année se font attendre. La FAA a toutefois récemment donné son accord pour 25 lancements par an depuis la Starbase. 1. Infrastructures Tout d'abord, sur le site de production de la Starbase, les travaux de démolition du High Bay sont en cours. Pas de démolition spectaculaire comme il y a pu en avoir dans les débuts du programme 🧨, le manque de place impose à SpaceX une démolition progressive et propre. Pour rappel, le High Bay était le lieu d'assemblage des sections des Ships jusqu'au S31 qui a été le dernier Ship de la version Block1 ayant volé. Ils sont depuis assemblés dans le Mega Bay 2. Il sera remplacé par un Giga Bay, qui mesurera environ 115 mètres de haut pour environ 75.000 m², permettant d'accueillir 24 Boosters ou Ships (image de synthèse.) Un second Giga Bay est prévu sur le site de Roberts Road, c'est-à-dire à Cap Canaveral pour le programme d'exploitation de SpaceX (rappelons que la Starbase au Texas est un site de développement et de recherche.) 2. Tour de lancement La Tour Mechazilla n°2 continue son évolution. La Tour en elle-même semble terminée, les bras de récupération sont installés. Les travaux se poursuivent au pied de la Tour, en particulier au niveau de la tranchée et du double déviateur de flammes, qui inclue le nouveau système de Starshower, ainsi qu'au niveau des canalisations et de l'extension de la ferme à ergols. L'Orbital Launch Mount, ou table orbitale, est également en finalisation d'assemblage et devrait être installée prochainement au pied de la tour. Contrairement à ce qui avait pu être imaginé il y a quelques temps, elle ne devrait pas être mobile. Le design est complètement modifié par rapport à celle de la Tour n°1, s'adaptant notamment aux futures versions du Booster et protégeant davantage les éléments afin de réduire la maintenance entre 2 lancements. 3. Les prochains vols Le prochain vol IFT-9, dont la date n'a toujours pas été fixée, doit emporter le Ship S35 et le Booster B14-2. Pour rappel, le B14-2 est en fait le B14 qui a volé lors de l'IFT-7, en gardant 29 de ces 33 moteurs, et est donc toujours un Booster de version Block 1. Le Booster a effectué un tir statique avec succès. Le S35 est le troisième exemplaire d'un Ship version Block 2, dont aucun n'a réussi jusqu'ici une mise en orbite. On espère que le délai depuis le dernier essai a permis de corriger les défauts, notamment les vibrations harmoniques lors de la phase d'ascension du Ship après la séparation du Booster. Le S35 a réalisé un tir statique avec 1 seul moteur avec succès, mais un second tir statique avec les 6 moteurs a été apparemment interrompu à 30 secondes (sur les 60 prévues,) alors que des "flash" anormaux ont été vus par les observateurs. Il n'y a pour l'instant pas eu de communication de la part de SpaceX. L'IFT-10 devrait voir voler le B16 avec le S36, les deux ayant réalisé jusqu'ici des tests cryogéniques. L'IFT-11 pourrait voir voler le B15-2 (ayant donc volé lors de l'IFT-8) avec le S37, le B15-2 est en maintenance, le S37 en finalisation d'assemblage. L'IFT-12 pourrait voir voler le B17 et le S38, le Booster ayant réalisé un test cryogénique, le Ship est en cours d'assemblage. Rien d'officiel ici, cela dépendra de la réutilisation ou non des Boosters pour la chronologie. Un demi-Booster appelé TT17 a été aperçu, et semble faire office de prototype de la version Block 2 du Booster. Il semblerait que le B18 sera donc le premier Booster de cette nouvelle gamme. On ne sait pas encore si la nouvelle version emportera des moteurs Raptor v3, mais l'anneau inter-étage devrait être intégré au Booster et ne serait plus largué après la séparation au chaud. * Certains supposent d'ailleurs que les derniers échecs ont été favorisés par une incompatibilité entre des Ships Block 2 avec les Boosters Block 1, ces premiers ayant explosé peu de temps après la séparation des étages. Il est possible que les vibrations engendrées par l'allumage des moteurs du Ship et le souffle de ceux-ci dans l'anneau inter-étage favorise les contraintes et les vibrations sur le nouveau design des canalisations du Ship Block 2. Un Booster Block 2 avec anneau intégré aura peut-être davantage d'ouvertures pour diminuer la puissance du souffle lors de l'étape de la séparation à chaud. Mais si c'est le cas, on se demande pourquoi SpaceX continuerait à utiliser des Booster Block 1 jusque là. Rappelons que le rattrapage d'un Ship ne sera pas possible tant que celui-ci ne montre pas sa capacité à réaliser un vol orbital complet.
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  31. Dans ces conditions et avec la lune presque pleine, je sors meme pas de chez moi.
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  32. J'ai pu rajouter 4 h de plus cette nuit (aucun voile nuageux). Une V2 : pas de grosse différence sur le signal (un peu meilleur forcément) mais avec en plus un traitement SPCC sous Siril
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  33. Bonjour, Tu habites en ville, donc tu vas naturellement commencer par les planètes et la Lune. Un dobson 150/1200 t'en montreras pas mal, également en ciel profond et il me semble effectivement un bon choix pour débuter. La base pèse 8kg, moins qu'un pack d'eau... Si c'est trop lourd j'ai peur que n'importe quel matériel ne le soit aussi. Sinon, pour emporter sous bon ciel noir : une petite paire de jumelle 10x50 te montrera déjà beaucoup de choses (cherche les sujets de @joker0247 pour t'en convaincre). Après, tu as la possibilité aussi de prendre un instrument dédié planétaire depuis chez toi, genre Maksutov sur une petite monture EQ3.
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  34. Bien joué Manuel ! J'ai failli la programmer hier tiens...mais trop de Lune...
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  35. Ma 2e cible depuis que j'ai récupéré ma Az-Eq6, qui ronronne comme une bienheureuse, avec la régularité d'un coucou suisse ! On voit passer cet objet (Arp 188, UGC 10214, Tadpole Galaxy) de temps en temps sur les forums, mais pas tant. Raison de plus pour l'attraper dans mes filets. 6h36 de poses sur 2 nuits, à F/7 Pas trop de bruit et un signal raisonnablement présent, en tous cas de quoi faire sortir la queue de marée. Car oui, cette galaxie faisant partie des galaxies particulières du catalogue de H. Arp, elle est en interaction avec une autre. Elle est distante de 450 mios a-l env., et possède un long panache d'environ 391'000 a-l, contenant des amas d'étoiles jeunes. On voit d'ailleurs le bleu dominer dans ces régions. Le panache est dû à une interaction avec une autre galaxie, naine. Je ne crois pas pas qu'elle soit visible. Par contre plein d'autres copines le sont http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/smile.png A cause de sa petite taille visuelle j'ai fait plusieurs passes de sharpening et denoising avec Seti Astro, en petites touches successives. Un peu de boost sur la chroma pour faire ressortir les couleurs. 30.05.2025 83x180" = 4h09 Lune 10.8% 01.06.2025 49x180" = 2h27 Lune 27.6% Total 132x180" = 6h36 Celestron C11, réd/corr Starizona; F=2056mm (f/7.3) ZWO ASI 533MCPro, Asiair, filtre Antlia tri-band, OAG Celestron avec ASI 220mini Monture AZEQ6 reliftée 2025 Siril, SetiAstro Le champ complet: J'ai trouvé sur Siril un script pour les annotations que je trouve assez sympa: Et enfin un crop: Si vous regardez les images avec un écran calibré, dites-moi si vous voyez le fond du ciel uniforme ou avec des marbrures. J'ai acheté une sonde et calibré mes deux écrans, mais le rendu n'est pas le même...
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  36. De belles images ! Pour t'éviter de créer un nouveau fil à chaque observation, tu peux poster dans le fil "A quoi ressemble le Soleil en ce moment", dans cette même rubrique "L'actualité du ciel".
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  37. Oui; il y a un voile d'altitude en ce moment, qui donne pas l'impression de nuage mais en fait c'est des nuages. tu le vois de jour, soleil, mais ciel presque blanc, ou bleu tres clair, la nuit tu vois les etoiles les plus brillantes, maisle signal faible est noyé dans ce voile de haute altitude.
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  38. la visite ok mais par qui? tout reste a prouver. tu donnes toi meme la solution la plus hautement probable! aller observer le plus discretement possible les progrés du voisin. Donc de la furtivité et du renseignement. imagine le scandale si en pleine guerre froide les ricains voient passer des avions russes et n’arrivevent pas a les chopper. c’est le scandale, la honte pour l’armée et la panique pour les citoyens : on est pas en securité, s’ils peuvent venir ils peuvent nous bombarder. il vaut mieux parler d’ovni dans ce cas. et il y a la même coté russe trés largement survolé par les ricains...
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  39. @pev_astro Pourquoi toujours penser que nous sommes "primitifs" ? Quelle création issue d'une intelligence extraterrestre a été trouvée ? pourquoi toujours penser que ce que nous ne connaissons pas est nécessairement supérieur ? Non... pas de "l'Etat cache ci", "l'armée qui cache cela". Ce sont des arguments "fumée" qui sont censés prouver que ce qui n'est pas existe. Il est bien plus raisonnable de penser que nous sommes bien plus évolués que la très très très grande majorité des vies extraterrestres possibles. Le problème est juste que cette hypothèse ne répond pas aux fantasmes et à l'imagerie populaire.
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  40. Et là, pour les nostalgiques, une sympathique PERL ETUDIANT en 50/600, qui semble complète et pour un prix intéressant sur la Gironde! https://www.leboncoin.fr/ad/sport_plein_air/3005045780
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  41. Superbes images, Bravo à l'équipe 👍👍🙂
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  42. Hier, j'ai filmé cette petite protubérance qui dépote bien en 1 heure de temps:
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  43. Bonjour à tous, Peu de nouvelles en ce moment sur le programme Starship, l'actualité est plutôt centrée sur le patron de SpaceX et de ses fréquentations lunaires 🤪 Toujours est-il que les ingénieurs et techniciens de la Starbase sont toujours sur le pont. 👏 La date de l'IFT-9 n'a pas encore été révélée, bien que le mois d'avril ait été évoqué. Ce que l'on attend en premier est bien sûr la réussite d'un vol quasi-orbital du troisième exemplaire de la version 2 (Block 2) du Ship qui sera le nommé S35. Peu d'informations ont circulé sur celui-ci, espérons que des améliorations ont été apportées pour éviter les incendies dans la baie moteur, en particulier que des moyens ont été développés pour éviter les ruptures des nouvelles conduites d'ergols, dûes aux vibrations intenses provoquées par les moteurs, comme vu sur les S33 et S34. Le S35 a effectué plusieurs tests cryogéniques au sol, et est probablement en attente d'un test de tir statique (static fire test) avant d'être posé sur son Booster. Bien sûr, il n'est donc pas envisagé qu'il soit rattrapé par la Tour à son retour, il faudra déjà passer les étapes de mise en orbite et de rentrée atmosphérique pour cela. Le Booster candidat au décollage pour l'IFT-9 et qui succédera au B15 sera le Booster ... B14 😯 Et oui, SpaceX va tenter pour la première fois de réutiliser un Booster qui a déjà volé et qui a été récupéré par la tour Mechazilla, à savoir lors de l'IFT-7 le 16 janvier 2025. ♻️ A noter que c'est ce Booster qui avait déjà volé en réutilisant un des moteurs Raptor déjà utilisé (le fameux Raptor 314 pi.) Le B14-2 utilisera 29 des 33 moteurs ayant volé lors de l'IFT-7. On attend la suite des nouvelles, en particulier la date de ce lancement. Il va falloir réussir de nombreux points et rapidement afin de suivre les objectifs prévus. Jared Isaacman, patron de la NASA (et copain de Musk au départ) a rappelé que la Lune restait prioritaire dans le programme américain, bien avant Mars. Promis, j'essaie de ne pas faire de politique 🤐
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