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Y a t-il une réelle crise de la biodiversité ? On trouve un peu partout des alertes à la « sixième extinction », et à la disparition des insectes, notamment des abeilles, mais aussi pêle mêle des ours blancs, des tigres, des tritons, des poissons, des tortues ou des éléphants. Est-ce vraiment grave ? Les Dinosaures ont disparu, les Néandertaliens aussi, et d’innombrables espèces ne sont connues que par des restes pétrifiés. Les Ammonites se trouvent par milliers dans les roches du Poitou ou du Massif Central : elles ont disparu avec les Dinosaures. Les Mammouths ou les ours des cavernes n’existent plus que dans les musées. Si on parle de « la sixième extinction », c’est qu’il y en a eu cinq autres. Quelle ampleur ont eu ces extinctions, et ce qu’on vit peut-il y être comparé ? On peut essayer d’estimer l’ampleur et la durée de celles du passé, et chiffrer et comparer celle du présent. Une extinction de masse : la disparition brutale d’une partie du vivant Des espèces disparaissent et d’autres apparaissent continuellement. Dans le passé, différentes périodes ont toutefois vu une quantité « anormale » d’extinctions, la question étant de définir ce qui est anormal. On dispose pour cela des restes fossiles d’animaux disparus. Notre connaissance du passé biologique repose sur les fossiles, dont l’existence est aléatoire : un cadavre se décompose normalement ; dans des cas exceptionnels, il peut être enfoui rapidement et échapper ainsi à l’oxydation, aux charognards, aux insectes, voire aux bactéries. Encore faut-il que son cercueil ne soit pas détruit ou dispersé par la suite, par des fouisseurs, des crues ou des érosions soudaines, des mouvements du sol, des failles, des éruptions volcaniques, l’écrasement sous le poids des sédiments...etc… On estime entre 0,01 et 0,1 % la proportion d'organismes qui se fossilisent : un organisme donné ayant donc très peu de chance de se fossiliser, ceux qu’on trouve existaient en grand nombre de leur vivant.Autrement dit, les fossiles ne fournissent qu’un image partielle de la vie de l’époque. Probablement moins de six pour cent. Encore faut-il ensuite qu’ils soient découverts, et identifiés, et non broyés lors d’exploitations, ou commercialisés sans autre étude. Comment alors peut-on chiffrer la proportion qui disparait, puisqu’on ne connaît que peu de ceux qui existaient ? Alcide Dessalines d'Orbigny (1802-1857) La paléontologie est née au début du XIXème siècle en tant que science. Parmi les précurseurs, Cuvier (1769-1832) défend vigoureusement le catastrophisme, sur la base des renouvellements brutaux des faunes fossiles. Alcide d’Orbigny (1802-1857) identifie les différentes périodes géologiques, et distingue les « époques » Primaire, Secondaire, Tertiaire, sur la base de ces renouvellements, et signale les extinctions silurienne et dévoniène : les fameuses cinq extinctions de masse sont déjà identifiées, et déjà ordonnées par intensité. Pour d’Orbigny, la principale est celle qui sépare le Primaire du Secondaire, la suivante est à la fin du Secondaire. Non seulement ces observations sont toujours valides, mais la proportion même de faunes disparues est très voisine des estimations actuelles : les nouvelles découvertes ont augmenté le nombre d’espèces connues, sans modifier pour autant la proportion des disparitions. Si l’extinction la plus connue est sans doute celle des dinosaures, il y a 66 millions d’années (=fin du Secondaire, et du Crétacé), la plus grave et de loin est celle de la fin du Primaire (250 millions d’années). Parmi les faunes et flores connues, 85 à 95 % disparaissent alors, tandis que la fameuse météorite tueuse n’a détruit que deux tiers à trois quarts de la vie au Crétacé. Des cinq principales extinctions (Raup & Sepkovski, 1982), trois se sont produites à l’Ere Primaire, il y a plus de 250 millions d’années. Les deux suivantes sont les mieux connues, la plus importante étant celle de la fin du Primaire, la suivante celle du Secondaire qui a vu la fin des Dinosaures. Combien de temps dure une extinction ? L’instantané du géologue n’est pas celui de l’informaticien. L’un parle en nanoseconde, l’autre en millions d’années. Plus on remonte dans le temps, plus l’incertitude est large. De nombreux travaux ont toutefois été menés sur les extinctions majeures. Voyons la plus importante, celle de la fin du Primaire (Permien). La limite entre le Permien, dernier étage de l’Ere primaire, et le Trias, premier étage de l’Ere secondaire, est particulièrement bien visible en Chine, à quelques 150 km à l’Est de Shanghai. L’endroit a été intensivement exploré et étudié, les couches successives minutieusement numérotées et datées. Si les premières datations évaluaient la durée de l’extinction à environ 800 000 ans, des recherches plus récentes suggèrent une durée de l’ordre de 80 000 ans, pour la phase principale, car plusieurs extinctions, possiblement dues à plusieurs causes -climatiques, volcaniques, ou tectoniques, se sont succédées en quelques millions d’années. Quatre-vingt à quatre-vingt quinze pour cent des espèces marines, et les trois quarts des espèces terrestres ont disparu dans la catastrophe. La vie ne s’est rétablie (Sahney &Proc Biol Sci. 2008) qu’après une cinquantaine de millions d’années. La crise de la fin du Permien à Meishan (Chine) Quelle ampleur pour l’extinction actuelle ? Si la durée de la crise actuelle est facilement connue : un petit siècle essentiellement, déterminer son ampleur est une autre affaire. Il faut d’abord estimer un nombre d’espèce actuelles. On pourrait croire que le chiffre est connu, puisque nous les avons sous les yeux. Il n’en est rien. D’abord, tout n’est pas dénombré, loin de là. On le sait par le rythme des nouvelles découvertes. Les découvertes de nouveaux mammifères sont rares, ce qui signifie qu’on a une assez bonne connaissance du nombre de nos cousins. Il en va tout autrement des Insectes, par exemple : avec près de 1,3 million d'espèces décrites (et près de 10 000 nouvelles espèces inventoriées par an1), les Insectes constituent 55 % de la biodiversité des espèces et 85 % de la biodiversité animale (définie par le nombre d'espèces). On estime entre 5 et 80 millions d'espèces possibles. Il y aurait au moins 10 ou 12 fois plus de champignons que les quelques 50 000 connus. On ne sait presque rien des Bactéries ou des Archées. De plus, si notre connaissance est fragmentaire pour les espèces terrestres, elle est ridicule pour celles de nos océans. Mora et al. (2011), estiment que pour un million et demi d’espèces décrites, il y en aurait au moins une douzaine de millions en fait. Comment alors estimer les pertes, si on ne connaît pas le stock ? La réponse est la même que pour les extinctions de masse citées plus haut : la proportion d’espèces connues qui disparaissent est supposée homologue du nombre de celles qui disparaissent sans être connues. Et la situation n’est pas rose : Ainsi, le Fonds Mondial pour la Nature estime que la Terre a perdu 69 % de ses populations de vertébrés sauvages entre 1970 et 2018. Plus de 40 % des amphibiens, un groupe présent sur la Terre depuis trois cent soixante-dix millions d’années, sont menacés. Un tiers des oiseaux des campagnes françaises ont disparu en quinze ans. C’est simplement logique : selon Sanchez-Bavo & Wyckhuys (2019) 40 % des Insectes sont menacés d’extinction : tous leurs prédateurs le sont aussi... Thomas & al. (2004) estiment à 15-37 % la perte totale de biodiversité en 80 ans, une estimation que Harte & al. trouvent très optimiste. En prenant l’estimation la plus prudente, vers 20 % par siècle, il vient qu’on aura atteint les chiffres de l’extinction permienne en 500 ans en considérant que le stock et le taux restent constants, ce qui semble peu probable. Conclusion L’extinction actuelle est donc environ 150 fois plus rapide que la plus grande extinction de masse connue dans l’histoire de la vie terrestre. Ce n’est pas une très bonne nouvelle, mais il y a pire : la leçon principale des extinctions passées, c’est que les espèces dominantes, celle du haut de la chaine trophique, les super-prédateurs, sont les plus impactées, parce que ce sont les plus fragiles, étant plus dépendantes de l’écosystème que n’importe quelle autre. A fortiori quand il n’y en a qu’une.3 points
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Un long serpent s'étire de la petit tache solaire de ce 18 février 2024 ! je trouve cette protubérance très photogénique malgré un fort mistral et de la turbulence, un très beau relief avec beaucoup de résolution Refracteur 185 mm APO Askar - Fabry Perot optimisé PST de 2004 , barlow 2x et camera player one IMX 4292 points
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Bonjour bonjour! Voici donc ma version finalisée de NGC 7822 en mosaïque, attaquée le 25/12/23, complétée le 03/01 puis le 21/01 (faute de temps clément ou de Lune entre temps ) Prise à la FRA300 + QHY183M (sur EQ6R). Filtres Ha/SII/OIII Environ 65x300" en Ha (5h45) 30x300" SII et OIII à peu près (2h30) Pré-traitement Siril / Sirilic Traitement Pix Pour chaque couche S/H/O, aligement en mode mosaïque des deux tuiles, puis alignement de chaque tuile en mode "separate". Enregistrement de chaque fichier puis assemblage par GradientMergeMosaic. Staralign sur Ha + DynamicCrop des 3 (mon angle avait tourné par erreur entre les prises Ha et les prises S/O , obligé de tailler dans le champ d'origine...) GraXPert, BlurX, NoiseX sur chaque Clonage Ha et mise de coté Traitement SHO HistoTransform manuel sur chaque, sans trop tirer pour arriver à qqc de semblable StarX pour étoiles de chaque couche (+tard) ChannelCombination S/H/O Calibration via NarrowBand Calibration Ajustement des couleurs par ColorMasks Désaturation de 3-4 zones "bleues" via PS (tampon couleur) Retour pix SPCC sur les étoiles PixelMath avec l'image SHO Convolution pour adoucir les transition Traitement Ha (luminance) Histo transform manuel pas trop poussé StarX GHS sur la Starless pour étirement final Masquage de la rosette via ACDNR HDTransform sur un clone (layer 9) + mixage à 25% (75% de la Ha d'origine) (masqué) DarknessstructureEnhance (Masqué) Intégration Starless + Stars LRGBCombination Ajustements PS (noirs, luminance du mélangeur de couche pour ressortir qq zones) Vibrance + désaturation J'ai fait deux versions pour voir...2 points
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Bonjour, Sujet de physique pratique très intéressant, même si je n'y connais pas grand chose en programmation informatique, le système me paraît simple et en effet peu onéreux pour faire des observations de particules que même nos accélérateurs ont du mal à produire tant l'énergie demandée est énorme. En effet, les rayons cosmiques (qui n'ont rien de rayons) sont issus de l'intérieur de notre Galaxie en grande majorité, et non pas du milieu extra-galactique. Les étoiles, dont la nôtre, en sont la principale source. Notre Soleil ayant un cycle d'activité de 11 années, lorsque l'activité solaire est élevée (vent solaire,) la majorité des rayons cosmiques proviennent de celui-ci. Lors des phases de faible activité, les rayons cosmiques Solaires sont moins nombreux, mais les rayons cosmiques provenant en dehors de notre système solaire sont plus nombreux car la magnétosphère solaire est moins puissante également, et nous protège moins de ces rayons extra-solaires. Je me permets de préciser ceci pour les lecteurs : la possibilité de détecter des muons au sol est en fait une magnifique preuve de la Relativité Restreinte. En effet, les muons voyageant à environ 99,5% de la vitesse de la lumière (c) pendant une durée de vie moyenne en effet de 2,2µs dans leur référentiel, ne peuvent en réalité parcourir que 660m en moyenne, pas assez pour traverser l'atmosphère jusqu'au sol. Mais la Relativité Restreinte et la transformation de Lorentz-Poincaré nous apprend que dans notre référentiel Terrestre, la durée de vie du muon est de 10Δt, donc qu'il a le temps de parcourir en moyenne 6,6km, donc suffisamment pour être détecté en basse atmosphère (voire plus loin si le rayon cosmique ayant entrainé la formation du muon faisait parti des plus énergétiques.)2 points
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Bonjour David Mener de front deux activités comme l'astrophoto et le visuel dès le départ: pas simple. Ce sont deux activités complémentaires mais par certains aspects très différentes! Je n'ai pas de Dobson ( j'ai un Newton) mais je crois qu'il est possible de faire de l'astrophoto avec un Dobson. Sauf erreur avec une table équatoriale. astr'Au dobson en parle sur sa chaîne youtube. Dans cette voie je crois qu'il est nécessaire d'avoir un dérotateur de champs aussi. Avec Un Newton ou une lunette on rencontre d'autres soucis: Faire le bon choix de diamètre par exemple cela implique une monture qui tienne la route ( en visuel les exigences ne sont pas les mêmes qu'en astrophoto). Est ce que ça va être en nomade ou en poste fixe ( pour savoir comment on va alimenter le matos par exemple) Est-ce qu'on veut faire du ciel profond ou du planétaire. Ce n'est pas les mêmes modèles de caméra Si Newton, correcteur de coma (ciel profond). appareil photo ou caméra? Si caméra, vers quelle marque? Si Bresser, je ne suis pas sûr que l'ASIAIR fonctionnera par exemple. Dans ce cas il sera plutôt privilégié NINA, ASTAP, éventuellement Carte du ciel, PHD2, GSS je pense. La nécessité d'un focuser se fera sentir pour la mise au point. Il ne faudra pas oublier d'utiliser une méthode rigoureuse pour la collimation d'autant plus si le FD est petit. Des bandes chauffantes seront nécessaires. De la buée sur les miroirs ou la lentille et adieu les jolis bruts. Va falloir sérieusement s'occuper de vérifier s'il y a du tilt sur le Newton. Dans le cas d’utilisation de NINA un petit Pegasus (pas obligatoire mais bien pratique) peut être un bonne solution pour gérer l'alimentation les câbles etc... Il existe d'autres systèmes. Un pc pourrait avoir son utilité pour gérer le setup. Dans le cas de l'asiair on simplifie un peu les choses mais le système paraît plus restrictif pour le choix de la marque de caméra: ZWO. Et donc par extension focuser de la même marque. Ah oui aussi, bien mettre en adéquation la caméra imageuse, la caméra et la lunette guide. On rentre dans le domaine de l’échantillonnage. Une boite à Flat. Enfin viendra le moment de mettre tout ce petit monde au diapason et vogue la galère pour les premiers bruts!... Au final viendra le moment de faire le traitement et un choix des logiciels: SIRIL, PIXINSIGHT etc... S'en suivra de vérifier si le PC est bien adapté (certains logiciels ont besoin d'un configuration velue). Sans oublier de penser à calibrer les couleurs de son écran. Voici un peu les questionnements que tu risques d'avoir pour envisager l'astrophoto. J'ai juste commencé à aborder le sujet car il y a d'autres domaines à explorer pour construire son setup d'astrophoto. C'est une discipline très exigeante sans oublier que cela peut couter beaucoup d'argent.... Te faire accompagner pourra t'éviter beaucoup d'erreurs et des achats inutiles ( un club d'astro te rendra sûrement de grands services). Se cantonner au visuel au départ peut être une bonne école pour se familiariser et éviter de brûler les étapes. Il y a moyen de s'émerveiller en visuel. Bon ciel! Yann1 point
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Pas commune cette galaxie déformée ... Ça donne une image réussie malgré seulement 55 minutes de poses ! Bon ciel Vincent1 point
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Bonjour @Sobiesky, J'ai très bien connu Charpak du temps où il trainait encore ses savates, et je fais soft, dans les couloirs des labos de recherche. En fait Georges CHARPAK, et nous lui devons cela, a le premier mis au point expérimentalement la chambre proportionnelle à dérive multi-fils dans les années 1950, pas la Chambre à bulles. Jusque là c'était principalement ce type de dispositif qui servait de détecteur de particules avec de très nombreuses limitations puisque seules les particules chargées, et à conditions d'être dans une gamme précise de valeur de la rigidité magnétique, étaient mesurées et de façon imprécise. En France cette chambre à bulles était connue sous le nom de Mirabelle. Avec la chambre à dérive proportionnelle, le nombre de particules détectables a considérablement augmenté, et surtout la précision de leurs caractéristiques, permettant de mieux comprendre le noyau car plus en capacité d'inventorier tous les éjectas du résultat de collision dans un accélérateur. Parmi les modèles les plus aboutis de chambres à dérive des années 1980, le détecteur 4 pi stéradians baptisé Diogène était mon "bébé" sur lequel j'ai veillé jour et nuit près d'une dizaine d'années. Composé de dix chambres à dérive, il permettait de "voir" en trois dimensions les trajectoires de tous les débris de collision d'ions lourds que nous provoquions en sortie du cyclo-synchrotron Saturne et de son injecteur Mimas. Ney1 point
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Par contre, pour le full remote quand je suis pas la, n'ayant plus d'enfants à la maison, je cherche une adresse ou tu peux louer un petit nenfant réfugié qui n'a pas peur de dormir dehors pour pouvoir enlever et remettre la bache...sinon c'est pas tout automatique...ça va être pénible non ? @C14edgeHD tu n'as pas ça vers chez toi, un petit savoyard qui ne craint pas le froid ?1 point
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Un autre de mes articles en parle Lien en signature => Calculs et généralités sur les CMOS1 point
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Bonsoir à tous, Voici le résultat de 3 nuits d'acquisition sur Sh2-240 ou la nébuleuse Spaghetti. C'est une mosaïque de 2 tuiles qui en aurait mérité 3 mais j'ai préféré privilégier le temps de pose car j'ai manqué de nuits dégagées. Vraiment pas évident le traitement, j'ai fait pas mal d'essai et voici ce que j'ai obtenu de mieux. Et ça ne donne pas la même chose d'un écran à l'autre (plus claire, plus sombre, etc ...) Ma caméra était mal orientée c'est pourquoi il y a un décalage entre les 2 tuiles, dommage moi qui pensais être comme il faut en gardant la même AD et en changeant juste la déclinaison, ben c'est raté 😄 Setup TS80 (80/480) + Reducteur 0.79 + ASI294Mc Pro + filtre Idas NB1 sur EQG Goto Guidage lunette ORION 80/400 + DMK41 Acquisition NINA Traitement Siril + Gimp Extraction Ha Oiii Composition LRGB et réduction d'étoiles Prise de vue le 7 et 8/02 + le 14/02 si je me souviens bien 1ère nuit : 6h30 sur la 1ère tuile 2ème nuit : 6h30 sur la 2ème tuile 3ème nuit : 3h sur chaque tuile Soit un total de 9h30 sur chaque tuile Et plus de nuits dégagées pour poursuivre et maintenant que la lune qui pointe son nez, c'est fini pour cette année je pense. A+ Manuel.1 point
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N'en serait-il pas un peu la même chose de l'anglais et des mathématiques ? L'École s'est plutôt fourvoyée en profondeur sur le principe même de l'existence de ces deux matières. Je m'explique. Les mathématiques et l'anglais ne sont en réalité QUE des outils, QUE des moyens. Les mathématiques permettent de développer des formules, de les résoudre, de calculer des processus, de les modéliser, de les prédire, et ceci pour de nombreuses disciplines : Physique, chimie, géographie, musique, astronomie, aviation, navigation, économie, finance et la liste est encore longue. Alors pourquoi enseigner les mathématiques pour les mathématiques ? Seul, moins de 0,5% des élèves en feront peut-être un métier dont celui de les enseigner. Si l'École revoyait sa copie sur le paradigme "enseignement des mathématiques", elle comprendrait peut-être que c'est l'aspect "outil à mettre au service des disciplines" qui devrait être privilégié et non comme aujourd'hui en faire une fin en soi, pire un outil très discriminant de sélection. Cela n'a jamais été le but des mathématiques. Je crois que pour l'anglais ce doit être la même chose. Enseigner l'anglais pour l'anglais, n'a pas de réel intérêt, mais présenter cette langue et l'appliquer comme outil au quotidien lui redonnerai sa vraie place et son réel fondement. Les élèves dès la sixième seraient alors baignés continuellement dans cette langue et prendraient naturellement conscience d'une part de son caractère d'outil, en particulier pour accéder à une masse d'informations sans commune mesure avec une langue nationale certes riche, nuancée, sophistiquée même, mais sans portée universelle aujourd'hui. (Pour mémoire jusqu'à la Renaissance et même un peu après, c'est le Français qui était la langue universelle, en diplomatie tout particulièrement. Pourquoi avons-nous laissé filer cet acquis ? Mystère). Et d'autre part de son caractère passeport vers l'universalité, gages de Liberté et d'autonomie. En pratique alors comment procéder ? Tout en maintenant quelques heures d'enseignement des principes de base : algèbre, géométrie, arithmétique, logique, ensemble, pour les mathématiques, grammaire, étymologie, histoire de la langue pour l'anglais, ce sont les enseignants de chaque discipline, physique, histoire, géographie, etc qui auraient en charge d'enseigner chacun les outils mathématiques spécifiques à sa discipline et très régulièrement en anglais. On peut imaginer l'enseignement du cours en français, le travail d'exercices en classe ET à la maison en anglais. Cela ferait abandonner le côté monolithique de l'enseignement actuel où chaque enseignant se fiche assez éperdument de ce qui se passe dans les autres disciplines, cela redonnerai aussi du sens aux apprentissages par un abord transversal de la connaissance et non plus fait d'assemblage de verticalités individuelles qu'on ne rencontre jamais dans la vraie vie. L'enseignement supérieur sera toujours assez tôt pour entrer en spécialisation, ce d'autant plus facilement que le socle généraliste acquis en primaire et secondaire sera bien plus solide parce que diversifié et transversal. Ce principe remet bien évidemment profondément en cause la formation des enseignants tel que pratiqué aujourd'hui. Si je prends le cas de l'enseignement de la physique. Quel intérêt y a-t-il à mettre devant une classe de collège, ou même une classe de lycée un enseignant de niveau Master 2 en Physique qui va s’ennuyer à mourir tant le décalage est immense entre ce qu'il est capable de faire et ce qui lui est demandé au quotidien, alors qu'avec un niveau Licence 3 il a déjà très largement les requis pour transmettre le contenu des programmes collège c'est certain, lycée non spécialisé Math/Physique aussi. Pour cette spécialité ce pourrait être des enseignants expérimentés qui plus tard après quelques années de pratique ET un passage en Master 1, assureraient ce niveau. Ce serait à la fois une évolution de carrière et une reconnaissance des compétences acquises. Il nous reste alors 2 ans de formation en formation initiale à consacrer aux apprentissages spécifiques à l'enseignement : psychologie, conduite de groupe, gestion de l'affect, neurosciences et autres outils nécessaires à la vie d'enseignant ainsi que Maths et Anglais nos deux fameux outils. Les enseignants recevraient bien un enseignement de niveau Bac + 5 requis pour entrer dans le cadre A. Durant mes études supérieures en France, j'ai connu cela il y a presque 50 ans. La moitié des cours étaient en anglais, les épreuves et les contrôles aussi. Ça a été souverain. Il n'y a aucune raison que cela ne marche pas du primaire au secondaire. En Bretagne nous avons les Écoles DIWANN qui fonctionnent ainsi, elles sont privées, mais il existe aussi des écoles primaires publiques avec des enseignants de l'Éducation nationale qui assurent tout l'enseignement en Breton, sauf les cours de Français bien sûr. Je vous invite à comparer les résultats PISA et PERL de ces établissements. Tout ceci est bien sûr imaginaire. Mais le système éducatif n'atteint plus son but, ça c'est une réalité. Il n'est alors pas interdit d'en imaginer un meilleur. Ne perdons pas de vue qu'à l'origine l'enseignement secondaire généraliste et le supérieur ensuite, n'ont été conçus que pour faire émerger une élite apte à conserver la connaissance et à la transmettre (rôle de la faculté)et éventuellement de créer de nouvelles connaissances (rôle des enseignants chercheurs) de préférence mâle pour le domaine scientifique et quelques autres disciplines (rappelons-nous le nombre ridicule de femmes nobélisées). De ce point de vue l'institution n'a que très peu évoluée, alors que les objectifs fixés par le politique eux ont radicalement changés quand il s'est agi que 80 % ou davantage d'une classe d'âge obtienne le baccalauréat. Comme 80 % ne peut atteindre le niveau élitiste (sinon le mot en lui même et son concept n'ont plus aucun sens) l'institution a alors amené non plus les élèves au niveau bac mais le bac au niveau des élèves. (A cet égard à l'origine en 1804 ? il y avait 5 baccalauréats dont le Bac de théologie. je vous invite à chercher quel est aujourd'hui l'équivalent universitaire de ce bac qui a conservé son niveau initial de création) Puisque les objectifs de l'École ont changé, il faudrait sûrement que les moyens déployés changent aussi. Ce n'est pas en mettant toujours plus d'argent dans la machine que nous y arriverons mais bien en refondant l'institution. Je souhaite bon courage à celui ou celle qui osera s'y attaquer. Qui, il y a longtemps parlait déjà du Mamouth ? Ney1 point
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Tout à fait d’accord à mes débuts il y a moins de 5 ans , Les pléiades par exemple Je ne voyais qu’une tache floue maintenant, et même avec la présence du premier quartier lunaire, je la distingue en mode résolu et la cerise sur le gâteau, la semaine dernière j’ai passé la visite médicale. la dernière fois c’était en 2019 avant de commencer l’astro. ma vision s’est améliorée en 5 ans ! j’ai 10 dixième à mes deux yeux alors qu’avant j’étais à 8 le médecin m’a demandé si j’avais fait de la gymnastique oculaire ? je lui ai répondu que je faisais de l’astronomie visuel il m’a répondu que le fait d’entraîner mes yeux ont été bénéfique j’aime observer à l’œil nu quand j’ai pas le temps de sortir le matos.1 point
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le prem's de prem's des amas , M44, car il va être bientôt au méridien c'est à dire à son point le plus haut, et déjà repérable à l'oeil nu selon la qualité de ton ciel. Ou bien le Double Amas entre Persée et Cassiopée, visible aussi à l'oeil nu et extrêmement spectaculaire, plus que M44. Les Dentelles et NGC 4565, trop tôt si tu veux observer en soirée, Andromède trop tard. Le Crabe M1 pas aisée, même si ça passe à 200 mm . Les amas ouverts cités sont des bons choix de saison : M35 / M36 / M37 / M38 / M41. M42 bien sûr. Perso je suis réfractaire au numérique sur le terrain, j'ai eu et j'ai encore l'atlas livret PSA, idéal pour débuter et plus. Si tu ne sais pas quoi observer, tu peux viser les objets au méridien (à leur point culminant dans le ciel), tu bénéficieras d'une meilleure définition (turbulence moins apparente et meilleure qualité de ciel, du fait d'une couche atmosphérique moindre à traverser par les photons de l'astre, et d'un éloignement des lumières de l'horizon). Tu peux aussi commencer par les objets à plus forte brillance de surface, c'est à dire assez petits pour que leur lumière reste concentrée, et non étalée sur une grosse surface. Cet étalement est notamment observé sur les galaxies M33 et M101, qui présentent des magnitudes alléchantes mais dont l'éclat et réparti sur une grande surface, donc peu contrastées et difficiles à l'oculaire. Tu as toutefois bien raison de ne pas avoir peur de tenter, c'est comme cela qu'on apprend et se forge une expérience1 point
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Je découvre ce post fort intéressant sur la motivation de ce jeune homme. Mais je souhaiterais simplement rebondir sur le propos suivant qui ne peut me laisser indifférent : « l’école ne sera d’aucune aide ou presque ». Cette simple phrase aussi vraie que peut être injuste dans son état d’esprit, est révélatrice du profond non sens quant aux attentes relatives au système scolaire de notre société. En khâgne, mon professeur d’Histoire m’avait clairement et si justement précisé que l’école n’était qu’un maillon de la chaîne d’instruction que chaque élève/étudiant et aussi chaque parent devrait considérer simplement comme tel. Un petit maillon, certes, pas moins, mais pas davantage non plus. Espérer pouvoir parler anglais couramment avec 4 ou 5 heures par semaine, c’est se mettre le doigt dans l’œil et aller tout droit à l’échec même avec le meilleur prof de langue du monde. L’école n’est qu’une amorce, un peu comme un kinésithérapeute qui indiquerait des exercices à faire pour guérir, mais l’essentiel est au fond à fournir par le patient lui même. On peut avoir le meilleur prof ou pédagogue (pour utiliser un mot à la mode) qui soit, si l’étudiant n’a guère compris que tout dépend de son investissement personnel, alors qu’il cesse de se bercer d’illusions. Au Lycée Naval, je me rappelle un lycéen qui déclarait que de toute façon ce lycée était une boîte à bac et que c’était une simple formalité. Cette personne oubliait simplement que la réussite n’y dépendait probablement pas de la supposée qualité supérieure de l’établissement en soi ni de ses professeurs, mais simplement du fait que les lycéens qui y étudiaient bossaient a priori énormément. Mes meilleurs amis au collège étaient enfants de professeurs agrégés. J’ai compris, en allant chez eux, à quel point le travail personnel était considérable. Le grand frère, médecin aujourd’hui fut décoré par le Président de la République François Mitterand pour les 100 ans de l’école de santé à Lyon dont il était major en 1988-1989, mais avec quelle dose d’effort personnel et quel travail acharné ! Je me permets de dire cela car aujourd’hui tout le monde crache sur l’école, la considérant comme totalement nulle, et je confirme aujourd’hui que les dérives sont inquiétantes. Inquiétantes car à force de remise en cause de tout un système qui pourtant a si bien fonctionné durant des générations on l’a saboté en ne pointant jamais , jamais, jamais du doigt le vrai maillon faible : l’état d’esprit de toute une société, de toute une génération qui ne comprend plus que 80% de sa réussite dépend avant tout de son investissement personnel, de toute une société qui n’a entretenu qu’une chose : « la culture du moindre effort » et si j’ai de mauvais résultats ou si je suis nul en anglais ou ailleurs, alors c’est forcément parce que le prof était nul, oubliant bien évidemment que seule une fréquentation assidue de cette langue par la radio ou autre vecteurs serait salvatrice. Et les médias se font un plaisir malsain à pointer du doigt le système car c’est tellement plus facile (plus lâche ?) que de mettre les parents et leurs progénitures face à leur propre responsabilité dans le fiasco actuel. On peut dire comme écrit plus haut que certains professeurs sont « archi nuls », je crois sans mentir que même avec les moins performants que j’ai croisés sur ma route, j’ai toujours su en tirer quelque chose car l’essentiel aura toujours été le travail personnel soutenu et fourni en parallèle. Sur ce, plein de réussite pour l’initiateur de ce fil, là est l’essentiel. Webastro est en principe pour moi un échappatoire, et je n’aime pas y écrire autre chose que ce qui relève de ma passion, mais j’avais vraiment envie cette fois d’exprimer un point de vue qui lui est totalement étranger car si l’école est malade aujourd’hui, c’est qu’elle n’est que le miroir de tout un pays lui même bien fiévreux…1 point
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Quelques tranches Région de Théophilus Autour d'Arzachel Montes Apenninus ---------------- J'ai oublié d'indiquer les exifs cette nuit Vixen 103SD v1 sur ancienne GM8 Losmandy, OCA télécentrique Siebert pour monter à f/D~21 (et ajuster l'aberration sphérique dans le vert), caméra ASI185mc, photosites de 3.75um, aucun filtre, 600 à 1000 poses courtes (20 à 30ms suivant éclairement, Genika Astro), traitement AS3!, retrait du bias caméra puis wavelet + déconvolution Astrosurface. Photo prises pour illustrer ce post : https://www.webastro.net/forums/topic/248578-performances-théoriques-et-mesurées-de-quelques-réfracteurs-de-100mm/page/2/#comment-31300051 point
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Extraordinaire !! Quand Percy fait de l'astronomie : "...Le 8 février le rover Perseverance a observé Phobos, la plus grande lune de Mars, passant devant le Soleil et a capturé l'événement avec sa caméra Mastcam-Z. Ce film montre le transit en temps réel (environ 38 secondes) à l'aide de 57 de ces images, alignées, mises à l'échelle et nettoyées..."1 point
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Ben je t'aurais bien loué mon fils. A une époque ça aurait pu le faire, mais maintenant si y a pas pas une foret autour et sa cabane, il refuse de dormir dehors. Alors à moins que tu fasses pousser des arbres (mais c'est moins bien pour l'astro). C'est qui déjà ici qui prends des photos "à l'ombre de la tour Eiffel"? (C'est pas Jean-Marc?) En île de France, je suis sûr que tu trouveras ton bonheur avec la jungle qu'ils ont... Moi aussi, je suis sorti... a+ Serge0 point
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Non, je fais un alignement polaire à l'Ouest moi, mon guidage étant trop bon, je préfère mettre un peu de piquant... La boite étanche du haut, c'est le mini-PC Mele de pilotage...il sera protégé normalement par la bache...mais bon...on n'est jamais trop prudent Figure toi que j'étais tombé sur tes liens...j'ai commandé et monté exactement la même chose Réinventer la roue, c'est bien...mais bon, autant s'inspirer de ceux qui ont déjà expérmienté !0 point
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Bonjour @astrotophe, Tout d'abord merci pour le travail bénévole, j'ai une idée assez précise de ce que cela représente. Afin de faire "avancer le schmilblic", j'ai noté qu'à partir de 23H00, 23H30 il y a de moins en moins de latence, la réponse est plus rapide autant pour ouvrir une page que pour publier une réponse ou l'éditer pour complément ou correction. Encore ce matin vers 1H00, les réponses étaient immédiates. En journée par contre les temps s'allongent de jour en jour. Ce ne serait a priori pas une affaire de d'administration donc, mais une affaire d'exploitation chez l'hébergeur. Y aurait-il ségrégation de bande passante en fonction du client ? Ney0 point
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C'est @fredogoto qui a eu l'idée, gloire à lui ! Je pense que le ventilo ne sert à rien. Tu places le chauffage en partie basse, l'air chaud monte etc.. Je le mets dans le trépied et c'est nickel.0 point
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Ouais merci Julien, tu nous balances une couche de 3 semaines de temps pourri là Tu verras c'est bonheur. Je réfléchis à trouver une bonne protection pour tout le bazar en place, histoire de patienter quelques jours entre 2 passages pluvieux.0 point
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Bien au contraire Avec NINA je reste 20 min maxi le temps de tout mettre en route et de surveiller les 3 premières images. Je vais dormir et je reviens le lendemain matin vers 6H pour faire les flats, trier les images, et bâcher le matos pour la prochaine session. NINA gère pour moi de façon autonome: - le pointage de la ou des cibles programmées pour la soirée (exemple: un amas globulaire ou ouvert pendant 1H 30 puis le reste de la nuit sur une galaxie) - le centrage de la cible et correction des dérives de la mise en station toutes les 30 min grâce à l'astrométrie (plus besoin de chercheur, ça enlève du poids) - mise au point auto avec un focuser type EAF Avec tout ça qui fonctionne de façon autonome tu peux dormir tranquille crois moi. :)0 point
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Bonjour FRanck, C'est un peu galère de mon coté aussi, j'utilise un petit pc de chantier (peu gourmant en énergie) pour les acquisitons, un pc plus puissant pour le traitement... Le vendredi soir, elle me parraissait bien quand je l'ai postée, le samedi en regardant avec mon téléphone, j'ai eu un doute. Et heu... Ce matin, je ne sais toujours pas si elle est correcte, trop sombre... Ce qui me plaisait bien à la base, c'est que je la trouvais toute "douce", pas trop contrasté J'ai déja pensé à me prendre une sonde Datacolor SpyderX, pour la calibration des écrans, mais comme je n'ai aucun pc fixe, que je ne fais jamais de traitement au même endroit, aux mêmes heures, dans les mêmes conditions de lumineusité, je me voyais mal recalibré à chaque fois. En tout cas, je te remercie beaucoup d'y avoir jetter un coup d'oeil. Bien à toi, David.0 point
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Merci, elle me plaisait cette nebuleuse alors pas le choix mosaïque obligatoire avec ma TS0 point
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Et les deux cercles pour montrer que l on regarde a travers des jumelles, ça ne vous choque pas.....😶0 point
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C'est à dire ? Les jumelles conseillées par @Skywatcher707 sont un très bon choix, une valeur sûre dans ce format et ce budget 👍. Belle idée de cadeau en tout cas 😉0 point
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J’aime bien stellarium quand même pour ça d’autant que tu peux diminuer et supprimer la surcouche qui affiche les traits entre les étoiles0 point
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Bonsoir, La bienvenue sur le forum. Tu trouveras des tas de conseils sur le forum, on parle souvent des jumelles. Une petite recherche sur le sujet permettra de t'orienter. Les jumelles sont un instrument à part entière (Terrestre et Astro). Ce qu'il sort souvent des discussions, c'est que des jumelles s'essaient en magasin, on peut toujours conseiller, mais une paire n'est pas une autre et l'ergonomie, le confort des bonnettes, l'écartement équipupillaire, la prise en main et aussi l'esthétique en plus de "voir" dedans pour se rendre compte, font que le choix de l'un n'est pas celui de l'autre. Les jumelles "zoom" ne sont pas conseillées par tout opticien "sérieux" car elles ne donnent pas des résultats exceptionnels. C'est comme certains matériels Astro, elles existent depuis longtemps pour "attirer" le client... Après tout, il est libre de son choix... Sur ce budget là, perso, je conseille souvent les Nikon Action 10x50 (environ 250e). Il y différents choix possibles dans différentes marques... Bon ciel.0 point
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Pas de soucis, la puissance dissipée par résistance électrique du câble est négligeable et il est plutôt bien placé. Au contraire, je dirais qu'elle est insuffisante pour un quelconque effet anti-buée0 point
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Sur 12P, 29P, 144P en ce moment en exposant 7-10min, le déplacement cométaire a une influence relative, au delà la queue et les détails dans la tête sont nettoyés. J' ai effectué une série de poses sur 12P les 12,13,14 et 17 février avec un ciel d'excellente transparence sauf le 14. Il se trouve que la queue est présente à son début, sauf le 12 et le 14. le 12: le 13: le 14: le 17: En comparant avec ceux de CN pour le 12: askar120 6200 vsd100 6200 vsd100 (montage) Il y a la camera, le ciel de l'arizona, un pré-traitement sauf avec l'askar 120, mais on peut raisonnablement croire que l'ev reste à la ramasse... La vsd 100 et 380mm de focale fournie des résultats impressionnants. La dernière photo résulte d'un rasa 11" avec 6200. Je crois que l'ev devrait en mettant la tête dans un coin du format montrer la queue sur tout le champs utile. Ce celestron origin avec le rasa 6" doit le faire. C'est cher payé pour si peu avec questions posées il y a aussi un an environ sans retour, notamment sur le marquage des images qui reste un cauchemar pour leur usage et l'organisation du catalogue, entre autres. Sans parler des bogs, l'initialisation fantaisiste de l'appli au démarrage, faut un reboot de l'ipad,...0 point
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Après je veux pas pousser à la consommation? Pour quel usage veux tu acheter ces filtres? Quels objets? Qu’en attend tu? Peux être peux tu acheter d’abord un seul filtre . Peux être veux tu garder l’argent pour acheter un plus gros télescope qui sera une façon sûre de voir plus de choses? ( mais cela a d’autres inconvénients…)0 point
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Alors laisse tomber le filtre Halpha. Les filtres que tu as ne te seront pas super utiles, il te faudrait éventuellement , sans aucune obligation bien sûr, un filtre oiii0 point
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Ah super je ne le connaissais pas celui-là ! Merci Adam, c'est direct dans mes favoris 😉👌0 point
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Bonjour, Le 20 Janvier 2024 j'ai eu la chance de voir le passage de l'ISS devant la Lune. L'avantage d'un passage de l'ISS devant la Lune c'est qu'on la voit arriver puisqu'il fait nuit. J'ai pu déclencher l'enregistrement juste 3 secondes avant le passage. Matériel : Lunette Skywatcher Equinox 120 ED, monture HEQ5 pro GOTO, caméra SWO 178 MM ( 30 images/sec ), acquisition avec Sharpcap Traitement : Autostakkert, Iris ( pour le réalignement es images ), Starmax Bonne journée Lionel0 point
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