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Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 12/12/25 dans Messages
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2 nuits dégagées ! Youpiiii ! J'ai choisi un champ un peu large pour essayer de faire la part belle aux IFN, c'est ma version des Pléiades. On peut discuter le résultat et les couleurs. L'autoguidage a été souvent dans les choux (donc du déchet), sauf après le retournement...Je me demande si je ne dois pas faire une petite laparotomie exploratrice de la GTI... (réglage backlash...). 🗓️: 13 et 14/12/2025 🔭: Askar SQA55 📷: Player One Poseidon C-Pro ❄️-10° ⚙️: StarAdventurer GTI 🚥: Player One Anti-Halo UV/IR cut 🎯: ZWO ASI120mini + lunette 30 f/4 💻: NINA + GSS + PHD2 ⏱️: 198x120s (6h30) 🎚️: Gain 125 🖥️: Siril + PixInsight + Photoshop 🌍: Haute-Vienne 🌔: 0% 🌌: Bortle 412 points
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Salut, Hier, j'ai eu le bonheur de pouvoir faire du visuel à travers le T500 de @savoyard pendant que mon matos lui, tournait en autonomie complète à 20 bornes de là. Ce fut une soirée à marquer d'une pierre blanche bien que j'ai loupé le "casque" au T500, trop occupé étais-je à discuter avec un "voisin de monture" de son club. Cela m'a néanmoins donné l'idée de le faire lorsque je suis rentré sur le coup de 01H30. Donc voici, résultat de 2H1/2 d'intégration en poses de 240Sec au T350 F4.6 et ASI6200MC en starless: A vos commentaires a+ Serge9 points
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Salut, j'en profite que WA ait racheté un HDD (ou un SSD si on est rêveur) pour vous montrer l'acquition de première partie de nuit. Le but de la manip n'est pas NGC 891 mais plutôt toutes ses voisines dont certaines offrent de bons détails. environ 2 1/2H de poses au T350: La version annotée: A vos commentaires a+ Serge7 points
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AU COEUR DE LA NEBULEUSE D'ORION Bonjour à tous, Je poste vite fait un petit trapèze d'Orlon dessiné hier au C11. La constellation est au zénith quasiment, et la stabilité est pas mal du tout. E et F brillent de façon étonnante ! J'ai donc esquissé une nouvelle fois le berceau de cette sublime nébuleuse M42. Je me suis aussi attardé sur Messier 1. Moins spectaculaire sans doute... Ma soirée a été écourtée par le dysfonctionnement de ma raquette de commande. Aie...J'ai soupçonné le cable d'alimentation mais je crains fort que ce ne soit la raquette elle-même qui s'appelle rechange ? Eh bien c'est un mal pour un bien, j'ai commandé le petit boitier ioptron wifi pour désormais effectuer le tout à partir de ma tablette voire mon smartphone. Je vous ferai un compte rendu du résultat. Bon ciel de Noel à tous Gildas7 points
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Salut, voici ma 2ème cible de la nuit dernière, avant que je ne rentre et bascule sur le casque de Thor. C'est une cible que j'ai repéré à travers mon cliché à 40mm d'Orion, plus haut ici. Je crois que c'est une nébuleuse que l'on voit rarement sur les forums. C'est le résultat d'environ 2H30 d'integration: et la starless: A vos commentaires a+ Serge6 points
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Bonjour à tous ! Je vous présente ma dernière image toute neuve de cette nuit, le duo M77 (en haut à gauche) et NGC1055. Elle a été capturée avec un newton 150/750 + correcteur x0.95 et une miniCAM8 mono. Il y a 2h30 au L et 3x30' pour la couleur, du NINA, du Pix et de l'Affinity Photo. Pas pu poser plus, elles ne sont pas bien hautes dans le ciel. C'était la photo d'identité destinée à illuster une manip spectro faite il y a un mois : M77 est une galaxie à noyau actif (AGN) de type Seyfert II (le noyau actif est partiellement caché par des poussières). Son spectre a été capturé avec un C9XLT @ x0.63 + Player One Neptune-M (IMX585) + Alpy 600 en 18 x 300" (1h30). Le pic d'émission Hα est noyé dans les émissions voisines, je me suis donc servi des autres émissions plus nettes en Hβ, Hϒ et OIII afin d'évaluer le redshift. Le décalage vers la droite (vers le rouge) sur les pics Hβ et Hϒ est d'ailleurs bien visible. Ma manip me donne une M77 qui s'éloigne de de la Terre à 1132.91 km/s pour 1137 km/s d'après la littérature, soit 0.4% d'écart >> satisfaction de l'opérateur . Cette nuit là, j'avais bien l'intention de capturer le spectre de NGC1055, autre galaxie Seyfert de type II mais ça s'est pas super bien passé pour la cadrer d'abord puis les nuages sont arrivés, la routine quoi... Une prochaine fois probablement car j'aimerai voir les différences de spectres entre une galaxie de type Seyfert vue par la tranche et vue "de face. Et voilà !6 points
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Salut, grâce à la chirurgie exploratoire sur Orion faite au Sigma Art 40mm F1.4,: j'ai eu l'envie la nuit dernière de prendre S2-264 nébuleuse faiblarde très étendue autout de Lambda Orionis. J'ai pu cumuler 80 poses de 240Sec soit 5H30 d'integration sur l'ASI6200MC+Filtre IRcut. J'aime bien cet objectif, il est très bon: et la version starless: A vos commentaires a+ Serge6 points
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Après de nombreux essais et réglages, cette image est le résultat de la combinaison de données prises à plusieurs mois d’intervalle. Les poses Ha/OIII réalisées en octobre sont venues compléter un jeu plus récent en SII/Hβ, afin d’exploiter au mieux le signal disponible. La météo capricieuse de fin d’année ne laissant guère d’alternatives, il a fallu composer avec ces données pour finalement donner naissance à cette version finale en HSO-Hβ qui me convient parfaitement NGC 1499 – La nébuleuse de la Californie Située dans la constellation de Persée, NGC 1499 est une vaste nébuleuse d’émission distante d’environ 1 000 années-lumière. Sa forme allongée rappelle étonnamment la côte ouest des États-Unis, d’où son surnom de California Nebula. Elle est principalement illuminée par l’étoile chaude Xi Persei, dont le rayonnement ionise le gaz environnant et révèle de fines structures de poussières et de filaments. Très étendue mais relativement faible, NGC 1499 est une cible idéale pour l’imagerie en bande étroite, permettant de mettre en évidence la complexité et la profondeur de cette immense région de formation stellaire. La version full pour les détails https://app.astrobin.com/i/zsy3n45 points
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Hello, Autre image "fraîche" , réalisée fin novembre, enfin traitée. La nébuleuse NGC1333, lieu de formation d'étoiles. Déjà faite aussi par le passé, avec moins de réussite. ça m'a pris quand même 3 nuits pour accumuler assez d'images pour les 4 filtres. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L= 1500 x 20s R= 102 x 60s G= 104 x 60s B= 101 x 60s Mode Full Gain 82 offset 50 T° -5°C Pré-raitement Sirilic/Siril , Pixinsight. Etirement VeraLux Une brute de 20s avec le filtre L: Image finale:5 points
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Hello, Me voici de retour après une (trop) longue période d'absence active sur le forum (temps pourri, occupations, flemme, etc....). Retour aux affaires avec quand même quelques images réalisées entre temps. NGC 2403 (aussi appelé Caldwell 7) est une galaxie spirale intermédiaire rapprochée et située dans la constellation de la Girafe. NGC 2403 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1788. SCT Celestron C8 (203/2000) + réducteur Antares 0.63x + réducteur TS CCD47 0.67x focale @ 881mm f/d 4.3 Caméra QHYminicam8 mono Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA L= 599 x 20s R= 70 x 60s G= 68 x 60s B= 65 x 60s Mode Full Gain 82 offset 50 T° -10°C Pré-raitement Sirilic/Siril , Pixinsight. Etirement VeraLux (je ne sais pas si les images vont bien s'afficher) Une brute de 20s filtre L:4 points
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Salut, chez moi l'horizon sud est un peu masqué et le sud c'est vers le centre ville... Donc j'ai en gros 2h30 de prises de vue possible par nuit sur cette cible. Comme je l'avais fait pour l'aigle, j'ai décidé cet hiver de passer le plus de temps possible sur cette cible en parallèle du reste. Malheureusement la météo, c'est la cata et depuis octobre, j'accumule des petits bouts sur je ne sais plus combien de bouts de nuits... Pour augmenter la qualité, sur M16 j'avais sélectionné 50% des meilleures images. Pour le moment, je suis à presque 12h de cumulé avec 75% de retenu. Faut que j'avance encore car je souhaite réduire à 50% aussi et je dois faire le RGB... Vu les prévisions, je vous fait un point intermédiaire. J'ai mis l'image sur Télescopius mais je n'arrive pas à mettre un lien correct ici. Vous savez comment faire avec Telecopius ? En attendant la voilà en découpant le lien télescopius et donc pas moyen de zoomer. https://telescopius.com/pictures/view/254470/deep_sky/ngc-2023/ic434/by-hibon Suite au prochain épisode Sam4 points
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Salut les cométistes, C'est reparti pour une année on l'espère bien chevelue ! 2025 ne nous a pas déçus malgré des prévisions plutôt pessimistes, avec une très belle C/2025 A6, mais aussi 3I pour celles et ceux qui ont eu la chance d'avoir un bout de ciel bleu, de même que R2, K1 et T1 (que j'ai malheureusement loupées....). 24P/Schaumasse : on démarre avec une périodique qu'il faudra aller chercher en seconde partie de nuit en janvier, avec une magnitude qui frôlera 8 C/2025 R3 (PanSTARRS) : il faudra aller la chercher bas sur l'horizon le matin en avril avant son périhélie, ensuite elle sera du soir mais au ras de l'horizon, les prédictions la donnent à un peu mieux que m8, mais elle pourrait être bien plus brillante grâce à la diffusion des poussières de la queue (elle passera entre le Soleil et la Terre) 10P/Tempel 2 : une autre périodique qui devrait passer sous la barre de m10 entre la mi-mai et la mi-octobre ! Elle grimpera à m7 durant l'été, au moment où elle sera assez basse sur l'horizon sud 169P/NEAT : une comète plus difficile qui naviguera autour de m12 en août dans le ciel du soir 161P/Hartley-IRAS : une autre périodique un peu plus accessible, qui se baladera dans le ciel du soir entre m9 et m10 de fin septembre à fin octobre C/2025 T5 (ATLAS) : on termine l'année avec une comète difficile, qui stagnera à m12,5 de décembre 2026 à janvier 2027, elle fera un petit tour à proximité de Rigel dans Orion Je vous remets le triptyque de liens habituels : La page de Seiichi Yoshida : http://aerith.net/ Celle de Gideon van Buitenen : https://astro.vanbuitenen.nl/comets Le site du COBS : https://www.cobs.si/analysis/ Pas d'images pour l'instant, problème lié à WA...4 points
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Hello à tous et toutes! Un an s'est écoulé depuis l'acquisition de ma lunette Takahashi FC 100/800 DZ ; je possède toujours la SW 100/900 ED, qui bien que sortant moins souvent , est utilisée assez régulièrement, principalement pour les observations publiques. Il m'a semblé complémentaire et "honnête"...d'affiner mes impressions lorsque je passe d'une lunette à l' autre, où que je les mets encore parfois côte à côte... Mon tout premier CROA " waouh" ...avec la Taka, sur mon spot d'observation péri urbain habituel, s'est déroulé sous un ciel particulièrement transparent et peu turbulent...je l' ai constaté en re- observant le ciel quelques jours après. Des conditions donc très flatteuses pour la FC 100, sans négliger aussi peut-être l' impression de " mieux voir" ? avec un instrument haut de gamme...cela peut jouer sur l' objectivité de l' observation.... Est ce pour conclure que la différence en visuel entre mes deux lunettes est moins " spectaculaire" que prévu ? ...je n' irai pas jusque là, mais les différences sont parfois subtiles, et il faut vraiment les deux lunettes côte à côte pour les remarquer. Quand j' ai effectué mon test " comparatif, je venais de découvrir l'amélioration significative de la 100 ED avec un renvoi coudé à prisme, par rapport au diélectrique SW fourni de base avec la lunette...( découverte faite suite à l' utilisation d'un prisme Amici ; utilisé avec la 100ED ,sur les cibles lunaires et planétaires) J' ai ensuite fait l'acquisition d'un deuxième RC Taka prisme en 1,25" pour la 100ED...que j' utilise aussi pour le ciel profond. Test à l' aveugle : pourrais je reconnaître avec quelle lunette j'observe? Sur un amas ouvert ( Pléiades par exemple ) à faible grossissement, et à condition que la MAP soit faite ?...Franchement non! Si observation d'une étoile brillante, la 100ED présente par contre une légère nuance rose autour du disque d'airy. Si j' ai les 2 lunettes côte à côte, l' intensité lumineuse sur le disque d'airy semble plus forte avec la Taka, avec une impression d'étoile plus " brillante ". Si je fait par contre la mise au point , je vais tout de suite identifier la lunette utilisée à l' aspect de l' image intra et extra focale ( beaucoup plus semblables l' une à l' autre sur la Taka, plus de couleurs sur les anneaux de diffraction avec la 100 ED ) Si j' ai les deux lunettes côte à côte, à grossissement similaire, l' image paraît un peu plus " fade" sur la 100 ED , légèrement moins contrastée, mais c'est subtil ! Je n' ai pas eu l'occasion de comparer les lunettes sous le bon ciel ardennais ; j' ai néanmoins la nette impression avec la Taka de pouvoir mieux apprécier la résolution en étoiles périphériques d' amas globulaires comme M 13, M 15, M 22, M4..etc...il est possible aussi que ma capacité d'observation visuelle se soit améliorée... Sur la lune : elle apparaît plus " blanche" avec des ombres plus noires avec la Taka, mais la perception des fins détails ( comme les 3 craterlets de Platon) me semble identique avec les deux refracteurs. Si la mise au point est faite, j' aurais du mal à identifier la lunette... Observation récente de Saturne avec les deux instruments : autant de détails et de couleurs. Jupiter : la Taka prend largement le devant! Les bandes équatoriales sont beaucoup plus contrastées, l' appréciation des bandes fines plus aisée. Et capacité à garder une image satisfaisante à plus fort grossissement ! On sent vraiment que l' on peut plus " pousser" la lunette... La 100 ED commence à s'essouffler à 180x, alors que 200x passe souvent sur la Taka ( et même 250x sur Saturne récemment sous de très bonnes conditions). Le plaisir d'utiliser la Taka est bien sûr magnifié par sa compacité, beaucoup moins encombrante que la 100 ED , se comportant beaucoup mieux sur une configuration azimutale , dispositif de mise au point qualitatif , ...etc... Mais je dois constater que les deux lunettes sont optiquement assez proches . Suis je déçue ? ...je vais plutôt me réjouir que cette 100ED doit être un bon échantillon....cela m'avait été d'ailleurs confirmé par un astram expérimenté de mon club, ayant possédé de nombreuses lunettes , qui l' avait trouvée excellente.. Je constate parfois, avec des témoignages d'astrams du forum ,que la prise de conscience de la qualité optique d'un instrument peut se faire de façon tardive : " Je regrette de m'être séparé de ce télescope"....et parfois des années après, et l'utilisation de nombreux instruments différents... Je concluerais donc par : si vous utilisez fréquemment une lunette 100mm et que vous avez le budget...foncez pour une Taka FC 100....mais une bonne lunette ED trois fois moins chère peut fournir aussi d'excellentes observations...4 points
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bonjour a tous voici M45, photo prise il y a quelques jours. première fois que je vise cette objet avec ma lunette. les nuages ce sont invité après le retournement au méridien pour ce dissiper une petite heure plus tard 63x240sec avec ma 82ED, 294mc pro et asiair + au traitement, je me suis aperçu qu'une "petite" galaxie était visible (les pléiades pointent comme une flèche dessus), il s'agit de UGC 2838 bon ciel a tous !3 points
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Une cible datant du 23 août pour tester mon filtre ANTLIA Triband V2 241x60s SIRIL + Graxpert + Photoshop Mais traitement repris avec RCAstro dernièrement (j’ai craqué pour la suite StarX, NoiseX et BlurX…)3 points
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Toujours par ces temps de disette astro, je m'amuse à reprendre certaines images datant de 2022 à 2023 faites avec la 533MC Pro et l'ONTC ça occupe ... M13 : 164x30s Lune : 76% M86 : 80x60s Lune : 29% IC5146 : 118x120s Lune : 35% M109 : 108x60s Lune : 11% M1 : 140x60s Filtre L-extreme Lune : 0%3 points
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Bonsoir les ami(e)s . J'espère que vous allez bien . La vidéo que je vous présente est un peu longue , mais elle montre un ver ( STENOSTOMUM) qui est capable de se regénérer s'il est coupé en deux ,il peut alors se présenter avec deux têtes . Des exemplaires on été emportée dans l'ISS ...... Pour plus d'informations Futura sciences( des scientifiques observent des vers à deux têtes ) L'objectif est de 40X , bonne soirée à toutes et à tous amicalement Charles3 points
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Bonjour, Retour très intéressant. Pour me situer brièvement : je suis tireur dans un laboratoire photo professionnel, et ce que tu décris correspond exactement à ce que l’on rencontre dès qu’on passe de l’écran au papier — encore plus en ciel profond. Le tirage n’est pas une simple étape technique, c’est un métier à part entière, et les essais successifs que tu évoques font pleinement partie du processus. Un point important à clarifier, car il revient souvent : le CMJN n’a aucune utilité en impression photo jet d’encre. Les imprimantes photo, qu’elles soient de bureau ou de laboratoire, impriment toutes à partir de données RVB. Elles utilisent leurs propres encres (souvent bien au-delà du simple CMJN) et un moteur de conversion interne piloté par le profil ICC du papier. Travailler en CMJN, ou avec un profil type ISO Coated, revient donc à restreindre inutilement le gamut et à compliquer la chaîne couleur sans bénéfice réel. En pratique, en labo comme en atelier : on travaille exclusivement en RVB, avec un espace large et propre : Adobe RGB (1998) ou ProPhoto RGB selon les habitudes, et on laisse la conversion se faire au moment du tirage, via le profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier. Le soft proofing a bien sûr tout son sens, mais en RVB, avec le bon profil papier. Le CMJN est un excellent outil… pour l’offset et la presse, pas pour le tirage photo. Concernant les papiers, un point mérite aussi d’être nuancé. On lit souvent que seuls les papiers brillants permettent d’obtenir des noirs profonds. Ce n’est pas faux… mais ce n’est pas toute l’histoire. Un papier mat peut parfaitement produire des noirs très denses, à condition que ce soit un vrai papier photo mat de qualité (baryté mat, cotton rag, fine art mat) et que l’image soit préparée pour ce support. La différence, ce n’est pas tant la profondeur du noir que sa perception : en brillant, le noir paraît plus dense grâce aux reflets, en mat, le noir est plus doux, plus absorbé, mais souvent plus lisible et plus stable selon l’éclairage. En laboratoire, on constate souvent que : un mat bien choisi donne des noirs moins « claquants », mais plus détaillés, les très basses lumières passent parfois mieux en mat qu’en brillant, surtout sans lumière rasante, et l’absence de reflets change complètement la lecture d’une image très sombre comme le ciel profond. Le papier n’est donc pas un simple support, c’est un outil de rendu. Chaque surface impose sa logique : le brillant flatte, le satiné équilibre, le mat interprète. Aucun n’est supérieur aux autres — ils ne racontent juste pas la même chose. Et j’insiste vraiment sur un point fondamental : l’étalonnage écran et papier n’est pas une option, c’est la base absolue. Sans écran calibré correctement, on ne corrige pas une image : on la devine. Et sans profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier, on ne tire pas une photo : on tente sa chance. En laboratoire, la chaîne est simple et immuable : écran calibré à des valeurs cohérentes (luminosité, point blanc, gamma), fichier travaillé en RVB (Adobe RGB ou ProPhoto), soft proofing activé avec le profil ICC exact du papier utilisé, et une seule gestion des couleurs, pas deux. C’est ce qui permet d’avoir : un tirage prévisible, reproductible, et fidèle à l’intention de départ. Sans cette cohérence écran → fichier → papier, on peut multiplier les essais, baisser ou monter la luminosité, changer de papier… le résultat restera aléatoire. Avec elle, un tirage bien préparé sort juste du premier coup, ou presque — et quand ce n’est pas le cas, on sait exactement pourquoi. si vous avez des questions hesitez pas 😉3 points
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Salut tout le monde !! 🙂 On continue avec la cuisine et après le homard, le calamar, je me lance dans les spaghetti à la sauce HOO. SH2-240 est plutôt trés faible en ville chez moi (Bordeaux CUB, Btl7) , mais faisable, même à l'APN, défiltré. Pas grand chose sur les brutes (on devine quand même des structures filamenteuses en poussant les curseurs). Donc, le setup : Lunette Askar Fra400, F/D 5.6 Canon 6D défiltré Monture Skywatcher GTI Filtre Optolong L-Extreme Asiair Plus Pose : 18h, sub de 2min non guidées - Traitement SIRIL + PSP http://astrosurf.com/lacote/Images/GrandChamps/SH2-240-Haillan-18h-AskarFra400-Canon6Ddef-HOOV3-50p.jpg3 points
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Salut, je vous propose une nébuleuse discrète que vous ne verrez pas sur tous les forum visités par tous et le chien (ne pas oublier le chien). J'avais adoré le fantôme de Cassiopée et j'avais découvert sur ce cliché son pendant coté Orion à coté d'Alniham: donc, voici la belle issue d'environ 5H d'intégration: Avos commentaires a+ Serge2 points
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et même plus de 9h dont la moitié en luminance avec des poses de 180s Après une première version en rgb baader contre Antlia le match j'espérais un net progrès avec la luminance. J'ai même rajouté pas mal de rgb mais je ne vois pas trop d'amélioration : les étoiles sont un peu plus grosses et les nébuleuses sombres ne sont pas beaucoup mieux Pas compris comment assembler avec Siril donc à l'ancienne avec Iris après le prétraitement des 4 couches avec Siril puis Graxpert Par contre, j'aime bien le cadrage, on dirait un papillon2 points
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Coup de théâtre, rectificatif ! J'ai bien décelé PK174-14.1, je viens de debriefer de nouveau avec photo de champ de Wikisky ! Je m'étais trompé sur les étoiles jalon, au début j'avais pris le duo de mag 14,8 et 15,8 trop au nord, mais étonné d'avoir vu ces étoiles avec UHC j'ai revérifié : en fait ce sont des étoiles un peu orientées pareil juste au S mais plus brillantes, que j'ai vues (mag 13-13.5), plus une autre un peu plus faible à O, les 3 formant un triangle isocèle E/O ouvert. Et là bingo, la NP forme un Y au N de ces étoiles, pile à la position où j'ai perçu un petit disque fantômatique 😀, alors oui excessivement difficile, parmi les observations les plus extrêmes (mais pas la pire) que j'ai pu faire.2 points
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Un peu l'inverse pour nous hier soir... Arrivée à l'Observatoire à 18h.. Soirée passée à vérifier, bricoler, apprentissage logiciel, installation Grappa,.... Ciel, bouché, voiles, brouillard,....mais "ça doit se dégager vers 23h" Vers 24h...vers 1h,...vers deux heures.... Au programme, l'occultation à 3h08 TU (4h08 TTC) d'une étoile magnitude 13,5 par un satellite de Jupiter KAllichore. Kallichore mesure 2km, est à 23 000 000 km de Jupiter soit un peu plus de un degré... Et il faut des temps de pose inférieurs à 100ms pour une durée d'occultation de 0,2s... Et à 2h30 le ciel se dégage, ciel magnifique, quelques brumes... On est trois devant les écrans. Après réduction, pas d'occultation, mais bon...on a fait avancer la science... un tout petit peu.... Au dodo à 5h45... JL2 points
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Bien vu, c'est fait avec la taka FSQ85 Pour tenir compte de vos remarques :2 points
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Le setup est plutot simple (environ 100€ à la louche). Pour les résultats, ca permet d'obtenir ça (oui j'aurais préféré insérer les 2 images ici, mais l'interface est soit toujours en panne, soit pas trés pratique...) https://www.dropbox.com/scl/fo/q9yedtinioy8hz69kv5sb/AFGFsuDMkM2R27mEoEXPDh4?rlkey=5n4y3m2a0tmzfm5k4zm93r398&st=feqd7fsm&dl=0 Sur la premiere image, celle qui m'a servi de calibration, l'echelle horizontale, c'est le décalage doppler (1kHz/division) et en vertical, c'est le temps (0.1s/div). Le debut est en haut, on voit arriver le meteor à environ 2000m/s (7200km/h). Il ralenti (c'est la partie oblique) à l'entrée dans l'atmosphére, puis explose (le gros paté) et la ca reste vertical: il n'y a plus de vitesse, donc plus de doppler. Sinon, on arrive à trouver des echos comme la deuxieme image, ou un effet periodique apparait: c'est une rotation de l'objet Ce genre d'activité peut avoir 2 objectifs: - soit compter et faire un retour sous forme de "collorgramme". https://www.rmob.org/ Les résultats peuvent etre corrélés avec les pluies de météores et leurs ZHR. -soit capter un objet et en retracer la trajectoire (radio-goniométrie). Pour ca il faut plusieurs stations (4 min) synchronisées. Là ca devient trés fun. Là, le but est de déterminer une zone d'atterrissage. C'est un peu ce que fait Fripon, et ça marche. Et Voila un papier qui date un peu mais ou tu reconnaitras qqs noms (https://arxiv.org/pdf/1804.05203) Pour le post dont tu parlais, je ne connaissais pas. Il explique bien le principe. Le logiciel qu'il utilise est Echoes (https://www.gabb.it/echoes/051_data_formats.html) C'est du libre, en python et qui a été porté sur RPi. Perso j'utilise un script léger d'acquisition qui tourne 24/24 sur RPi et non sur PC (histoire de l'emprunte carbone...) Sinon, le principe n'est pas nouveau, tout a déja été décrit. Les applications amateures sont moins courantes, IMHO. Et voila un lien qui peut ouvrir quelques perspectives: https://www.imo.net/observations/methods/radio-observation/ Fred2 points
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Voici d'autres dessins jusqu'en 1740. Année 1673 : Observatoire royal de Paris, 1er avril - 26 juillet 1673 Cette année-là, nous avons une grande surprise : la liste de tous les télescopes utilisés à l'Observatoire de Paris en 1673. Cette liste se trouve sous la première image. Une personne maîtrisant le français pourrait la traduire. Une autre liste d'instruments a été établie en 1684. Voici la liste de tous les télescopes de l'Observatoire de Paris en 1673, ainsi que leurs marques : Borelli, Divini, Campani. La focale est indiquée : 35 pieds pour le Campani, 45 pieds pour le Divini (je crois), 40 pieds pour le Borelli (difficile à déchiffrer) et un autre Borelli de 36 pieds. Les télescopes Campani de 20 et 17 pieds, présents et utilisés à l'époque, ne sont pas mentionnés. Il manque également 6 pieds dans la liste ; il s'agit probablement d'un autre télescope Campani apporté à Paris par Cassini. 17 pieds. Une autre série de dessins de la même année :2 points
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pareil, je le trouve vraiment plus simple que freecad, plus intuitif, et aussi plus agreable visuellement. j'en ai parlé avec un ami qui fait de la modelisation et de la mecanique de précision (domaine medical), ils forment les stagières et les nouveau sur fusion, rapide à prendre en main, mais ne l'utilisent pas professionnellement à cause des licenses, apparemment chère et "prise de tête". mon bébé en phase de reglages / tests2 points
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En 1673, de nouveaux dessins montrent le télescope de 34 pieds et d'autres instruments. Sur certains dessins, en y regardant de plus près, l'instrument utilisé est indiqué dans les notes, par exemple : télescope de 34 pieds, télescope de 100 pieds, télescope de 17 pieds, télescope de 20 pieds. Cette précision est toutefois incohérente ; sur d'autres dessins, l'instrument utilisé pour les observations n'est pas spécifié. Étape par étape. Voici les premiers dessins du télescope de 34 pieds pointant vers Mars, Jupiter et Saturne. On peut y lire : « Telescopio Campani ». La lentille d'objectif existe toujours et est une excellente lentille à diffraction limitée. Son diamètre était de 80 mm (d'après les notes de Cassini), soit 3 pouces de Paris, ce qui correspond précisément à 81 mm de diamètre. Associée à une distance focale de 10,900 mm, elle offre un facteur chromatique de 1,6, idéal pour un télescope monolentille du XVIIe siècle. En fait, cette lentille est biconvexe, comme la mienne. Presque toutes les lentilles Campani étaient biconvexes, car leur fabrication était beaucoup plus simple. Le télescope de 10,4 mètres était l'instrument le plus utilisé de l'observatoire. Cette photo représente le dessin de Rhéa, le satellite découvert par Cassini grâce au télescope de 10,4 mètres. Le télescope Campani de 11 mètres (34 pieds) Al van Helden a indiqué (communication personnelle du 22 décembre 2004) que le télescope au premier plan ressemblait à l'instrument de 10 mètres que Campani avait fabriqué pour les Médicis au milieu des années 1660. Campani avait envoyé un télescope de 10,4 mètres à Cassini en 1671 ou 1672, dont l'objectif est toujours conservé (dans l'ancien observatoire). Celui de Florence mesure 202 cm de long et 14,5 cm de diamètre. Il a suggéré qu'il pourrait s'agir du télescope Campani de 10,4 mètres représenté dans le tableau de l'artiste français Henri Testelin, conservé à l'Académie royale des sciences et reproduit ci-dessous. Voici le télescope Campani de 11,1 m, fabriqué pour les Médicis en 1666 et exposé au musée Galilée de Florence (avec son cache-objectif). On peut observer sa ressemblance avec le télescope Cassini de 10,4 m, de conception similaire (sans cache-objectif). Il ne s'agit pas de la lunette de 10,4 m, mais d'un télescope plus ancien, fabriqué par Campani pour les Médicis et utilisé lors du concours avec Divini. Sa construction est cependant très similaire à celle de la lunette de 10,4 m de 1672. Il me semble que seule la partie avant du tube est visible sur le tableau. Prenant au pied de la lettre le titre « Fondation de l'Académie des sciences et de l'Observatoire, 1666 », j'ai supposé que le tableau avait été réalisé peu après l'événement mentionné. Un examen plus approfondi m'a progressivement convaincu de l'erreur de mon hypothèse initiale. Plusieurs éléments, plus ou moins indépendants du tableau et des événements liés au développement de l'Académie, m'ont permis de rassembler des preuves d'une date de création bien plus tardive, ainsi que d'une interprétation légèrement différente de sa signification. Raison de plus pour célébrer les nombreux accomplissements de l'Académie et sa fondation. Sur le tableau, au centre et en bas à droite, on aperçoit deux télescopes. En bas à droite, il s'agit probablement du télescope Campani de 10,4 mètres (34 pieds), et au centre, du télescope Campani de 5,2 ou 6,1 mètres (17 ou 20 pieds), sans aucun doute celui de 5,2 mètres (17 pieds) avec lequel Cassini découvrit Japet et la Grande Tache rouge de Jupiter. Télescope Campani de 17 ou 20 pieds Dessins de Mars, Jupiter et Saturne, la première lumière captée par le télescope Campani de 11 mètres (34 pieds).2 points
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Merci à tous pour vos réponses, voici le document source : https://bibnum.obspm.fr/ark:/11287/8tTq7 Vous devez télécharger les images individuellement et cela demande beaucoup de travail. Ces longs télescopes étaient montés sur différents types de supports, fixés en deux points, l'un à l'avant et l'autre à l'arrière. Ils étaient stabilisés par des cordes et des poulies. L'observatoire employait de nombreuses personnes, des assistants et probablement plusieurs dizaines, voire une centaine d'ouvriers. Voici des dessins réalisés à l'Observatoire de Paris entre le 1er février et le 26 mai 1672, par Cassini et d'autres astronomes, à l'aide de nombreux télescopes, dont un de 17 pieds, et d'autres instruments. Les années suivantes, nous disposerons d'observations et de notes beaucoup plus détaillées.2 points
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Bonjour, Je reviens vous présenter M42 au smartphone, il y avait longtemps que je n'en avais plus fait. J'ai utilisé un Samsung S22 sur un oculaire Meade de 18 mm. Mode "Nuit" 9 secondes (seulement. ) Télescope Dobson Explore Scientific 305 sur plate-forme équatoriale. Retouche Snapseed. Beaufays, Belgique, 21.11.25.2 points
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Un catalogue Trumpler exclusif va bientôt être à votre disposition (cadeau de noël), ainsi qu'un catalogue Stock (plus tard) ! Ce fil vous présente la compilation de nombreux catalogues et listes. Il présente des catalogues d'objets officiels comme des listes d'objets créées par des amateurs passionnés. Il est régulièrement actualisé afin d'inclure toujours plus d'objets. N'hésitez pas à mettre un commentaire pour donner des suggestions afin d'améliorer la page, ou pour signaler un lien qui ne fonctionne plus. * : Cliquer sur "Submit" ** : Modifier le nombre max d'objets dans les préférences à gauche, puis cliquer sur "Submit" Astronomie profonde : Catalogues : Spécialisés : - étoiles : Relevé GAIA DR2** (Gaia DR2) [quasiment 1,7 milliards d'étoiles, amusez-vous !] - étoiles brillantes : Catalogue Tycho-2** (TYC) [jusqu'à magnitude ≃11] - étoiles brillantes : Smithsonian Astrophysical Observatory Catalog** (SAO) [peu utile, sinon pour faire le lien avec d'anciens catalogues] - étoiles variables : General Catalogue of Variable Stars** (séquence de désignation + constellation) - étoiles variables extragalactiques : Extragalactic Variable Stars Catalogue** (nom de la galaxie hôte + V + numéro) - étoiles jeunes/ en formation : Emission-line stars Lick Hα (Em* LkHA) [vous avez en vert les numéros présents dans les différentes listes] - objets de Herbig-Haro : General Catalogue of Herbig-Haro Objects* (HH) - nébuleuses planétaires : Catalogue Abell des nébuleuses planétaires (Abell) [aspect plutôt diffus] [ne pas confondre avec celui des galaxies] - nébuleuses planétaires : Catalogue de Perek & Kohoutek (PK) [de nombreux objets de sont pas des nébuleuses planétaires confirmées] - nébuleuses planétaires australes : MASH Catalogue of Planetary Nebulae* et son complément MASH Catalogue of Planetary Nebulae* (PNG) - nébuleuses planétaires : Strasbourg-ESO Catalogue of Galactic Planetary Nebulae (PNG) - étoiles de Wolf-Rayet : Catalog of Galactic Wolf-Rayet stars* (WR) - rémanents de supernova : Catalogue des rémanents de supernova* (SNR) - pulsars : ATNF Pulsar Catalogue* (PSR) - amas d'étoiles : Catalogue Melotte (Mel) [contient également 2 astérismes et 1 galaxie] - amas ouverts les plus accessibles : Catalogue Collinder ou ici en plus synthétique (Cr ou Col) [contient plusieurs objets d'autres types] - amas ouverts : Optically visible open clusters and Candidates* (OCl) - amas globulaires : Catalogue Palomar (PAL) - nébuleuses cométaires et objets apparentés : Catalogue Parsamian & Petrosyan (PP) - objets nébuleux rouges : Red nebulous objects (RNO) [souvent associés à de jeunes étoiles variables] - région HII : Catalogue Sharpless (Sh) - nébuleuses diffuses : Lynds catalogue of Bright Nebulae (LBN) - nébuleuses par réflexion : Catalogue Van den Bergh* ou ici pour le découvrir en images (vdB) - nébuleuses obscures : Catalogue Barnard ou ici* (B) [le deuxième lien contient 6 objets supplémentaires] - nébuleuses obscures : Lynds catalogue of Dark Nebulae* (LDN) [plus appronfondi que le Barnard] - nébuleuses obscures : Atlas and catalog of dark clouds based on 2MASS* (Dobashi) [tous les nuages sombres connus] - quasars : The Million Quasars (Milliquas) catalogue** (MQ ou Milliquas) - galaxies boréales : Uppsala General Catalogue of Galaxies (UGC) [limité à diamètre apparent ≥ 1′ ou magnitude ≤ 14,5, sinon voir PGC] - galaxies australes : Catalogue ESO-Uppsala** (ESO) - galaxies boréales particulières : Catalogue Arp (Arp) - galaxies australes particulières : Catalogue Arp & Madore [triées par catégories] ou en liste ici** (AM) - galaxies à morphologie intéressante : Morphological Catalog of Galaxy** (MCG) - galaxies en interaction : Catalogue Vorontsov-Velyaminov (VV) - galaxies : Principal Galaxies Catalogue plus poussé ici** (PGC) - amas de galaxies compacts : Hickson Compact Galaxy catalog ou ici* pour voir les coordonnées (HCG) - amas de galaxies : Catalogue Abell des amas de galaxies (Abell) - amas de galaxies/galaxies compactes/ galaxies post-starbust : Catalogue Zwicky (CGCG, ZC, ZWG ou UZC) Généraux : - un catalogue presque oublié : Catalogue William Herschel (H) [la majeur partie des objets ont un équivalent plus récent] - catalogue d'objets de l'hémisphère Sud : Catalogue Dunlop (Dun) - catalogue de régions HII et autres : Catalogue Rodgers, Campbell, Whiteoak ou ici* en plus synthétique (RCW) [centré sur l'hémisphère Sud, contient d'autres objets remarquables] [cliquer sur Submit] Listes : - protonébuleuses planétaires : Liste Wikipedia - nébuleuses planétaires : Liste de Fred Burgeot [contient différents catalogues méconnus, admirez les dessins !] - nébuleuses : Liste de Fred Burgeot [contient des nébuleuses faibles, admirez les dessins !] - galaxies : Liste de Fred Burgeot [visuel avec un gros diamètre, admirez les dessins !] - exemple d'observations : Deep Sky Exotics Tour [par Larry McHenry, un amateur passionné] Astronomie traditionnelle : Catalogues : Généraux : - les grands classiques : Catalogue Messier (M) - les classiques oubliés par Messier : Catalogue Caldwell ou ici en plus synthétique (C) - les classiques : New General Catalogue (NGC) - les classiques : Index Catalogue ( IC ) [complément du NGC] Spécialisés : - étoiles visibles à l'œil nu : Harvard Observatory, revised photometry* (HR) - étoiles : Catalogue Henry Draper** (HD) - étoiles doubles : Washington Double Star Catalog (WDS) [liste complète mais pas agéable] Listes : - étoiles traditionnelles (ordre alphabétique) : Liste Wikipedia2 points
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Fascinante créature dont les mouvements donnent un peu le tournis.... Sa capacité de se " régénérer" si on lui coupe la tête n' est tout de même pas son mode de " reproduction" ? ....1 point
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Après pas mal de lecture ici et là, je rebondi sur ton commentaire car ça me semble plus complexe que ça... La Théorie dit le contraire, une intervention Thierry Legault sur ce sujet et ce forum le confirme: l'ajout d'un filtre dans le train optique rallonge celui-ci d'environ un tiers de l'épaisseur de celui-ci. Donc si le BF théorique du réducteur est donné à 55mm, eh bien il faut rajouter cette distance. Il me semble que tout le monde est d'accord avec cette affirmation. Toutefois, on parle de BF théorique donné à +/- 1mm et je pense que c'est là où la théorie et la pratique se croisent. Si je me référe à ce que Hocus Focus préconise, je doit me rapprocher du réducteur de focale. Ce que je compte faire : 1- Mesurer au pied à coulisse tous les éléments du train optique depuis le réducteur jusqu'au capteur. 2- Me rapprocher du BF théorique et rajouter cette espacement de 0.67mm au mieux selon les spacers à ma disposition. 3- A partir de là, prendre une série de clichés sur M45 par exemple. Activer les annotations de rondeurs des étoiles sur Nina. 4- Procéder de la même manière toujours sur M45 en rajoutant 1-2 spacers supplémentaires et comparer. 5- La même mais en diminuant le BF puis comparer les 3 résultats. 6- Le "gagnant" sera donc celui qui me donne les "meilleurs" étoiles. Je pense qu'un test sur le terrain sera seul juge, cette approche vous paraît- elle cohérente ? Cordialement Cyril1 point
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Hello ! De belles volutes, une immensité qui donne le tournis, un cadrage qui met en valeur des étoiles,lointaines, enveloppées de leur nuage de poussière, j’adore cette image et j’attends donc avec impatience la fin de cette aventure ! Bon ciel !1 point
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1ere tentative : Lundi matin 3h15, je mets le réveil pour tenter d'imager cette comète 3I/ATLAS Je commence à 3h30 pour tester et décide de changer le cadrage Ciel suffisamment clair mais hélas pas assez longtemps pour pouvoir l'avoir mieux que ça Je n'ai pas fait d'alignement sur la comète Par contre j'ai choppé une galaxie NGC en limite de champ et plusieurs très faibles à l'intérieur C'est finalement petit à 930mm de focale La photo est issue de 15x60s avec un voile nuageux par moment (vers 3h50) Version astrométrie faite sur Pixinsight et annotée1 point
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Mais heu, ok, c'est pas super que le wifi se déconnecte, mais ca devrait avoir aucun impacte sur ta séssion photo, si ?? Je veux dire que tout est connecté cablé a la cam/air, et ce que tu perds quand ca se déconnecte, c'est juste la visualisation en temps réel des image sur ton tel, mais tous les sub restent engegistrés, et l'aquisition continue, donc tu te reconnecte, et ca repart. En gros a 15M ca marche toujours, au dela de 20M ca dépand si murs, maison, beton armé, etc... normal quoi. mais tu te rapproche avec ton telephone, tu te reconnecte au wifi, et tout marche. A moins que tu ne puisse pas te connecter a moins de 10M sans mur entre les 2, le SAV ne changera rien La je comprend pas !! pourquoi ?? tout ton set-up continue a tourner ! tout marche, c'est juste que l'image n'arrive plus a ton telephone, mais rien a re-lancer, meme le guidage continue quand ca se déconnecte!1 point
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Les couleurs des etoiles sont tres bien. honnetement pour 30 min, c'est tres bien ! je pensais pas qu'il rentrait dans le cadre a 1500mm de focale.1 point
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Non 14" ça devrait aller. L'important c'est que tu fasses la map avec le zoom à 100%. Même si tu ne vois pas l'image en entier, si c'est net sur les 50% visibles de l'image alors ça le sera aussi sur l'ensemble. Bien avoir un ou 2 ports USB3 (2 c'est mieux que un, car si un port est défaillant, il t'en reste un de dispo. Les ports USB ne sont pas éternels. Un disque dur SSD est important pour les sauvegardes. Ça permet de bonnes cadences d'acquisition.1 point
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Pour gagner un peu, en attendant que le Père Nowel passe, tu peux capturer en 8 bits (le 16bits ne sert vraiment qu'en astrophoto ciel profond). Ensuite capturer plus petit avec un ROI de 2000x1000. ça fera un peu plus de tuiles à acquérir mais le débit sera meilleur. Pour une solution hors portable il y aaurait l'Asiair mais pas adapté aux cadences rapides, tu ne gagneras rien à partir là dedans si ce n'est que pour faire du planétaire/lunaire/solaire.1 point
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Ah Ben, avec mes yeux, ya pas de rose du tout a+ stéphane1 point
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Nous allons à 1675, année où fut découverte la division Cassini avec les réfracteurs de 34 pieds et 20 pieds, note Cassini : Deinde latitudo Annuli Dividebatur bifariam, Lineˆa obscurˆa apparenter Ellipticˆa reverˆa Circulari quasi in duos annulos concentricos, quorum inside outsidei lucidior erat. Hanc phasim stim post emersionem Saturni `e Solaribus radiis per totum annum usque ad ejus Immersionem conspexi prim`o quidem, Telescopie Pedum 35, deinde minori, Pedum 20. Ejus delineationem, utcumque rudem, ownante calamo hic adjeci. Ensuite, la largeur de l'anneau a été divisée par une ligne sombre, qui semble elliptique, mais en réalité circulaire, comme deux anneaux concentriques, l'anneau intérieur étant plus brillant que l'anneau extérieur. J'ai observé tout au long de l'année suivant immédiatement cette phase où Saturne émergeait des rayons du Soleil jusqu'à son immersion ; d'abord avec le télescope de 11 mètres, puis avec un plus petit de 6 .49 mètres. J'en ai fait un croquis, certes approximatif, que j'ai ajouté ici à la hâte. Extrait de la lettre de M. Cassini concernant une tache récemment observée dans le Soleil, ainsi qu'une observation remarquable de Saturne, effectuée par le même homme, Philosophical Transactions, vol. XI, 25 septembre 1676, p. 690. Voici une description de la découverte dans les archives de la Royal Society de Londres, parmi les images et autres dessins de Jupiter datant de 1674 et 1675.1 point
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C’est vrai que 100fps avec un ROI aussi gros c’est très ambitieux. Mon PC a 32Go de ram, mais le buffer est réglé sur 4Go, et ça fini aussi par bloquer lorsque je fais des mosaïques de la lune. Mais au pire ça foire une prise et le buffer se vide et j’ai juste à recommencer cette tuile. Je n’ai jamais eu de pb en planétaire, mais j’utilise des ROI plus petits. Est ce que patienter permet de régler le pb ? Est ce que tu vois l’indication de vidage du buffer dans le disque dur comme montré dans le lien que j’ai posté plus haut ? Au pire, est ce que désactiver puis réactiver le buffer dans les réglages de firecapture au moment ou le pb arrive permet de reprendre la capture ?1 point
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T'es un grand malade toi.. Elle est magnifique ton imprimante !1 point
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Cette version est dispo pour les 3 plateformes, Linux, Mac OS et Windows. Gros boulot sur le live stacking. Les images LRVB, sont prétraitées en vue d'afficher une image couleur. Cela concerne évidemment les caméras mono avec roue à filtre RVB ou LRVB. Remplacement des scripts pour piloter un dôme, par exemple, par une interface graphique avec sauvegarde de profil. En complément, implémentation du pilote Indi Safety, capable de scruter des ports, sur des matériels, capteurs, etc. Implémentation d'une procédure de Push To pour le visuel. La traduction complète suivra, sauf si quelqu'un s'y colle, car je suis full en emploi de temps, jusqu'à la fin de l'année. Même si le météo me donne un coup de main en ce moment ! 😉1 point
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Comme le créateur de ce sujet, un Dobson 305/1500, avec on regarde pas la lune, on se promène dessus 🙂1 point
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Quand un météore pénètre dans l’atmosphère, il s’échauffe et laisse derrière lui une traînée de plasma composée d’électrons libres. Cette traînée agit comme un miroir temporaire pour les ondes radio. Si une station émettrice envoie un signal sur une fréquence donnée, une station réceptrice située parfois à des centaines de kilomètres peut le capter grâce à la réflexion sur la traînée du météore, alors même qu’en temps normal le signal direct ne serait pas reçu. L’écho enregistré dépend des caractéristiques du météore. Un petit météore produit une traînée brève et l’écho dure généralement moins d’une seconde. Un météore plus massif génère une traînée plus dense et plus persistante, pouvant renvoyer le signal durant plusieurs secondes. Sur un spectrogramme, l’écho apparaît comme une trace claire à la fréquence de l’émetteur, parfois légèrement décalée si l’objet a une composante de vitesse vers ou loin des antennes. Ce décalage est dû à l’effet Doppler et il peut donner des informations sur la vitesse du météore. En pratique, un observateur verra donc des échos radio apparaître et disparaître rapidement à la fréquence surveillée, chacun correspondant au passage d’un météore. Lors d’une pluie d’étoiles filantes, la fréquence des échos augmente nettement et on distingue souvent des séries d’échos rapprochés. C’est une méthode simple et efficace pour détecter et étudier les météores même de jour ou par temps nuageux, quand ils ne sont pas visibles à l’œil nu. Sans spécialement "lire" chaque écho il est possible de faire du comptage simple, un écho correspond à un météore. si le suivi est fait quotidiennement on peut transformer le comptage en tableau de densité par jour et par heure .... ça donne le tableau suivant ou le pic de Perséides et bien visible.1 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
