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Hello, Retour dans le Lion, en ce début Avril, avec une jolie galaxie présentant de chouettes détails. NGC 3521 est une galaxie spirale intermédiaire située dans la constellation du Lion. Elle a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1784. Comme les bras spiraux de NGC 3521 sont inégaux et discontinus, on peut qualifier celle-ci de galaxie spirale cotonneuse. De plus, cette galaxie est entourée d'une gigantesque coquille en forme de bulle qui lui a valu le surnom de Bubble Galaxy. On pense que cette coquille a été formée par des débris et des étoiles arrachées à des galaxies satellites par la gravité de NGC 3521. La galaxie apparaît avoir une structure similaire à la Voie lactée et son trou noir supermassif a une masse d'environ 7 millions de masses solaires (contre 4 millions de masses solaires pour celui de la Voie lactée). Lunette Skywatcher 80ED (80/600) + réducteur 0.8x @ 479mm Caméra planétaire Player One Neptune-664c + filtre Player One IRcut Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 222 x 30s Gain 180 Traitement Siril, Pixinsight, Photolab 6. une brute de 30s:4 points
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Bonjour les ami(e)s, J'espère que vous allez tous bien. Je vous partage une mouche verte avec de forts reflets cyans et turquoises et qui ressemble fortement à une Lucilia sericata. Prise au banc macro avec les objectifs Mitutoyo 5x et 10x. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucilia_sericata Prise de vues : De coté (j'ai eu la flemme de lui faire sa toilette car elle est pleine de poussière) : photo stackée à partir de 203 photos dans HeliconFocus avec la méthode C et lissage à 1 - prise avec un objectif Mitutoyo M plan apo 5x - objectif de tube Canon 70 200 L f2.8 sur un Canon 5Dmk2 - temps de pose 1/4 - iso 400 La "bouche" (ou plutôt pièces buccales) : photo stackée à partir de 368 photos dans Zerene Stacker avec la méthode Pmax - prise avec un objectif Mitutoyo M plan apo 10x - objectif de tube Canon 70 200 L f2.8 sur un Canon 5Dmk2 - temps de pose 1/10 - iso 400 J'avais déjà pris la "bouche" d'une mouche : https://www.webastro.net/forums/topic/63588-regard-sur-le-monde-microscopique/page/23/#findComment-3100625 Amitiés, FRanck3 points
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Salut à toutes et à tous, Je souhaitais faire un petit compte-rendu d’une récente observation avec mes toutes nouvelles jumelles Swarovski SLC 10X56. J’ai recommencé l’astro en 2010 avec une paire de Perl 10X50 bas de gamme, histoire de se remettre en selle et de voir si cela me plaisait toujours. Après cette reprise heureuse et prometteuse, sous les fréquents ciels clairs de l’époque, je suis passé à des instruments plus puissants, lunettes et T300. Séduit par l’observation aux jumelles et sa simplicité, j’ai ensuite recherché une paire plus polyvalente orientée nature, un peu plus qualitative mais sans me ruiner. J’ai porté mon dévolu sur les Nikon Monarch 5 en 8X42, qui non seulement font le taf, mais surpassent sur divers points mes vieilles 10X50 (que j’ai fini par donner) : agrément d’image, magnitude limite stellaire malgré le moindre diamètre (tests en parallèle), encombrement et poids. Mais comme en astronomie on en veut souvent plus, depuis quelques années je me disais que des grosses jumelles de 50 ou 56 mm de qualité devaient offrir de sacrées vues, en extrapolant ce que j’avais déjà dans les 8X42. L’an dernier, ce vague projet a pris plus de consistence et voilà que pendant des mois j’ai écumé les forums, les tests, les avis, à la recherche de la plus intéressante paire de jumelles à bras levés pour moi. En gros le cahier des charges était : - meilleure qualité optique possible - plus gros diamètre possible tout en gardant une pupille < 6 mm - meilleure transmission possible pour gagner un peu encore en ciel profond - poids contenu - très faible inertie de mise en œuvre, donc sans trépied, …Directement utilisable 15 min entre les nuages ou en fin de soirée, avant d’aller au lit, après un repas en famille par exemple - pour fréquemment emporter sous des ciels très purs - prix finalement pas très important en raison de diverses astreintes l’an dernier ayant permis de renflouer le porte-monnaie (et peu dépensier par ailleurs !) Rapidement, j’ai donc sélectionné 3 ou 4 modèles : - Kite Ibis, mais seulement 50 mm - Kowa Prominar 10X56, retours assez bons sans plus, je les ai eues en main en journée en magasin et elles ne m’ont pas enthousiasmé plus que cela, mais légères - Zeiss HT 10X54, chères et bord de champ moyen en astro d’après certains tests, mais légères - Swarovski SLC 10X56, plus lourdes. Après moult réflexions ce sont ces dernières que j’ai choisi, porté par le test dythirambique de ScopevViews notamment, et divers autres compte-rendus très positifs. Mon but ici n’est pas un descriptif complet du matériel ou un test optique, je laisse cela aux spécialistes, mais plutôt de présenter quelques observations objectives sur divers objets. Avant mon achat, je n’ai guère trouvé de compte-rendus précis sur des objets astronomiques. Bien sûr, le produit est excellent, bien fini, ça sent la qualité des matériaux et la solidité. L’optique est au top, les vues superbes, et je craignais beaucoup le poids de 1200 g mais l’ergonomie est stupéfiante : à l’usage à bras levés je ne peine guère plus qu’avec mes Nikon de moins de 700 g ! Juste un petit bémol : je n’avais jamais eu de jumelles à la pupille de 5.6 ni au relief d’œil aussi généreux, et, porteur de lunettes, j’ai eu du mal à trouver mes marques quand à l’écart, la distance, garder ou pas les lunettes …Et notamment la présence d’une sorte de reflet du bord de champ m’a un peu gêné en diurne, selon l’angle de l’œil, l’éclairage. Cela semble se transformer en nocturne en bord de champ un peu plus pâle, mais peut-être que la pupille généreuse et le ciel nocturne pas optimal de mon site à domicile y contribuent. Sur d’autres sites moins pollués cela gêne moins. Déjà, en fin d’hiver, les mésanges et chardonnerets à la mangeoire étaient ahurissants de netteté, de finesse, avec des couleurs naturelles et éclatantes. Le bord de champ est encore très propre, comparé aux Nikon 8X42 dans lesquelles il est rapidement flou. Bon, passons à présent à ce test en ciel profond. Ayant reçu les jumelles en fin d’hiver, j’avais tout de même pu les tester quelque peu, sans et avec la lune, voire sur la lune, principalement à domicile dans les Monts du Lyonnais. Je rappelle pour celles et ceux qui ne me connaissent pas que j’observe depuis un petit hameau sans lumière parasite, un peu entre St Etienne et Lyon, donc bonnes conditions mais ciel globalement un peu blanchi par la lointaine (et atténuée) pollution lumineuse de ces villes. Au cours de ces tests astro rapides, l’impression était bonne mais pas non plus fracassante, car après consultation de mes notes anciennes aux 10X50, tout ce que je voyais aux 10X56 était déjà mentionné aux 10X50. Mais n’ayant plus ces dernières, je n’ai pas pu comparer de façon objective. Et je n’ai pas beaucoup comparé avec les Nikon 8X42, il me semble que cela n’a guère de sens. Fin mai, nouvelle lune, lors de retrouvailles familiales sur mon site du sud des Hautes-Alpes, le météo n’annonce qu’un voire deux soirs clairs sur quatre que je vais passer sur place. Ne voulant donc pas me charger avec la lunette, et privilégiant là-bas la famille, je décide de n’emporter que les SLC 10X56. C’est un peu comme cela que je conçois les jumelles. Donc, le vendredi 23 mai, après une journée de grand beau temps, un ciel d’un bleu profond balayé par un léger vent de nord, je m’installe face au sud, protégé du vent léger par un hangar. La transparence est sublime, le ciel indécent pour reprendre le terme d’un astram croisé cet été à ChâteauRenard. Sur une simple chaise de jardin, avec nuque appuyée sur le dossier (obligatoire, par contre !) je ne ressentirai à aucun moment pendant 1h30 à 2 h une quelconque fatigue liée au poids des jumelles (en alternant toutefois observation, recherche sur PSA et prise de notes). J’utilise grosso modo l’échelle d’appréciation de difficulté d’un objet présentée par Ciel Extrême : VD : visible dès la vision directe (graduation de 1 à 3, vers la difficulté) VI1 : visible 100 % du temps en vision indirecte VI2 : visible 75 % du temps en vision indirecte VI3 : visible 50 % du temps en vision indirecte VI4 : visible moins de 50 % du temps en vision indirecte VI5 : visible moins de 10 % du temps en vision indirecte (contient des sous-échelons pour quantifier encore la difficulté) Je commence en fin de crépuscule par la petite nébuleuse planétaire du Corbeau, NGC 4361 (mv 10.3). Avec le recul je déplore ce choix curieux d’objet si faible, en début d’observation ! Sous un doublet, je perçois un astre qui me semble trop brillant pour cela, puis, la nuit avançant, une faible présence floue semble apparaître à env 5’ plus au sud. Peu probant … Le globulaire M68 (mv 8.3), par contre, après une petite erreur de positionnement liée à la nuit incomplète, m’apparaît facilement, le centre en VD, la périphérie enfle en VI1. Il est nettement non stellaire, flou, avec un diamètre apparent notable. Le contraste avec les étoiles proches bien piquées est saisissant. Une étoile brillante à O est un peu gênante. Mais c’est sur M83 (mv 7,5) que j’essuie ma première claque. Quoi ? c’est cette grande galaxie facile, qui n’était dans mes souvenirs à la lunette qu’un vague halo empâté et à peine visible ? Certes la latitude sudiste du lieu et le ciel pur jusqu’à l’horizon sont ici très favorables. C’est une belle plage floue NE/SO, vue VI1, alors bien développée. Deux étoiles faibles proches agrémentent la vue. Elle est unie mais avec un centre plus marqué. Seconde claque sur le réputé difficile amas globulaire du Bouvier, NGC 5466 (mv 9,1). Il est ici très facile, VI1, comme un assez gros disque gris pâle uniforme, mais avec des bords assez marqués. Même si avec le recul sur mes notes je n’ai guère trouvé de difficulté très notable, sur le moment je suis assez impressionné. Mv 9.1 quand même, pour un globulaire de classe XI, donc peu condensé. Dans le Bouvier la galaxie NGC 5248 me semble visible, mais au debrief je ne retrouve pas son positionnement entre 2 étoiles, que j’ai noté. Donc non confirmé. Le petit globulaire NGC 4147 par contre (mv 10.3) me frappe de facilité tout de suite, VI1, dans une zone stellaire pauvre. Le centre est marqué, la périphérie floue. Il est un peu plus petit et faible que M68. Je me concentre à présent sur les galaxies de printemps, bien en face plein sud, dans la Chevelure ou la Vierge. J’avais déjà exploré celles du Lion à domicile et en Haute-Loire, précédemment. M85 (mv 9.1) est facile, VD3, entre 2 étoiles brillantes écartées. Centre brillant, assez étendue autour, un peu N/S. Je note une seule fois (un glimpse, comme on dit), une étoile très faible juste au SE, de mv 10,5. NGC 4559 (mv 10,0) est bien vue, VI1, nettement ovalisée E/O avec un centre légèrement plus marqué. Il me semble noter une étoile très faible à E mais non confirmée sur photo. NGC 4494 (mv 9.8), proche, n’est par contre qu’un petit halo faible au SSE d’une étoile brillante. Elle n’est vue au mieux que VI3. Toujours dans les environs, la fameuse galaxie de l’Aiguille NGC 4565 (mv 9,6) déçoit, même sous ce ciel, tout comme un soir précédent sous moins bon ciel. Elle est remarquablement faible, tout de même notée NO/SE entre deux étoiles de mag 9 orientées de la même façon. Le centre est un peu plus restreint et contrasté, mais le départ des extensions n’est vu que VI3-VI4, il donne toutefois à l’ensemble une forme assez nettement allongée. La grande NGC 4725 (mv 9,4) est facile par contre, presque vue en vision directe, juste à O d’un triangle assez compact. Elle est nettement ovalisée NE/SO, relativement contrastée, avec des bords francs. Elle présente un joli contraste avec les étoiles proches bien piquées. Dans la Chevelure, place maintenant au trio M98, M99 et M100. M98 (mv 10,1) est nettement la plus faible des trois, et n’est qu’un simple halo VI4 proche d’une étoile brillante mais dans une zone pauvre en étoiles. M99 (mv 9,9) est située dans un petit triangle, un peu éclipsée donc, assez petite et faible, VI2, peut-être légèrement N/S. Enfin, M100 (mv 9,4) est assez facile, VI1, ronde, floue, unie, à E d’une chaîne stellaire brillante. M64 (mv 8,5) bien haute dans le ciel, est évidente, remarquablement facile, vue en VD, nettement ovalisée NO/SE, et luit d’une lueur assez douce. Les bords sont assez flous. Une étoile de mag 10 environ est visible au SE. L’amas globulaire M53 (mv 7,7) est évident lui aussi, VD, petit et contrasté, dans un champ riche de quelques étoiles brillantes. La forme pourrait être irrégulière. Son pâle voisin NGC 5053 (mv 9,8) reste très difficile, il est à peine soupçonné seulement comme une vague zone du ciel un peu plus claire, sans formes ni limites. C’est juste comme une présence quasi sûre extrêmement mal définie. Passons à présent à M104 (mv 8,0), déjà un peu basse mais très facile, VD, entre de petits groupes stellaires assez brillants. Elle est bien contrastée avec de vagues extensions en VI évoquant sa forme caractéristique. M61 (mv 9,6) réputée faible, ce qui était aussi le cas dans mes souvenirs aux 10X50 bas de gamme, m’apparaît ici presque facile, comme une petite tâche ronde unie juste à E d’une étoile mag 8.5-9. Etonnant ! Le fameux duo M84 – M86 (mv 9,1 et 8,9) en rapport ne m’apparaît presque pas si évident que cela, certes assez facile, m ais un peu perdu dans un champ pauvre. M84 est assez condensée, M86 est légèrement plus grande et brillante. M87 (mv 8,6) dans le même champ est légèrement plus facile, typique d’une elliptique, avec une étoile mv 9 à 5’ N environ. Je ne l’ai pas noté mais avec le recul, il me semble que l’image d’une ou deux autres galaxies plus faibles proches m’est restée en mémoire. Peut-être « les Yeux », NGC 4435 et NGC 4438, nettement plus faibles ? Explorons à présent M49 (mv 8,4), intéressante par sa facilité (VD3), légèrement N/S avec un centre plus marqué. Encore un aspect typique d’une galaxie elliptique. Mais ce sont surtout les environs qui sont gratifiants, puisque l’on peut voir deux autres galaxies : NGC 4535 (mv 10,0), faible, peu contrastée, au N d’un losange stellaire. Elle est de faible brillance surfacique. NGC 4526 (mv 9,7) est bien plus facile, VI2, entre les étoiles du centre du losange. Elle diffère bien de la précédente car apparaît petite et contrastée. Peut-être ovalisée, elle reste sans détails. Cet ensemble présente un joli champ intéressant. A cette heure, la Vierge a déjà bien dérivé vers l’ouest et pile en face se trouve sa partie Est. Le joli fuseau NGC 5746 (mv 10,3) n’est guère probant, je devine peut-être la partie centrale la plus renflée, faiblement, mais je suis gêné par l’étoile brillante proche. Par contre, le duo NGC 5846 (mv 10,0) et NGC 5850 (mv 10,8) se révèle, belle surprise, en VI1-VI2. C’est un ensemble pâle dans un champ riche. Avec attention, les deux galaxies proches se dédoublent même, mais c’est difficile ! Elles présentent le même aspect et le même éclat, et restent peu contrastées. Je note une étoile faible au NO (mv 10,5). Par contre le faible amas globulaire NGC 5634 (mv 11,0) n’est pas vu. Il me semble discerner une tâchouille mais pas au bon endroit …. Le Scorpion s’est levé dans un ciel très pur même près de l’horizon, dans ces conditions M4 est une formalité mais aussi une splendeur ! Bien contrasté, il me semble même irrégulier et granuleux mais je ne m’y attarde guère. Rien à voir en tous cas avec le pâté faiblard et flou qu’il montre sous des ciels plus brumeux ! Il se fait déjà tard, et avant de rentrer je jette un œil dans les champs riches de la Voie lactée du Cygne, qui est à peine levé à l’est. La claque !! Rarement j’ai vu des champs aussi riches d’étoiles, cela fourmille littéralement et c’est impressionnant. Je pense qu’il y a un double effet qui se conjugue, le diamètre déjà intéressant couplé avec une forte transmission, cela ajouté à l’effet grand champ qui permet d’englober un effectif stellaire fourni. J’ai alors l’idée de pointer la Grande Dentelle encore bien basse. Je m’en souviens bien, elle restait fort discrète dans mes vieilles 10X50, c’était l’apanage des bons ciels et d’un positionnement haut de l’objet. Ici immédiatement je perçois un faible arc diffus, mais assez bien visible, et d’une taille supérieure à mes souvenirs avec ce type d’instrument. Etonnant ! A retenter, car sur moult objets le gain de ces jumelles par rapport à mes 10X50 ne semblait pas révolutionnaire, sur les Dentelles par contre cela me semble flagrant. C’est donc sur ces magnifiques images et cette belle surprise prometteuse que je clos cette soirée riche en tests, en plaisir, en retrouvailles d’objets déjà connus dans divers diamètres. Le bilan bien entendu est fort positif, mais même avec un diamètre de 56 mm, à bras levé, cela reste des jumelles, avec l’usage bien spécifique qui va avec. Cet usage peut être complémentaire de la puissance d’un télescope ou d’une lunette. On pourrait adjoindre un peu plus de stabilité et donc de résolution avec un support (trépied, monopode), mais je privilégie un usage minimaliste. Même si j’ai été agréablement surpris par la facilité de certaines petites galaxies, ces jumelles sont plutôt destinées aux grands champs, aux objets larges …Le bon comportement printannier m’ouvre donc de belles perspectives cet été sur les amas ouverts, les grandes nébuleuses d’été, les riches champs de la Voie Lactée, notamment les régions tourmentées Scorpion / Sagittaire, et aussi les Barnard, objets fort peu prisés pour le moment à ma lunette et mon télescope. Ce serait l’occasion de s’y mettre davantage. Elles pourraient exceller là-dessus, mais déjà je suis comblé par le compromis performances et agrément d’utilisation par rapport à la très faible intendance d’utilisation (transport et mise en place immédiats, poids contenu, etc …). Par contre, en raison de la pupille de 5.6 mm, je conseillerais ce type de modèle à des observateurs assez jeunes ayant accès à des sites bien noirs, sans trop de pollution blanchissant le fond de ciel. A défaut, il vaut peut-être mieux rester sur de classiques 10X50, pour garder plus de contraste et un fond de ciel bien noir. Bon ciel !2 points
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Salut à tous ! Pause astrophoto. Depuis le temps que je tournais autour du truc, ce qui devait arriver est arrivé, un spectro Alpy 600 m'a rejoint. Il succède au Star Analyser 100 qui est un excellent moyen de mettre le doigt dans la machine... Mon setup dédié spectro est donc composé de mon fidèle C9XLT + réducteur Starizona x0.63, un Alpy 600 avec module de calibration et de guidage (Shelyak Instruments), une Player One Uranus-M Pro au capteur IMX585. Après quelques heures de montages, démontage, remontage, redémontages, auto-insultes , le setup a enfin fini par être opérationnel Premier spectre de validation avec la brillante Véga. Si l'aventure vous tente ou titille votre curiosité, je vous recommande la lecture de deux excellents livres : le "Guide pratique pour (bien) débuter en spectroscopie astronomique (François Cochard)" et "10 expériences de spectroscopie astronomique (Olivier Garde)".. à compléter évidemment par les vidéos Youtube qui ne manquent pas. En fait j'ai commencé par la lecture des 10 expériences de spectro, c'est lui le plus dangereux financièrement. Il vous amènera sur "comment débuter en spectro", puis etc... A bientôt1 point
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Hello à tous, Encore en plein réglages et tests de mon nouveau jouet, j'ai ciblé LDN 894 (enfin les alentours ). Je me suis rendu compte déjà que j'ai déjà du tilt : J'ai donc regardé de plus prêt mon PO et il bougeait .... Resserrage de deux visses et hop toujours du tilt, mais resserré 😆. Prochain objectif corriger ça . 🔧 Setup : 🔭 Télescope : ONTC 200/800 (Miroirs Mirrospheres) 🔧 Correcteur : Baader MPCC Mark III 📷 Caméra : ASI 294 MC (–10°C, Gain 120, offset 30) + Focusser Génimi 🗺️ Monture : EQ6-R Pro 🎯 Autoguidage : lunette guide 50/180 + ASI 120MM mini sous PHD2 🌈 Filtre : Altair L-Pro 💻 Capture : N.I.N.A : 519 poses de 60 secondes conservées Ratio sigma entre 4.5 et 6.22 sur les 3 nuits Echantillonnage : 1.192 Illumination Lune : 96.4% et 99.6% Angle de rotation 143° FWHM médiane : 1.95 Je suis passé par la suite Seti pour la première fois . Mon process rapido : Sous siril : Graxpert Seti sharpen Seti Denoise léger Sous Pix : Photometric colorcal EZ softstreach Starnet SNR vert à 0.69 Curves SNR Blue à 0.69 Local histogram kernel 120 Leger curves Darstructure léger 0.20 Leger colorsaturation NoiseX 50/10 Et hop la photo : Bon ciel à tous. A+ Nico1 point
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bonjour tout le monde (je fais exprès de mettre des longs titres, ça m'amuse) Au hasard de mes pérégrinations de trucs à bidouilles je suis tombé là-dessus : https://fr.aliexpress.com/item/1005005210461952.html?spm=a2g0o.order_list.order_list_main.17.13835e5bgPdkw5&gatewayAdapt=glo2fra C'est moche tout comme j'aime. C'est quoi ce truc moche ? C'est une "charge variable" qui se comporte comme une résistance et qui nous indique ce qu'elle voit passer. ça permet de tester des alimentations (par exemple) ça existe en beaucoup plus pro, et pour des usages bien plus pointus, mais là moi ça m'allait bien pour jouer avec. Accessoirement à ~30€ on ne va pas se priver. Limite importante à noter : 150W maximum. La belle affaire. Bref j'ai un peu joué avec aujourd'hui et j'en suis assez content. On branche l'appareil sur le secteur d'un coté, et l'alimentation à tester sur le bornier. (à noter le petit adaptateur bien pratique qui est livré avec, on peut tester plein de trucs avec, transfo, chargeur USB, etc ...) On règle les contraintes (intensité,tension, puissance, tension de coupure) et on laisse tourner le bidule. Le ventilo se met en route pour dissiper les calories, faut bien que ça dégage quelque part ... Il y a une petite sonde de température pour voir si la batterie chauffe, pas mal aussi ça. Il y a une appli Android pour commander le machin en Bluetooth, mais je n'ai pas pu l'installer mon tél refuse. C'est dommage parce que ça permet de sortir un graphe, ça aurait été intéressant. il y a aussi une appli Windows que je n'ai pas essayé : moi c'est Linux, merci Simone. Voici par exemple une batterie Lidl vendue ~50€ pour 160Wh (8Ah/20V) En marche : Après coupure : Je lui ai pompé 5A en coupant à 15V : Elle a tenu 1h30 et m'a restitué 137Wh En gros ça correspond bien à l'attendu : j'aurais pu descendre encore plus bas pour lui sucer encore plus de jus, mais je préfère rester raisonnable. 15V ça me va bien Et ça correspond à ce que je vais en faire : lui coller un stepdown pour fournir du 12V avec ses 5 frangines, avec des diodes anti-retour tout bien comme il faut. 6x137Wh=822Wh - 300€ Probablement plus cher que du Lifepo, mais je les utilise avec mes outils Lidl ... donc ... Et puis j'avais envie. La. Bref, je recommande pour les joueurs. Si j'ai le courage, je testerai ma grosse batterie de la mort qui tue de 1.2kWh Sauf qu'à 100W ça va mettre 12 heures (en gros) On verra si c'est vraiment de la mort qui tue ou pas. A+ Gilles.1 point
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Normalement c'est pour coller au double face. Après étude de la chose, je vais partir sur du 3M VHB 5952 (du vrai, attention aux contrefaçons): çà supporte de -35°C à 70°C, çà tolère une différence de dilatation thermique entre surfaces de 3.3mm, tension normale de 4.9 kg/cm2. Mais tu peux très bien prendre en compte la hauteur des allumettes quand tu renseigne l'épaisseur du miroir et tu mets une hauteur de pad à 0 😉 Ou plus bourrin: un coup de lime sur les parois verticales.1 point
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Du moment qu'on a un support pour des jumelles même si pas un trépied, par exemple un transat en été avec les coudes/bras calés, c'est déjà pas la même histoire. C'est un peu comme observer dans un télescope debout ou assis sur un bon siège. 🙂 On se souvient de la célèbre photo de Pierre Bourge sur une chaise de cuisine avec un simple manche de balais/piquet sous les jumelles.1 point
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Si tu as besoin d'infos pour préparer tout ça, on est là. ça change la vie crois moi. C'est pour ça aussi que j'ai fait une colonne fixe, pour gagner du temps (mise en station, map, etc....).1 point
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Très belle capture !! C'est vrai qu'elle a plein de jolis détails cette galaxie !1 point
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Merci 30s en exposition car caméra planétaire utilisée. à gain 180 plus beaucoup de capacité dans la fullwell: Donc pour ne pas saturer les étoiles, je pose 30s et c'est bien suffisant pour déjà voir la galaxie sur une brute, ensuite c'est le temps total qui joue A titre de comparaison, avec la caméra refroidie 294c, au gain 120 (déclenche le HCG mode) j'ai 3x plus de capacité de fullwell, donc je peux largement poser plus longtemps qu'avec la 664c: logique respectée, la caméra planétaire n'est pas vraiment faite à la base pour shooter longtemps, au pire quelques secondes par image pour les satellites de Saturne ou Neptune. C'est plutôt du 5ms par image en exposition quand on fait du planétaire1 point
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Ben non justement, je passe juste 10 min dans le jardin pour démarrer tout le bazar et après dodo Le setup en standby la journée: Sous la bache se cache le matos toujours prêt à shooter: Mise en tension de la multiprise: Tout est relié à l'ordinateur via un seul câble usb: Le hub usb : Tout est en place pour la nuit: Démarrage de NINA: connexion de la caméra, mise en route du refroidissement pour atteindre les -10°C Connexion de la monture: Démarrage du guidage, en plein jour forcément pas d'étoiles encore visibles, ça viendra quand il fera noir vers 23H30. Démarrage du séquenceur, avec chargement de la séquence enregistrée dans l'après midi, pour gagner un peu de temps: Séquence lancée: Tout est en route, je peux rentrer à la maison il est 22H30. La séquence va effectivement enregistrer des images une fois la nuit tombée, quand l'astrométrie sera possible. La monture saura quelle est sa position exacte, direction la cible définie dans la séquence, le guidage va démarrer. A la fin de la séquence, vers 4H30, la monture se parque, la caméra se réchauffe. Vers 6H15 je vais voir comment s'est déroulé la session, je fais les flats et je remballe sous la bâche, en attente de la prochaine nuit dégagée.1 point
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Hello cher consœurs, confrères ! Malgré une nuit avec Lune presque pleine et une poussière assez épaisse à cause des incendies au Canada, j'ai quand même réussit à faire ressortir tout ce signal. Fait au Champs du Feu en Alsace. 60x180 secondes (4h30) avec Filtre Optolong Enhanced Zwo 2600MC Duo Gain 100 Samyang 135mm F2.4 sur AZEQ6, (je sais la monture est surdimensionnée lol mais il y avait du vent donc j'ai prévu large) Traitement Pix/RC Astro et Photoshop1 point
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Forme typique d'un empilement (sous SiriL ou autre) d'un objet (brillant donc saturé) qui se déplace entre les poses. Dans ce cas précis il faut faire un alignement en manuel (pas avec script) en prenant le noyau de la comète comme référence. Il existe un tuto pour le traitement SiriL des comètes. https://siril.org/fr/tutorials/comet/ EDIT : tiens par exemple, j'ai une image d'un rapprochement entre M100 et l'astéroïde Céres ya 2 ans : prétraitement avec rejet des pixels déviants. Crop sur Ceres : Image originale :1 point
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Bonsoir à tous, je suis rentré d'un séjour de 10 jours en Vendée avec quelques copains Météo très touristique : beau la journée mais nuageux la nuit Au final on a pu bénéficier de 3 nuits et demi seulement, toujours mieux que l'an dernier ceci dit (zéro nuit sur 10 jours...). Le setup est le même que dans la Creuse le mois précédent, à savoir : TOA150 + ASI2600MM + EFW + filtres ZWO 36mm, guidage avec OAG-L + ASI174 mini, le tout sur EM400 Temma2 et piloté par ASiair Plus : Puisqu'on me pose souvent la question : le poncho sur le trépied sert à protéger de l'humidité la batterie qui se trouve sur la tablette porte-acessoires, et également de la pluie puisque le setup reste en place 10 jours. L'ASiair est connecté à un CPL et l'autre CPL (qui lui est Wi-Fi) se trouve dans mon van. C'est la solution la plus rapide que j'ai trouvée, quand je n'ai pas de 220V sur le terrain alors j'utilise un extender Wi-Fi OPAL. Je vous présente une M51 prise sur 3 nuits, la L a été faite dans d'excellentes conditions, les RGB un peu moins avec beaucoup de passages nuageux. Au final j'ai conservé 4 heures de L avec une FWHM entre 1.6" et 1.85", et 1 heure pour chaque couche RGB, le tout en subs de 120s. Traitement Siril, BlurX + NoiseX sous Pix, finition sous CS5 avec recadrage de M51 pour mettre en valeur les 2 petites galaxies en haut à droite. Après pas mal de discussions sur Astrosurf quant au traitement, je me suis arrêté sur cette version soft calquée sur les conseils de JeffBax. Cliquez sur l'image pour obtenir la Full qui regorge de petites galaxies dans le fond de ciel : Gros plan : Et l'image annotée dans Pix, avec les quasars dont le plus faible atteint une magnitude de 22.32 :1 point
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Un mois plus tard! Bon, après réception de materiel divers (MEtal découpe laser pour tenir le miroir, tubes laiton), j'ai pu finir la permière boule! Préparation pour la première lumière et première lumière sur Arcturus à l'observatoire Huber Reeves à Mars! Le telescope: de face, de coté, zoom sur l'UTA: La collimation avec l'outil fourni avec! Il me reste l'autre boule a finir! A dans un mois! Cyrille1 point
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Bonjour à tous, Un grand classique mais je voulais essayer avec un R5 et mon objectif 300. Photos prises à f2.8 et ISO320, 51 poses de 3mn. Prise en 2023, j'ai du bleu en fond de ciel... bon, je ne l'ai pas corrigé! De mémoire la mise au point était manuelle, avant que je la fasse avec un vieux robofocus branché sur ma powerbox et une courroie autour de l'objectif. C'était un test pour me donner une idée de ce que je pouvais faire ou pas avec le mode de la photo "classique" en termes de matériels.0 point
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Bonjoir à tous ! Voici pour vous, ce soir, en exclusivité (c’est faux), une image : une des premières que j’ai réalisées avec la Tête de Singe et Andromède. Cela remonte à environ 5 ans, peut-être un peu moins, j’ai oublié la date exacte. Le tout a été capturé sous un ciel en pleine pollution lumineuse à Nantes, une vraie zone blanche comme je l’appelais à l’époque. Setup astrophoto : Monture équatoriale motorisée : Star Adventurer (2e génération sans Wi-Fi) Télescope ou lunette : 72ED Sky-Watcher Evostar Caméra astro ou APN : Canon 100D partiellement défiltré Câbles alimentation/commande : Intervallomètre Contrôleur/ordi : X Trépied stable : Non (trépied de la Star Adventurer) Filtres : Non Logiciels capture/traitement : Siril / Photoshop EXIF essentiels : Date/heure : entre 21h et 2h Temps de pose : 30 s Nombre d’images : environ 250 (sans certitude) Focale : 420 mm Ouverture : f/5.8 ISO : entre 800 et 1600 Température capteur : X (non refroidi) Balance des blancs : auto Format image : RAW Objet : NGC 1499 – la Nébuleuse californie Un lien vers le premier Post de cette série :0 point
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Je m’étais posé la question du Mak127 ou une 80ED il y deux ans quand je cherchais un instrument de moins de 3kg. Le grand champ accessible avec la 80Ed a été le point décisif entre les deux. Après deux ans passés avec, je n’ai aucun regret. Elle monte sans problème à x2D sur les planètes tout en gardant une image nette et précise. Elle m’a donné des vues de Jupiter incroyables (Pentax XW 14 + Powermate x2.5). A x2.5D, même quand le ciel est excellent, l’image devient pâteuse. Je serai maintenant curieux de comparer avec un Mak127 en planétaire et particulièrement sur les globulaires (80mm de diamètre à ses limites). J’imagine qu’une bonne lunette de diamètre 100mm doit pouvoir se rapprocher des performances du Mak.0 point
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Avec un C9, je devais placer l'étoile artificielle à 18m et mettre au moins 20 cm (probablement plus même) de bagues allonge en sortie de télescope..0 point
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J'acquiesce aussi avec le même matériel, il faut regarder les planètes ou autres de préférence quand elle sont au plus haut dans le ciel, de plus, sans vent et que les étoiles ne scintillent pas. Si tu ne l'a pas fait, il faut motoriser la mise au point, c'est simple à faire et pas cher, c'est ma petite fille 10 ans qui me fait la mise au point super. Après, je vais expérimenter pour le grossissement, plutôt que de mettre un Oculaire de 10 mm ou moins pour grossir, je vais laisser mon 20 mm, et ajouter un Barlow doubleur ou un tripleur, sera-ce mieux, plus de lumière? De plus j'ai 'ai lu que Barlow corrigeait une aberration des oculaires. Bonne continuation La patience est la première qualité pour un Astram, avant celle du télescope, de la lunette et jumelles.0 point
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c’est exactement ça Certainement mieux que mes Olympus 10x50 qui sont équivalentes aux aculon je me laisserai bien tenter de les acheter en vendant les autres0 point
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Bonjour, Il y a quelques temps, j'ai récupéré de vieilles caméras de télévision, dotées d'objos qui semblaient sympas. Problème: la monture B4! Après avoir fouillé le net, à part un adaptateur B4 vers T2 hors de prix, j'ai trouvé un fichier pour l'imprimer. J'ai dessiné sur Freecad un support, je n'attends qu'un peu de ciel nocturne correct pour faire un peu de CP en "lucky imaging"! La zone entourée est un adaptateur B4/T2 Double queue d'aronde! Ça fait riche! Le tout est imprimé en ASA, un peu difficile à imprimer, mais c'est un matériau génial! L'objectif est un 20-120 Fujinon, ouvert à 1,7 et la caméra une asi 224 mc.0 point
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Pour améliorer les observations, il ne s'agit pas de changer les accessoires mais de changer de télescope : il faut augmenter le diamètre (à moins que les oculaires soient mauvais) (de toute façon on gagne toujours à avoir de meilleurs oculaires, mais ce n'est pas ça qui fera apparaître des détails que le télescope ne peut pas capter). Les planètes, en ce moment, sont mal placées. Mars est presque de l'autre côté du Soleil, très éloignée, donc toute petite. C'est une planète difficile : elle n'est bien observable que quelques mois autour de son opposition, son opposition a lieu une fois tous les deux ans et quelques, et certaines sont plus favorables que d'autres (et elles sont favorables quand Mars est à déclinaison négative). La dernière fois que Mars était à déclinaison positive et faisait un diamètre apparent de plus de 20", c'était en 2020. La prochaine fois, ce sera dans les années 2050. Saturne commence à être visible au petit matin, mais encore basse, donc très affectée par la turbulence. Vénus est intéressante : elle est en "dernier quartier", presque à 50 %. Elle s'éloigne peu à peu, sa phase va augmenter mais son diamètre va diminuer. Si Jupiter est encore visible (pas sûr), c'est de toute façon au ras de l'horizon, l'image sera forcément brouillée.0 point
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Il est possible que les oculaires fournis avec ton Mak ne soient pas d'excellente qualité, ce qui peut expliquer une partie du flou. Néanmoins, ne t'attends pas à des détails incroyables, Mars restera une tâche ronde plus ou moins floue, avec éventuellement quelques vagues détails. Je t'invite à aller lire ce sujet ; un (très fort !) astram a dessiné ce qu'il voyait dans ses différents tubes. Je ne suis pas sûr que tu pourras avoir mieux ; voir autant serait déjà une bonne performance.0 point
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Bonjour gazel, Qu'entends tu par "avoir plus de difficulté avec les autres planètes" ? Quel est ton problème ? Ce n'est pas clair. Il sera difficile de te répondre correctement sans davantage d'information.0 point
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Ben, je fais un peu la même chose... La monture n'est pas à demeure, j'installe tout à l'endroit qui va bien (6000 m2 autour de la maison...), je fais ma MES , mes petits réglages (import fichier .csv de Telescopius préparé avant), je lance ma session (le tout me prend moins d'1/2 heure) et au dodo ! Le matin, Flats et je rentre tout dans le garage d'un seul morceau (c'est une SA GTI) et j'embarque la tablette Surface pour le traitement.0 point
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Annonce désactivée, dommage. C'est pour cette raison qu'il est toujours sympa de faire une capture d'écran Peut-être parce que c'était un lot de camelote avariée?0 point
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yes trés interressant à premiere vue. d’ailleurs tous les docs du rapport blue book sont en accés libre en pdf ici. c’est génial j’ai pour habitude de toujours aller a la source de l’info! c’est une mine d’or https://www.theblackvault.com/documentarchive/ j’ai pas le temps e tout me fader et vais m’en tenir aux conclusions. 30 cas inexpliqués sur 12000 et ils sont souvent inexpliquables par manque d’information ou de précisions. c’est un peu comme le geipan, les cas inexpliqués ne sont pas inexpliquables mais on ne sait pas quelle explication est valable par manque d’info. The Cyclon Attack est un sacré remaque de star wars, un an aprés. ils ont repris tous les codes. masques, vaisseaux, armes laser, et méme les bruitages (alors que dans le vide il n’y a pas de son)0 point
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Crotte de bique : Encore cliqué. Pffff, saleté de météo. Bon de toutes façons avec la Lune vous allez pas me mettre ça sur le dos, hein.0 point
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Je ne l'ai pas a Licorne.... Mais bon ce n'est qu'un lentille de 120mm Lien HD: https://lucnix.be/upload/2025/02/17/20250217164648-c25cd9f2.jpg0 point
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Ho les belles couleurs irisées... ( on dirait des plumes de paon...) voilà qui ne donne plus envie de les écraser... Et pourtant je n' aime pas trop les voir se promener dans la cuisine....0 point
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Troisième (et dernière ?) fournée galactique Hier soir, veille de jour chômé et ciel annoncé clair... Hop, direction ma p'tite montagne pour valider quelques cibles manquantes dans la Vierge et la Chevelure de Bérénice. C'est que la saison avance !! Il me manquait M85, M98, M99 et M100 à identifier. Car oui, la difficulté est là : voir des galaxies ok, mais les identifier formellement dans cette zone ce n'est pas simple 😅 Je me suis littéralement perdu dans les myriades de petites NGC mais j'ai fini par identifier les quatre galaxies de Messier en partant de l'étoile 11Com. J'y ai passé un très long moment, mais quel plaisir de se promener dans ces millions d'années-lumière ! J'ai trouvé aussi M83, galaxie très très basse, avec seulement 15° de hauteur !! Forcément très peu de chose à voir, à tester lors de vacances plus au sud peut-être 😄 Le ciel était d'une transparence et d'une stabilité assez inédite malgré le vent frais qui soufflait sur la crête... En levant les yeux de l'oculaire, j'ai réalisé qu'il était possible de distinguer certaines galaxies à l'oeil nu. Du coup j'en profite, direction M101 avec le 300 et quelle surprise ! La galaxie - d'ordinaire fantomatique - est bien contrastée et occupe presque tout le champ du 11mm 82°. Sa forme asymétrique saute aux yeux et en vision décalée les bras spiraux se laissent deviner assez facilement. Grisé, je vais voir M51 et là c'est le choc : la galaxie est très très contrastée, très lumineuse avec des bras spiraux visibles directement. C'est la première fois que je vois aussi les nébulosités autour du noyau de sa galaxie compagnon. Franchement, le rendu à l'oculaire était incroyable et j'ai profité du spectacle un long moment. Petit coup de coeur aussi pour M102, que j'ai découvert hier soir avec une bande d'absorption très sombre et bien nette sur toute la tranche de cette belle galaxie, comme si elle s'était apprêtée avec un highliner 😄 Une excellente soirée donc, qui s'est terminée vers 3h du matin et qui a justifié allègrement l'heure de route pour se rendre sur site.0 point
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Ah je voulais pas te froisser 😂 et non je dénigre pas les Messier!!! Au contraire je les adore!!!!!!!! J’en observe pas mal à chaque session. Et d’ailleurs c’est pas toujours les plus adaptés. ‘hier soir j’ai eu un ciel très noir avec @Floconoui mais très humide, pas moyen de dépasser les 300x avec néon 450 et mon 400. Ben y’avait du ngc dedans trop détail mais sympa comme le couple 4302/4298 plus adapté qu’une m109 petite mais pleine de détails que je n’ai pas pu observer correctement. dans mon jardin pollué , l’autre soir je voyais mieu les détails sur m100 qu’hier soir dans un ciel bien noir…. Mais humide et turbulent. Mais c’est pas grave on a pu observer c’était l’essentiel!!! et oui malheureusement on doit faire avec son ciel 😢. Ici on a des spots exempts de pollution lumineuse , mais on doit faire pas mal de km (je fais fais 1h15-1h45 aller et autant au retour pour chacune de ces sorties). Tu as fort raison!!!! J’aurai construit mon 400 juste pour m51, mon objet préféré!!! Et m13 est fantastique dans un gros scope!!! Pareil pour m57, faut la voir à 800x dans un ethos, c’est quelque chose !!!! Pour idée ça fait 16° de champ a ce grossissement soit 32x la pleine lune à l’œil nu !!!0 point
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Bonsoir les ami(e)s, Je vous partage ma première fourmi photographiée sur banc macro avec un objectif Mitutoyo M Plan APO 10x couplé à un objectif de tube Canon 70 200 L f2.8 et un Canon 5Dmk2 : photo stackée à partir de 260 photos dans Zerene Stacker avec la méthode Pmax - prise avec un objectif Mitutoyo M plan apo 10x - objectif de tube Canon 70 200 L f2.8 sur un Canon 5Dmk2 - temps de pose 1/4 - iso 400 C'est une première pour moi. Le sujet est petit et pas facile à préparer pour aller sur le banc macro et de plus, les zones de point focal d’avant plan et d’arrière plan sont nouvelles pour moi ainsi que le positionnement de l’insecte par rapport à son anatomie. On peut voir sur la photo qu'elles ne sont pas bien définies car les pattes de derrière en arrière plan font "bizarres". Avec un objectif de microscope Mitutoyo 10x qui a une profondeur de champ de 3,5 microns, si on se "plante" en ce qui concerne surtout les arrières plans, les transitions net/flou sont très brutales comme on peut le voir avec les pattes de derrière. Il va falloir que je pratique ce sujet car il est est fort intéressant. Il y a un début à tout Amitiés, FRanck0 point
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