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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 31/01/2022 dans toutes les zones

  1. Oui oui c'est pour cette raison que je n'ai pas insister. Et j'ai posté ce message pour alerter éventuellement l'acheteur qui est sûrement parmi nous 😉.
    2 points
  2. Un grand nombre d'exoplanètes découvertes à ce jour l'ont été uniquement par la méthode des vitesses radiales, et très peu confirmées par une 2ème méthode (transit, imagerie...). Cela induit qu'il doit y avoir un certain taux de faux positifs dans le lot... Mais cela va changer avec la publication du prochain catalogue de Gaïa, prévu pour le 2ème trimestre de cette année, qui va fournir des solutions astrométriques pour de nombreuses découvertes passées... et à venir ! https://www.cosmos.esa.int/web/gaia/iow_20220131 Traduction automatique, schémas avec le lien ORBITE ASTROMÉTRIQUE DE L’ÉTOILE EXOPLANÈTE-HÔTE HD81040 De nombreuses exoplanètes sont connues pour orbiter autour d’étoiles dans le voisinage solaire, mais pour seulement quelques-unes, il était jusqu’à présent possible de mesurer le minuscule mouvement correspondant de l’étoile hôte dans le plan du ciel. Et lorsqu’il a été réalisé, par exemple avec le télescope spatial Hubble (McArthur et al. 2010), le Very Large Telescope (Sahlmann et al. 2016) ou l’interférométrie à très longue base (Curiel et al. 2020), cela a nécessité des investissements importants en termes de ressources d’observation et d’ingéniosité et de persévérance des chercheurs. En revanche, Gaia fournit automatiquement des mesures d’étoiles non uniques parce que celles-ci sont observées comme n’importe quelle autre source dans le ciel, et la précision astrométrique de Gaia est souvent suffisante pour détecter les signatures du mouvement orbital causé par les exoplanètes géantes. Lorsque la période orbitale est comparable à la durée des observations de Gaia, le tir de la planète sur l’étoile peut devenir apparent comme un déplacement excessif au-dessus de la parallaxe stellaire et du mouvement propre. La détection robuste des orbites astrométriques nécessite une durée suffisamment longue et des étapes de traitement dédiées, c’est pourquoi les solutions non stellaires ont jusqu’à présent été absentes des publications de données Gaia. Cela changera radicalement avec la troisième publication de données qui contiendra des centaines de milliers de solutions d’étoiles non uniques, de l’astrométrie, de la photométrie et de la spectroscopie. La figure 1 montre la solution orbitale, qui sera libérée dans Gaia DR3, pour l’étoile brillante (G ≅ 7,6) HD81040 située à une distance d’environ 35 pc du Soleil. Les ~400 mesures astrométriques individuelles de cette source recueillies sur environ 900 jours ont été traitées avec un pipeline conçu pour identifier le mouvement képlérien de faible amplitude, ce qui a abouti à cette détection de haute importance. En 2006, les variations de vitesse radiale de HD81040 ont révélé la présence d’une planète type super-Jupiter en orbite autour de l’étoile tous les 1000 jours (Sozzetti et al. 2006). La comparaison des paramètres orbitaux communs entre les solutions de vitesse radiale et d’astrométrie montre que Gaia a détecté indépendamment le mouvement réflexe de l’étoile causé par la même planète en orbite. Puisque Gaïa observe dans un passage de bande visible et que ce système n’est pas jeune, nous pouvons supposer sans risque que la contribution de la lumière par la planète est négligeable, d’où la coïncidence des orbites de l’étoile et du photocentre du système. Comme prévu, ce mouvement orbital est minuscule et a une demi-amplitude de ~ 0,4 mas, soit environ 3 ordres de grandeur de moins que le mouvement propre annuel de l’étoile. Pour donner une idée de l’échelle absolue, l’empreinte d’un astronaute sur la Lune vue de la Terre correspond à environ la moitié de la taille angulaire de l’orbite. La période astrométrique est d’environ 150 jours (~1,3 σ) trop courte par rapport à la période de vitesse radiale, qui est beaucoup plus précise. Cette différence est marginalement significative et peut probablement être attribuée à la durée de mesure de Gaia de 900 jours qui ne couvre pas entièrement une révolution orbitale de la planète. Dans la figure 2, nous montrons que lorsque l’on utilise la période de vitesse radiale et que l’on suppose une masse primaire de 0,96 ± 0,04 MSoleil la prédiction basée sur la solution de Gaia et les vitesses radiales mesurées concordent bien. Puisque l’astrométrie de Gaïa a déterminé l’inclinaison orbitale, nous pouvons résoudre l’ambiguïté sin i de la solution de vitesse radiale et déterminer la masse réelle de la planète de 8,04-0.54+0.66 MJupiter, qui est à peu près une masse de Jupiter supérieure à la limite inférieure des vitesses radiales. Les incertitudes données ont été calculées à l’aide du rééchantillonnage Monte-Carlo et prennent en compte toutes les incertitudes et covariances des paramètres de solution. Récemment, l’orbite astrométrique de HD81040 a également été contrainte en combinant les vitesses radiales disponibles avec le changement des mouvements propres absolus entre Hipparcos et Gaia EDR3 (Li et al. 2021). Leurs paramètres de solution sont généralement en bon accord avec l’orbite de Gaïa de l’astrométrie d’époque, à l’exception du nœud ascendant, qui n’est pas très bien contraint par leur solution. La bimodalité d’inclinaison dans la solution de Li et al. est résolue par l’orbite de Gaia, qui établit sans ambiguïté la configuration rétrograde (i > 90 deg) comme étant la bonne. Cette solution orbitale fait partie des premiers résultats tant attendus sur les exoplanètes de Gaia. C’est un petit apéritif pour un plus grand échantillon d’orbites astrométriques qui seront libérés dans Gaia DR3. Nous soulignons qu’aucune astrométrie d’époque ne sera publiée dans Gaia DR3, c’est-à-dire que les points de données montrés dans la figure 1 ne seront généralement pas accessibles au public avant Gaia DR4. Alors que la publication de données 3 de Gaia a été générée à partir des 34 premiers mois de données, Gaia en est maintenant à la huitième année d’opérations scientifiques et son astrométrie conduira éventuellement à la découverte et à la caractérisation de milliers d’exoplanètes géantes et de compagnons substellaires en orbite autour d’étoiles proches (par exemple Perryman et al. 2014, Sozzetti et al. 2014, Holl et al. 2021 ). Cela permettra d’étudier les masses et les architectures orbitales des systèmes exoplanétaires à grande échelle et d’explorer la dynamique des systèmes multiplanétaires et des planètes circumbinaires. La publication des données de Gaia est prévue pour le deuxième trimestre de 2022. Vous trouverez plus d’informations sur les futures versions de Gaia sur la page du scénario de version de Gaia.
    2 points
  3. Tu n'imagines pas dans l'industrie, le BTP, ce que l'on fait subir aux matériaux... Tout ouvrage d'art en construction, c'est un labo des sols juste à coté des centrales à béton, et quand le béton est pas dans les spec', on casse tout. Je vois encore la tête du chef de chantier quand je lui ai dis qu'il fallait péter tout son travail de la journée...105 cubes de béton, posé à la machine, dès 5h du matin. Y a eu "juste" du vent un peu plus fort que d'habitude, le produit de cure pas posé assez rapidement. 2h après, tout avait fissuré... En regardant cette vidéo, j'y vois plutôt l'inverse. Une lame de schmidt, c'est pas si fragile que ça, et faut vraiment la triturer "pour la science", hors usage normal pour qu'elle rompe. Le BK7 vaut moins de 20$ le kilo. S'ils sont pas trop cons ils ont juste mis une lame sans asphérisation et sans traitement. Et encore, je serai surpris de connaitre le prix exact de revient de la lame qu'on nous facture à prix d'or. Et si ça se trouve, ils ont mis une lame hors des spécifications qui devait de toute façon partir au rebus...
    2 points
  4. Quelques nouvelles twittées par ESA Webb : (NIRcam est un des 4 instruments scientifiques) traduction : Les 18 miroirs hexagonaux de Webb ont déjà été dépliés il y a quelque temps, mais il est maintenant temps d'effectuer un alignement plus précis afin qu'ils pointent exactement dans la même direction et fournissent des images nettes. Ces corrections sont effectuées grâce à un processus appelé détection et contrôle du front d'onde , qui détecte et corrige toute erreur dans l'optique du télescope, en alignant les miroirs à quelques dizaines de nanomètres près. Le développement de cette technologie profite non seulement à Webb , mais aussi à nous sur Terre grâce à une retombée pour le diagnostic des affections oculaires et une cartographie précise de l'œil. Les retombées concernent : - la recherche sur la cataracte, le kératocône - une affection oculaire qui provoque une réduction de la vision et des mouvements oculaires - améliorations de la procédure LASIK (intervention chirurgicale de l'oeil) Pendant le processus d'envoi du front d'onde, un capteur de front d'onde, NIRCam dans ce cas, mesure les imperfections dans l'alignement des segments de miroir qui les empêchent d'agir comme un seul miroir de 6,5 mètres. Les ingénieurs utiliseront NIRCam pour prendre 18 images floues d'une étoile, une de chaque segment de miroir. À l'aide d'algorithmes informatiques, ils détermineront la forme générale du miroir principal et comment ils doivent déplacer les miroirs pour les aligner. Des actionneurs derrière chaque miroir permettent l'alignement. Les actionneurs peuvent se déplacer par étapes d'environ 1/10 000ème du diamètre d'un cheveu humain Extrait du blog de la mission : Prochaine étape: HD 84406! C’est la première étoile vers laquelle Webb pointera pour recueillir des données d’ingénierie afin de démarrer le processus d’alignement des miroirs. L’équipe a choisi une étoile brillante (magnitude 6,7 à une distance d’environ 260 années-lumière, telle que mesurée par Gaia). L’étoile est une étoile G semblable au soleil dans la constellation de la Grande Ourse, qui peut être vue par Webb à cette période de l’année. Ce n’est que la première étape; HD 84406 sera trop lumineux pour être étudié avec Webb une fois que le télescope commencera à se concentrer. Mais pour l’instant, c’est la cible parfaite pour commencer notre recherche de photons, une recherche qui nous mènera vers l’univers lointain Et puis un superbe reportage de 20 mn sur le lancement de Webb en Guyane :
    2 points
  5. bonsoir à tous, depuis le 12 Novembre que je n'avais pas vu le soleil (en grande partie à cause de la météo pourrie que je subis depuis des semaines); j'ai enfin pu l'observer aujourd'hui dans une grosse trouée bleue A la fs60 muni de son sm40 double stack, BF10, glasspath x1.7 et zwo178mm sur staradventurer vers 15h15 HL ce 30 Janvier avec l'hélioscope TS a+ stéphane
    2 points
  6. Oyez oyez cométeuses, cométeux ! 2021 a terminé plutôt en beauté, avec en particulier C/2021 A1 Leonard, qui a illuminé le réveil des plus téméraires en décembre. 2022 arrive avec son joli lot de comètes, et s'annonce comme un cru plutôt bon. Alors dans le désordre : 67P/ Churyumov-Gerasimenko : en phase descendante, elle sera encore une jolie cible à tenter en début d'année pour ceux qui l'auraient loupé en 2021, à chercher du côté du Cancer 19P/Borelly : à chercher en début de soirée fin janvier entre la Baleine et les Poissons, avec un pic à magnitude 9 C/2019 L3 ATLAS : déjà bien visible fin 2021, elle continue son show en début d'année dans les Gémeaux C/2017 K2 PanSTARRS : c'est LA comète attendue depuis des années, ce sera une excellente cible estivale avec une magnitude inférieure à 8, elle se baladera entre l'Aigle et Ophiuchus puis dans le Scorpion C/2021 O3 PanSTARRS : elle fera une brève apparition fin avril / début mai, son élongation la rendra difficile à trouver, et pas sûr que sa magnitude prédite (pic à m5) soit suffisante C/2020 V2 ZTF : à tenter en fin d'année, elle fera un beau passage dans plusieurs constellations circumpolaires, donc visible toute la nuit, avec un pic autour de magnitude 10 Les bons sites à suivre pour les comètes : http://aerith.net/ http://astro.vanbuitenen.nl/comets https://www.cobs.si/ https://theskylive.com/comets Bonne chasse ! 67P/ Churyumov-Gerasimenko 19P/Borelly C/2019 L3 ATLAS C/2017 K2 PanSTARRS C/2021 O3 PanSTARRS C/2020 V2 ZTF
    1 point
  7. Bonjour, Longtemps que j'ai pas vu passer un CROA. Je m'y mets sur ma sortie du 29/01, je me donne un petit créneau à la tombée de la nuit. Flextube 305 Goto. J 'ai limité aux oculaires ES en 82°, 24 et 14mm, histoire de limiter les manips. Je bouge à 20 minutes de la maison, campagne, bord de colline et de vignes. Zone Avex vert-Cyan, avec l'aire Toulonnaise qui bave dans mon 270. Pas de couverture nuageuse mais très forte humidité. Je voulais revoir M42 au 300, mes dernières observations étaient avec le Celestron 127SLT. . Comme d'hab, M42 c'est en régal avec ce diamètre. J'ai regretté après de pas avoir poussé les grossissements, ca aurait pu le faire. Puis le crabe. objet toujours très difficile avec les petits diamètre, je ne l'avais jamais mise dans le 300. je pensais être au mieux avec le 24mm, finalement au 14mm j'avais beaucoup plus de confort et des formes filaments y ressortaient bien mieux qu'au 24 où je n'avais qu'un nuage. Ca reste pour moi, malgré une magnitude autour de 8, un objet bien plus délicat du fait de son rapport Magnitude/taille que des objets plus petits; de mémoire je ressortais mieux la nébuleuse saturne cet été (>mag 12). C'est 19h30 et le tube est humide dejà...un peu de vie animale nocturne se fait entendre dans les buissons derriere...juste du petit gibier, les sangliers sont beaucoup moins discrets...Tient, ça me rappelle qu'il y a 3 semaines un loup a bouffé un mouton à 5 kms d'ici... Allez, je vois Cassiopée derrière, je vais voir ngc457 pour dire à mon retour à ma fille que j'ai vu E.T, qu'elle a adoré cet été dans le 127... Mince, à cette époque c'est une chauve souris qui a la tête en bas... Je fais un détour par le double amas de persée qui a un super rendu dans mon 24mm, tout y rentre au contraire de m45 qui ne tient pas dans mon champs et qui, malgré pléthore d'étoiles est moins spectaculaire. 20:15, ca dégouline , il fait froid, mince, j'avais oublié qu'on est en hiver, j'ai les mains gelées, sans gant. Je remballe en 10 minutes; une bonne petite heure tout de même d'observations sympas , à refaire avec moins d'humidité.
    1 point
  8. Salut à tous, J'ai enfin pris le temps de réaliser mon petit bilan astrophoto... Il y a du bon, du moins bon mais beaucoup de passion ! Bon ciel à tous
    1 point
  9. Bonsoir C’était le lendemain du 3ème lundi de janvier, le fameux Blue Monday, soit-disant le jour le plus déprimant de l’année. Et du coup, il y a eu un effet rebond le lendemain, sur Webastro pour se refaire une santé, retrouver les copains et le moral. Moi je vous dis qu’il est d’utilité public ce site !
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  10. 1 point
  11. Hello la Solar’ team ! J’ai failli m’évanouir de stupéfaction en voyant ce Soleil constellé de taches énormes. Les nuages ont enfin daigné s’écarter un peu en fin d’après-midi vers 16h. Vu la faible hauteur du Soleil sur l’horizon S-O, je ne comptais qu’observer visuellement le Soleil. Impossible de me retenir en voyant le spectacle ! J’ai couru chercher mon APN. Tant pis pour la turbulence d’enfer… 2 mins 50 d’enregistrement monochrome au 90D en lumière blanche et voilà le résultat…
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  12. 😁 Ça marche! Trop content 450d, 600mm/min, 2.2%, 0.08mm Je me concentre maintenant sur l'optimisation de mon laser et la création de preset pour chaque modèle de capteur. Le preset aura un framing qui ira au maximum de la surface decapable sans danger(ici j'ai laissé une marge et c'est pas droit ..)
    1 point
  13. Super ! Perso, j'aurais été un peu plus loin sur la saturation, mais je suis daltonien... Et j'ai l'impression que le mixage HaRVB a un peu mangé la couleur des étoiles non ? L'image envoi bien la ! Bravo ! Justin
    1 point
  14. Ok. Dans NINA, équipement, je choisis Eqmod Heq5/EQ6 puis bouton Connecter. Là Eqmod démarre tout seul. Je fais de même pour connecter la caméra et commencer à faire descendre par palier le refroidissement du capteur. Ensuite mise en station avec PoleMaster, préparation de la séquence par morceaux de 15 poses, recadrage via astrométrie entre chaque séquence sur le même objet . Une fois que tout est prêt, je lance la séquence et tout s'enchaîne (goto, centrage par astrométrie, autoguidage, prises de vue....) et serein je vais me coucher . Rdv le lendemain matin pour la récolte. page d'aide de NINA sur Ascom: https://nighttime-imaging.eu/docs/develop/site/troubleshooting/eqmod/
    1 point
  15. Coche la case "écraser", ça devrait le faire.
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  16. Salut En attendant des réponses, quelques pistes https://www.webastro.net/forums/topic/196176-choix-télescope-pour-mon-fils-de-9-ans/ https://www.webastro.net/forums/topic/151251-choix-matériel-enfant-9-ans/ https://www.webastro.net/forums/topic/188128-achat-pour-un-enfant/ https://www.webastro.net/forums/topic/180237-besoin-daide-achat-téléscope-pour-mon-fils/ https://www.webastro.net/forums/topic/195808-aide-choix-téléscope-enfant-quelques-autres-demandes/
    1 point
  17. bon en vrac qlq print screen qui trainent encore sur mon ordi ngc2403 71x60s ngc 3178 en 25x60s ic434 24 x120s iris 45 x60s m42 135x5s m51 36 x180s ngc1931 que l'on ne voit pas assez souvent sur les fofo ngc 2359 filtre OIII 30x60s puis filtre uhc 60x60s la petite compile des deux m81 filtre uv ir 15x60s IC 410 23x60s m106 34 x60s m108 24 x60s 2024 56x30s 2146 24x120s ic2162 25 x60s m78 56x60s ngc 1579 15 x60s m97 15 x60s m1 34x60s ngc 2264 77x60s voici un petit échantillon des observations de janvier 2022
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  18. Moi j'attendrai aussi quelques semaines pour avoir les premiers retours utilisateurs, on ne sait jamais. Par exemple, les premières 2600 ont eus quelques soucis de coulures sur le capteur qui semblent avoir été résolues depuis. Pour en revenir à la 1600, c'était ma première caméra après l'APN et je me suis bien amusé avec pendant 2 ans. Elle est un peu dépassée maintenant mais elle sort quand même de belle images surtout sous un bon ciel et avec du temps de poses cumulé, voir ce qu'en fait l'équipe de Janus Sud.
    1 point
  19. Bonsoir les Astrams Dernières images en stock, le brouillard s'est invité depuis J'ai visé léger, uniquement la 80ED pour cette soirée là. On commence en couleur avec la 462mc au foyer (3 tuiles) https://zoomhub.net/WVqjy/verify/9be40c20-ba89-4153-9bde-8385d3186543 Puis on enchaîne avec la 290mm au foyer, même tarif avec 3 tuiles : https://zoomhub.net/LKnVe/verify/90debb5d-5267-4c55-9a4c-19db40d15b40 Et enfin retour aux fondamentaux, avec la barlow Baader Turret 2.25x: 21 tuiles ma p'tite dame (c'est pire que l'inflation ...) https://zoomhub.net/b35xG Là suis à sec, plus grand chose sur le SSD. Snif.
    1 point
  20. Bonjour, Sacré champs et sacrée image ! Bravo ! S'il manquait un petit truc, ce serait sans doute une couche luminance réelle ou synthétique à partir de la RVB pour faire ressortir certaine zone qui ne sont pas en H-alpha, notamment le running man. J'avais eu ce problème sur mon image de m42 avec le mixage HaRVB. Justin
    1 point
  21. Elle est actuellement à mieux que ça : http://astro.vanbuitenen.nl/comet/104 Mets à jour tes éléments orbitaux, de mon côté Stellarium l'annonce à 10,6.
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  22. Joli triplet ! Côté pistes d'amélioration, il y a un peu de bruit chromatique dans ton fond de ciel et, mais ça c'est affaire de goût, j'aime bien un peu plus de saturation sur les galaxies. L'un t'a peut être empêché de faire l'autre ? Quoi qu'il en soit, l'image est plutôt réussie
    1 point
  23. Bonsoir les amis , Quelle qualité d'image Fdudu c'est un régal de voir cette bestiole tout en couleur, magnifique pour les photos et la vidéo . Je pense que ce n'est peut être pas un protozoaire , j'ai déjà vu cela quelque part .....la bestiole a des vibrisses et semble aspirer l'eau, dur d'identifier , en tout cas en couleur comme cela elle est très belle bravo Fdudu. Demain je regarderai si je la trouve .
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  24. Bonjour les aficionados du Soleil, Double surprise ce jour : un beau ciel bleu au lever, et de superbes grosses taches Solaires !! Vite, ces taches méritaient d être dessinées, cela faisait si longtemps ! Dessin fait derrière la lunette 102/1000, ES 6,7 mm, prisme de Herschel et filtre Continuum. 12h à 13h10 HL. J en profite pour féliciter tous les participants à ce post fleuve, la qualité des images est de plus en plus époustouflante. C'est un constat pour ne pas être venu ici depuis un bon petit moment.
    1 point
  25. Acte 2 : la couleur avec des filtres RVB Astonomik Deep Sky, 55 x 60" par couche pour un mixage H/RVB (la Ha de l'acte 1). Je n'ai pas trouvé que le SII et le OIII apportaient un plus sur cette cible..
    1 point
  26. Et voilà le time lapse, mod Lunt 50 - 100/700, ASI290 + barlow X2, 187 images @ 24 fps AS3 > RS6 > IMPPG > Pixinsight (crop, luminosité/contraste, conversion .jpg) > VirtualDub2
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  27. Après une tentative avec l'Asiair pro il y a quelques semaines, je suis revenu à Sharpcap pour la nuit de dimanche 9 à lundi 10 janvier. Je n'avais pas envie d’expérimenter, ma dernière séance d'observation ayant été très courte, et en date du 4 décembre... Enfin, quand je dis que je ne voulais pas expérimenter, j'ai quand même mis à jour Sharpcap en version 4, et Stellarium de la version 0.20 à la version 0.21.3... et ce n'était pas une bonne idée... La raison pour laquelle j'ai mis à jour Stellarium, c'est que j'ai voulu piloter le setup en me connectant en RDP (connexion bureau à distance) sur mon PC portable astro. Et le 4 décembre, c'était la cata, Stellarium plantait tout le temps, raison pour laquelle la séance avait été écourtée. J'avais bien vu sur un forum la possibilité de lancer Stellarium en mode Angle (moins exigeant graphiquement), mais chez moi, ça me donnait une fenêtre blanche. C'est pour cette raison que j'ai fais la mise à jour, et là, pas de soucis, le mode Angle fonctionne parfaitement, pas de latence, et surtout aucun plantage. Par contre, toute la configuration du plugin Télescope a disparu... plus qu'à tout reparamétrer, à partir de mes maigres souvenirs d'il y a un an... ça commence bien Je peux donc utiliser tout les logiciels en RDP, pas besoin d'Anydesk ou Teamviewer. Autre nouveauté, j'ai réglé l'orientation de la monture HEQ5 avec une bonne vieille boussole Decathlon que j'ai retrouvé en faisant un peu de rangement, et ça n'a rien à voir avec l'ersatz de boussole du smartphone, l'alignement polaire avec Sharpcap n'a jamais été aussi rapide, d'autant plus que je me suis contenté d'un "Good": J'ai également fait des flats, le Père Noël m'ayant apporté une boîte à flat Geoptik ! Ayant suivi l'assistant Sharpcap, je ne sais pas si ce que j'ai fait est correct, mais les images prises par la suite ne m'ont pas l'air d'en souffrir en tous cas Une petite capture pour la postérité: Donc, me voilà au chaud dans le salon, prêt à profiter d'une belle nuit claire ! Ah si, j'ai oublié une chose, faire la mise au point avec le masque de Bathinov ! Pas grave, je pointe vers Capella avec Stellarium. Ben, ça ne va pas vers Capella... et l 'astrométrie n'y fera rien, je n'ai pas Capella dans le champs de la 533 ! Bon, je ferme tous les logiciels, revérifie les paramètres de coordonnées GPS dans GS Server, Stellarium, SharpCap et All Sky Plate Solver, tout est OK, l'heure est bonne, va comprendre. Je relance le pointage, j'arrive près de Capella, il y a du mieux, ouf ! Ce n'est pas parfaitement centré, je lance l'astrométrie à partir de Sharpcap, l'astrométrie fonctionne, mais décale encore plus Capella ! J'ai une référence à Jnow qui apparaît dans SharpCap, alors que j'ai tout paramétré en J2000, ça doit venir de là, mais le temps passe, je décide de recadrer à la main en utilisant les commandes de Sharpcap. Ce qui explique les mauvais cadrages dans les captures qui suivent... A l'exception de M42 (poses de 4 secondes), ce sont des poses de 15 secondes à gain 200, brightness 35,avec darks tout neufs, et donc le flat pris en début de séance. Pour rappel, ciel Bortle 6, et pas de filtre. Matériel: Monture HEQ5, caméra ZWO ASI 533 MC-PRO, Newton 150/610, Correcteur de Coma TS-Optics 0.95x Maxfield, Pc portable Logiciels: Stellarium, Sharpcap, GS Server, All Sky Plate Solver J'ai donc commencé avec le dada, que j'avais déjà essayé il y a longtemps, mais je n'y voyais rien, et là en mois de 9 minutes, c'est plutôt pas mal ! Je me dis que je peux tenter la flamme, tant qu'à faire, et là je repasse en mode chercheur après l'astrométrie foireuse, histoire de voir si je peux faire rentrer IC434 dans le champ de la 533, et je suis super content de celle-là, en 20 minutes, c'est ma préférée de la soirée ! Comme tout fonctionne pas mal malgré la Lune et cette astrométrie aux fraises, je continue vers une cible que je n'arrive pas à sortir d'habitude, Casper: Je continue avec l'objet que je préfère dans le ciel d'hiver et qui m'a donné une grande baffe quand j'ai commencé le VA fin février 2021, M42, vue, vue et revue, mais je la trouve tellement magnifique cette Nébuleuse, je peux pas m'empêcher d'y retourner à chaque fois que j'en ai l'occasion. Donc, en un petit quart d'heure, en poses de 4 secondes cette fois-ci: Un passage raté par M1, mais d'après ce que je vois un peu partout ce n'est pas la cible la plus facile, en un peu plus de 11 minutes, je repasserai la voir: La rosette, qui mériterait plus que la demi-heure que je lui ai accordé: 11 minutes sur l'amas de l'arbre de Noël : Et pour finir la soirée vers deux heures du matin, le double amas de Persée, en poses de 4 secondes pendant un peu plus de deux minutes. Ce n'est pas vraiment mon truc les amas, je n'ai pas encore trouvé les réglages pour avoir des étoiles bien fines et ponctuelles, et puis je préfère les nébuleuses.. Voilà, une belle séance, j'étais bien content de piloter tout ça au chaud quand j'ai vu le givre sur le matériel au moment de le démonter et de le ranger ! Et surtout, vivement la prochaine nuit dégagée !
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  28. Bonjour à tous, Comme vous le savez, la situation sanitaire due à l'épidémie de Covid 19, nous a conduit à annuler les deux dernières éditions des Nuits Astronomiques de Touraine en 2020 et 2021. C"est avec l’espoir de vous retrouver en mai prochain, que nous lançons aujourd’hui les inscriptions pour les NAT 2022, qui se tiendront du Jeudi 26 au dimanche 29 mai, quatre journées pour partager le plaisir d’observer et échanger sur les pratiques, les matériels, les savoir-faire de l’astronomie amateur. Nous vous accueillerons dans un observatoire rénové et agrandi, pour tous ensemble partager dans la clairière notre passion, notre amitié, Un village regroupera exposants, associations, barnums pour les conférences et ateliers et le traiteur. Bien entendu, l’organsation tiendra compte des conditions sanitaires en vigueur à cette date. - la possession du Pass sanitaire ou vaccinal - selon la règlementation - sera bien sur nécessaire lors de votre arrivée. - nous proposons, des repas servis aux tables ou sur plateaux suivant les contraintes du moment, - les effectifs des ateliers seront limités, suivant les espaces, - certains ateliers seront proposés en plusieurs sessions, Des gestes barrières renforcés devront être respectés…et ces contraintes seront ajustées en fonction de l’évolution des règles sanitaires d’ici mai. L'accueil sera ouvert dès le mercredi, permettant des arrivées la veille de l'ouverture officielle. Les personnes souhaitant arriver plus tôt (lundi ou mardi) peuvent nous contacter directement. Le pré-programme des Nuits Astronomiques de Touraine 2022 est en cours d’élaboration et sera communiqué prochainement. Vous trouverez ci-joint le lien vers la page d’inscription: https://www.astrotouraine.fr/les-n-a-t-cest-quoi/ En comptant sur le plaisir de vous retrouver bientôt dans la clairière. JLD
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  29. Bonjour à tous, Pour les 6 ans de mon fils j'ai décidé de lui offrir son premier instrument d'astronomie. Après quelques (nombreux) jours de lecture j'ai choisi de lui prendre un mini Dobson : un 76/300. Edit, puisque, le plus important, c'est quand même le ressenti et l'utilisation que mon fils en (a) fait : Cela fait maintenant plus d'un an que mon fils a reçu ce cadeau et il me semblait intéressant pour les parents à la recherche d'un télescope (ou d'une lunette) pour leur enfant d'avoir le retour d'un autre parent qui a fait le choix controversé d'offrir un télescope à un enfant "trop jeune" 😁. Si vous choisissez d'ouvrir un sujet pour demander "Quel télescope offrir à ma fille / mon fils de 5-6-7-8 ans ?", vous aurez probablement rapidement la réponse "C'est trop jeune." et, effectivement, dans le cas de mon fils : c'est trop jeune (pas la peine de faire du suspens... je peux spoiler tout de suite, surtout que je me contredis un peu ensuite 😅). Mais je vous partage tout de même une sorte de FAQ pour développer : - L'a-t-il utilisé ? Oui, quelques fois (une grosse dizaine) - L'utilise-t-il encore ? Oui, de temps en temps (une fois par mois environ) - Combien de temps ? 1 à 10 min par séance - Les observations sont-elles de qualité ? Non - Est-ce que ça l'embête ? Pas vraiment - Est-il content de l'avoir ? Oui, beaucoup et surtout : - Est-ce que je regrette de lui avoir acheté ce modèle particulier à cet âge particulier ? Non Alors, pourquoi est-ce que je ne regrette pas alors que je dis que c'est trop jeune 🤔 ? Et bien oui, 6 ou 7 ans c'est trop jeune pour qu'un enfant (le mien en tout cas...) se lance dans l'astronomie pratique. Toutes les raisons avancées par les parents sont vraies (on observe trop tard et/ou dans le froid - l'attention des enfants est courte - etc.) mais, dans mon cas, cet objet participe à la création lente mais croissante d'une curiosité sur l'univers qui nous entoure et cela suffit à me faire dire que je n'ai pas fait d'erreur en offrant ce télescope assez bas de gamme à mon fils alors qu'il était trop jeune pour vraiment en profiter. Et en bref, ça donne quoi ? Pour moi, un outil pas cher (un de mes élèves - je suis instit' - m'a fièrement apporté sa petite lunette 50/360 en classe aujourd'hui ; c'est clairement bas de gamme mais je sais qu'il va s'en servir dès que possible pour observer la Lune parce qu'on l'a regardée ensemble, et avec les autres, et qu'il voudra nous raconter ce que ça donne) peut, parmi toute une panoplie d'autres objets (livres, cartes, livres, globes, livres, planétariums, livres, posters, livres, jouets, livres et, éventuellement, quelques livres aussi 😁), parfaitement participer à rendre un enfant plus astronome. Par contre, et là je rejoindrai beaucoup d'avis lus sur ce forum, l'accompagnement par un tuteur ou un adulte intéressé est, sinon indispensable, au minimum décisif. Et si on veut offrir un meilleur modèle ? Pourquoi pas, je ne sais pas... mon exemple n'est qu'un exemple et chaque enfant est différent 😉. Pour que le sujet soit compréhensible, l'ancien contenu est ici : Cela fait un peu plus de 2 mois maintenant que je l'utilise en douce pendant qu'il dort et je pense en savoir assez pour vous faire un premier retour. Premier point : le chercheur. Celui fourni est un 5x24 bas de gamme. Sensiblement le même que celui qui était sur ma première "lunette" en plastique, il y a plus de 20 ans... il est casse-pieds à régler et peu pratique. J'ai fait le choix de le remplacer par un point rouge afin de permettre à mon fils de gagner en autonomie. J'ai été étonné de découvrir qu'utiliser un chercheur point rouge n'était pas forcément facile pour un enfant. Il faut se placer de façon à voir le point et mon fils a éprouvé quelques difficultés au début. A mon avis, la faible capacité à grossir de ce télescope fait que le choix d'un chercheur de type point rouge correspond parfaitement. On verra combien de temps il faudra à mon fils pour s'approprier cet outil. Deuxième point : la monture. C'est le point qui m'a fait choisir ce type d'outil. J'avais déjà utilisé des petites lunettes achromatiques sur AZ-1 et je savais à quel point c'était difficile, surtout pour un enfant, de centrer un objet avec ce genre de pied. Aucune déception sur ce point. C'est simple, c'est stable, c'est (assez) fluide et, petit bonus : ça se range sur une étagère sans souci 👍. Troisième point : la mise au point. La crémaillère en plastique ne fait pas rêver mais elle n'est pas particulièrement mauvaise. Il n'y a pas de jeu et, à faible grossissement (<40x), la mise au point est assez facile à faire, au moins pour un adulte. Quand on dépasse 60x, c'est un peu plus critique. Le manque de piqué fait que l'on passe de part et d'autre du point sans trop savoir où il se trouve exactement 😅. Dernier point : la qualité d'image. - A faible grossissement (avec l'oculaire de 25 mm, 12x) le télescope offre des images agréables. Se balader dans le ciel au hasard en gardant l'œil à l'oculaire est un plaisir. Par rapport à ses petites jumelles 6x21, la différence est flagrante. Le nombre d'étoiles accessibles et impressionnant. - Avec l'oculaire de 10 mm (30x), la Lune est assez belle bien que manquant un peu de piqué. Elle n'occupe pas tout le champ mais cela permet de la trouver et de la garder plus aisément dans le champ. Les planètes les plus faciles sont accessibles mais le grossissement est un peu trop faible pour rendre leur observation vraiment intéressante. On voit les 4 satellites les plus éclairés de Jupiter (qui reste une bille sans détails) et on distingue tout juste un anneau autour de Saturne. - Avec une barlow 2x (Celestron omni, impossible de faire le point avec une barlow Celestron X-cel LX, le porte oculaire ne rentre pas assez), la Lune devient plus intéressante et il est plus facile de distinguer l'anneau autour de Saturne mais ça reste petit. - Ayant des oculaires plus courts, j'ai voulu essayer. Avec le Celestron X-cel LX de 7 mm, la Lune est un peu plus nette qu'avec le 10 fourni mais ne montre pas plus de détails qu'avec le 10 derrière la barlow. Mettre le 7 derrière la barlow n'apporte rien. Je n'ai même pas essayé mon oculaire Vixen LV de 2.5 mm 🙈. C'est clairement le point noir de ce type de télescope. Son miroir primaire sphérique rend impossible les "forts" grossissements. Une tâche floue vient se superposer sur l'image de la planète. Une lunette achromatique basique de type 60/700 offre plus de détails à grossissement équivalent. Sachant que ce télescope n'était pas conçu pour grossir, j'ai fait le choix de prendre un zoom 8-24 (la version proposée par Celestron) afin de permettre à mon fils de (re)trouver plus facilement les cibles sur lesquelles il souhaite "zoomer". A 24 mm, l'image est semblable à celle visible à travers l'oculaire de 25 fourni. A 8 mm, l'image est nettement plus piquée qu'à travers le 10 fourni. Sur la Lune, je la trouve même un peu plus belle qu'à travers le X-cel LX de 7 mm (alors que sur ma lunette c'est l'inverse... j'imagine que le 7 mm en demande trop au tube), c'est plus lumineux et plus contrasté. J'avais aussi fait le choix de commander une barlow 2x sur laquelle on peut dévisser la partie optique pour la visser directement devant l'oculaire et obtenir une barlow de 1.5x (la Celestron Omni). J'espérais que cet assemblage et la plage de grossissement qu'il permet d'obtenir (~20-60x) serait plus intéressant que l'oculaire zoom seul (~12-40x). Finalement, j'ai choisi de revenir à l'oculaire sans barlow pour le plus grand champ qu'il permet d'obtenir et parce que la différence sur les planètes était insignifiante. Edit : En fin de compte, il n'utilisait pas tellement le zoom et j'ai choisi de lui offrir un petit plossl de 12 mm qui offre un bon compromis grossissement-qualité d'image pour la Lune. La mise au point est beaucoup plus simple à gérer ainsi. Voilà, je tenais à partager ce premier ressenti en attendant que mon fils commence réellement à s'approprier son télescope avec les observations qui deviennent possibles de plus en plus tôt. Je vous ferai un point sur ce que lui en pense ; c'est quand même pour qu'il puisse l'utiliser de manière autonome que je suis parti sur ce genre d'outil. J'espère qu'il ne sera pas frustré par l'incapacité à grossir sur les planètes et qu'il saura "se contenter" du ciel profond et de la Lune. En tout cas, mon but principal étant de le rendre curieux et autonome, je pense que ce premier outil pourrait remplir ce contrat. Affaire à suivre 😉. Si vous avez des questions ou des remarques, n'hésitez pas 👍. N.B. : j'ai pu tester 2 modèles de ce même télescope (même marque, même revendeur). La collimation semblait être un peu moins bonne sur l'un d'eux. La tâche floue visible en planétaire était plus diffuse et moins centrée. Au delà de 30x c'était vraiment gênant. J'essaierai de voir ce qu'il est possible de faire avec les vis du miroir secondaire à l'occasion (ce télescopes me servira auprès des élèves de mon école).
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  30. Bonjour tout le monde Je fais lentement mon apprentissage et viens soumettre à vos critiques et conseils 2 images réalisées avec un Pentax K3-II à 800 iso et un objectif SMC Pentax 135mm F2.5 @f4 sur une monture photo guider GP2. J'ai passé beaucoup plus de temps à faire et refaire le traitement des images qu'à faire les acquisitions en elle-mêmes ... Finalement j'en suis arrivé à un traitement qui reprend beaucoup des tutoriels trouvés ici et là (sauf darktable pour lequel il y a peu de ressources) : SIRIL - traitement couleur - extraction du gradient - étalonnage des couleurs par photométrie - suppression du bruit vert - export en TIF GIMP - ajustement de l'histogramme dans niveaux - éventuellement courbes -> légère courbe en S - export en TIF 16 bits de la version "stars" STARNET - depuis "stars", suppression des étoiles, j'obtiens la version "starless" retour dans GIMP - utilisation d'un calque "stars" en mode écran au-dessus du "starless" - éventuellement courbes -> légère courbe en S - réduction des étoiles avec le filtre "propagation de valeur" DARKTABLE - éventuellement recadrage et orientation - balance des blancs du boîtier - calibration des couleurs avec illuminant "lumière du jour" - suppression des aberrations chromatiques - égaliseur de contraste pour monter netteté et contraste sur l'objet uniquement - balance couleur pour monter la saturation de toute l'image - réduction du bruit photo astro sauf sur l'objet En dehors du traitement sur lequel je tatonne beaucoup j'ai 2 grosses difficultés avec mon objectif antique : - la mise au point est très difficile malgré l'utilisation d' un masque de Bahtinov. Même avec une belle figure sur le reflex (pose de 4-6 secondes que je zoome ensuite) la mise au point peut se révéler très imparfaite quand je visualise les brutes sur l'écran du pc; - l'objectif donne beaucoup d'aberrations chromatiques d'où l'utilisation à f4. Il semble que darktable les supprime assez bien donc je pense faire mes prochains essais à f2.5 Mes résultats maintenant ... Tout d'abord les Pléiades avec un empilement de 29 images de 150s soit environ 1h10 de pose. J'avais fait 157 poses sur 3 soirées mais seule la première soirée m'a livré des images nettes. Du coup l'image finale issue de cette seule soirée est meilleure que celle issue de la totalité des 157 poses ... Ensuite j'ai visé la tête de la sorcière, nébuleuse qui me fait rêver depuis que j'en ai vu les premiers clichés. Sur une centaine de poses, j'ai gardé 68 photos de 3 minutes toujours à f4 et 800 iso. Merci d'avance pour vos conseils
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  31. Bonjour, Comme beaucoup j'ai eu la chance de profiter de quelques nuits claires la semaine dernière. Ce qui m'a permis de valider (enfin !) le mode de prise de vues "tout auto" de N.I.N.A. : je lance les séquences puis vais me coucher (boulot le lendemain) ! Bon par contre je n'ai pas encore trouvé moyen d'éteindre la P.L. alentour, d'où un gradient dans le fond de ciel impossible à éliminer totalement sur l'image que je vous présente ... Acquisitions dans le nuit du 26 au 27 janvier par - 6°C environ, direction les trois belles galaxies M65, 66 et Ngc3628 dans le Lion. 151 poses de 2 minutes à 800 ISO. Canon EOS 700D non défiltré derrière une lunette SW 80 ED Evostar et son correcteur/réducteur (focale 520 mm) ; Mise au point grâce à EOS Utility. Guidage PHD2 avec une caméra ASI224mc au chercheur 9x50 ; Monture HEQ5 (kit Rowan) pilotée avec EqMod/Carte du ciel. Séquenceur N.I.N.A., Dithering. SiriL : script "couleur_pre-traitement" avec D.O.F. Traitement SiriL et RawTherapy. Comme d'habitude, ne vous gênez surtout pas pour critiquer librement cette image ! Bon ciel Vincent
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  32. Salut les astram, Ça joue encore et toujours entre les fenêtres météo grisalleuses. Ce matin il y'a eu un moment ensoleillé entre 10 et 11h alors vite on cour au matos. Vite, toujours vite, tout le temps vite... Au crayon graphite: Derrière le dessin : Bon ciel lolodobs le dévoreur de monde 👽
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  33. Hello, Je vous présente différentes versions d'une California prise en bande étroite lors des belles nuits claires de ces derniers jours. Ce sont mes premiers vrais essais en SHO donc je suis preneur de vos conseils 😉 Détail des couches : - H-alpha : 120 x 1 min - SII : 180 x 1 min - OIII : 180 x 1 min Côté matériel : - Samyang 135 à f/2 - Hypercam 183M ventilée (capteur entre 2° et 5°C selon les nuits, gain unitaire) - Filtres SHO Baader HighSpeed - EQ3.2 modifiée courroie-poulie (AstroGadget) - Guidage : mini-chercheur 30/120 + DFK21 - Le tout piloté par Kstars/EKOS sur Nafabox. Traitement : - Siril : prétraitement, linear match, combinaison des couches. - Gimp : crop (à cause d'un reste d'ampglow...), mixeur de canaux, image finale à 50%. La couche SII mériterait un peu plus de poses et il y a du tilt en bas... Les différentes versions, dans l'ordre : - H-HOO - H-H(HO)O - H-SHO, très... verte ! - H-SHO avec réduction du vert dans Siril, juste pour voir ! Je la mets car j'aime bien le rendu "hivernal" que ça donne 😉 A vous !
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  34. Ho que oui c'est possible. Même si ton collier est loin du barillet ça peut le faire si vraiment trop serré. à vérifier en premier, c'est probable. Si c'est pas ça, essaie aussi sans correcteur ni réducteur. Les étoiles seront moches au bord, mais regarde au milieu si tu as toujours le soucis ou pas. Comme ça tu saura si ça vient de la lunette ou des correcteurs.
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  35. Bonjour à tous ! Un grand classique d'hiver, le duo nébuleuse d'Orion et running man. Une de mes premières cibles, il était temps d'y revenir avec un peu plus de pratique.. Acte 1, Ha : captures faites mardi pendant la pleine Lune (99%) en 40 x 180" + 50 x 60", traitement complet avec Pixinsight. Je ne suis pas convaincu de l'apport des poses de 60" pour décramer le cœur, les process de Pix sont tout de même assez efficaces. A bientôt avec l'acte 2
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  36. Eh bien j'aurais appris aujourd'hui, que la projection, c'est sans filtre moi 😁
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  37. Franchement c'est celle que je préfère des trois : "éclairage" global plus naturel, couleurs des nébuleuses, et le bonhomme qui coure est bien mieux rendu. Beau travail ! J'approuve. D'ailleurs, c'est bête, mais elle me fiche un peu "la trouille" à traiter ... J'ai les images brutes, mais je recule un peu pour m'y coller ...
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  39. Et n'oubliez pas la CoVid !
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  40. Tout à fait. faut un oculaire unique (ou mettre un seul oeil sur des jumelles) et avoir un instrument bien stable parceque les petits marmots ont tendance à s'appuyer dessus (mais ça aussi ça se gère) (ma fille a commencé à 4 ans impeccable )
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  41. Désolé de remettre cette photo,ce chercheur coudé est monté à gauche sur une queue d'aronde livrée avec du même modèle que celle de la caméra Starsense.J'ai orienté le RC du chercheur légèrement vers la gauche ,c'est plus pratique pour moi,immédiatement accessible sans avoir à monté sur un petit escabeau.Je fais 1m68Depuis cette photo je suis passé à la batterie lithium pro,toujours Celestron. Jean Louis
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  42. Bonjour à tous, Toujours en train de prendre en main la prise de vue avec Newton/autoguidage + ma nouvelle monture AZEQ6. Après 3 mois de nuages/brouillard/pleine lune dans le nord de la France, j'ai pu enfin faire un test dans la longueur. J'ai choisis M3, pas beaucoup de cibles spectaculaires du côté de mon jardin en ce moment. Au moins j'ai pas dû gérer le cadrage. Prise de vue : 60x120sec (2h) 15 flats 50 offsets Bortle 6, lune <10% Matériel : Skywatcher 200/1000 AZEQ6 ASI120MM Mini Logiciels: N.I.N.A. pour la gestion de la séquence et l'alignement polaire Siril pour l'empilement et pré-traitement (gradient, photométrie, suppression des trames verticales/horizontales, bruit vert) Photoshop pour la finition (saturation/réduction de bruit) Etoiles et cœur cramés, j'aurais dû faire des poses moins longues. EDIT : IMAGE CORRIGÉE Cause -> étirement trop agressif, ne pas oublier de le diminuer suite à l'auto ajustement de Siril Version cœur cramé :
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  43. Oui, en fait je fais toutes les captures en bin 1 et je passe très rarement en bin 2 au traitement, uniquement pour le OIII ou le SII quand c'est un peu faiblard. Il me semble qu'il y a un revers au bin 2 lors du traitement avec un CMOS, c'est que la dynamique en prend un coup. Je l'ai remarqué par l'histogramme qui devient une arête de poisson au lieu de rester bien plein. Avec ma lunette 80/400 (1.94"/pix), je stacke en drizzle 2 (devient 3.88"/pix) et je rééchantillonne à la fin à x0.33 (devient 1.3"/pix) avec une taille d'image raisonnable pour une compression jpeg pas trop destructrice. Dans ma logique ça se passe comme ça mais je me plante peut être Bref, acte 3 imprévu pour moi avec une L "synthétique" puis LRVB et mixage 50/50 avec la HRVB précédente. Et puis tant qu'à faire puisque c'est à cause de lui, le running man un peu reboosté séparément. La grande classique de l'hiver est bourrée de pièges ! Merci @Justino21m pour ton conseil Je comprends aussi maintenant pourquoi un cocon H/RVB m'a embêté par le passé. On va se revoir lui et moi..
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  44. de très belles couleurs en effet, bravo! Dommage pour le centre de l'amas cramé
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  45. Un peu/beaucoup de cacophonie je suis d’accord. (Bruno m’avait pourtant mis en garde et c’est un peu de ma faute) Si il n’est pas trop tard pour sauver mon sujet initial, je propose tout de même ce point d’arrêt pour recentrer la discussion la question initiale était de trouver un instrument : 1)à ranger sous le lit ou dans un placard 2)facile à transporter pour les week-ends en famille 3)capable de faire du visuel surtout…et un peu de photo 4)le tout avec un penchant pour le CP. Vos bonnes expériences m’ont permis de comprendre plusieurs choses : 1) Le stockage que je voyais au départ comme une contrainte formelle se transforme doucement mais sûrement en « petites craintes ». Car il va tout de même falloir assumer un minimum d’encombrement si j’ai des ambitions en observation (j’insiste quand même sur le minimum) 2) pour le transport avec bagages et compagnies, voyons déjà comment se déplacer autour de chez moi en « régime normal » et accessoirement…dans le jardin. 3) le setup à tout faire (photo ET visuel) pour moins de 1000€ c’est compliqué : soit une bonne partie du budget part dans une grosse monture au détriment du diamètre de l’instrument… soit l’inverse. 4) choisir entre observer le CP ou les planètes n’a pas trop de sens… mais c’est une question plus pertinente si l’on envisage de faire de la photo. j’ai aussi compris qu’en visuel le diamètre joue un rôle crucial dans la capacité à révéler les objets de faible magnitude et les oculaires quel que soit leur focale n’y peuvent rien. Par ailleurs, je garde en tête que certains instruments ont des spécificités optiques qui peuvent être limitantes en terme de champ pour se constituer une gamme d’oculaire (je pense à l’exemple du mak 180 cité par Bruno) Espérant ne pas vous en demander trop, j’aimerais adresser avec vous la 1ère question du stockage par une bonne photo de vos instruments « rangés » si vous êtes d’accord ? Ficelle
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  46. Oui je sais pas hyper original en cette saison, mais faut bien la faire une fois dans sa vie d'Astram celle-là 🙂 C'est sans doute la plus célèbre des nébuleuses, star parmi les étoiles: la Tête de Cheval et sa compagne la nébuleuse de la Flamme ! Située à 1500 années-lumière de nous, c'est une région de l'immense structure très agitée nommée la Boucle de Barnad, comprenant également la nébuleuse d'Orion, où naissent des milliers d'étoiles dans des volutes de gaz interstellaires - une véritable maternité spatiale ! Les formes sombres - dont la fameuse tête de cheval - sont des nuages obscurs qui se détachent devant des volutes luisantes et multicolores, ionisées pas les étoiles en formation mais aussi par Sigma Orionis, l'étoiles brillante du haut de l'image. C'est caché au creux de ces nuages sombres que naissent les étoiles, lorsque le gaz, sous l'effet conjugué du rayonnement d'autres étoiles (les "vents stellaires") et de courants gravitationnels, s'effondre sur lui-même et se contracte sous une pression inimaginable, au point d'allumer des réactions nucléaires - le brasier stellaire, le même qui se déroule depuis des milliards d'années au cœur de notre propre soleil. Les bébés étoiles sont cachés à nos yeux en lumière visible mais se dévoilent dès qu'on regarde dans l'infrarouge, comme l'a fait Hubble et le fera bientôt le James Webb. Il ne faut se fier à nos reflexes paréidoliques: ce fougueux cheval de feu, de l'encolure au sommet du crâne, fait 3,5 années lumières de hauteur - on pourrait y empiler 3 milliards de fois la Terre... La très grosse étoile entre les deux nébuleuses - en réalité loin devant, à mi-chemin entre nous et les nébuleuses - est Alnitak, la première des trois étoiles formant la ceinture d'Orion dans la constellation du même nom. Mais ne cherchez pas un Canasson avec des jumelles ou même un petit télescope : il ne se révèle qu'en photographie à pose très longue (plus de 8h, ici). Il fut d’ailleurs découvert sur une plaque photographique en 1888 par l'astronome américaine Williamina Fleming. EXIFs (données techniques): - 162x180s = 8h06 d'intégration au filtre duobande + 20x60s=20min sans filtre pour la couleur des étoiles - Canon 650D (APS-C) défiltré partiel, ISO 800 - Filtre STC duo-narrowband H+O version EOS-Clip, - APO triplet 102 f/5 avec réducteur - Monture AZEQ6 - Guidage chercheur + Zwo ASI178mc - Dates de prise de vue: deux nuits les 5 et 24 janvier 2022 - Ciel Bortle 4 dans le Vexin, sans lune la première nuit, un peu la deuxième - Température moyenne 0°C - Logiciels : Kstar/Ekos sur Stellarmate RPI4, PHD2, Siril, Photoshop
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  47. Le 28 je l'observe tous les jours, il bosse dans ma boite.
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  48. Sans aucune contestation possible. Et en plus c'est développé par de sympathiques compatriotes.
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  49. Dans le noir, quand tu fais les darks, à ton avis, qu’est-ce qui passerait par le filtre ?
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